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Nymphomane, moi ? Tome II

Chapitre 8

Une visite guidée

Hétéro
Boulier m’avait appelée dans son bureau. Il me fit asseoir et bien sûr donna un tour de clé à la porte.
— Bien Tixie... Marion est absente... et j’aurai besoin... d’une hôtesse. Depuis notre petite entrevue, à laquelle je ne cesse de penser, je crois que tu es tout à fait apte pour ce petit travail. J’en ai parlé à ton responsable et il ne voit pas d’inconvénient à ce que tu pallies l’ absence de ta copine... Tu vas donc travailler avec moi demain toute la journée. Nous allons avoir la visite de Monsieur N’Doumbè, Luzolo de son prénom. Il est pharmacien et au Congo, il dirige une entreprise d’importation de produits pharmaceutiques. Il vient examiner notre entité de fabrication et je suis chargé de lui faire visiter l’usine. La Direction veut qu’à tout prix, il ait une impression favorable tant sur la fabrication que sur l’ensemble du personnel. Je pense que tu seras une hôtesse parfaite ! Je sais que ce que je vais te demander va te paraître incongru. La Direction se moque de la façon dont nous lui ferons signer le contrat, mais il faut qu’il signe, et j’ai carte blanche pour y arriver.
Alors je compte sur toi, si tu veux bien, il va falloir que tu lui plaises, que tu l’aguiches... Et ça, tu sais le faire à la perfection tant physiquement qu’intellectuellement... Si tu es d’accord, pour le physique, tu vas me l’émoustiller... bas, pore-jarretelles... jupe collante qui en laisse transparaître les attaches... pas de string... on ne sait jamais... si tu pouvais faire comme Sharon Stone dans Basic instinct ! Pour le haut pas de soutien-gorge... tu peux mettre ta veste qui bâille lorsque tu te penches, elle est très érotique... Si nous obtenons ce contrat, je crois que la Direction pourrait nous donner des stocks option ! Donc nous avons tout intérêt à jouer le jeu... Tu es d’accord avec ce que je viens de dire ?
— Oui, Monsieur... Si j’ai bien compris, vous me demandez d’enjôler complètement le noir qui va venir... — C’est cela... pour qu’il soit emballé... par ce que nous lui présentons !! J’ai réservé la salle de réception des VIP, nous ne serons que nous trois. J’ai donné des ordres, personne ne viendra nous déranger. Je ferai une présentation avec vidéo projecteur sur la marchandise que nous lui proposons. Ensuite, je m’absenterai... tu pourras lui offrir le café... et tu auras 20 minutes pour le chauffer à mort, tu vois ce que je veux dire... !! En général, les noirs raffolent des petites blanches blondes... C’est pour cela que je te demande de le recevoir ! Et je me suis rendu compte que tu sais aguicher les hommes et ensuite satisfaire leurs désirs !Il doit arriver à neuf heures, tâche d’être là pour huit heures ! Après le briefing, nous l’emmènerons visiter les ateliers de fabrication... Et tu ne devrais rien prévoir pour ta soirée... nous resterons avec lui ! Nous allons faire une répétition, relève ta jupe... croise les jambes... bien... plus doucement... Laisse-les écartées, oui là, je vois bien que tu ne portes pas de culotte... Ah oui, tu m’as dit que tu n’en mettais plus.

Il s’approcha, sa main glissa sur ma cuisse... se plaqua sur ma chatte et son majeur s’insinua dans ma fente.
— Tu es toujours rasée, c’est parfait ! Mais... Tu mouilles !! C’est de penser à N’Doumbé qui te met dans cet état ? Tu aimes les noirs ? Ah oui, je vois... je me disais aussi que tu traînais souvent avec Gérald ! Petite Salope... tu aimes les grosses bites noires ! Bon, alors j’espère que demain, tu vas te surpasser... Regarde... tu me fais bander... Suce-moi...
Ah, il voulait que je séduise notre visiteur noir ! Ah, il voulait que je m’habille sexy... Il n’allait pas être déçu. J’espérai que ce monsieur serait un bel homme, à la queue énorme et bien dure, comme je les aime, car je me doutai de la tournure que prendraient les événements. Le lendemain matin à l’heure dite, j’entrai dans le salon de réception. Boulier m’attendait assis sur le divan sirotant un café. Je m’approchai et l’embrassai sur les deux joues.
— Alors tu es prête ? — Oui, je pense !
Lui tournant le dos, je quittai mon trench rouge mi-saison, nous étions à la mi-mai. Il était ceinturé, je trouvais qu’il apportait beaucoup de féminité à mon look, mais occultait entièrement ce que je portais dessous. Je l’accrochai au porte-manteau et me retournai vers lui.
— Oh putain... Tu t’es surpassée, approche que je vois ça de plus près !— Oui, c’est osé ! Et vous êtes sûr qu’aucun chef de service ou quelqu’un de la Direction ne viendra nous déranger.— Mais non, on aura bien une réunion de travail avec tous ces messieurs, mais l’après-midi après la visite des ateliers ! Mais là... tu m’épates vraiment... Je ne croyais pas que tu oserais porter une telle tenue !
Il pouvait en effet être content, ma veste noire, portée à même la peau, n’était attachée que par un clip doré entre mon nombril et mes seins. Les bords de l’échancrure cachaient tout juste mes mamelons, et découvraient au moindre mouvement un peu brusque le bord de mes aréoles, si je me penchais, ils baillaient sur mes tétons. Ma jupe portefeuille noire, elle aussi ouverte sur le devant, laissait apercevoir sur ma cuisse l’attache de mon porte-jarretelles et la lanière blanche qui soutenait mes bas noirs. Même droite, lorsque j’écartais les jambes, elle s’ouvrait jusqu’à la naissance de mon sexe et laissait deviner le début de ma fente.
— Plus près... que je vérifie si tu n’as pas de culotte... Ouuuuaiiii... c’est parfait... ton pubis lisse ferait bander un âne. Mais quand même, c’est osé, oui... c’est plus qu’érotique... c’est même démentiel, on devrait toucher le jackpot ! Lors de mon exposé, tu ne me l’excites pas trop... Il faut qu’on vende... nos produits ! — Oui... et regardez ce que j’ai amené... au cas où il faudrait le stimuler... C’est du bois bandé, c’est extrait du Muira Puama, un arbuste dont l’écorce est utilisée pour améliorer la libido, cette plante donne vraiment à l’homme des érections puissantes qui durent vraiment longtemps, une cuillère à café dans la boisson et l’effet est presque immédiat.— Tu es vraiment une collaboratrice hors pair... Mais n’oublie pas, tu as juste vingt minutes pour le chauffer avant la visite des ateliers, nous y entrerons par le sas de la maîtrise dont l’entrée est à cinq mètres d’ici... ainsi personne ne pourra remarquer ta tenue...
Je préparai les boissons et les gâteaux tandis qu’il mit en place le vidéo projecteur pour l’exposé. Neuf heures, on toqua à la porte et le préposé au gardiennage introduisit Monsieur N’Doumbé dans le salon. Je fus un peu déçue. C’était un noir assez vieux, grand, corpulent avec un embonpoint conséquent. Il avait le crâne rasé, des yeux légèrement globuleux, des bajoues. Son costume du dernier chic et sa chemise blanche soulignaient la noirceur de sa peau. Boulier fit les présentations... Les yeux du pharmacien allèrent de mon décolleté vertigineux à la fente de ma jupe.
— J’ai l’impression que cette visite va être une réussite... D’ailleurs, Mademoiselle Trixie est une éblouissante ambassadrice... dit-il.
Il me prit la main, me la secoua un peu rudement, puis la porta à ses lèvres, ce qui eut pour résultat de découvrir la pointe de mon sein droit... Un large sourire illumina sa face, tant qu’il me tint la main, je ne pus pas remettre le fugueur en place... Sous son regard lubrique, le petit bout mauve devint turgescent...
— Bien, asseyez-vous, nous allons commencer... dit Boulier, la présentation durera environ trente minutes... Voilà de la documentation... Trixie, voulez-vous éteindre les lumières ?
Pour aller aux interrupteurs, il fallut que je passe devant N’Doumbé qui était assis sur le canapé, arrivée à sa hauteur, sa documentation se répandit sur le sol, les feuillets s’éparpillèrent...
— Attendez... je vais les ramasser, Monsieur !
Je m’agenouillai face à lui, mettais mon genou droit au sol et écartai lentement ma cuisse gauche, ma jupe s’ouvrit en grand, dévoilant à ses yeux ébahis ma chatte bien rasée exempte de voile. Tout en souriant et le fixant dans les yeux, je pris mon temps pour ramasser les feuilles éparses. J’allai éteindre, la présentation débuta... Bien sagement, comme me l’avait demandé le chef, je revins m’asseoir. A la fin, notre visiteur posa quelques questions techniques... Puis ses regards, lorsque la lumière fut revenue, furent à nouveau accaparés par mon anatomie. Voyant cela, le grand Jean-Paul nous pria de l’excuser...
— Pendant mon absence, je suis sûr que Mademoiselle Trixie vous dévoilera des secrets que vous
avez pu apercevoir lors de mon exposé... et vous Monsieur N’Doumbé, vous pourrez lui parler de votre grosse affaire congolaise qui, pardonnez-moi l’expression, doit être bien juteuse et vous donner beaucoup de satisfactions...
Il sortit, j’entendis le pêne de la serrure claquer. Nous étions seuls au monde.
— Monsieur N’Doumbé, vous prendrez bien un café ?— Avec plaisir Mademoiselle Trixie !
