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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 1

Le vieil Alfred... ou un nouveau départ

Avec plusieurs hommes
— Tu vois Maxime, depuis mon divorce, je suis seule dans ma grande maison, je trouve cela languissant ! La solitude me pèse.— Écoute, j’ai un vieil oncle qui recherche, comment pourrait-on appeler cela ? Oui, une dame de compagnie. Il est assez riche et se trouve seul lui aussi dans une splendide maison. Si tu veux, je lui parle de toi, avec ton métier, tu pourras l’aider, lui taper ses papiers, tenir ses comptes. Il passe son temps à étudier les anciennes civilisations, et il écrit des bouquins.— Dis donc, ce serait bien, je pourrai mettre ma maison en location, cela me ferait un revenu supplémentaire... Il n’est pas invalide ni gâteux au moins ton oncle ?— Non, au contraire, il est dru comme du bois vert. Et je lui vanterai tes qualités... me dit-il avec un grand sourire !
Maxime dut être un bon ambassadeur puisque Alfred, c’était son nom, qui habitait une très jolie maison avec jardin et piscine, me convoqua aussitôt. Je dus lui plaire, car l’affaire fut conclue, j’habiterai ici, tout en continuant à travailler, et comme les horaires à la carte me permettaient de sortir à 16 heures, j’avais beaucoup de temps à lui consacrer. Il tint absolument à me verser un petit salaire. Il ne fit aucune objection à ce que je puisse recevoir mes connaissances.
Alfred était petit, sec, pas de cheveux sur le dessus du crâne, des tempes blanches, et une barbichette bien taillée. Le jour de mon déménagement, je le précédai en direction de la porte d’entrée. Je sentis son regard rivé sur mes fesses. Après m’être installée, je le rejoignis dans la bibliothèque. Il m’indiqua que si je voulais bien, il aimerait que je l’aide à classer un grand nombre de documents et à taper son courrier. Il verrait par la suite si cela me convenait, à me confier d’autres tâches... Le soir venu, je m’installai seule, avec un bouquin dans la même bibliothèque. J’entendis les pas d’Alfred qui arrivait. Aussitôt, je fis semblant de m’être assoupie.
La porte s’ouvrit, je remuai suffisamment pour que dans une posture d’abandon, ma jupe remonte sur mes cuisses ; ses yeux remarquèrent le léger mouvement. Puis il reporta son regard sur mes seins comme pour les étudier. Il dut penser que je dormais, que je ne pouvais pas le voir, alors que je l’observais avec mes yeux mi-clos. Dans un mouvement naturel, je relevai les jambes, le tissu remonta, dévoilant ma chair nue, les attaches et les lanières du porte-jarretelles noir. Je le vis s’approcher très discrètement pour profiter du spectacle offert, ses yeux essayèrent de percer la pénombre au-dessus des bas, puis un sourire sur les lèvres, il tourna les talons et ressortit de la pièce.Le lendemain, je lui demandai de m’excuser pour le petit somme que j’avais fait dans la bibliothèque. Il me dit, en souriant, que le voyage et le travail avaient dû me fatiguer. Il m’offrit une tasse de café, j’effleurai ses doigts en prenant la tasse, en lui souriant tendrement.
— Je crois que nous allons bien nous entendre, Trixie, me dit-il.— Moi aussi, Alfred...!!
Il eut l’air surpris que je l’appelle par son prénom.
— Puis-je vous appeler ainsi... Nous ne sommes pas de la même génération, mais vous êtes encore très séduisant... savez-vous !— Je... je pourrai presque être votre grand-père, Trixie !! — Mon père peut-être, un homme robuste comme vous !
Je m’ assis dans un fauteuil, me calai au fond, laissant ma jupe remonter.
— Et puis j’adore les années soixante, ses voitures, la mode de cette époque... d’ailleurs, regardez...
En disant cela, d’une main, je relevai ma jupe très haut sur mes cuisses et lui demandai s’il aimait la couleur fumée de mes bas. Ma jupe remonta encore un peu, comme le soir précédent, ses yeux se rivèrent sur les lanières noires de mon porte-jarretelles. Il s’affala sur le fauteuil qui me faisait face, et son regard se fit plus inquisiteur, cherchant à deviner ce qu’il y avait après le haut de mes cuisses nues. Avisant un vieux tourne-disque, je me levai, en lui indiquant que je raffolais de la musique de ces années-là. En me dirigeant vers l’appareil, je fis remuer mes épaules, je ne portai pas de soutien-gorge, mes seins tressautèrent. Les bretelles de mon débardeur descendirent de plus en plus bas sur mes bras. Les pointes tendues de mes seins accrochèrent l’échancrure du vêtement et l’empêchèrent de tomber plus loin.
