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Nymphomane, moi ? Tome II

Chapitre 10

Un petit jeu vraiment pervers

Hétéro
Au boulot, maintenant, j’avais trois hommes à mes pieds et qui sans mauvais jeu de mot pouvaient me faire prendre mon pied. Maxime, Gérald et le dernier en date le grand Jean-Paul Boulier... Il fallait d’ailleurs que j’aille lui demander d’apposer sa signature sur un bordereau de factures à payer. Et puis j’avais entendu dire que le contrat signé par N’Doumbé avait été assez conséquent. J’allai lui rappeler ses promesses quant à mon intéressement, pour le rôle que j’avais joué. Au fait ! Pourquoi ne pas combiner l’utile à l’agréable me dis-je ! J’ouvris le tiroir de mon bureau, pris l’agrafeuse pour attacher la liasse de papier, mes yeux furent attirés par une petite boîte. Ah oui, c’était le reste du bois bandé dont je m’étais servie lors de la visite du pharmacien congolais, ça avait marché du tonnerre ! Il en restait un peu, pourquoi ne pas l’utiliser aujourd’hui, cela décuplerait mon plaisir, et me donnerait du cœur au ventre pour mon opération de séduction...
— Tu aimes vraiment te faire baiser, pensai-je !
C’était une belle matinée ensoleillée, il ne faisait pas froid. J’allai dans mon vestiaire, personne.Je quittai mon chemisier, mon soutien-gorge seins-nus, ma jupe, mon string ne gardant que mes bas et mon porte-jarretelles. J’enfilai une blouse bleue, qui nous servait lors de nos déplacements dans les ateliers, elle était assez courte, j’oubliai sciemment de fermer les deux deniers boutons du bas. Lorsque je marchai, elle s’ouvrait presque jusqu’à la naissance de la fente de mon sexe, et les pans s’écartaient dévoilant les lanières de mon porte-jarretelles. Je ne boutonnai pas non plus celui du haut et lorsque je me penchai, on pouvait apercevoir mon sein droit. Il était presque l’heure ou tous les jours avec maxime nous allions prendre le café du matin à l’appareil à boisson, j’y allai. Ce n’était pas Max qui était là, mais Gérald. Il y avait du monde. Je me servis un thé... et fis une bise au grand noir.
— C’est nouveau de venir boire le café en blouse.— Attends, je vais t’expliquer... mais allons boire dehors sur le banc dans le petit jardin, il y a trop de monde ici...
Pour sortir, il me tint la porte, mais un courant d’air assez violent écarta les pans de ma blouse.
— Oooohhhh, putain, mais tu es à poil dessous !!— Chuttttt, pas si fort... viens allons nous asseoir.
Nous étions seul dans le petit square, il resta debout devant le banc, je m’assis. Je sortis la boite contenant l’aphrodisiaque et le versai dans ma tasse. Tout en buvant mon thé, j’écartai les jambes pour lui montrer qu’effectivement, je ne portai pas de culotte, et discrètement, je déboutonnai le haut de ma blouse, et l’écartai sur mes deux seins.
— Ça te plaît de me voir habillée comme ça ?— Putain, oui petite Salope, mais on n’a pas d’inventaire !! C’est quoi ce sourire malicieux, tu vas voir Maxime ? Et c’est quoi que tu as versé dans ton verre ?— Ben non, je vais dans le bureau du Grand...— Putain, mais il va péter un plomb !— J’y compte bien...— Il va te baiser !!
— J’y compte bien aussi...— Non, arrête de te marrer... tu me fais marcher...— Tu crois... touche rien de d’y penser ça me fait mouiller... Et puis je viens de prendre du bois bandé... Ouuuiiiii.... lààààà... enfonce... tu peux en mettre deux... ouiiiii....— Salope, c’est vrai  tu es excitée ! Le truc que tu avais donné au vieux noir qui venait du Congo ! Oh putain... mes doigts sont tout mouillés... Tu y prends goût à baiser avec Boulier ! Tu deviens une vraie petite nympho !— Qui sait ! Alors tu me crois maintenant... allez bye... je te raconterai... J’ai une requête à lui soumettre !