Habilement, bien que persuadée, vu la façon dont il me regardait, qu’il n’en avait pas besoin, je versai une cuillerée de bois bandé dans sa tasse, j’hésitai et en versai à peine une demi-cuillère dans la mienne...
Il était toujours assis sur le divan, ses yeux suivirent le moindre de mes mouvements. En souriant, je m’approchai la tasse dans une main, le sucrier dans l’autre... et bien sûr le téton de mon sein droit darda son petit cône brun hors de l’échancrure de ma veste. Le temps que je pose la tasse et le sucrier sur la table, il eut tout le loisir de l’admirer. Puis, je remis le fugitif en place. Droite devant lui, ma jupe ouverte sur ma cuisse, dévoila le haut de mon bas et la jarretelle blanche, l’air innocente, je sirotai mon café...
L’effet du bois bandé était soi-disant très rapide... J’eus l’occasion d’en éprouver la véracité. J’approchai un fauteuil et saisis la documentation, je m’assis en face de lui à environ un mètre cinquante, les fesses bien au bord, croisai les jambes, ma jupe s’ouvrit en plein et le pan tomba, dévoila le haut de ma cuisse, laissa apparaître la chair striée par le blanc de ma jarretière, au-dessus du bas noir. En faisant semblant de lire, je fis osciller mon siège de droite à gauche, cela eut pour effet de laisser sortir par intermittence mon téton droit.
La respiration du grand noir s’accéléra, une mèche de mes longs cheveux blonds était sur mon sein, innocemment, ma main les repoussa en arrière et ingénument descendit sur le globe blanc, j’écartai le tissu et dévoilai le mamelon turgescent. Je me caressai le sein, tordis et tirai sur mon aréole plusieurs fois, je dégageai entièrement mon globe ferme.
Regardant en souriant N’Doumbé avec des yeux de velours, je jetai en souriant les feuillets au sol, écartai le tissu de ma veste sur mon sein gauche pour lui laisser admirer ma poitrine dénudée... Je le fixai dans les yeux, décroisai lentement les jambes... Les recroisai lentement, il eut la certitude que je ne portai pas de string. Je remis mes seins en place sous le tissu de ma veste. Une immense détresse imprégna la prunelle de ses yeux... il dut penser que le show était terminé. Il se renversa sur le canapé, une énorme bosse se profila à la hauteur de son sexe, il bandait monstrueusement.
— Encore un noir, qui doit avoir un sexe démesuré, pensais-je, on dirait que je les attire... Mais petite Salope, avoue-toi que s’ils ont des phallus qui font plus de vingt-cinq centimètres, tu es ravie !! Tu adores ce genre de bite...
Un coup d’œil à la pendule, il me restait encore plus d’un quart d’heure. Je me palpai à nouveau les seins à travers le tissu, puis mes mains descendirent sur mes cuisses. Je caressai la peau nue au-dessus de mes bas, à chaque caresse, ma main remonta lentement le long de la lanière blanche, écarta de plus en plus haut le pan de ma jupe, pour lui dévoiler la dentelle de mon porte-jarretelles. Bien face à lui, mes genoux s’ouvrirent, il eut juste le temps d’apercevoir ma chatte glabre avant que ma main ne la cache. Je restai un moment ainsi, le fixant en souriant, j’ouvris encore plus largement mes cuisses et je me mis à pétrir mes grandes lèvres en le regardant avec des yeux coquins. Je déplaçai encore plus en avant mon bassin pour qu’il pût bien suivre mon majeur glisser le long de ma fente.
Je recroisai mes jambes pour soustraire mon vagin à ses regards et ouvrai à nouveau les pans de ma veste, mes seins surgirent pointes en totale érection, je les malaxai, titillai et étirai mes mamelons en poussant de petits gémissements, je frottai l’un contre l’autre mes globes raffermis par le désir qui commença à m’envahir.
Mes genoux s’ouvrirent à nouveau largement, et prenant appui sur les accoudoirs, je soulevai mes fesses et avançai ma chatte vers lui. Je m’assis à nouveau et dégrafai l’attache de ma veste. J’appuyai mon dos sur le dossier du fauteuil et alanguie, jupe et veste grandes ouvertes, lui laissai admirer mon corps qui commença à frissonner de plaisir. Avec deux doigts, j’écartai mes grandes lèvres pour lui laisser voir le rose de l’intérieur de mon vagin. Je pris de la salive sur l’ index et le majeur de mon autre main et en passant ma langue sur mes lèvres, je les enfonçai dans ma chatte qui commença à être trempée, je me masturbai consciencieusement, tira avec mon autre main sur mes mamelons pour essayer d’augmenter encore leur volume. De petits cris gutturaux sortirent de ma gorge. Ma main gauche redescendit sur mon sexe, je décapuchonnai mon clitoris et le majeur de ma main droite le caressa en petits cercles concentriques, mon petit bouton rose grossit et devint dur.
Du foutre coula à flots de ma chatte, j’en badigeonnai le pourtour de ma chatte glabre.
Le vieux noir se masturbait à travers son pantalon, il eut l’air d’apprécier le spectacle, il attendait sûrement que je prenne les devants pour aller plus avant dans ce jeu érotique... Mais les vingt minutes allouées allaient prendre fin.
— Je crois que mon chef va revenir Monsieur N’Doumbé, il serait peut-être plus sage que je reprenne une tenue correcte, mais vous savez, je suis très attirée par les hommes noirs, et vous êtes tout à fait le genre d’homme que j’adore...— Oooouuuiiiii, ooooouuuuuiiii Mademoiselle Trixie, vous êtes merveilleuse... vous... vous avez un corps de rêve ! Je suis très heureux que ce vous qui vous occupiez de moi... J’espère encore me trouver seul en votre compagnie.— Oh oui, moi aussi Monsieur, lui répondis-je en le regardant tendrement.
Oui, pensais-je, mais je suis une putain de petite vicieuse qui prend de plus en plus de plaisir à s’exhiber devant des vieux, me dis-je. Mais celui-là est noir... et il a l’air d’avoir une bite énorme... Alors pourquoi pas ! Et cet élixir me chauffe la chatte...Des pas derrière la porte, la clé qui tourne dans la serrure, il ne me fallut pas longtemps pour raccrocher le clip de ma veste, je me levai et ma jupe retomba sur mes cuisses.
— Alors tout s’est bien passé pendant mon absence ?— Oh oui, Monsieur Boulier... C’était parfait... Mademoiselle Trixie a su me dévoiler les secrets, que comme vous l’avez dit, j’avais entrevus lors de votre présentation ! C’était très intéressant. — Oui, je vois ça... dit le chef en souriant, les yeux fixés sur l’imposant cylindre qui se dessinait le long de la jambe du pantalon de son interlocuteur.
Je tendis une autre tasse de café, à notre visiteur qui s’approcha de la fenêtre pour la siroter.
— Putain tu as fait fort, il bande comme un âne... Et ça t’a plu à toi, il a eu le temps de te baiser ?... J’ai l’impression qu’il a une bite énorme... tu l’as vue ? Me demanda doucement Boulier.— Non, il ne l’a pas sortie... mais je suis tout excitée... Je lui ai donné du bois bandé et j’en ai pris un peu...— Bon, nous allons nous rendre dans le sas... pour entrer dans les ateliers !
La porte d’entrée du sas se trouvait à la sortie de la salle de réunion, en haut d’un escalier de cinq marches, je les grimpai tandis que les deux hommes discutèrent au bas. Le téléphone portable de Boulier se mit à sonner... je me retournai, N’Doumbé leva les yeux vers moi, je mis un pied en avant, ma jupe s’ouvrit, je lui souris, il eut par dessous une vue imprenable sur mon vagin encore moite.
— Excusez-moi encore une fois, mais on me demande en urgence pour une histoire d’expédition... Mais allez-y... Trixie va s’occuper de vous. Elle va vous montrer la façon de revêtir la tenue obligatoire pour pénétrer dans les ateliers ! Je suis désolé... de ne pas pouvoir être avec vous.
Je réalisai d’un seul coup que c’était sciemment qu’il ne nous accompagnait pas. Marion m’avait parlé de sa caméra miniature... c’était sûrement pour l’installer dans le sas qu’il nous avait laissés seuls dans le salon de réception. Il fallait presque se mettre nu pour changer de tenue... il espérait que je me fasse baiser et filmer la scène... et à garder pour sa collection personnelle. Et pourquoi pas, pensais-je...
— Oui dit-il, je regrette, mais je pense que le puits de la compétence de Trixie, pourra au cours de la visite, comme le serpent... s’enrouler autour de votre gros bâton d’Asclépios... n’est-ce pas Trixie !
Le message était clair... Le bâton d’Asclépios est un attribut du dieu grec du même nom. Il est représenté comme un gros et long gourdin autour duquel s’enroule une couleuvre. Il est utilisé comme symbole médical dans de nombreux pays. Ici, je pense que mon responsable voulut parler de l’énorme phallus noir du pharmacien congolais, et il suggéra que mon « puits » l’engloutisse... Je ne sais pas si N’Doumbé comprit l’allusion, mais le regard qu’il posa à nouveau sur mon entrejambe se fit encore plus lubrique et un large sourire illumina sa face. Dans ce système de sas, les issues étaient verrouillées électroniquement de l’intérieur par les utilisateurs, la quiétude était assurée pour se changer. Je fis entrer N’Doumbé et tapai le code de fermeture. La cabine fut close hermétiquement et de plus elle était insonorisée.