J’avisai une pile de 45 tours, je mis un disque (Rock around the clock), un vieux rock, me tournai vers lui... lui pris les mains, esquissai un pas de danse, un mouvement d’épaule, un déhanchement et un téton brun jaillit. Les yeux du vieux se firent fixes et prêts à sortir de leurs orbites. Comme s’il perdait l’équilibre, emporté par la danse, il tomba sur moi, en m’attrapant, et comme s’il voulait se retenir. Ses mains glissèrent le long de mon corps, il était à genoux et moi debout. Mon sein était sorti entièrement. Il mit ses mains derrière mes mollets et les fit remonter en une lente caresse jusque sur le derrière de mes cuisses, le long des lanières tendues.
Ses doigts coururent sur ma peau nue, il caressa mon entrejambe sur mon string. Se saisissant de ma jupe, il la descendit lentement et me l’ôta. Enserrant mes chevilles, il remonta à nouveau le long de mes jambes. Cela commença à m’exciter, mon sexe devint moite. Ses yeux ne se détachèrent pas de ma chatte qui se devinait de par la transparence du tissu que l’humidité fit coller à la peau rasée de mon mont de Vénus. Sa bouche se posa sur mon sexe en feu, ce contact me fit gémir. Mes jambes commencèrent à trembler. Décidément, me dis-je, les vieux, comme tu l’as avoué à Gérald, te font vraiment de l’effet... ou bien, c’est parce que ça fait longtemps que tu n’as pas baisé !!
Ses lèvres parcoururent mon string trempé de foutre. Sa langue força le tissu pour s’insinuer dans ma chatte ruisselante. Il posa ses mains sur mes seins et les malaxa, cela fit redoubler mes gémissements. Le téléphone sonna, l’air ennuyé, il me demanda de l’excuser et partit répondre. Je remis ma jupe et mon sein en place.
Une fois la conversation terminée, il revint vers moi, me remercia en me baisant la main.
— Vous savez, cela fait plus de trente-cinq ans que je n’avais pas tenu une jeune et jolie fille comme vous dans mes bras ! Je vous remercie pour cet instant merveilleux !
Je le flattai en lui disant qu’il était doué, ce qui n’était pas tout à fait faux. Le lendemain à 17 heures, j’entrai dans la bibliothèque, Alfred m’attendait.
— Trixie, si cela ne vous fait rien, pourriez-vous faire un peu de ménage? me dit-il, c’est vraiment poussiéreux ici !
J’acquiesçai et pris le plumeau qu’il me tendit. Je grimpai tout d’abord sur une chaise, m’étirai pour faire remonter ma robe et montrer mes cuisses. Comme pour ne rien rater, il s’ assit au centre de la pièce ; je lui tournai le dos. Me mettant à quatre pattes, je passai sous le bureau. Ma robe remonta jusqu’à ma taille, dévoila ma croupe et mes fesses dorées. Je n’avais pas mis de string ni de soutien-gorge, dans la journée, Maxime les avait fait disparaître au boulot. J’écartai les cuisses, il put ainsi apercevoir la fente rose de mon sexe.Je l’entendis se lever et s’approcher, je déboutonnai les boutons du haut de ma robe. En reculant, je sortis de dessous le bureau. Ses mains relevèrent la robe encore plus haut sur mes reins, glissèrent sous le porte-jarretelles et caressèrent ma taille, il trembla. Il sortit sa vieille bite et à genoux, essaya de me pénétrer, il la frottait le long de ma fente, tout en écartant le haut de ma robe et fit jaillir mes seins.
— Attendez, attendez... pas si vite Alfred !
Je me dégageai doucement et en me tournant vers lui, je lui présentai mes seins en lui disant de les embrasser, de le mordre, de les téter. Il promena sa bouche humide et tiède sur les rondeurs offertes, mes tétons se dressèrent sous la caresse de sa langue. Je commençai à gémir et me tortiller. Sa barbichette me chatouilla et ça m’excita encore plus. Je sentis son odeur aigrelette et je me dis que j’étais vraiment perverse d’aimer les vieux, alors que je connaissais des étalons avec des bites énormes, noires de surcroît, car la sienne n’était vraiment pas longue ni grosse !!Il me fit retourner, mettre à quatre pattes. Toujours à genoux derrière moi, ses lèvres se posèrent sur mes fesses, il les écarta doucement. Sa langue se mit à me les lécher. Elle glissa vers mon anus, malgré moi, mes hanches se soulevèrent, mes cuisses s’écartèrent, tel un petit dard, le bout s’insinua dans mon orifice anal, la caresse était très douce, j’adorai ce que me faisait le vieillard :
— Laisse-toi faire, laisse-toi faire... murmura-t-il.
Sa salive coula entre mes fesses jusqu’à mon petit trou qui s’ouvrit et se ferma, attendant autre chose. Avec ses pouces, il en écarta largement l’accès et enfonça sa langue plus profondément, puis deux doigts forcèrent l’entrée de mon anus. Il fit une vingtaine de va-et-vient et sa vieille bite, assez petite, mais ma foi assez dure vint se frotter à ma chatte. Il était pressé maintenant, je le laissai faire cette fois. Il me passa un avant-bras sous le ventre, tandis que de l’autre main, il me massa les seins. Il enfila sa queue dans mon sexe qui s’humidifia plus par l’excitation que me donnait la pensée de me faire baiser par un vieux, que par la grosseur du cylindre qui entra en moi. Je creusai les reins pour mieux le recevoir. Il me pénétra en donnant de grands coups et haleta comme un soufflet de forge. Je tournai la tête pour l’observer, je crus qu’il allait avoir une crise cardiaque, son visage était rouge pivoine, il transpirait à grosses gouttes, me serrait la taille avec force.