Je le plantai là, les yeux ébahis. Je me dirigeai vers le bureau du grand Jean-Paul, le mistral s’engouffra sous ma blouse, chatouilla mon sexe bien rasé et légèrement moite, les doigts de Gérald y étaient pour quelque chose. Mes seins libres de toute entrave tressautèrent et mes tétons frottèrent contre le tissu de la blouse, je sentis qu’ils s’érigeaient.Il me sembla voir Boulier qui entrait dans le bâtiment ou était son bureau, au moins je n’aurai pas fait ça pour rien... il était là. Mais il était assez fantasque, on ne savait jamais trop à quoi s’attendre avec lui. Enfin, je verrai bien !Je toquai à sa porte, il me dit d’entrer. Je m’approchai, faisant attention que le bas de ma blouse s’ouvre sur ma cuisse, passai à côté de lui, lui tendis la liasse de documents à signer.Je me penchai pour la poser sur son bureau, le haut de ma blouse bailla largement, son regard y plongea, il ne put pas rater que je n’avais pas de soutien-gorge. J’avançai une jambe, le bas de la blouse s’ouvrit découvrant le haut de ma cuisse striée par les lanières du porte-jarretelles. Ses yeux s’y portèrent aussitôt. Il me montra le fauteuil devant son bureau.
— Écarte encore peu ta blouse pour me montrer ta chatte. Putain elle est toujours aussi appétissante,  rasée ainsi, mais  assied-toi pendant que je signe, et puis il faut que je te parle.
Je posai mes fesses au fond du siège et croisai mes jambes, le regardant signer les papiers, il me jeta des coups d’œil par-dessus ses lunettes, il vit mes jarretelles noires. J’attendis qu’il eût fini ses signatures décroisai mes jambes et les laissai écartées.
— Oooooohhhhh petite Salope, tu me fait bander... des bas et un porte-jarretelles, pas de culotte, une chatte rasée, j’adore. C’est pour moi ou pour Gérald avec qui je t’ai vu discuter dans le petit square que tu t’es habillée ainsi.— Non, c’est bien pour vous... dis-je en rougissant un peu. La dernière fois que vous m’avez fait l’amour... j’ai... j’ai bien apprécié... — En voilà une Trixie qu’elle est belle, splendide et gentille...
Il se leva et donna un tour de clé à la porte. Il avait changé de bureau et celui-ci était au premier étage, personne ne pouvait nous voir. Il revint vers moi, se mit derrière le fauteuil, ses grandes mains commencèrent à déboutonner les trois dernier boutons de la blouse, il l’écarta sur les accoudoirs. Ses mains englobèrent mes seins, il les soupesa, les caressa doucement, le bois bandé  commença à agir... ils réagirent à chaque attouchement... ma chatte mouilla.
— Tu as vraiment des seins admirables, ils ne sont ni trop gros ni trop petits, ils sont faits pour une main d’homme. Et ce qui est remarquable chez toi, ce sont tes tétons, je n’ai jamais vu des mamelons aussi érectiles que ça, regarde, je les tire, les griffe, les fais rouler entre mes doigts, attends, je me penche pour les mordre... Regarde, regarde, ils ont triplé de volume, c’est vraiment bandant.
Sous ses caresses, je gémis, geignis, me tortillai dans tous les sens sur le dossier du fauteuil.
— Ouuiiiiii, ouuuuuiiiii mord les, mord les encore, encore juste la pointe des tétons... j’aime ça... ça me fait mouiller, ma chatte est trempée.... ouiiiiiii...— Attends que je vérifie si c’est vrai...