— Voilà, nous sommes tranquilles, nous allons pouvoir passer les combinaisons. L’atmosphère des ateliers est presque stérile, c’est pourquoi nous ne devons garder que nos sous-vêtements sous la combinaison intégrale, tenez... celle-ci devrait faire l’affaire... bien qu’avec votre grande taille... !— Heu... Mademoiselle Trixie... nous sommes obligés de ne garder que nos sous-vêtements...— Oui, je viens de vous l’expliquer, les bonnes pratiques de fabrication nous obligent...— Oui... mais... je... je... ne porte pas de slip... vu la taille de mon... mon app... appendice sexuel... — Cela n’a pas d’importance... moi non plus je n’ ai pas de sous-vêtement, vous avez pu vous en rendre compte...
En disant cela, je dégrafai la boucle de ma veste et la quittai pour la pendre dans un casier, lascivement en le regardant, je me caressai les seins et fis rouler mes mamelons entre mes doigts. Le fermoir de ma jupe céda à son tour et je me retrouvai en bas et porte-jarretelles nue devant le grand noir qui me regarda avec des yeux ébahis.
— Alors, Monsieur N’Doumbé, qu’attendez-vous ? — Oui, oui, tenez ma veste, ma cravate... voilà ma chemise... je quitte mes chaussures ?— Ben oui... puis votre pantalon !
Il défit sa ceinture, il hésita avant de descendre le zip de sa fermeture éclair.
— On est vraiment obligé ?— Oui... J’étais curieuse de voir la taille de son sexe.— Vous allez être surprise...
Il baissa lentement son pantalon sur ses cuisses noires... une touffe de poils blancs apparut au début de l’ouverture de sa braguette, je regardai glisser son vêtement le long d’un énorme tuyau noir qui me sembla ne pas avoir de fin. Il s’extirpa de son pantalon, et mit ses mains devant en pure perte d’ailleurs, pour cacher son sexe monstrueux et ses énormes testicules. Ce fut à mon tour d’écarquiller les yeux, je subodorai qu’il avait une grande et grosse bite, mais là !! Elle monta doucement à la verticale... découvrit le gland mauve. J’étais toujours nue, seulement vêtue de mes bas et mon porte-jarretelles, subjuguée par ce déshabillage et surtout par ce sexe éléphantesque. La caméra de Boulier devait enregistrer, et cela commença à m’émoustiller énormément. Ma chatte devint moite à nouveau. Maladroitement, il enfila ses jambes dans la combinaison, puis il eut des difficultés à passer ses bras.
— Excusez-moi, je... je suis en érection, mais vous êtes tellement belle !— Attendez, je vais vous aider ! Voilà ça y est... ne bougez pas, je vais remonter la fermeture éclair... Heu... vous pourriez mettre vo... vo... votre bi... appendice sur le côté... rentrez le ventre... attention je remonte... Huuuuu, ça passe tout juste !!— Oui... mais Mademoiselle, cela fait une heure que vous m’excitez... De plus, votre tenue actuelle me fait avoir une érection énorme... Regardez, décemment, je ne peux pas me promener ainsi, avec cette combinaison qui colle à mon phallus. — Oui, dis-je en souriant, en effet le nitrile fin est vraiment distendu...— Que peut-on faire ? Je ne comprends pas... je n’ai jamais connu une érection aussi puissante et qui dure aussi longtemps... Il est vrai que vous êtes vraiment belle... — Écoutez, j’ai peut-être la solution... Laissez-moi faire...
Je redescendis la fermeture éclair de la tenue de travail, son sexe jaillit à l’horizontale.
— Putain, pensais-je, le bois bandé fait de l’effet... Autant sur lui que sur moi... Il va falloir que je lui fasse une fellation pour le faire débander, je ne vois que cette solution !
Ma chatte commença à laisser perler mon foutre. Je n’avais pas revêtu de combinaison et n’étais toujours vêtue que de mon porte-jarretelles et de mes bas. Je passai derrière lui et descendis le haut du vêtement plus bas que ses fesses. Sa couleur noire contrasta avec le blanc du vêtement de travail. Je repassai devant, collai ma poitrine sur son torse et frottai la pointe turgescente de mes seins sur ses poils blancs, son sexe noir démesuré allait et venait sur mon ventre, un long frisson me parcourut. Ma bouche partit à la rencontre de ses lèvres lippues, les força et ma langue se noua à la sienne. Ma main droite attrapa la hampe noire et je le masturbai doucement, calottant et décalottant sa verge dure comme du fer, il se raidit.
— C’est la première fois que je tiens dans mes bras une blanche... et blonde de surcroît... aussi jolie que vous... je crois rêver ! Je peux sucer vos tétons... — Oui... Aïe ne les mordez pas trop fort... Attendez, je vais vous faire une fellation, vous allez éjaculer et après... tout retrouvera des proportions à peu près normales...— Oh oui, oh oui, je crois rêver !
Ma bouche descendit lentement le long de son torse, ma langue parcourut ses pectoraux, et à mon tour, je suçai le bout de ses seins. Il me tint la tête à deux mains, en gémit de plaisir, lorsque mon appendice buccal atteignit les poils de son pubis, il fut pris d’un énorme tremblement. Je crachai sur la base de sa queue noire, et ma langue étala ma salive. D’une main, je lui masturbai le gland tandis que de l’autre, je caressai ses couilles. Il gémit sans discontinuer. Mes lèvres se positionnèrent sur le bout de son gland et ma langue titilla son méat, puis par petites saccades, j’enfournai le phallus brûlant. Sa bite glissa dans le fond de ma gorge, puis je la ressortis pour mieux l’avaler encore plus profondément... encore et encore...
Il haleta comme un soufflet de forge, m’encouragea... me félicita... son mandrin palpita dans ma bouche, je m’excitai de plus en plus... mes mouvements de succions furent de plus en plus rapides... je me masturbai d’une main...
Il me malaxa les seins, avec force...Il allait sûrement jouir dans pas longtemps... mais cela s’éternisait...
— Trixie... je crois que votre bouche ne suffira pas... ! — Oui, je pense aussi, votre queue est tellement grosse que je ne peux pas toute l’avaler !— Il va falloir procéder autrement...
Des pensées se bousculèrent dans ma tête... Il n’est pas beau, vieux, grassouillet... mais il est noir, il a une bite énorme... et Boulier filme... je mouille, je le laisse me baiser... oui petite Salope et tu vas aimer ça !! Il me releva, se mit derrière moi, sa grosse main noire m’engloba le sexe, son majeur et son index pénétrèrent dans ma fente trempée. J’écartai les jambes pour faciliter ce doigté. N’Doumbé admira mon dos qui se trouvait devant lui, il le lécha tendrement... il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l’arrière du porte-jarretelles.
— C’est ravissant, en Afrique, il n’y a pas ces dessous. Ça vous va très bien d’ailleurs. Cela met en valeur votre féminité... et ça m’excite beaucoup... vraiment beaucoup ! Oui beaucoup ...
La partie en dentelle s’arrêtait juste à l’endroit où partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissus, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes.
Il en approcha son énorme sexe noir et le glissa entre la peau et la bande de tissu blanche, et le frotta voluptueusement le long de cette raie qui lui donna sans nul doute des idées. Il me pencha sur la petite table, me demanda d’écarter les jambes, j’obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d’une main, il le passa entre mes jambes, le gland fit quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres trempées de ma chatte. Le bout à chaque passage s’attarda sur mon clitoris et le frotta doucement.
Puis, il l’entra dans mes petites lèvres et attaqua l’entrée de mon vagin. Je cambrai les reins pour mieux le recevoir. Ma vulve, bien lubrifiée, pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l’on pouvait qualifier hors normes, n’eut pas trop de mal à accepter d’un seul coup la moitié du gros pénis noir. Il fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau noir. Il le retira presque entièrement et d’un coup de reins puissant, enfonça son pieu entièrement. Je criai de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de reins. Ses mains serrèrent fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetai de contentement.
Toujours en moi, il se recula en m’entraînant et s’assit sur le banc de séparation du sas. Il me mit sur ses cuisses face à lui et m’empala de nouveau sans coup férir.
Je ne sentis plus que cet énorme rouleau noir qui remonta le long de ma paroi vaginale, qui me mit le sexe en feu. Il prit de nouveau mes seins dans sa bouche et mordit un peu brutalement mes tétons, cela me fit à nouveau gémir de plaisir. Je fis pénétrer toute seule dans mon vagin la grande hampe noire, jusqu’à la garde, et commençai des mouvements de torsion de mon bassin autour du sexe qui sembla encore avoir doublé de volume. J’appuyai fortement de tout mon poids, sur les cuisses du pharmacien congolais pour que celui-ci ne puisse pas retirer sa bite. Je frottai plusieurs fois mes tétons durs comme de l’acier sur les poils blancs de ce grand torse noir qui s’étalait devant moi, j’y écrasai mes seins, comme si je voulus les faire y entrer.
Je l’embrassai, lui fourra rageusement ma langue entre ses lèvres, lui mordit la sienne. Le plaisir monta rapidement en moi. Je commençai à être plus que pas mal excitée. Il me souleva légèrement en faisant attention de ne pas retirer entièrement son pénis, son long majeur commença à frotter doucement le bord de mon anus. J’émis un petit cri de surprise. Il ne me laissa pas le temps de la réaction, son doigt me pénétra. Il entra doucement, mais sûrement. Je redoublai mon baiser pour lui montrer que je ne détestai pas cette caresse. Son majeur commença alors des allées et venues, et sa queue reprit ses va-et-vient dans mon vagin. Je me penchai en arrière la tête sur le sol. C’est alors que j’aperçus au-dessus des casiers la petite caméra qui filmait. Cela décupla mon excitation, n’y tint plus mon plaisir étant au paroxysme, je ne le retins plus et j’explosai dans une gerbe de jouissance, la tête rejetée en arrière.