Je ne sus pas si ce fut de voir l’effet que je lui fis, mais dans mon ventre monta une douce chaleur.
Je m’entendis murmurer.
— Encore, encore... plus vite, plus vite... je vais jouir !
Je sentis les soubresauts de sa queue et il éjacula en râlant et criant de bonheur, ça déclencha dans mes entrailles une petite jouissance, et je me maudis de jouir à nouveau avec un vieillard, surtout que sa bite n’avait rien à voir avec celle du vieux fermier, encore moins avec celle de Gérald. Il me remercia des larmes de bonheur plein les yeux.
— Ma queue n’est pas très grosse, ni très longue. Jolie comme tu es, tu as dû connaître de véritables étalons... ! Tu es un amour ! Tu as pitié de moi !— Mais ce n’est pas pour ça que je l’ai fait... Alfred,
Je débitai cet énorme mensonge sans bafouiller ni rougir. Je me penchai et avec ma langue, lui nettoyai la bite qui était luisante de mon foutre et de son sperme, il se mit à trembler de bonheur. Au lieu de déglutir les sécrétions que j’avais léchées, je lui montrai ma langue, m’approchai de lui et l’embrassai, transférant dans sa bouche ma salive poisseuse :
— Avale, Alfred, lui dis-je !
Il s’exécuta :
— Tu es merveilleuse, me dit-il. Tu sais, j’ai une passion... Tu vas peut-être trouver cela bizarre... c’est le candaulisme. Comme tu es plus jolie qu’un ange, je crois que si tu es d’accord pour assouvir mes fantasmes, je vais être au paradis...
Après quelques semaines où nous fîmes plus amplement connaissance, il se montra curieux... Il fallut que je lui raconte en grande partie et avec beaucoup de détails ma vie amoureuse tant au boulot qu’en dehors. Il était aux anges en écoutant mes histoires, avec Gérald, Maxime, le vieux fermier et son rejeton...
— Depuis que tu es ici, je ne vois plus le temps passer ! Il faut à tout prix que je connaisse ton ami Gérald, tu devrais l’inviter, j’ai aussi invité trois vieux copains de faculté.
Gérald accepta avec enthousiasme l’invitation et le soir venu, après les présentations, Alfred nous offrit le champagne en apéritif. Il avait commandé chez le traiteur un repas succulent. Je subodorai que j’en serai sûrement le dessert !! Le dîner fut largement arrosé surtout pour moi, ils n’arrêtèrent de remplir mon verre. Il fut ponctué d’anecdotes, ayant trait à leur période de faculté, toutes plus salaces les unes que les autres.
Alfred m’avait fait revêtir une robe collante, des bas fumés assez fins, les longues lanières du porte-jarretelles noir en dentelles tranchaient sur ma peau, les attaches des jarretières faisaient des petites bosses sous le tissu de la robe. Un soutien-gorge aux bonnets complètement transparents, un mini-string qui ne voilait rien de ma chatte et des talons hauts complétaient ma tenue.
Presque à chaque pas que je faisais, j’étais obligée de tirer sur le bas de la robe, car elle avait une fâcheuse tendance à remonter vers le haut en découvrant les fermoirs des bas. Mais je crois qu’elle avait justement été choisie pour ça.
J’aimais bien que les hommes puissent fantasmer... Si ce n’est plus... En me regardant. A la fin du repas, Alfred déclara.
— Dernièrement, j’ai acheté un billard américain, il paraît que Trixie est presque une championne, n’est-ce pas Gérald ? Tu ne te défends pas mal non plus, m’a-t-elle dit. Voulez-vous qu’on leur fasse faire une partie...? Je vous avertis, on met un enjeu... On parie ! Si Trixie rentre une boule, c’est vingt-cinq euros à payer pour chacun de vous... Nous sommes quatre, donc elle gagnera 100 euros !! Il y a 8 boules à empocher par joueur... Je vous laisse faire le calcul... Si elle rate son coup... et bien, elle perd une pièce de ses habits, que vous pourrez ôter vous-même à tour de rôle, et elle n’en a pas beaucoup... des vêtements... ça devrait mettre du piment, non ? Es-tu d’accord Trixie ?— Pourquoi pas, je vais battre Gérald à plate couture ! Et empocher le pactole !— OK, OK répondirent-ils tous en chœur... Gérald, vous portez tous nos espoirs... Il va falloir que vous maniiez parfaitement la queue...— Oh, ça, il sait le faire à la perfection, répondis-je en souriant.— Et si Gérald gagne ? Ce que j’espère... Le pot final c’est quoi ? demanda un invité en me jetant un regard appuyé et envieux.— Eh bien... Trixie devra ’’payer’’ de sa personne, dit le vieil Alfred en souriant.