Il se mit à genoux devant le fauteuil, je m’y étirai dessus, ses mains glissèrent sous mon porte-jarretelles, et il me caressa le ventre. Sa bouche se posa sur mon pubis lisse au-dessus de ma chatte et sa langue glissa le long de ma fente, puis elle remonta lentement, le bout faisant une incursion dans mon conduit vaginal, et continua son ascension pour venir titiller mon clitoris, mon petit bouton rose durcit, ses lèvres se mirent à le butiner, un flot de foutre s’échappa de mon vagin. Sa bouche descendit sur mon méat urinal, il téta littéralement mon liquide séminal.
— Un vrai nectar, que je suis en train de boire... Tu me rends fou...
Il me releva, ôta ma blouse.
— Putain que tu es belle ainsi, nue avec tes bas et ton porte-jarretelles, tu incarnes vraiment la femme de mes fantasmes. Regarde comme tu me fais bander.
Je ne sus pas comment il  fit, mais il  quitta son pantalon, et sa queue assez fine, mais très longue se dressa fièrement vers le plafond. Il quitta chemise et cravate, il m’attira à lui pour me donner un baiser fougueux que je lui rendis avec passion, sa bite raide se pressa sur mon ventre, je frottai les bouts de mes mamelons raidis par le désir contre sa poitrine, couverte de poils blancs. Ma bouche glissa le long de son ventre, ma langue le lécha tout le long du parcours, elle passa la touffe de ses poils argentés, je soulevai sa bite et lui léchai les testicules. Elle remonta ensuite le long de la hampe raide et j’enfournai son gland dans ma bouche, je commençai une fellation.
— Arrête, Ouuuuaaahhh, Arrête, ça fait trois minutes que tu me suces... et ouuuaaaahhhh je crois que si tu continues je vais éjaculer, et ce n’est pas là que je veux le faire... je veux mettre mon sperme ans ta chatte...
Il me souleva et me porta jusqu’au bureau, d’un revers de main, il fit place nette, envoya sur le sol les documents, le courrier, les stylos, les classeurs. Il me coucha dessus les fesses au ras du bord, les jambes pendantes.
— Je n’y tiens plus, prend-moi, prend-moi... criai-je— Chhuuuuttttt pas si fort...
Mais je hurlai presque lorsque d’un seul coup il entra la moitié de sa bite dans ma chatte trempée,
— OOOOOOOuuuuuuiiiiii, putain c’est bon, c’est bon, continue.... enfonce... met moi là toute... Ouuuiiii...— Chhhhhuuuuuttttttt, on va t’entendre !! Voilà, voilà.... comme ça... régale toi....— Ouiiii, ouiiii c’est bon, plus vite, plus vite...
Pendant dix minutes ce fut que soupirs, grognements gémissements des deux côtés... puis  il accéléra la cadence de ses pénétrations, il n’allait pas tarder à éjaculer. J’enroulai mes jambes autour de ses reins.
— Ouiii éjacule dans ma chatte, je veux sentir ton sperme... attend moi, attend moi, je vais jouuuiiiiir... ouuuiiiii... vas-y.— Ouuuuiiiii tu le sens là, je jouiiiiiii moi aussi putain que c’est bon, je sens bien les contractions de ta chatte atour de ma bite... Je t’adore...
Il lâcha sa semence, arc bouté en arrière, sa queue enfoncée au plus profond de mon vagin ; puis il s’écroula sur moi, chercha ma bouche pour m’embrasser. On mit un petit moment à récupérer. Il se rhabilla, j’enfilai ma blouse, me recoiffai. Il remit de l’ordre sur le bureau et s’assit a sa place.
— Assied-toi encore un peu, écarte les jambes... je voulais te dire un truc... mais d’abord putain que c’était bon... je vois que ta chatte palpite encore... et mon sperme coule... Ah oui, voilà... tu sais lorsque nous nous sommes quittés après la soirée avec N’Doumbé, j’ai là aussi énormément apprécié de te baiser avec le pharmacien noir...  J’ai vraiment adoré voir son immense bite noire pourfendre ta jolie chatte blanche et de te voir jouir.  Je t’avais demandé si tu étais d’accord, car  j’aimerai bien faire la même chose avec ton copain Gérald... Je sais que tu baises aussi avec lui...