Je râlai, hoquetai, les néons du plafond passèrent par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.
Il me sembla que cela dura une éternité. Je sentis qu’il allait éjaculer, je criai.
— Ouiiiiiiii, Ouiiiiiii... je jouiiiiiiiiis... putain qu’elle est bonne ta queue... déverse ton sperme... éjacule au fond de ma chatte... ouiiiiii... je veux sentir ta semence se répandre en moi... — Tiens, tiens Salope de blanche, tu aimes la queue des nègres.
A son tour, il se raidit, me tint fermement enfoncée sur son énorme pieu noir, il déversa sa semence dans ma chatte, à chaque spasme, son sperme chaud et visqueux coula au fond de moi. Lorsqu’il se retira, je tremblai encore de jouissance de la tête aux pieds. Lentement, je revins à la réalité. Nous étions restés assez longtemps dans le sas, il fallait se dépêcher. Je regardai sa queue, elle était poisseuse de sperme et de mon foutre mélangé, mais il avait débandé et elle pendait flasque. Les sanitaires étaient hors du sas, pratiques de bonne fabrication obligent.Je lui tendis une combinaison neuve, mais cette fois en choisissant la taille supérieure...
— Attendez, avant de l’enfiler... il faut nettoyer votre sexe... sinon le tissu va être taché. Il n’y a rien ici pour le faire ! Je vais me servir de ma bouche et de ma langue... vous croyez que vous allez résister... et ne pas bander à nouveau ?— Je ne sais pas... Je ne suis plus en érection, mais c’est bizarre... j’ai encore envie d’éjaculer... essayez...
Je m’agenouillai devant lui, passai ma langue sur la longueur et tout autour du gros rouleau de chair noire, je suçai le gland pour le débarrasser de la pellicule visqueuse, sa bite reprenait de la vigueur. Je paniquai un peu, et je me mis à le masturber fermement. Tout en aspirant le gland mauve avec mes lèvres.
— Oh ouuuuiii... Oh ouuiiiiii... je crois que je vais jouuuuiiiiir à nouveau !! Tiens, tiens petite Salope avale, avale mon sperme... c’est bon hein ? C’est la première fois que tu te fais baiser et que tu avales le sperme d’un noir ?— Ben, non... lui répondis-je, tout en déglutissant le liquide tiède...
Il eut l’air déçu... de ne pas être le premier noir à me baiser. Sa queue était à nouveau vraiment ramollie, je l’examinai à nouveau, elle était propre, ma bouche avait fait des merveilles. Pendant que je revêtis ma combinaison, je le pressai pour qu’il enfile la sienne. Monsieur Boulier, le manager de l’entrevue nous rejoignit lors de la visite des ateliers, Monsieur N’Doumbé fut pris en charge par le responsable des fabrications, il dut avoir l’esprit ailleurs vu la tête qu’il fit en écoutant les explications...
— Ben dis donc, me dit en aparté Jean-Paul Boulier, tu les aimes vraiment les noirs... putain, même dans les films pornos, je n’ai jamais vu un noir avec un tel phallus, aussi gros et aussi long... tu l’as laissé te mettre entièrement sa bite monstrueuse... elle doit mesurer pas loin de trente centimètres et tu avais l’air d’aimer ça... il a éjaculé tout son sperme en toi... On aurait dit que tu voulais qu’il t’engrosse, tu as joui comme une folle ! Et aussitôt après, tu l’as sucé et toute la semence qu’il a déversée dans la bouche, tu n’en as pas perdu une goutte !! Oui, j’ai tout filmé, j’ai en direct, retransmis les images sur ma tablette, avec laquelle je peux commander la caméra à distance, c’est très réussi ce petit film... Je dois t’avouer que je me suis branlé en te regardant... Mais j’y pense, c’est vrai, tu as l’habitude des grosses queues noires... non ? Celle de Gérald doit être assez conséquente. Il faudra qu’avec Gérald, on ait une petite conversation tous les trois... J’adorerai voir en réalité et non pas en vidéo, une grosse bite noire pénétrer ta chatte... Mais pour en revenir à notre histoire, pour l’instant, je crois que l’on tient le bon bout... Tout à l’heure, il m’a dit que si la soirée était aussi réussie... Il signerait demain matin le contrat,
alors je compte sur toi... Nous l’emmènerons au resto ce soir ! Le reste de la matinée se passa en visite des ateliers de fabrication des différentes spécialités pharmaceutiques. Tous ces messieurs se retrouvèrent pour le repas de midi auquel je fus conviée. À toute vitesse, je retournai à mon bureau et enfilai un chemisier sous ma veste noire, et mis un string et au cas où ma jupe s’ouvrirait trop, une épingle pour réunir les deux pans... Au retour du déjeuner, le Jean-Paul me dit de passer dans son bureau.
— Bien Trixie, tu vas commencer par quitter ce chemisier, et cette épingle, allez exécution... voilà c’est mieux ainsi ! Et j’espère que tu n’as toujours pas de culotte ! Écarte un peu les pans de ta jupe... mais si, elle en remit une... approche que je la quitte !! Voilà, là aussi, c’est mieux... C’est au cas où N’Doumbé solliciterait à te voir ! Mais nous avons une réunion assez sérieuse avec tous les responsables, cela devrait durer assez longtemps... Je crois que la fin est prévue vers 16 heures, il sera très occupé et ne devrait pas demander après toi ! Par contre, tiens cette carte SanDisk Pixtor Advanced 32GB, c’est celle qui contient le film du Sas... Tu peux aller dans ton bureau et me le transférer sur mon PC portable... Pour ce soir, j’ai une petite idée... vers 19 heures 30, nous emmènerons N’Doumbé à son hôtel, et il m’a dit qu’ il nous invitait tous les deux à dîner... Tu n’as rien prévu comme je te l’avais demandé. Voilà, tu peux disposer, à tout à l’heure... Ah non ! Approche, laisse-moi vérifier s’il ne reste pas un peu de sperme du vieux noir dans ta chatte, écarte tes lèvres... non... mes doigts sont secs !
La soirée va être torride, pensai-je. Qu’est-ce qu’il mijote Boulier avec ce film ? Bon au boulot... exécutons le transfert. Une fois terminé, je lançai la vidéo sur le PC. Oh putain ! Oui, effectivement, il pouvait se branler le Jean-Paul... Je m’excitai toute seule en visionnant mes prouesses... c’était chaud... Je trouvai N’Doumbé de plus en plus laid, de plus en plus grassouillet, de plus en plus vieux, et pourtant, je sentis à nouveau le désir poindre dans mon bas-ventre. Oh la la... c’était débile comme mon envie de ce monstrueux sexe noir crevait l’écran, c’était moi qui pilotais nos ébats... Ma respiration s’ accéléra, main se posa sur ma chatte... Me masturber... non pas maintenant ! Il me vint une idée... Je décrochai le téléphone... un moment après, on frappa à ma porte, Gérald et Maxime entrèrent, ils s’approchèrent pour me faire la bise.
— Bonjour, mes chéris... vous avez pu vous libérer... j’ai besoin de vous un petit moment !— Ben dis donc... c’est quoi cet habillement ?— Putain regarde, on voit ses tétons...— Oui, les garçons et pas que... j’écartai les genoux... ma jupe s’ouvrit en grand. — Eh bien c’est en l’honneur de qui, que tu te balades ainsi dévêtue ?— Marion est absente, Boulier m’a embauchée la journée, on reçoit un pharmacien congolais pour la signature d’un contrat... Je fais l’hôtesse... Je vais vous faire partager un petit film que se salaud a tourné... je vous avertis, c’est brûlant !! Asseyez-vous de chaque côté de moi... allez fermer la porte à clé !
Ils ne se le firent pas dire deux fois, je cliquai sur le fichier, la vidéo démarra. On me voyait entrer dans le sas avec N’Doumbé.
— Putain, mais tu vas te changer avec lui ? — Merde, tu étais à poil, sous ta veste et ta jupe...— Oh putain la bite... elle est aussi grosse si ce n’est plus que la mienne dit Gérald...
Leurs mains se posèrent sur mes cuisses, en parfait accord, elles remontèrent le long des jarretelles, j’ouvris largement mes cuisses pour qu’ils puissent atteindre ma chatte, ils ne quittèrent pas l’écran des yeux tandis que leurs doigts s’activèrent dans ma vulve que le désir avait trempée. Je dégrafai la boucle de ma veste et repoussai les pans sur les côtés pour bien leur offrir ma poitrine. De sa grande main noire libre, Gérald me malaxa un sein, tira sur mon téton, le fit rouler entre son pouce et son index. Maxime s’occupa de l’autre et lui fit subir le même traitement.
— Salope, dit Gérald lorsque tu te regardes tailler une pipe au vieux ça te fait vachement mouiller... Putain tu as l’air de vraiment aimer sa grosse bite noire... ouiiiiii... c’est bien, tu as sorti la mienne... elle aussi est noire... merde je veux voir ce vieux te pénétrer... t’entendre gémir de plaisir... Salope, tu demandes absolument à ce vieux dégoûtant d’éjaculer dans ta chatte... Maxime, laisse la monter sur mes cuisses et s’empaler... Oui... c’est bien là... descends doucement... tu la sens là ma queue... dis-moi qu’elle te fait autant d’effet que celle de ce vieux salaud... attends, ne te mets pas devant l’écran... Dis donc ma Chérie, tu es la reine de la fellation...— Je sais, dit Maxime, que tu raffoles des gens de couleur, mais ça m’excite toujours autant lorsque je te vois te faire baiser par une grosse bite noire... Dis donc ma petite Salope, tu prends vraiment ton pied.