Pour avoir déjà joué contre Gérald, je savais que je n’avais pas de grandes chances de gagner. Mais je relevai le défi. Même si je ne rentrais que 5 boules, je gagnais 500 € : pas mal ! Et le but final du jeu était de me faire déshabiller. Et ça ne me déplaisait pas de faire bander ces vieillards.
— OK, je suis d’accord... mais à condition que Gérald se déshabille lui aussi s’il fait une faute.
Les règles définies, la partie put commencer.Honneur aux dames, j’eus les billes de 1 à 7, lors de la casse, j’entrai le numéro deux, Gérald quitta sa veste. Cent euros atterrirent sur la table basse. Je ratai mon second coup. Un petit gros bedonnant s’approcha pour prendre son dû. Je lui tendis mon poignet.
— Vous pouvez quitter mon bracelet...
La déception put se lire sur son visage. Gérald entra trois boules et rata la quatrième. Il quitta sa cravate. Je fis le tour de la table sans essayer de rabaisser ma robe, annonçai le trou, frappai la bille, elle entra, 100 euros changèrent à nouveau de main. Je renouvelai ma prouesse puis échouai lamentablement sur un coup que je croyais facile. Le gars chauve à l’abondante moustache se précipita.
— J’enlève quoi ?— Eh bien ma robe...
Je levai les bras, le fourreau glissa par-dessus ma tête. Alfred alluma à ce moment les lampes au-dessus de la table, une lumière crue et blanche nous enveloppa. Je vis leurs yeux pétiller lorsqu’ils aperçurent mes aréoles brunes à travers la fine mousseline du soutien-gorge. Sous leurs regards, mes tétons commencèrent à durcir et à pointer sous le tissu transparent du soutien-gorge. Face à eux, je m’assis au bord de la table pour qu’ils puissent apercevoir la fente de ma chatte complètement rasée, elle avait l’air d’être mise en valeur par la transparence du string. Ce fut au tour de Gérald, je posai ma queue sur un angle, le gros bout tourné vers moi, et me frottai la vulve au talon de caoutchouc qui protège le fût. Il prit son temps, il avait remarqué mon manège et il leur laissa le temps de mater, j’appuyai mes caresses. Le fin tissu s’insinua entre les lèvres de ma chatte, il entra sa boule. Il passa à côté de moi.
— Salope, si tu continues ainsi, tu vas te faire mouiller, regarde tes mamelons...!— Oui pour mouiller, ça commence !
Il entra encore une boule, rata la suivante, quitta sa chemise. La blanche se positionna devant une des miennes, je n’eus aucun mal à empocher ma bille, l’argent tomba dans mon escarcelle, je tentai ensuite une bande et la réussis, j’en étais à 400 euros de gain ! Je fis plusieurs fois le tour de la table, fis semblant de chercher la meilleure position en me penchant, écartai légèrement les jambes, ils eurent ainsi une vue parfaite sur mes fesses que la ficelle du string ne cachait pas. Cela dut me déconcentrer, car je manquai le coup suivant. Le plus timide de la bande se décida d’approcher.
— Excusez-moi, mais c’est au tour de votre soutien-gorge non ? Me dit-il les yeux brillants allant de mes seins à mon sexe.— Oui, allez-y.
Je lui présentai mon dos, il dégrafa la mince pièce et me fit délicatement glisser les bretelles sur les bras et l’emporta comme un trophée. Ce déshabillage me fit frissonner, il me sembla que mes tétons offerts à leurs regards s’étirèrent encore, l’excitation couvrit mes aréoles de chair de poule. Une moiteur certaine envahit ma chatte. Mon string se tacha à hauteur de mon vagin. Je recommençai à me frotter sur le gros bout de la queue de bois. Le tissu humide pénétra plus profondément dans le sillon de ma chatte, la transparence fut telle que rien n’en cachait la vue.Je commençai à être pas mal excitée, l’alcool et mon petit jeu pervers produisirent leurs effets et exacerbèrent mes sens. Il me sembla aussi que les pantalons des vieux prenaient du volume à hauteur des sexes.
— Tu as raison Gérald, murmurai-je, ça m’excite, je mouille... regarde, je les émoustille !— N’importe comment, je vais gagner et te baiser avec ma grosse bite... Il ne te reste plus que ton string et ton porte-jarretelles, tu as encore quatre boules à empocher !! Mais je sais que tu ne dédaignes pas te faire baiser par des vieux, tu me l’as avoué. Alfred les a invités pour ça ? Pour satisfaire son candaulisme, non ?
