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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 2

le majordome

Avec plusieurs hommes
— Trixie, me dit Alfred, en revenant de raccompagner ses copains, tu sais, je suis extrêmement malheureux ! Aucune femme n’a voulu de moi, je n’ai pas pu me marier... je n’ai pas de descendance. Maintenant, je suis vieux, laid. Lorsque j’ai de la chance, les filles acceptent tout juste de me faire une fellation, et je ne veux pas fréquenter les péripatéticiennes, avec toutes les maladies qui circulent ! Les occasions sont rares pour satisfaire ma libido... J’en suis donc arrivé à pratiquer comme je t’ai expliqué le voyeurisme et maintenant que tu es là, le candaulisme. C’est une pratique sexuelle dans laquelle je ressens de l’excitation en regardant des rapports sexuels qui ont lieu entre une ou plusieurs personnes, devant mon regard consentant, et j’y ai pris goût. En plus, mon cardiologue m’a déconseillé les efforts violents. Il n’y a qu’ avec toi que j’ai pu enfoncer entièrement mon petit mandrin et depuis, plus rien... Mais rends-toi compte que cela faisait presque dix ans, depuis que nous avons fait l’amour, que je n’avais pas touché une fille...
Je crus qu’il allait pleurer... Mais oui, une larme perlait sur sa joue ! Je me levai à mon tour, et avec un air contrit me dirigeai vers lui, je lui déposai un baiser sur la joue...
— Je vois, mais que puis-je faire, pour vous ? Comment puis-je vous aider ?— Oui, dit Gérald, comment peut-on vous aider ?— Eh bien, les enfants, en faisant comme ce soir en égayant mes soirées... Et puis, Trixie, je viens d’embaucher un majordome, Victor, pour ce qui est entretien de la maison, il paraît que c’est une vraie perle ! Demain c’est dimanche, tu n’as qu’à venir avec Gérald faire connaissance avec lui.— Ah moi, non je ne peux pas, répondit l’intéressé, j’ai une compétition de basket jusqu’à très tard le soir, nous sommes en déplacement...
Le lendemain matin, il fit visiter à Victor sa somptueuse villa, avec jardin, piscine, un vaste living-room meublé avec un goût certain, une salle de bain immense, quatre chambres spacieuses. Le domestique avait revêtu les habits de fonction, gilet à rayures noires et jaunes, chemise blanche, nœud papillon, pantalon noir. Il était chauve sur le dessus du crâne, il devait avoir entre cinquante-cinq et soixante-cinq ans. Il me dévisagea avec intérêt. Il prit ensuite son travail comme s’il avait toujours été dans la maison.Il était bientôt dix-neuf heures et nous étions dans le living-room.
— Alors qu’en penses-tu ? Nous allons prendre l’apéritif, j’ai demandé à Victor de nous servir dans un quart d’heure. — Oui, il a l’air parfait en tout cas, il est très stylé...— Au fait... Tu sais que je suis un excentrique, alors j’aimerai que tu portes ça en permanence dans la maison...
Il déballa des sous-vêtements, en fine dentelle noire.
— Tu veux bien les enfiler ! Veux-tu mettre la nuisette que je puisse juger...
Ce genre de lingerie me plaisait beaucoup, lorsque je rentrais chez moi après le boulot, je m’habillais souvent ainsi. C’était d’ailleurs lorsque je portais ce genre de lingerie qu’un grand noir m’avait prise avec passion... enfin, j’y avais mis du mien ! Alors pourquoi ne pas lui faire plaisir ! Je quittai ma robe, ôtai mon soutien-gorge. En string, bas et porte-jarretelles noirs, j’enfilai la nuisette noire, en tulle complètement transparent, elle s’arrêtait au ras de mon pubis et ne cachait rien du tout de ma chatte bien rasée. Deux fentes que l’on pouvait rapprocher en nouant un petit ruban, laissaient mes aréoles découvertes et pointer mes tétons.