Il me sembla que dans leurs propos, il ressortit une pointe de jalousie... je pouvais profiter des leurs corps d’athlète... ça me plaisait de les rendre jaloux. Cela m’excita encore plus de me voir baiser par un vieux noir, laid et bedonnant, à la bite monstrueuse devant mes deux amants. Je tressautai ardemment sur le gros sexe tendu de Gérald en hoquetant de plaisir, je leur donnai l’explication...
— Au début, j’ai accepté... car le « Grand Boulier » m’a promis des stocks option si on obtenait le contrat... Je ne devais que l’émoustiller ! Puis au fil de... la... journée ma libido prit le dessus... et dans le sas... vous voyez... je... je n’ai plus pu résister... et je ne fais pas semblant, il m’a vraiment fait jouir. Ooooohh putain Gérald ta queue me fait un bien fou... Je dois vous avouer que je lui ai donné du bois bandé et que j’en ai pris aussi... C’est démentiel ce breuvage !
Gérald passa la vidéo une seconde fois. Sur l’écran, on me vit de dos, empalée à fond sur l’énorme sexe noir et mon bassin se mouvait d’avant en arrière, mes hanches tournoyaient autour du pieu solidement ancré dans mes entrailles... Sur ses genoux, je me penchai en arrière, N’Doumbé me retenut par les hanches, ma chevelure blonde s’étala sur le sol, la caméra zooma sur ma tête renversée, j’avais les yeux révulsés de jouissance et ma bouche grande ouverte laissa échapper un cri muet. Le pharmacien congolais penché sur ma poitrine, léchait, suça, mordilla mes mamelons... sa grande bouche aux lèvres roses aspira mon aréole et le tiers de mon sein disparut dans sa cavité buccale, sans discontinuer des petits cris étouffés sortirent d’entre mes lèvres.
— Ben dis donc ma petite Salope... Putain... il te met un doigt dans le cul... Il t’a sodomisée demanda Maxime que je masturbais ardemment. — Noooonnn... Je... Gérald... je... vais jouir. Comme sur l’écran, le plaisir déferla dans mon corps... Ma paroi vaginale se contracta plusieurs fois avec force sur l’énorme phallus noir de Gérald...— Oooohhhh putain moi aussi... j’éjacule...
Il me meurtrit les seins et lâcha sa semence... ils avaient toujours les yeux fixés sur la vidéo.
— Heyyyy... Salope, tu vas lui retailler une pipe ? Me demanda Maxime... Viens ici me faire la même chose, je suis au bord de l’éjaculation... !
Une fois Maxime soulagé, je leur expliquai qu’à 19 heures, Boulier et moi irions accompagner N’Doumbé à son hôtel, et qu’ensuite, il nous offrait à dîner...
— Si Boulier tourne encore un film... tu nous le montreras... Ils vont sûrement te baiser ensemble... dit Gérald en éclatant de rire...
Ils m’embrassèrent tendrement et retournèrent au boulot. 16 heures 30 précises, le téléphone sonna.
— Trixie, tu peux nous rejoindre dans mon bureau... avec mon PC portable... Tu as bien copié le film !
J’enfilai mon trench rouge et me dirigeai vers le bureau de Boulier. A mon entrée, N’Doumbé fit pivoter son fauteuil pour me faire face, Boulier se précipita derrière moi pour m’aider à ôter ma gabardine. En me la quittant, il me rabattit les bras dans le dos, ce qui dégrafa le clip de ma veste et fit jaillir mes deux seins hors de ma tunique. Un large sourire fit remonter les bajoues du vieux pharmacien noir.
— Vous pouvez rester ainsi Mademoiselle Trixie, dit N’Doumbé, c’est un plaisir sans fin de pouvoir contempler vos deux magnifiques seins... Et je dois vous dire que comme l’avait dit Monsieur Boulier, j’ai adoré que votre puits de compétence ait permis à mon gros bâton d’Asclépios de faire comme le serpent et de se faufiler à l’intérieur... C’était génial !! Au fait Monsieur Boulier, vous savez qu’en Afrique, il y a plein de MST. J’ai été très intéressé par votre production de préservatif. J’aimerais, si cela était possible, en tester un... Mais je doute que vous ayez ma taille... — Mais si, mais si... Monsieur N’Doumbé, nous fabriquons des XXL, et je serai très heureux de pouvoir satisfaire à votre demande. Mais avant buvons un café... Trixie pouvez-vous donner nous à
tous un peu de cette potion magique... Je trouve qu’il n’y a que vous qui savez préparer ce nectar... qui revigore les sens.
Obéissante, j’ajoutai discrètement dans leurs tasses une cuillère de bois bandé, et une demie pour moi... Je me doutai de ce qui allait suivre ! Boulier tout excité de penser à me voir à nouveau baiser par le vieux pharmacien, m’ordonna.
— Dans le second tiroir de mon bureau, prenez la boîte de capotes très grandes tailles et donnez-la à Monsieur le pharmacien. Voilà, ouvrez-la, vous voyez sur la notice, ces préservatifs sont faits pour des tailles supérieures à 26 centimètres et à des diamètres de plus de 6 centimètres, ils sont très fins, mais très résistants et lubrifiés pour faciliter la glisse.— Oui, ils ont l’air pas mal... je pourrai en essayer un ?— Mais bien sûr, bien sûr... Trixie voulez-vous aider Monsieur N’Doumbé...
Je m’approchai en souriant, il dégrafa la ceinture de son pantalon, se souleva et tandis que je le lui quittai, il se débrouilla pour trouver la fermeture éclair de ma jupe, la descendit et celle-ci tomba sur le sol. Boulier lui, ôta ma veste, mon corps seulement paré de mes bas et de mon porte-jarretelles fit briller leurs yeux de convoitise.
— Vous êtes merveilleuse... votre nudité rehaussée par vos bas et votre porte-jarretelles me fait déjà bander... Si Monsieur Boulier le permet, une toute petite fellation et nous passons à l’essayage... il faut que mon sexe ait atteint sa taille maximale... Voilà, voilà... votre bouche fait des merveilles... encore un petit peu... parfait... présentez la capote... oui... vous êtes experte... mon gland est enveloppé, déroulez là... parfait... voilà, ce que vous pouvez être douce... il est loin d’arriver à la base de ma bite... mais la taille est parfaite... oui... continuez à me caresser...— Vous voulez que je continue la fellation ?— Euh non... Monsieur Boulier puis-je l’essayer pour ce qu’elle a été conçue ?— Pas de problème...— Il faut que je teste la finesse et la solidité... et je pense avoir la meilleure partenaire pour cet essai. Trixie, veux-tu bien enjamber mes cuisses ? Mais petite coquine, je ne vais pas pouvoir tester la lubrification... ta chatte coule déjà comme une fontaine... Oui... descends... descends... plus bas... encore... voilà elle est toute entrée... Donne-moi tes seins que je morde tes tétons...
Je soulevai mes globes fermes et lui les présentai, sa bouche engloba mes aréoles à tour de rôle, puis il m’embrassa furieusement.Boulier entendit mes cris passionnés d’extase, alors que je commençai des soubresauts rapides et violents sur la queue qui était en moi. N’Doumbé eut une sorte de sifflement sauvage, laissant transparaître à travers lui, son avidité pour moi. Jean-Paul quitta son pantalon et s’approcha discrètement de notre couple, voyant que N’Doumbé avait délaissé mes seins, il passa ses deux mains hésitantes de chaque côté de mon corps et se saisit des objets de sa convoitise.
Un NON retentissant jaillit de la gorge du noir. Boulier se retira précipitamment. Le vieux pharmacien noir me fit lever, tourner et il m’empala à nouveau furieusement sur le pieu enrobé de caoutchouc.
N’Doumbé commença à trembler follement. Tout son corps noir s’enflamma, dans une explosion de désir intense et profond pour mon corps, mon cœur, mon esprit et mon âme.Il plongea sur moi en me serrant ses bras comme un étau autour des côtés de mes seins en les poussant très fort pour rapprocher mes globes entre ses biceps, tout en enroulant ses mains noires géantes autour de mon cou derrière ma tête, comme s’il voulut m’enfermer dans cette position pour mieux me posséder.
La seconde dose de bois bandé agissait, N’Doumbé était dans un état sexuel second, il voulut posséder entièrement le corps de la jeune blonde qu’il baisait et lui faire sentir qu’elle était pour l’instant sa possession à tous les égards. L’élixir agissait pour moi aussi, je me laissai manipuler annihilée par un désir de jouissance qui me tordit le ventre.
Je saisis frénétiquement ses vieux bras, N’Doumbé commença à me pénétrer fort et profondément. Avec de puissants coups. Chaque palpitation chaude des longs centimètres noirs de son gros et dur pénis africain étira mes parois vaginales. A chaque pénétration, je hoquetai de plaisir.
Le taureau noir déchaîné me tira en arrière sur ses hanches et en même temps pilonna avec sa queue ma chatte en la frappant si fort que les impacts me traversèrent le corps et résonnèrent dans ma tête.
Je criai de plaisir à chaque percussion de son rouleau de chair noire, contre ma jeune chair blanche.Je gémis, gargouillai et bavai, mon cœur battit à tout rompre dans ma poitrine.Il se leva d’un seul coup, repositionna ses bras pour me tirer les épaules en arrière.
— Ne résiste pas, respire lentement et prends ma grosse queue entièrement dans ta chatte, tu la sens bien là... elle est presque au fond...