Il joua, deux autres billes disparurent dans le ventre du billard, et souriant, il fit exprès de rater la dernière, espérant que je manque mes coups suivants et que mon string disparaisse. Je m’appliquai, ouuuaiiihhhh ! Je fis mouche deux fois de suite... plus que deux !! Je passai derrière le vieux Alfred et lui frôlai lentement son dos de la pointe turgescente de mes seins. Les vieux ne me lâchèrent pas du regard. J’avais gagné 600 euros... Une pensée me vint à l’esprit : si Alfred me faisait jouer, c’était pour que je perde, non ? Et que ses invités se rincent l’œil, il voulait sûrement leur offrir une partie de jambes en l’air, comme le pensait Gérald.
J’entendis les respirations haletantes des quatre hommes qui espéraient voir ma défaite... La virole frappa la boule, le numéro sept roula et se cala au bord du trou... Perdu !! Je regardai Gérald qui me sourit en hochant la tête !!Je m’assis sur le bord du meuble, les cinq hommes m’entourèrent...
— C’est mon tour, c’est mon tour, dit l’un d’eux.
Il me fit basculer sur le dos, et lentement, très lentement fit glisser le mince triangle de tissu le long de mes jambes gainées de noir. Lorsqu’il eut complètement enlevé mon string, il le porta à ses narines.
— Putain, ce parfum... mais, mais elle est humide sa culotte ! Elle mouille la dame... ce petit jeu l’excite !— Bon alors, on finit la partie ? Il me reste une dernière boule à entrer... dit Gérald.— Ce n’est pas la peine, Mademoiselle Trixie a perdu, comme je l’ai promis, elle va payer ! répondit Alfred.
L’arbitre venait de trancher, bonne perdante, j’allais leur offrir la nudité intégrale de mon corps. Cela valait bien le fric que je venais de gagner.Je me relevai et assise sur le bord de la table, posai un talon sur le rebord, écartai ma cuisse. Leurs regards plongèrent dans ma chatte humide qui bâilla largement, j’attrapai le fermoir d’une lanière du porte-jarretelles pour quitter un bas.
— Non, dit Alfred, non, Trixie garde tes bas et le porte-jarretelles, c’est plus excitant... pour la suite... Gérald régale-nous... Elle est à toi ! Approchez, c’est ça plus près, Trixie, sors sa queue et fais-la admirer à ces messieurs, car je crois qu’elle est énorme !
Mon adversaire se mit sur le côté et commença à me sucer les mamelons, je défis un à un les boutons de sa braguette, ma main se faufila à l’intérieur, je sortis les vingt-sept centimètres de sa bite. Au vu de la grosseur et de la longueur, des cris de surprise fusèrent de la bouche des trois copains du vieil Alfred. Je débouclai la ceinture, le pantalon du grand noir tomba le long de ses jambes musclées. Il ne portait pas de slip, il s’était rasé les poils, son appendice semblait ainsi encore plus démesuré, il pendait mollement jusqu’à mi-cuisse.
Gérald promena un regard narquois sur les trois copains de son oncle. Il allait me baiser devant eux. Il m’embrassa, sa langue fouilla ma bouche, je lui rendis son baiser, frottai le bout de mes tétons sur ses pectoraux saillants. Il avait une queue énorme et savait s’en servir et j’aimais ça ! Les amis d’Alfred allaient avoir un spectacle pour l’argent qu’ils avaient perdu.
Je lui suçai les tétons, et ma bouche descendit le long de son ventre, mes lèvres frôlèrent son phallus monstrueux. Je m’accroupis devant les jambes, soulevai à deux mains le gigantesque rouleau de chair, et décalottai doucement le gland, je fis faire plusieurs allers et retours au prépuce avant que ma langue ne vienne le lécher.
— Putain ce qu’elle est grosse et longue... ce n’est pas possible... — Si, rappelle-toi Bisimwa Traoré ! Lorsqu’on partait en virée sur le campus, les filles lui faisaient mettre un anneau pour limiter la pénétration... Mais je dois reconnaître que celle-ci n’est vraiment pas mal non plus.— Ça y est, regardez, elle commence à le faire bander, elle ne va pas pouvoir tout avaler !!— Vous pouvez vous mettre à l’aise, comme au bon vieux temps, nous sommes entre nous... dit leur hôte.
Il ne fallut pas leur dire deux fois, les sexes tendus surgirent des braguettes, les vestes, les cravates, les slips se retrouvèrent sur la moquette.
— Putain, oui je crois que je n’ai jamais vu une bite aussi grosse et aussi longue, elle doit approcher les trente centimètres, maintenant qu’il bande !
Je suçai avec application le gland de Gérald, son sexe s’érigea lentement, ma langue lécha la hampe jusqu’aux testicules, j’en pris un dans la bouche, l’aspirai entièrement. J’enfournai à nouveau le gland, mordillai la verge, la fis entrer petit à petit dans ma bouche, mes précédentes fellations m’avaient appris à ’’apprivoiser’’ le mini-boa qu’était la queue de Gérald, je réussis à en avaler une longueur beaucoup plus importante que les premières fois, je ne désespérai pas d’en arriver au bout. Puis je m’appliquai avec des succions rapides à lui faire bien durcir le membre. Il arriva à son érection maximale, je relevai le pieu sur son ventre pour en faire apprécier la longueur, le bout du gland dépassa le nombril, je lui léchai les couilles.Il se débrouilla pour défaire mon chignon, mes longs cheveux blonds tombèrent sur mes épaules. Je montai sur la table et me couchai sur le dos, jambes écartées à 180 degrés.