— Parfait cette nuisette, dit Alfred, passe le déshabillé...
Il me tombait sur les chevilles, noir entièrement transparent, il avait seulement de minces bandes de fourrure autour des poignets, sur le bas et autour du col. Il ne comportait aucun moyen de fermeture et béait largement sur le devant. Je me regardai de dos dans le grand miroir au-dessus de la cheminée... mon porte-jarretelles soulignait ma taille, mes bas affinaient mes jambes, je me tournai de face, le déshabillé ne cachait rien de mes mamelons sortant par les fentes de la nuisette, c’était très érotique.
— Tu sais, tu peux garder ton string, mais je préfère que tu n’en portes pas, quitte-le pour voir. Tu as une si jolie chatte, c’est dommage de la cacher !
J’étais en train d’extirper mes chevilles de mon string, lorsque la porte s’ouvrit et le majordome entra, il faillit lâcher le plateau sur lequel il apportait l’apéro, en m’apercevant.
— Oui Victor, il va falloir vous habituer, Mademoiselle Trixie sera toujours vêtue ainsi pour me tenir compagnie dans la maison. Elle est ravissante, n’est-ce pas ! Cela vous va-t-il ? Et toi Trixie es-tu partante...— Oh oui, Monsieur, Mademoiselle est tellement belle ! répondit Victor avec un large sourire lubrique sur son visage, les yeux fixés sur ma chatte rasée...— Et toi, Trixie, es-tu d’accord, pour être vêtue ainsi dans la maison, même devant Victor ?— Ou... oui... si cela vous fait plaisir...
Il vit le regard plein de suspicion que je jetai à Victor.
— Je tenais à vous dire Victor, que vous ne pourrez apprécier Mademoiselle Trixie qu’en ma présence... dit le vieil Alfred avec un sourire coquin.
Mais je vis qu’il lui faisait un clin d’œil, en me quittant le déshabillé pour que le domestique puisse m’admirer seulement en nuisette, il me fit faire une volte complète, et remonta légèrement le tissu arachnéen sur mon ventre, pour bien lui faire admirer ma chatte.
— Magnifique sa chatte, pas vrai Victor ! Vous avez vu ses grandes lèvres ? Magnifiques... Alors marché conclu Trixie, me dit le vieil Alfred.
Cette situation commençait à m’exciter. Et puis je verrai bien !
— C’est... c’est d’accord...— Bon, c’est bien sûr ? Tu ne reviens pas sur ta décision ?— Non, je n’ai qu’une parole !— Je t’ai parlé de ma passion pour le candaulisme, alors lorsque Gérald viendra, j’aimerais bien assister à vos ébats amoureux, habillée ainsi, nous en avons déjà fait l’expérience l’autre soir avec mes amis !— Pas de problème, lui dis-je.— Ah oui encore un petit truc ! Victor, veuillez baisser votre pantalon !
Le majordome s’exécuta, il ne portait pas de slip, il bandait énormément, son sexe en grosseur et en volume ressemblait en tous points à celui de Gérald, mais en blanc.
— Sa bite te convient-elle ?— Heu... oui, elle est vraiment grosse, mais pourquoi...— Et bien pour satisfaire ma passion ! J’ai embauché Victor en fonction des capacités que j’ai pu découvrir lors de ton coït avec Gérald et son énorme bite. Et attention Victor, même si Mademoiselle Trixie vous aguiche, interdiction de lui faire l’amour hors de mon autorisation !
Je compris que les jours à venir allaient sûrement « être chauds »... Ce devait être ce qu’attendait Alfred... Nous surprendre Victor et moi en train de baiser... pour nous mater et satisfaire son candaulisme. J’hésitai un peu, puis ma libido prit le dessus, cela pouvait être assez torride ! J’avais pris possession de ma nouvelle demeure. Le soir lorsque je rentrais du boulot, pour faire plaisir à Alfred, je ne me promenais plus dans la maison qu’habillée comme il me l’avait demandé. Cela ne me dérangeait pas de flâner ainsi, et de vaquer à mes occupations, Victor tenait ses distances, bien qu’il me regarda avec des yeux pleins de désirs.Je me demandai quand arriverait le moment où le maître de maison laisserait Victor me baiser. Au début, je mettais un string, mais lorsque je passais à côté d’ Alfred, il me le quittait par jeu érotique. Un jour qu’il avait les bras chargés de bouquins, il me croisa.