Il ne te reste plus qu’a le convaincre... je me fous de savoir à quel moment, dans quel endroit... Mais je compte sur toi.
— Oui, pourquoi pas ! Mais au fait au sujet de N’Doumbé, il paraît que le contrat signé est vraiment très important... vous m’aviez laissé entendre que si... enfin que vu mon implication... j’aurai droit à...— Mais... 
Et d’un seul coup il sembla se désintéresser de moi, et de ma requête.
— Et puis, pendant que j’y pense, j’ai une commande pour du matériel, il faudrait la transmettre à Gérald, tu peux t’en charger... — Oui, il faut la lui porter maintenant ?— Oui, pourquoi ? Il est encore loin de l’heure de la pause déjeuner...— Dans cette tenue, après avoir fait l’amour ?— Oui, ça te dérange... et puis tu pourras essayer de négocier... ce que viens de te demander, il pourra peut-être même voir que je viens de te baiser...— Non... mais je...— Vas-y, j’ai du boulot maintenant !!
Il  reprit son air hautain, son air de petit chef qui ne me plut pas du tout. Je sortis en faisant claquer la porte, en colère de n’avoir pus négocier quoi que ce soit... Je me dirigeai vers le magasin et le bureau de Gérald. Du sperme coula à l’intérieur de ma cuisse. Pourquoi ne pas rendre le grand noir jaloux comme je l’avais fait pour Maxime... Il fallait bien passer ma colère sur quelqu’un, et puis le bois bandé n’avait pas cessé son effet.J’entrai dans son bureau, sans frapper, comme j’étais entrée dans le Bureau du Grand, la blouse ouverte jusqu’à la chatte, le bouton du haut déboutonné. Mince, il était avec quelqu’un. Trop tard pour me réajuster, tant pis...
— Je viens de la part de Monsieur Boulier t’apporter une commande. — Oui, merci... Je te présente André, un intérim qui va me seconder... pendant quelques mois.
Le jeune homme me tendit la main, je fus obligée de faire quelques pas en avant pour la serrer, les pans de la blouse s’écartèrent sur mes cuisses dévoilèrent les lanières noires de mon porte-jarretelles et le début de ma chatte. Je vis ses yeux s’écarquiller, sa bouche s’arrondir, je me sentis rougir, une onde de chaleur descendit jusqu’à mon sexe.Gérald n’avait rien perdu de la scène lui aussi, il vint à mon secours.
— André, ne pourrais-tu pas aller dans l’atelier de fabrication des ampoules, chercher les plans de la machine qui est en révision.
Sans quitter mes jambes de yeux, le jeunot acquiesça et sortit en reculons. Je m’approchai de Gérald qui était debout à côté de son bureau.
— Ouf, tu m’as sauvé la vie, lui dis-je en souriant... Mais son regard commença à m’aguicher, le bois bandé continua son effet !— Tu es gonflée quand même de te balader ainsi.— Oui, mais je suis follement excitée, regarde, je déboutonnai le quatrième bouton du bas de ma blouse et l’écartai, regarde... tu veux toucher ma chatte ? 
L’aphrodisiaque faisait encore effet, le désir sourdait encore dans mes entrailles.
— Il y a des coulées blanches sur tes bas... Oh Salope mon doigt est trempé, c’est du sperme de Boulier, il t’a baisée ce vieux grigou ? Tu as joui, bien sûr avec le bois bandé !— Oui et je me suis éclatée... et j’en ai encore envie... C’est l’aphrodisiaque... c’est ce que j’ai mis dans mon thé...
Rapidement, je défis les deux derniers boutons de ma blouse, la quittai et nue en porte-jarretelles, me blottis dans ses bras. Ma main partit vers sa braguette, je savais qu’il ne portait pas de slip, je défis le zip et sortis son immense bite noire. Je ne sus pas si c’est le fait que lui je lui aie avoué de m’être fait prendre par le Grand, mais il bandait déjà assez fermement. Je dégrafai les boutons de sa chemise.