— Suce-moi, lèche mon jus... lui intimai-je.— Oui... il me donna un petit coup de langue... Mais dis-leur que tu aimes qu’on te regarde et que ça te fait mouiller... que tu es une petite salope... Venez voir messieurs, approchez !
Il écarta mes lèvres pour bien leur montrer, le ruissellement de ma chatte, il prit la boule noire et commença à frotter mon sillon, les 5,7 centimètres du diamètre de la boule écartèrent mes grandes lèvres ; Gérald appuya légèrement pour bien élargir mes petites lèvres et fit pénétrer la moitié de la bille dans mon orifice vaginal, décapuchonna mon clitoris, il le caressa avec la boule poisseuse.
— Oooouuuui, ooooouuuuiiii..... haaaa... C’est bon continue... Continue...
Je me tordis de plaisir sur le tapis du billard... Trois longs doigts fripés de Alfred entrèrent dans ma chatte, il les enduisit bien de mon foutre avec des lents mouvements de rotation qui me tirèrent des gémissements de plaisir.
— Qui veut sucer, qui veut goûter ce nectar ?
Dit-il en les présentant ses doigts ruisselants à ses amis. Ils voulurent tous sucer, il fut obligé de recommencer l’opération trois fois, ce qui ne fut pas pour me déplaire. Puis sa langue entra en action, léchant la longueur de ma vulve, fouillant mon méat, il la rentra le plus profondément possible. Je sentis que le plaisir montait. Ses doigts se positionnèrent de chaque côté de mon clitoris, le décapuchonnèrent. Il appuya doucement pour bien le faire saillir, puis il le titilla avec l’ongle de son pouce, ses lèvres aspirèrent le petit bouton rose devenu dur comme du bois. Satisfait de lui, il se releva.
— Regardez, Messieurs, son clitoris ressemble à un petit sexe... Elle aime les caresses. Vous allez voir, elle va jouir, la petite salope...
Effectivement, c’était vrai, d’une manière provocante, j’envoyai mon bassin vers l’avant... et écartai encore plus mes grandes lèvres pour bien dégager mon clitoris... j’allais jouir... Alfred se pencha, il l’aspira, ses dents mordillèrent délicatement la petite framboise offerte, son index et son majeur s’insinuèrent doucement dans mon anus. Un énorme spasme de jouissance me fit arc-bouter sur la table, les trois vieux étaient autour de moi, ne ratant aucune miette du spectacle, j’attrapai au hasard deux bites tendues au-dessus de ma tête et les serrai fortement. Mes seins tressautèrent à chaque tressaillement qui partait de mon ventre et me traversait le corps comme une puissante onde de jouissance, la pièce résonna de mes cris de plaisir. Des mains me caressèrent les seins et me pincèrent les mamelons. Des bites se frottèrent sur mes flancs.
— Tu as bien joui, petite salope... à mon tour ! Dit Gérald.
Il me fit descendre de la table de billard, me conduisit vers le canapé, me coucha sur le côté gauche. J’écartai à nouveau les jambes au maximum, son gland énorme vint se poser sur ma chatte, il le frotta doucement dans ma raie ruisselante, attendit que les spectateurs aient trouvé leur place, avant de commencer sa pénétration. Une lampe halogène éclairait le divan, nos ébats étaient pour ainsi dire en pleine lumière.Son énorme gland violacé écarta mes petites lèvres, le diamètre en érection atteignit la grosseur de la boule de billard.
— Eh les gars, vous avez vu la grosseur de la bite, dit Alfred... Vous croyez que cela va entrer sans peine ?
Gérald, en me mordillant le lobe de l’oreille, me murmura.
— Allez, on fait notre petit cinéma... Ça va les exciter, ils ne demandent que ça !!— OK, répondis-je en lui enfournant ma langue dans la bouche.— Salope, dis-nous que tu aimes te faire défoncer par ma grosse queue... Dis-le... Dis-leur que tu aimes te faire baiser par des Noirs avec des bites démesurées... dis-le... — Oui, ouiiii ! J’aime ton énorme bite noire, mais Gérald s’il te plaît doucement... elle est tellement grosse... Et puis, ne la fais pas entrer entièrement, elle est trop longue... s’il te plaît... — Je ne sais pas... qu’en pensent ces messieurs ?
En disant cela, tenant fermement son phallus, il en fit glisser la moitié à l’intérieur de ma chatte.
— Dooouuucemeennt, c’est gros... éructais-je.— Oui, mais tu aimes, non ? Allez écarte bien... — Oui, mais, c’est beaucoup... c’est, c’est énorme... tu vas me déchirer...
Il ressortit le tuyau monstrueux qui poissait de mon foutre.