— Trixie, ma chérie, pourquoi t’obstines-tu à nous cacher ta merveilleuse chatte ? Victor, pouvez-vous venir ?— Ça y est, me dis-je !— Pouvez-vous ôter le string de Trixie, j’ai les bras chargés !
Le domestique ne se le fit pas dire deux fois. Il se mit à genoux devant moi et très lentement avec un sourire béat, il commença à descendre le minuscule triangle de tissu.
— Du temps que vous y êtes, Victor, faites-lui un doigté et vérifiez si Mademoiselle Trixie apprécie que nous extasions devant-elle lorsqu’elle est ainsi vêtue !
Effectivement, chaque fois que je croisais dans la maison l’un des deux hommes, leurs regards lubriques se posant sur mon corps dénudé, déclenchaient une certaine moiteur dans ma chatte. Alors, en ce moment, la sensation délivrée par ce lent déshabillage avait provoqué un afflux de foutre dans mon sexe. Avec un large sourire, Victor se releva, passa sa main gauche sous la nuisette à hauteur de mes hanches, et plaqua l’autre sur ma chatte. Deux doigts s’insinuèrent entre mes lèvres, tandis que son pouce me frottait doucement le clitoris, la caresse s’éternisa... je retins mes gémissements...
— Alors, Victor ? — Oh oui, Monsieur, elle mouille énormément.
Il sortit ses deux doigts ruisselants de mon foutre... Il les montra à Alfred, puis suça la mince pellicule visqueuse.
— Délicieux...— Victor, j’ai les mains prises, voudriez-vous me faire goutter !— Si Mademoiselle veut bien écarter un peu les jambes... et si Monsieur permet...— Je vous en prie Victor.
Alfred posa ses bouquins et s’assit dans un fauteuil.Le majordome passa derrière moi, pour que son patron ne puisse rien rater de l’opération. Il écarta le déshabillé sur ma poitrine, défit les rubans des fentes de la nuisette, les écarta pour bien dégager mes aréoles, et se mit à faire rouler et à presser mes tétons entre pouces et index, ceux-ci ne tardèrent pas à réagir sous la caresse. Lorsqu’il jugea leur érection suffisante, il reprit un ruban et le noua autour du petit pic brun, en serrant assez fortement, je ne pus retenir un petit cri de douleur, il procéda de même pour mon autre sein.
Puis ses mains descendirent le long de mon ventre, il caressa ma peau sous mon porte-jarretelles.Je tendis le bassin en avant, deux longs doigts s’insinuèrent entre mes lèvres. Il savait y faire le vicieux. Une légère douleur irradia de mes mamelons emprisonnés et descendit jusque dans mon ventre, j’aimai cela. Je mouillai encore plus en gémissant de plaisir, Victor mit trois doigts, puis quatre dans ma chatte, je mouillai tellement qu’il me semblait entendre comme un bruit de succion à chacune de ses pénétrations. Satisfait de lui, il ôta sa main gluante de mon foutre, et se dirigea en souriant, fier de ce qu’il avait provoqué, vers Alfred.
— Si Monsieur veut bien sentir ce parfum, c’est divin... dit-il en mettant ses doigts sous le nez du vieux gynéco...— Oh oui... je sais, mais permettez que je lèche...! — Alfred, Alfred... dis-je, d’un ton éploré, tu ne vas pas me laisser dans cet état...!— Vous avez entendu, Victor... les désirs de Mademoiselle sont des ordres !!