Dit-il, en me pliant vers l’avant afin de l’enfiler encore plus profondément dans mes entrailles. Il hurla de convoitise, sentant ma chatte mouillée enserrer étroitement sa tige noire de plus en plus énorme tandis qu’il continua à me marteler. A chaque impulsion, ses lourdes et chaudes couilles vinrent se briser derrière mes jambes tremblantes. Il poussa avec force son phallus dans les replis de ma chatte ou bouillonnait mon foutre doux et crémeux. Il sortit entièrement sa bite ruisselante.
— Très bien ce préservatif... mais je préfère sans... !!
D’un geste rageur, il ôta la capote et la jeta au sol. M’entendre crier le plaisir lorsqu’il enfonça à nouveau, son sexe monstrueux ne fit que rendre sa grosse bite noire plus dure, il pénétra très fort et très profondément l’intérieur de ma chatte humide et son prépuce cramoisi, gonflé de sang, dut atteindre mon point g au plus profond de ma chatte et me fit hurler encore une fois de jouissance et tordre mon corps de plaisir. Maintenant, je ronronnai doucement, laissant échapper de profonds soupirs de contentement sexuel. Il était mon maître, j’appartenais entièrement à sa grosse bite noire.Je gémis à nouveau et je m’ouvris pour recevoir dans mon ventre, les décharges épaisses, collantes et chaudes du sperme, qu’il éjacula avec un grognement de vainqueur en fixant Boulier qui ne finissait pas de se masturber devant un coït aussi intense.Il nous fallut un bon quart d’heure pour récupérer...
— Mademoiselle Trixie est une hôtesse hors pair, elle a su utiliser tous ses trésors pour me satisfaire... Et me décider à passer commande ! Vous avez là, une secrétaire parfaite et dévouée, n’est-ce pas Monsieur Boulier ! J’espère pouvoir l’apprécier encore plus au cours de la soirée... Mais il est tard... Si nous allions à mon hôtel, vous pourriez me faire visionner dans ma chambre le petit documentaire dont vous m’avez parlé.— Merci, de ces compliments, vous me flattez Monsieur N’Doumbé... je suis touchée... — Mais non Trixie... vous êtes merveilleuse... en tous les domaines... et puis vous pouvez m’appeler Luzolo... ça veut dire Amour en congolais... et vous savez... tous les hommes du Congo ont beaucoup d’amour à donner... vous venez d’en avoir la preuve...— Oui, allons-y, Trixie, vous conduirez... Nous allons en ville... il y a un peu plus de vingt minutes de trajet pour arriver à l’hôtel Mercantor, on prend la voiture de fonction, tenez les clés, me dit Boulier.
La conversation roula ensuite sur divers sujets... au bout d’une heure, Boulier donna le signal du départ. Il faisait encore un grand soleil, pour conduire, je quittai mon trench. Il fit monter N’Doumbé devant, je m’installai à la place du chauffeur... ma jupe s’ouvrit jusqu’à mon mont de Vénus, offrit au vieux noir une vue splendide sur ma chatte rasée, je ne la remis pas en place. Je lançai le monteur, et en mettant ma ceinture, j’accrochai la fermeture de ma veste et le clip de ma tunique s’ouvrit découvrant à moitié le globe d’un sein. Luzolo s’en aperçut, mes yeux se portèrent sur sa bite, elle était de nouveau énorme, il vit là où se porta mon regard, il extirpa son énorme sexe, une pointe de désir me tordit le ventre. J’avais pourtant joui deux fois dans la journée... Le bois bandé était efficace...
La main gauche de N’Doumbé se posa doucement sur mon genou... ses doigts caressèrent le nylon de mon bas, ils remontèrent lentement le long de ma cuisse... vers mon sexe dénudé. Il écarta les pans de ma jupe pour bien exposer ma chatte à ses regards.
— Non, non Luzolo... dis-je à mi-voix... je conduis...— Oui, mais c’est tentant... Ta chatte attire ma main comme un aimant... — Que se passe-t-il ? demanda le grand Jean-Paul... en passant sa tête entre les sièges.— Rien, rien... Monsieur Luzolo me complimentait sur ma lingerie... il voulait la voir, car il veut offrir la même à sa femme !— Ohhhh oui, je vois... Eh bien Trixie... Monsieur N’Doumbé est notre client... je pense que l’on se doit de satisfaire toutes ses demandes...— Toutes mes demandes et tous mes caprices Monsieur Boulier ?— Oui... Monsieur... dans la limite du raisonnable ! répondit-il en souriant...
Luzolo fut conforté par cette réponse, sa main commença à tirer lentement sur le pan de ma veste, qui plaqué par la ceinture de sécurité cachait mon sein droit... le tissu glissa dévoila le globe ferme, la caresse du tissu sur ma peau, érigea le téton brun qui surgit en une longue pointe brune dure. La main gauche du vieux noir se plaqua sur mon sexe... son majeur entra dans mon conduit vaginal, sa main droite malaxa mon téton... son immense sexe se darda vers le plafond... il le caressa doucement.
— Putain, Trixie ce que tu es mouillée... je peux te tutoyer... Mais ça a l’air de te plaire que Monsieur Boulier assiste à nos ébats... je vois que tu surveilles ses réactions dans le rétroviseur !— Oh oui, répondit l’intéressé, la tête toujours entre les sièges... Elle n’en a pas l’air, mais c’est une petite garce... Elle aime faire bander les hommes, elle adore se faire désirer... je pense que vous avez eu un aperçu de ses talents.
En disant cela, Boulier attrapa d’une main le pan gauche de ma veste et dénuda mon autre sein, de l’autre, il fit sauter le clip de fermeture de ma veste.Nous étions en ville, je ne pouvais pas rouler vite... c’était en plus l’heure de sortie du travail, il y avait pas mal de monde sur les trottoirs... Je ne pus pas réagir... il fallait que je fasse attention à ma conduite, je roulai dans une rue étroite à sens unique et à une seule voie., avec pas mal de circulation.Je fus obligée de concentrer mon attention sur les deux-roues qui circulaient autour de nous, ma vitre était à moitié descendue. Un feu rouge m’obligea à stopper.
— C’est vrai ce que dit Monsieur Boulier ? Tu aimes faire bander les hommes ? Vérifions...
Et devant la dizaine d’hommes qui attendaient pour traverser, Luzolo défit rapidement l’attache de ma ceinture de sécurité... qui s’enroula sur le montant de la porte. Le manège ne passa pas inaperçu par la moitié des piétons, qui oublièrent de traverser. Le feu rouge s’éternisa... Ma veste grande ouverte exposa mes seins, ma jupe toujours remontée au maximum, découvrait mes cuisses ou courraient les lanières du porte-jarretelles et offrit ma chatte rasée aux regards des passants, je fus pétrifiée... et n’esquissai aucun geste. Mais le regard envieux de tous ces hommes qui fixèrent mes seins et mon sexe m’excitèrent, le bois bandé y était sûrement pour quelque chose... mais pas que ! Je me traitai de Salope, mais ce petit jeu me tordit à nouveau le ventre de désir, je cédai à cet attrait malsain... je verrouillai les portes de la voiture.
— Luzolo, tu es incorrigible... enlève ton doigt de ma chatte...— Oui, mais toi, c’est vrai... tu adores faire bander les mecs !! Tu mouilles... Laisse-les nous mater... Et puis tu sais, moi aussi ça m’émoustille d’enfoncer mes doigts de nègre dans ta chatte devant une flopée de blancs ! Regarde, je me masturbe ! Dis, tu pourras rester ainsi pour le reste du parcours... j’espère qu’il y aura beaucoup d’autres feux rouges...— OK, à condition que tu ne me touches pas en roulant, sinon on risque un accident... — Oui, mais branle-moi !
Le feu passa au vert, mais je ne pus pas avancer, un homme s’était planté devant la voiture et trois autres approchèrent de ma portière, alléchés par le spectacle. Ils se tripotèrent à travers leurs pantalons, leurs bouches m’envoyèrent des baisers...
— Salope, petite pute de blonde... Tu te laisses tripoter par un vieux fossile noir, tu mériterais qu’on te saute... pétasse...
Je jetai un coup d’œil à Luzolo, cela dut l’exciter, il se branla avec plus de vigueur et avait toujours deux doigts dans ma chatte, ma main partit à la rencontre de sa queue noire qui pointait toujours hors du pantalon et avec un regard plein de défi envers les trois gars, je masturbai la vieille, mais colossale bite de mon passager, Luzolo sortit ses doigts pleins de foutre de ma chatte et les suça avec délice... en les regardant d’un air narquois. Les gars en furie s’approchèrent tout près de ma fenêtre à demi-ouverte, un essaya d’ouvrir la portière.
— Salope, tu n’as pas honte te faire baiser par un vieux croûton noir, il pourrait être ton grand-père, il est tout fripé l’ancêtre... Tu es une vraie débauchée... une vraie petite pute... et tu te fais mater par l’autre derrière... Salope... — Il est vieux et noir d’accord, mais vous avez vu sa bite, elle trois fois plus grosse que les vôtres... et je peux vous dire qu’elle me fait jouir comme une folle...— Oui, oui branle-moi, branle-moi plus vite... je vais éjaculer...
Ma main droite s’activa sur la hampe noire, soudain celle-ci se contracta, un flot de sperme gicla vers le plafond et coula sur mes doigts, je les portai à, ma bouche et les suçai avec délice.
— Délicieux, le sperme du vieux noir ! Allez salut les petits morveux !!