— Putain, vous avez vu, dit-il en s’adressant aux spectateurs, vous avez vu comment ma grosse queue la fait mouiller, je fais quoi, je la lui mets toute ?— Nooooonnnn, elle est trop grosse et trop longue... nooonnnn !!!!— Si, si continue...— Oui, mets-lui toute ta queue !— Allez Trixie, fais-nous plaisir ! Laisse le faire...
Je les regardai à tour de rôle de mes yeux bleus-vert, leur lançant un regard suppliant... Ils se branlèrent ardemment. Surtout Alfred, qui se tenait en retrait, ne perdant pas une miette du spectacle. Le grand Noir enfila à nouveau la moitié son phallus, puis à petits coups de reins s’appliqua à faire entrer le reste centimètre par centimètre. Au fur et à mesure que sa bite démesurée pénétra en moi, des encouragements fusèrent. Mes cris de refus se transformèrent en râle de plaisir.Ce n’était pas la première fois qu’il enfonçait les trente centimètres de son rouleau de chair noire dans ma chatte. De nouveau, la jouissance monta doucement, de voir l’excitation de ses trois vieux stimula ma libido...Je commençai à gémir de plaisir, mon bassin allait et venait maintenant, d’une secousse plus accentuée, je fis pénétrer la totalité du mandrin qui me labourait.
— Oui, vous avez vu, il lui a tout mis...— La petite salope, elle aime ça...— Visez comme elle se trémousse...
Gérald, pour bien montrer que sa queue était entrée entièrement, marqua des temps d’arrêt lorsque ses couilles furent en contact avec mes fesses. Il me martela longtemps, attentif à me pas me faire jouir... Il désirait autre chose.Il s’assit sur le divan, et me mettant face à eux, jambes pliées, largement écartées, talons posés sur le canapé de chaque côté de ses cuisses. Tenant sa bite d’une main, il présenta le bout de son pieu, ruisselant de mon foutre à l’entrée de mon orifice anal, un anneau de cyprine laiteuse entourait la base de sa bite. En regardant les invités du vieil Alfred avec un petit air de défi, j’abaissai mon bassin. Le gland bien lubrifié glissa dans mon ampoule rectale, le reste du piston suivit. Mes parois anales furent distendues par la lente pénétration, je posai un pied par terre pour faciliter les mouvements du bassin de Gérald. Comme pour la pénétration de ma chatte, les encouragements fusèrent.
— Oui, oui, vas-y enfonce...— Tu es presque au bout...— La salope, la salope...
Sa queue était entièrement en moi, je m’assis sur ses cuisses. Ses mains englobèrent mes seins, il comprima mes tétons entre ses phalanges pour bien les faire ressortir, il savait que j’aimais ça...Mes deux mains appuyées sur ses genoux, je me levai et me rabaissai lentement. Les quatre copains d’Alfred bouche bée regardèrent le monstrueux tuyau poisseux sortir puis replonger dans mes entrailles. J’entendis leurs respirations s’accélérer, ils s’approchèrent, le petit ventru me présenta sa bite, j’ouvris la bouche, mes lèvres se refermèrent sur sa queue assez courte, mais très large.
— Suce-moi... suce-moi.
Ce que je fis avec application, les mains à l’arrière de ma tête, il enfonça entièrement sa bite dans ma gorge.Les deux autres me prirent les mains et me firent comprendre que leurs queues n’attendaient qu’une chose, une masturbation.J’arrêtai mes va-et-vient sur la colonne noire de Gérald, la maintenant en érection par de petites rotations de mon bassin. Je jetai un coup d’œil à Alfred, je l’avais complètement oublié, il était assis, souriant sur un fauteuil, contemplant sa jolie Trixie se faire baiser par des vieillards. Sur le canapé un quatrième lascar, grand moustachu, chauve, se caressait en souriant, calottant et décalottant sa bite qui n’était pas aussi grosse ni aussi longue que celle de Gérald, mais qui devait avoisiner en érection les 24 centimètres.
— Eh, Marc... Elle ne te plaît pas ? Dit Alfred.— Si, si, mais j’attends qu’ils aient fini leurs petites affaires...
La respiration du petit gros s’emballa, il plaqua ma bouche sur son ventre et éjacula avec de longs jets ; le sperme tiède coula dans ma gorge. Il eut tout juste le temps de se reculer et la bite de son voisin de gauche se glissa dans ma bouche et il éjacula à son tour.
— Tiens, tiens, Salope avale, avale...! Oh putain c’est bon, c’est bon...
Un reliquat de sperme de celui de droite, gicla sur mes seins, il attendit que son copain libère ma cavité buccale, puis frotta sa bite dans sa semence, il me la fit lécher, me demanda de bien aspirer son méat. Alfred manœuvra une manette et le dossier du divan s’abaissa, le transformant en une sorte de lit.
— Tu viens de les faire éjaculer ! Dit Gérald, ah non il en reste un ! Putain tu as vu, il a une sacrée queue... Je crois qu’il veut te baiser... Mais moi je suis dans ton cul, j’y reste je n’ai pas joui... il se débrouille ou il attend...— Mademoiselle Trixie, me permettez-vous de vous baiser ? Pourriez-vous écarter vos cuisses ?