Victor revint vers moi, se mit sur mon côté droit et recommença son doigté, ce fut divin, il réussit à enfiler presque entièrement sa main dans ma chatte, Alfred lui regardait en masturbant son petit phallus bien tendu. Je sortis l’énorme bite de Victor et la caressai. Il se pencha sur mes seins et mordilla les pointes gorgées de sang et endolories par les rubans noués. Je gémis d’extase. La vieille et bite d’ Alfred était tendue, il me regarda avec des yeux ayant l’air de vouloir dire :
— Et moi alors, tu m’oublies ?
Je saisis les accoudoirs du fauteuil où il était assis, et me penchai en avant, j’engloutis la verge du vieil Alfred lentement. Il me saisit derrière la tête et me la poussa doucement pour faire entrer son sexe jusqu’au fond de ma gorge. Victor quitta le déshabillé. La nuisette remonta sur mes reins et ma position, fesses offertes, jambes écartées lui facilitèrent grandement la tâche. Je sentis à nouveau sa main à l’intérieur de mon sexe. Son gland effleura mon orifice anal.
— Monsieur me permet-il de sodomiser Mademoiselle ?— Mais oui Victor, allez-y...
Le vieux majordome me fit appuyer sur un guéridon, jambes bien écartées, de dos face à Alfred. Il écarta mon trou intime pour le lui montrer. Sa verge retourna mon ampoule rectale et s’enfonça lentement en moi, glissa entre mes parois anales, il me sembla que sa pénétration n’en finissait pas. Il était assez vieux certes, mais sa queue était longue et dure. Il m’attrapa fermement à hauteur des hanches et commença à me labourer l’anus. Tout en me besognant, il me conduisit devant le sexe tendu d’ Alfred. Je le mis dans ma bouche, les à coups m’obligèrent à avaler la queue du vieil homme qui à chaque fois, gémissait de contentement, il commença à haleter de plaisir. Victor adopta une autre tactique, il alterna ses pénétrations, une fois dans mon anus puis dans mon vagin. Il accéléra la cadence, le frottement de ma bouche sur la bite de Alfred se fit plus rapide, elle se contracta et il explosa au fond de ma gorge.
Victor vit que son patron éjaculait, d’une main, il me bloqua la tête pour m’empêcher la reculer.
— Avale petite salope, me dit Alfred à chaque giclée, tu l’aimes mon vieux sperme, hein !— Je vais jouir, moi aussi... dit Victor.
Il m’attrapa les seins, la bite enfoncée jusqu’à la garde dans mon cul, il expulsa son liquide chaud, au fond de mon ventre, il éjacula longtemps. Les deux éjaculations simultanées et les cris de jouissance des deux hommes provoquèrent mon orgasme. Puis il ouvrit mon anus pour montrer à Alfred son sperme qui coulait de mon trou intime.
A partir de ce moment, je ne mis plus de string, et mon sexe que la nuisette ne cachait pas était en permanence exposé à leurs regards. Même lorsque Gérald ou Maxime venaient me voir, je restais ainsi, cela les excitait, disaient-ils, et ils me prenaient avec plus d’entrain devant le vieil Alfred.
Ma nudité plaisait énormément à Victor qui me dévorait littéralement des yeux et me suivait comme un petit chien. Plusieurs fois lorsque je le croisai, il sortit son énorme bite, et se décalotta le gland en me regardant avec un grand sourire. Mais il respectait pour l’instant les consignes d’ Alfred, ne me toucher qu’en sa présence. Lorsque je lisais sur le canapé du salon, il était toujours dans la même pièce à faire du ménage. Je laissais alors glisser le déshabillé de mon torse et le repoussai largement de chaque côté de mes cuisses. Puis j’ouvrais lentement les jambes, mes lèvres vaginales s’écartaient et il pouvait apercevoir, puisque j’avais la chatte complètement rasée, le rose de l’intérieur de mon orifice vaginal et mon clitoris qui pointait.