— Oui... oui... je suis une salope, j’ai aimé que Boulier me baise, oui il m’a fait jouir, mais maintenant j’ai envie de toi, j’ai envie de ta grosse queue noire. Prends-moi, prends-moi sur ton bureau... comme tu me l’as dit tout à l’heure je deviens nymphomane...
 Je le poussai en riant sur le bureau en verre, il s’y étala de dos, les mollets pendants, j’ôtai son pantalon, et grimpai sur le bureau. Je me mis à la verticale de son énorme bite qui se dressait vers le plafond, les genoux de chaque côté de ses hanches. Je saisis la base d’une main et m’empalai dessus lentement, lentement... en gémissant de contentement, profitant de chaque centimètre qui glissait en moi.
— Putain, mais tu es insatiable, une vraie petite salope, cela ne te suffis pas que Boulier vienne juste de te baiser... tu es déchaînée !— C’est... c’est le bois bandé... mais ta bite est bonne... je l’aime... je veux que tu me l’enfile toute. Ouuuuuiiiiii.
 Je remontai mon bassin aussi lentement que je le descendis le long de la hampe noire, la porte s’ouvrit doucement, le jeune André entra, il s’approcha. Je me penchai sur Gérald pour frotter mes tétons sur son torse glabre, lui me caressa l’anus avec ses doigts, son majeur s’y enfonça doucement.
— OOOOOhhhhhh putain !!!!!! Excusez-moi, j’avais oublié mon badge pour entrer dans les ateliers... mais.... Oooooohhhhh putain, je n’ai jamais vu une queue aussi grosse et aussi longue que la tienne... et je n’ai jamais vu une fille aussi belle que mademoiselle Trixie... et ce n’est pas... pas possible... que tu puisses entrer un tel engin complètement dans... dans sa chatte... — Merde... on a oublié de fermer la porte pesta Gérald... merde de merde...
Mais il ne débanda pas, son énorme grosseur me remplissait toujours le sexe. Il avait même des petits mouvements de hanches, qui le fit glisser plus profond. Il me regarda, m’interrogeant du regard.
— Que fait-on ?
 Je mis les mains sur sa poitrine, et fis tournoyer mon bassin autour de sa bite monumentale, en regardant le jeunot avec des yeux gourmands. Gérald sembla déchiffrer mon regard, il s’adressa à l’intérim.
— Écoute André, tu vas fermer la porte à clé, tu fermes aussi ta gueule sur ce qui va se passer, tu te déshabilles et tu joins à nous si le cœur t’en dit... mais tu me promets d’être muet comme une tombe.— OOOOOhhhhhh putain oui, ouiiiiii.... je ne dirai rien, je le jure... oh oui, oh oui je veux bien baiser mademoiselle Trixie, mais regardez, ma bite est bien moins longue et moins grosse que celle de Gérald....
Je le regardai se déshabiller, une fois nu sa queue dans un garde-à-vous parfait le long de son ventre était d’une grosseur et d’une longueur respectable. Il resta planté derrière regardant  la bite noire entrer et sortir à nouveau de mon vagin.
— Putain, j’en reviens pas qu’on puisse avoir une bite aussi grosse que la tienne, et puis elle a l’air d’aimer ça, son foutre coule le long de ta queue... Vous êtes magnifique avec vos bas et votre porte-jarretelles !— Allez viens me caresser les seins...— Je... je peux vraiment !