Gérald glissa sur le dos, son énorme bite s’échappa de mon trou intime...
— Attendez, je vais la remettre, le moustachu attrapa le sexe gluant et le remit dans mon fourreau anal, voilà poussez un peu jeune homme. Voilà, elle est entrée, à mon tour...
Son gland appuya sur mon orifice vaginal, et s’enfonça lentement entre mes parois, avec son pouce, il se mit à me masturber le clitoris tandis que ses lèvres aspirèrent mes tétons à tour de rôle. Il se mit à me mordiller doucement les petites hampes brunes et dures, me tira des gémissements d’extase.Sa queue s’enfonça doucement, mais profondément dans ma vulve, il accéléra la cadence...
— Eh attends, on ne profite pas du spectacle, relève ton buste, dit un de ses amis...
Mes gémissements et mes cris de plaisirs durent les mettre au comble de l’excitation. Ils appuyèrent sur mes jambes pour les écarter au maximum et purent ainsi apprécier les pénétrations des sexes monstrueux qui pourfendaient ma chatte et mon anus.
— Putain, la Salope, elle a l’air de vraiment aimer ça... Alfred, on peut garder un souvenir, demanda le bedonnant... ? Oui, alors je veux ses bas...
Ses doigts tremblants s’affairèrent à défaire les attaches de mon porte-jarretelles puis il quitta le bas de ma jambe droite. Il le descendit avec lenteur et lécha chaque centimètre de peau qu’il découvrit, il fit de même pour ma jambe droite. Ses douces caresses m’excitèrent encore plus.
— Je vais compléter ma panoplie, dit celui qui avait récupéré mon string...
Il enjamba ma tête, se pencha sur moi, fit tourner mon porte-jarretelles autour de ma taille et le dégrafa.
— Putain, elle mouille vachement...
Cela dut lui donner une idée, il se pencha encore plus, et commença à titiller mon clitoris avec sa langue, puis il se mit à lécher le tour de ma chatte.
— Délicieux, délicieux... divin ce nectar...
Et faisant abstraction de toute retenue, il se mit à lécher la bite de son copain chaque fois qu’elle s’extirpait de ma vulve poisseuse. Son majeur caressa en petits cercles mon petit bouton rose.Je vis sa queue se balancer au-dessus de moi, je l’attrapai et me mis à sucer son gland, je l’entendis gémir de contentement.Je dus perdre la notion du temps, il me sembla que mon corps transmit à mon esprit des milliards de sensations, c’était exquis, et celui-ci en demandait toujours plus... Les muscles de mes parois vaginales et anales semblaient pourvus de vie propre et se contractaient tout seuls autour des deux énormes mandrins qui me martelaient. Mes neurones se surchargeaient de plaisir, mes entrailles aussi...
— Je vais jouir, je vais jouir, hurlai-je... Putain que c’est bon... — Moi aussi, dit Gérald.
Et d’un coup de reins puissants, il enfourna son sexe monstrueux jusqu’à la garde, une série de spasmes le secoua lors de son éjaculation. Les contractions de sa grosse bite déclenchèrent mon orgasme, je criai de bonheur, enserrant avec force la queue qui se trouvait dans ma chatte, le chauve se raidit à son tour, et de grandes giclées de sperme chaud virent buter sur le col de mon utérus. Il se retira doucement tout en continuant à éjaculer.
— Ouuuuiiiiii, Ouuuuuiiii, c’est bon... c’est bon... il y a une éternité que je n’avais pas joui comme ça... je ne sais pas si je vais encore pouvoir baiser ma femme... Alfred, Alfred, tu nous inviteras encore...!! — Si j’osai, je vous demanderai si vous voulez bien, de vous retourner Trixie... me demanda celui qui était au-dessus de moi, je crois que je vais jouir et je n’ai jamais sodomisé une fille de ma vie... et puis ma queue est toute petite en comparaison de celle de Gérald...!
Je me mis à genoux, il s’installa entre mes cuisses, sa queue glissa sans à coup dans le chemin ouvert par mon amant noir, et effectivement au bout d’une dizaine de va-et-vient, sa semence gicla pour aller se mélanger à celle de Gérald.
Je regardai Alfred, il était aux anges, il avait dû se masturber, pas grave... il pouvait me baiser quand il le désirait. Ce qui lui importait, c’était qu’il avait, par mon intermédiaire contenté son candaulisme et ses vieux copains. Ceux-ci ne tarirent d’ailleurs pas d’éloges sur moi, ma beauté, mon savoir-faire, et ils n’en revinrent toujours pas d’avoir pu baiser, à leur âge, une jeune et jolie blonde aux yeux verts et au corps parfait. Alfred et Gérald avaient vraiment de la chance... Ils espéraient que leur vieil ami de faculté les convierait à nouveau.
Ils regagnèrent à regret leurs voitures.
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