Ce petit jeu m’excitait, mes tétons s’érigeaient, mes deux mamelons bruns et durs sortaient par les ouvertures de la nuisette. Victor se mettait en face de moi, et se caressait à travers son pantalon, parfois il sortait son énorme verge, il attendait sûrement que je prenne des initiatives.
Souvent, je le regardais langoureusement et me masturbais le clitoris ou me pinçais le bout des seins... sans jamais lui accorder rien de plus. Je me mettais alors deux doigts dans le vagin, et lorsqu’ils étaient bien trempés avec mon foutre, je les léchais voluptueusement. Parfois, il ne pouvait plus se retenir et je voyais une tâche s’étaler à hauteur de sa braguette ou un jet de sperme gicler sur la moquette, il ne portait jamais de slip. Je le rappelais à l’ordre.
— Eh oui, Victor, il faut respecter les ordres de Alfred, tu ne peux me toucher qu’en sa présence !!— Salope, je te le ferai payer...!! me disait-il alors. — Mais tu ne veux quand même pas me baiser, quand Alfred n’est pas avec toi !!
Je voulais le rendre fou d’envie... Je sentis que Victor ne pourrait pas résister et ne prendrait de force, il me sembla que c’était ce que Alfred attendait... que le majordome me prenne de force. Un samedi, je travaillais avec le vieil Alfred dans son bureau, lorsque vers 16 h 30, il me demanda d’aller dans la cuisine faire une cafetière de café chaud. J’obtempérai. J’entrai vivement dans la pièce, Victor était en compagnie d’un livreur, qui tournant la tête vers moi, renversa son cageot de légume en me voyant ainsi vêtue.Le déshabillé grand ouvert, ma chatte bien rasée encadrée par mon porte-jarretelles offerte à ses regards, les tétons pointant par les fentes de la nuisette transparente. Je voulus faire demi-tour. Victor m’attrapa par un bras.
— Monsieur vous a donné un ordre, me semble-t-il ? La cafetière est sur la table.
Il m’y conduisit avec une certaine rudesse. Il m’amena en pleine lumière entre la table et la porte-fenêtre ouverte, sûrement pour faire admirer mon corps au livreur. C’était un homme d’environ trente ans, court sur pattes, gros, adipeux. Il se dégarnissait déjà et avait un double menton, il n’était pas rasé et semblait sale. Bredouillant, il se mit à genoux devant moi pour ramasser les légumes, la plupart se trouvaient maintenant entre mes pieds. Bouche ouverte, les yeux ne pouvant se détacher de ma chatte, il tâtonna sur le sol avec ses grosses mains velues. Victor passa derrière moi et me saisit les bras, faisant saillir ma poitrine.
— Eh petiot, t’as vu comme elle est belle ! Qu’attends-tu pour la caresser ?
Les grosses mains du livreur se posèrent sur mes talons aiguilles, remontèrent le long de mes chevilles, suivirent doucement mes cuisses fermes, s’arrêtèrent sur les attaches de mon porte-jarretelles. Il respira de plus en plus vite, Victor lui, m’ enleva le déshabillé, il défit les petits rubans qui « fermaient » les fentes de la nuisette sur mes aréoles. Il les écarta et commença à me titiller les bouts, ma poitrine malgré moi se cambra vers l’avant, mes tétons s’érigèrent, mes seins gonflèrent. Je fus surprise et n’esquissai aucun geste de refus. Ce fut à ce moment que j’aperçus Alfred qui filmait la scène depuis la terrasse par la porte ouverte, je compris pourquoi Victor était au courant pour le café ! Advienne que pourra je ne résistai pas !
Les mains du gros suivirent lentement les lanières arrières de mon porte-jarretelles, malaxèrent doucement mes globes fessiers, et elles caressèrent la ceinture de mon porte-jarretelles. Elles redescendirent sur le devant de mon mont de Vénus et avec ses deux pouces, il écarta mes lèvres, ma chatte était énormément mouillée. Je vis sa grosse tête s’approcher, et sa langue s’insinua dans mon méat, il me lécha la fente du bas en haut, aspira mon clitoris, je gémis de plaisir. Il le téta littéralement, je le sentis durcir. Victor me lâcha les bras pour s’occuper de mes seins, j’attrapai la tête du livreur pour la maintenir plaquée sur mon bas-ventre. Des râles sortirent de ma bouche.