Il s’enhardit, ses mains enveloppèrent mes  globes qui tressautaient sous les coups de reins de Gérald, délicatement il commença à me triturer les mamelons, sa bouche se posa dans mon cou, il se mit a me donner de petits baisers, puis il me mordilla le lobe de l’oreille. Je me penchai sur le torse de Gérald et lui chuchotai à l’oreille de reculer un peu sur la table, pour que le jeunot puisse y monter. André eut ainsi une vue imprenable sur mes fesses et mon anus qui palpitait.Ce que j’espérai arriva, il grimpa sur le bureau, m’attrapa aux hanches, sous mon porte-jarretelles. Je sentis sa salive qui coula dans la raie de mes fesses jusqu’à mon petit trou. Son gland se posa sur l’entrée qui s’ouvrit et se ferma au rythme des pénétrations de Gérald. Il poussa d’abord doucement, puis d’un coup sec, mon ampoule rectale céda et sa queue glissa à l’intérieur.
— Ouaaiiii, ouaiiiii... je n’avais jamais sodomisé une nana...
Il accorda sa cadence de pénétration à celle de Gérald...
— Putain que c’est bon, putain que c’est bon... Tu aimes ça Trixie... tu aimes ma bite... elle n’est pas aussi grosse que celle Gérald...
Il me malaxa à nouveau les seins avec force, me tira maintenant sans ménagement les tétons, me les pinça, les griffa avec ses ongles, il fut vraiment déchaîné. Gérald  aperçut de l’excitation croissante de André.
— Tu voudrais peut-être prendre ma place et lui baiser la chatte...— Ooooohhhhh ouiiiiiii, ooouuiiiiiii c’est vrai, c’est vrai...— Mais oui mon grand, je te la laisse pour toi tout seul !
Gérald se dégagea, je me couchai le dos sur le verre froid, j’eus tout juste le temps d’écarter les jambes et la jeune bite força l’entée baveuse de ma chatte. Il me saisit le porte-jarretelles sur le ventre et se mit à me pénétrer à toute allure, il enfila et sortit son appendice sexuel à une vitesse phénoménale. Il haleta comme un jeune chiot, grogna des mots intelligibles... Amusée, et parce que je commençai à prendre mon pied, je l’encourageai, mais je ne pus pas longtemps, car Gérald envahit ma bouche avec son énorme phallus noir.
— Suce moi... Il va te défoncer le jeunot... Ça te plaît, hein petite Salope..— Mmmmmmmm.....ouiimmmmmm....
 le plaisir monta, monta...  rapidement...l’aphrodisiaque me procura des poussées intenses de désir charnel que le jeune était en train de satisfaire. Il me sembla qu’il s’essoufflait un peu, cela faisait presque dix minutes qu’il me pilonnait, il transpirait, grimaçait à force de retenir son éjaculation... il allait jouir... et moi, j’ arrivai au sommet de l’extase, je basculai dans le nirvana de la jouissance... Dans un spasme de volupté, mes muscles vaginaux se contractèrent autour du phallus qui me pénétrait, tandis que mon cœur fit d’énormes bonds dans ma poitrine, je criai mon bonheur d’avoir joui ainsi. Au même instant André éjacula, bien calé au fond de moi sa semence tiède. Il s’écroula sur moi, ses lèvres cherchèrent les miennes et il m’embrassa, fouilla ma bouche de sa langue d’une force inouïe, il n’avait jamais dût ressentir cela avec une fille, je lui rendis son baiser avec passion.
— Oh putain... Oh putain... ce que j’ai joui... c’est pas possible... c’est pas possible... je rêve... je n’aurai jamais cru pouvoir faire l’amour avec une blonde aussi jolie que vous mademoiselle Trixie... je peux encore embrasser vos seins... Dites... je suis là encore un mois... on pourra recommencer ??— Ben dis donc tu t’es éclaté... Et tu as juré, rien ne doit transpirer de ce qui c’est passé ici... on est bien d’accord ?— Ben oui... je n’ai pas intérêt à dire quoi que ce soit... Si je veux baiser Trixie encore au moins une fois...— Hé Trixie, regarde ma bite, elle est énorme, tu ne vas pas me laisser dans cet état, tu veux bien continuer à me sucer, je voudrai bien jouir moi aussi !— Je... je peux rester pour regarder …. ?
Avec Gérald, on éclata de rire..
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