La voie fut libre, le feu vert, je démarrai en trombe, les laissant ébahis par ce qu’ils venaient de voir. Nous arrivâmes à l’hôtel sur le coup de 20 heures. Le temps de faire les formalités, déposer les bagages, il était 20 heures 30.
— Allons au restaurant, dit le pharmacien congolais... je meurs de faim... J’ai réservé un petit salon, où nous serons tranquilles...
Le serveur, un jeune homme à l’air timide nous installa à une petite table ronde dans un salon désert, je pris place à gauche du vieux noir. Nous bûmes une bouteille de vin blanc entière pour l’apéro, la tête me tourna un peu.
— Nous irons regarder tout à l’heure dans ma chambre, le petit documentaire sur la visite de ce matin que Monsieur Boulier a tourné... Au fait, Trixie, je te remercie de la réponse que tu as faite à ces hommes au feu rouge... c’est vrai ce que tu leur as répondu, tu l’aimes ma grosse bite, j’ai bien apprécié que tu me fasses éjaculer devant eux ! Tu es merveilleuse.— Oui... dis-je en rougissant un peu.— C’est vrai aussi ce qu’a dit Jean-Paul... que ça t’émoustille te faire désirer par les mecs, de les faire bander ?— Oui... j’aime bien voir le désir dans leurs yeux lorsqu’ils me regardent... — Bien, donne-moi ta main... là sous la serviette... tu sens comme ma bite est à nouveau grosse... caresse-la. C’est bizarre, auparavant, je n’avais jamais eu d’érections aussi fortes, ni aussi rapprochées. C’est ta beauté et tes petits jeux qui me font ça ! Mais j’ai vraiment éprouvé du plaisir lorsque les blancs m’ont regardé te tripoter tout à l’heure... on va recommencer ! Vous n’y voyez pas d’inconvénient Jean-Paul...— Moi non... bien au contraire...— Et toi Trixie...
Moi, je prenais de plus en plus de plaisir à ces jeux pervers. Depuis l’incident du feu rouge, une boule de feu se tordait dans mon bas-ventre, sûrement que les deux doses de bois bandé ingurgitées aujourd’hui et l’alcool bu n’arrangeaient pas les choses. Je m’entendis répondre positivement à sa demande.Aussitôt, sa main droite écarta mes cuisses, remonta très haut la jupe pour bien dégager mon sexe, son majeur inquisiteur s’y engouffra, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice. Il me demanda d’écarter le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles... j’obéis... le velours vert du fauteuil commença à être mouillé sous mes jambes.
— Parfait... Le serveur ne peut rien rater... ni en haut ni en bas... il va pouvoir admirer ton anatomie magnifique... Ça t’excite ? Tu veux jouer le jeu... jusqu’au bout...— Oui, ça m’excite... tu l’as vu en me faisant un doigter... comme l’a dit Jean-Paul, je suis une petite garce... une vraie petite pute qui de plus aime les noirs ! J’ai adoré que tu me baises deux fois aujourd’hui et de te branler et te faire jouir au feu rouge... Tu aimes comme je caresse ta grosse bite... sors tes couilles... !— Je peux te caresser la chatte ? demanda Jean-Paul. — Oui, répondit N’Dombé, mais pas quand le serveur est là !
Celui-ci arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu’il doit servir d’abord les dames... il passa sur ma gauche, je sentis son mouvement de surprise... il fit comme si de rien n’était... Mais son regard revint toujours sur mes cuisses découvertes, la jupe était ouverte jusqu’à la naissance de ma chatte, dévoilant les jarretelles blanches... Il servit Luzolo... puis Jean-Paul... revint à côté de moi... une bosse était en train de se matérialiser à hauteur de son sexe, il repartit à regret...
— Au prochain plat, il aura droit à un petit plus... dit Luzolo.— Oui, quoi ? demandais-je.— Le bout de ton téton... au fromage les deux tétons ensembles... ce n’est pas difficile... ils ne demandent qu’a jaillir... et nous gardons le meilleur pour le dessert...
Cela se passa comme prévu, à chaque plat suivant, un coup d’épaule et mes mamelons surgirent...
— Défais le clip de ta veste, et écartes les pans, voilà, on apprécie mieux tes seins ainsi, putain ils sont vraiment beaux ! dit Luzolo ... Ça t’excite toujours autant de te faire mater par le garçon ?— Oh oui en plus devant vous deux c’est extra...
Le dessert allait arriver...
— Écarte tes jambes au maximum, dévoile ta chatte rasée.
J’obéis, j’offris ma chatte béante à la vue du garçon de restaurant... une tache de plus en plus grosse maculait le velours de la chaise entre mes jambes, le serveur ne chercha pas à cacher son érection et lorgna maintenant sans vergogne mon sexe dénudé et glabre... Il s’enhardit même, en servant le dos de sa main, frôla les tétons érigés de mes seins complètement dénudés.
Le garçon passa à nouveau sur ma gauche et s’immobilisa pour me servir, Luzolo fit tomber sa serviette, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je le masturbai doucement, calotta et décalotta l’énorme sexe noir. Le serveur figé n’en crut pas ses yeux...
Le vieux avança sa grande main noire, vers ma chatte, son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissa échapper un flot de foutre, je me renversai sur le dossier de la chaise... mes deux seins tressautèrent complètement hors de ma veste... on aurait dit que le temps s’était arrêté... de longs soupirs sortirent de ma bouche... entre mes yeux mi-clos, j’entrevis le serveur tétanisé à côté de moi. La grosse bite noire palpita dans ma main. Mon plaisir monta, monta... mon corps fut pris d’un tremblement incontrôlable et je jouis. Avec un râle de plaisir... ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo qui allait jouir, ma main gauche saisit le sexe tendu du garçon à travers son pantalon et le pressa avec force, je sentis les soubresauts de son éjaculation...
Il repartit à toute vitesse vers les cuisines rouges comme une pivoine.
— Putain ! Ça t’a plu Trixie... Tu as joui... ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer... prends, prends dans ta bouche... avale mon sperme...
Au moment même où le serveur revint, toujours rouge, pour servir les desserts, je me penchai pour recueillir le flot de liquide tiède qui gicla de l’énorme phallus noir. Je relevai la tête et regardant le jeunot, j’ouvris la bouche et tirai la langue pour lui montrer la quantité phénoménale de sperme que le vieux noir avait éjaculé dans ma bouche et le déglutis avec délice. Je n’avais pas mis de l’ordre dans ma tenue... mes seins étaient toujours dehors et ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il avait les yeux exorbités par ce qu’il venait de voir.
— Alors, demanda Luzolo... ça t’a plu mon garçon ?— Oh oui, Monsieur, oh oui... Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse... il n’y a pas de mots pour qualifier sa beauté... j’en garderai le souvenir toute ma vie...— Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire...— Oui Monsieur, je veux bien...— Tu peux caresser les seins de Mademoiselle Trixie... approche... voilà c’est bien fait rouler ses mamelons entre tes doigts, tire-les... regarde comme ils aiment ça, ils ont doublé de volume. Trixie recule ta chaise... Tu veux les sucer ? Oui, c’est bien... regarde elle apprécie... Allez petit, mets-toi à genoux entre ses cuisses et régale-toi avec son nectar... — Je... je ne sais pas si elle voudra !— Mais si... voilà... aspire bien son clitoris... bien... enfonce ta langue dans sa chatte... lèche bien... encore, encore... tu aimes ? Tu bandes ? Sors ta bite...— Oh oui Monsieur... Oh ouiiiii ! je... je crois que je vais en... encore jouir...— Lève-toi jeune homme, Trixie regarde comme il bande, suce le jeune homme... fais-le éjaculer...
J’eus à peine le temps de saisir son pénis dans ma bouche, qu’il déchargea, en tremblant de tout son corps, sa semence...
— Hélas, mon garçon, les meilleures choses ont une fin... apporte-moi l’addition... S’il te plaît.
On repartit à l’hôtel et on se retrouva tous les trois dans la chambre du pharmacien noir. Boulier installa son PC.
— Vous voulez voir la vidéo de suite Monsieur N’Doumbé ? C’est votre habillage dans le sas... c’est très réussi...— Oui, vous me faites une copie, sur cette clé USB cela me fera un super souvenir !
A table, les doigts de notre hôte, la situation inédite, cela m’avait fait jouir certes, mais le début de cunnilingus du jeune homme avait ravivé mon envie de sexe... J’avais déjà visionné le film au moins deux fois et j’en étais l’actrice principale. Les deux hommes installés devant le PC discutaient et avaient commencé à regarder la vidéo. Assise sur le lit, au bout d’un moment, je soupirai bruyamment... Luzolo se leva et se vint vers moi. Il me caressa la joue.
— Tu t’ennuies ma petite chérie on dirait... je vais m’occuper de toi... — Oui... j’ai encore envie de ta grosse bite noire !
Il me poussa gentiment sur le lit, il se mit à genoux devant moi. Sépara doucement mes genoux, et ses mains se glissèrent sous ma jupe, il en écarta largement les pans. Les grandes mains noires commencèrent une lente reptation sur mes bas... passèrent sous les lanières blanches, frôlèrent mon sexe bien épilé, caressèrent mon ventre sous la dentelle de la ceinture de mon porte-jarretelles, et firent sauter l’agrafe de ma jupe. Il la fit glisser sous moi, le long de mes jambes et la laissa choir sur la moquette.
— J’adore te voir seulement vêtue ainsi... tes jambes sont magnifiques et ton porte-jarretelles met ta chatte en valeur, tu as raison de l’épiler entièrement et de laisser ta chatte sans poil, c’est plus érotique.
Sur ma jambe droite, ses grosses lèvres lippues remplacèrent ses mains, il déposa des baisers jusqu’à ce qu’il arrive, en haut du bas... et sa langue commença à me lécher la cuisse en remontant vers mon sexe qui devenait de plus en plus moite. Il bava d’excitation... sa salive coula sur l’intérieur de ma cuisse. Son appendice buccal passa l’aine de ma cuisse, je frissonnai, mon vagin palpita et attendit d’être empli par cette grosse langue rose, qui prit son temps en léchant le pourtour. Ce fut d’abord son nez épaté qui se faufila entre mes grandes lèvres, puis elles furent écartées par ses deux pouces. J’eus un soubresaut de plaisir lorsque sa langue força mes petites lèvres pour pénétrer dans mon conduit vaginal...
Avec son pouce et son index, il décapuchonna mon clitoris et la pointe de sa langue vint titiller ma petite excroissance rose, lorsqu’il l’aspira et que ses incisives la mordillèrent délicatement, ce fut comme si une décharge électrique me traversait le corps, je hurlais de plaisir.
Je tins sa tête à deux mains, essayai de positionner sa bouche aux endroits sensibles, là où je voulus sentir sa langue. Il était très attentif... chaque fois que ses caresses me firent gémir, il les prolongea, les appuya jusqu’à ce que mon corps se tende en arc de cercle...
Jean-Paul cessa de regarder le film, il quitta son pantalon et se masturba en nous regardant. Lorsqu’il entendit mon premier cri de plaisir, excité, il monta à genoux sur le lit à côté de moi. Ses mains s’activèrent à dégrafer le clip de ma veste, il se débrouilla de me l’ôter, je n’eus plus que mes bas et mon porte-jarretelles.
Cette vision l’excita, il se pencha sur moi, sa langue força mes lèvres et se noua à la mienne, je lui rendis son baiser, tandis qu’il me malaxait les seins. Sous les attouchements des deux hommes, ils devinrent de plus en plus durs. Il me pinça assez fortement les tétons et les étira sans ménagement, et sa bouche s’en empara. Il les suça, les aspira, les mordilla à tour de rôle, il engloutit mes aréoles gorgées de sang...
— Ouiiiii, oouuuuuiiii mordille-moi bien les bouts, juste les bouts... ouiiiii ainsi... continue... continue... Ooooohhhh que c’est bon...
Tout en continuant son merveilleux cunnilingus, Luzolo se déshabilla... je ne sus pas comment il s’y prit, mais je me retrouvai les jambes largement écartées à la verticale, il était toujours à genoux. Je sentis sa langue qui quitta ma chatte et glissa vers mon petit trou intime ridé, elle lécha lentement le pourtour, et par petite touche, il en inséra le bout à l’intérieur, de la salive coula et son majeur entra doucement dans mon conduit anal, il enfonça entièrement son long doigt. Au bout d’une dizaine de va-et-vient, son index vint s’ajouter, lorsqu’il les sentit coulisser parfaitement, l’annulaire les rejoignit, mon ampoule rectale palpita autour des trois intrus. Je ne pus plus ni gémir ni exprimer mes sentiments... Jean-Paul enjamba mon torse, et m’a mis sa bite dans la bouche, me demandant de la sucer... J’éprouvai une telle sensation de plaisir et une telle envie de sexe, sûrement à cause au bois bandé, que je m’appliquai à lui faire la fellation demandée...
— Bon, si nous passions aux choses sérieuses... regardez comme je bande et mes couilles sont à nouveau pleines de sperme...— Oui, les miennes aussi, répondit Jean-Paul...— Eh bien, il vous faut les vider, dis-je en riant !— C’est ce que nous allons faire... ma chérie... Jean-Paul, à vous l’honneur, couchez-vous sur le dos... laissez pendre vos jambes hors du lit... très bien... Trixie grimpe sur ses cuisses et laisse-le enfoncer sa queue dans ta chatte, ouiiiii... comme cela... Vas-y Jean-Paul, baise-la... enfonce bien ta bite...
Droit derrière moi, N’Doumbe se mit à me caresser les seins, sa bouche se posa dans mon cou, sa langue me léchait les épaules, il me mordillait le lobe des oreilles.
— Je vais te sodomiser, petite Salope... me murmura-t-il, j’en rêve depuis ce matin... Tu as déjà eu une bite noire aussi grosse que la mienne dans ton anus ? Je suis sûr que tu vas aimer...— Ouiiiii, un noir m’a déjà sodomisé... avec une bite aussi grosse que la tienne !— Salope alors, c’est vraiment vrai, tu adores les noirs... dit Boulier.
Le vieux noir me donna un baiser fougueux... apparemment satisfait que je veuille bien le laisser faire et me demanda de me pencher en avant sur le torse de Jean-Paul, qui me besognait avec force... Je lui obéis et lui présentai mes fesses où mon petit trou palpitait comme s’il était avide d’avaler l’énorme pieu noir qui s’approchait... Luzolo cracha dans sa main et enduisit son phallus avec sa salive, puis il en fit couler un long filet dans mon anus... Avec deux doigts, il écarta l’ouverture, son énorme gland mauve se colla à l’orifice béant.
Jean-Paul comprit, sa bite enfoncée au plus profond de mon vagin, il cessa ses pénétrations pour permettre à l’énorme sexe noir de pourfendre mon rectum.Le vieux pharmacien noir poussa lentement, mais fermement, mon ampoule rectale se retourna, le gland disparut dans l’orifice. Il me tint aux hanches à hauteur de mon porte-jarretelles, il enfonça quatre ou cinq centimètres du rouleau de chair noire, puis les ressortit, recommença en poussant plus loin la pénétration.
Jean-Paul m’embrassa à pleine bouche... Sous le plaisir que me donnait Luzolo, je lui mordis la langue. Le phallus gigantesque glissa de plus en plus profondément dans mes entrailles.
— Oouuuuiiii, ça y est petite Salope... je t’ai enfilé toute la longueur de ma bite... Tu aimes ça hein ?
Putain, c’est la première fois que je baise une blanche... par-devant par-derrière... Jean-Paul tu as bien mis ta caméra en route pour que je montre à mes copains congolais, comment le vieux Luzolo fait l’amour à une merveilleuse jeune blanche, blonde aux yeux verts... Tiens, tiens, tu la sens bien ma queue dans ton cul...Le bois bandé fit son effet, cela se traduisit pour mes deux partenaires, par un léger priapisme, il leur donnait une érection intense et prolongée et ce pendant plusieurs heures. Quant à moi, mes pulsions sexuelles étaient décuplées... Même en ayant joui trois ou quatre fois aujourd’hui... J’étais heureuse de subir cette double pénétration... Ils me besognèrent longtemps, Luzolo sentit qu’il allait éjaculer... Il se pencha sur moi...
— Je veux éjaculer dans ta chatte... cela transcende ma libido... peut-être que je vais t’engrosser !! Non... ! Tu as pris la pilule... mais je peux rêver ? Je peux rejoindre Jean-Paul dans ton vagin ?
J’avais déjà fait cette expérience d’une pénétration vaginale avec deux jeunes noirs... et l’aphrodisiaque ingurgité m’empêchait de lui dire non...Il demanda à Jean-Paul de cesser ses mouvements, et tint son pénis dur comme du fer d’une main ferme, il le fit entrer après quelques essais, dans ma chatte trempée et béante. Ils accordèrent leurs coups de reins... sans discontinuer, je gémis de plaisir.Leurs respirations s’accélèrent, leurs coups de boutoir se firent plus rapides et plus violents... Ce fut Jean-Paul qui céda le premier.
— Tiens Salope, tiens... Ouuaaaaahhhh putain que c’est bon... tiens... Oh putain, je n’ai jamais joui comme ça !! Il faudra qu’on recommence... Il t’en reste encore du bois bandé dans ton flacon... c’est trop bon... ! Je veux à nouveau te baiser comme ça avec Gérald !!
Luzolo toujours en moi, attendit que Boulier ait fini d’éjaculer et me fit rouler sur le côté, couché derrière moi, son sexe comme un piston, me martela encore et encore...
— Putain, je rêvais de te voir pénétrée par une bite noire et bien, je suis gâté... Il y a la grosseur et la longueur... et je ne m’étais pas trompée petite Salope, tu adores les noirs ! Même vieux et laids... marmonna Boulier.
N’Doumbé souleva ma jambe gauche et enfonça plusieurs fois son membre rigide jusqu’à ce que ses testicules touchent mes fesses, puis il me saisit les nichons et les serra fortement. Mon corps se tendit en arc de cercle, j’explosai de jouissance criant mon plaisir... alors que les premiers spasmes de son phallus éléphantesque déversèrent son sperme chaud et visqueux, au fond de moi.
— Regarde, regarde Jean-Paul ce que le vieux, noir et laid comme tu dis, déverse comme sperme dans la chatte de la petite blonde...
Trois giclées étaient parties au fond de mon vagin, il retira son énorme mandrin, laissa son méat au bord de mes lèvres. Cinq ou six spasmes déversèrent le reste du liquide translucide... et épais.
— Merde c’est bon d’éjaculer dans ta chatte Trixe... Jean-Paul admire mon sperme de noir qui coule au bord de sa chatte, regarde bien, je vais le pousser à l’intérieur... Oh putain que c’est bon... tiens, tiens... il m’en reste encore...
Il sortit sa queue poisseuse, se leva me la présenta, mes lèvres s’enroulèrent autour du mandrin noir pour le sucer. Il était vraiment tard, après une rapide toilette nous prîmes congé.— Bien, c’était parfait... je passerai demain, pour signer le contrat... et surtout pour dire au revoir à Mademoiselle Trixie... !
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