Le gros épicier, excité, défit son pantalon, et il se coucha sur le dos, sa bite n’était pas longue du tout, mais elle avait la grosseur d’un verre, Victor me fit tourner face à lui. Les jambes de chaque côté du gros corps couché, dont la queue émergeait d’un amas de poils drus et noirs. Le gros livreur attrapa mes hanches et me força à m’ asseoir sur sa bite. Son gland énorme et violacé pénétra lentement entre mes lèvres moites, il me tira violemment vers le bas, pour faire entrer le reste.
Victor, lui aussi avait le pantalon sur les chevilles, sa grosse queue pendait molle pour l’instant entre ses cuisses. Alfred filmait toujours.
— Suce-moi, dit Victor.
J’ai toujours aimé décalotter les bites, surtout lorsqu’elles sont énormes, je trouve cela très érotique et celles de Victor et de Gérald faisaient partie des appendices que je préférai. Je tirai doucement en arrière le prépuce, en fis attention de ne décalotter que la moitié du gland. Puis avec mes lèvres, j’aspirai doucement la partie découverte. Victor tressaillit, et lentement, je continuai à tirer la peau de son prépuce vers l’arrière et aspirais au fur et à mesure que je découvrais son gland, puis une fois que celui-ci fut mis à nu, je le suçai comme une tétine. Sa queue enfla entre mes mains qui en caressèrent doucement la longueur. Jugeant que la dureté de sa bite était suffisante, je commençai à l’avaler progressivement. Vu la grosseur, je fus obligée d’ouvrir ma bouche en grand, mais elle s’enfonça dans mon gosier, je dus la sortir plusieurs fois et recommencer l’opération pour arriver enfin à l’avaler entièrement et que mes lèvres frôlent ses poils pubiens complètement blancs.
Le gros pendant ce temps me fit légèrement basculer en avant, tout en continuant ses allers et retours avec sa courte, mais montueuse bite raide, mon foutre ruissela sur son ventre. Il m’enfonça son pouce droit dans l’anus, puis il y joignit deux autres doigts. Une fois qu’il eut bien écarté mes parois anales, d’un seul coup, il sortit rapidement sa queue de mon vagin et l’enfourna entièrement dans mon cul. Si la bite de Victor n’avait pas été au fond de ma gorge, j’aurai rugi de plaisir. Il me souleva comme une plume et me laissa retomber de plus en plus vite, si bien que je ne pus plus sucer Victor. Ses mains remontèrent sous la nuisette jusqu’à mes seins qu’il compressa d’une force inouïe et s’arquant, il explosa de jouissance avec un grand cri rauque.
— C’est bon, j’ai tout filmé... dit Alfred qui entra dans la cuisine pour ne rien rater de la scène. Mais Victor, Mademoiselle Trixie n’a pas joui...!! — C’est vrai Monsieur, mais moi non plus !!
Avisant un énorme concombre ayant la peau toute boursouflée, tombé du cageot renversé, Alfred demanda à Victor de s’en servir comme godemiché. Il le ramassa, le compara à son énorme bite en érection et avec un sourire lubrique, dit à Alfred, qui s’était remis à filmer.
— Monsieur a raison, il est plus gros que ma queue, Mademoiselle va apprécier !!
Il me releva, me coucha sur la table, jambes pendantes. Il releva ma nuisette au-dessus de mes seins. Soumise, j’écartai largement les jambes, offrit ma chatte béante, gluante et palpitante à l’objectif de la caméra et aux regards des trois hommes.
Le gros dont la bite était flasque, s’approcha de mes seins et se mit à sucer mes tétons. Victor lui, me frotta le bout du concombre le long de la chatte, essaya de récupérer mon foutre et le sperme du gros jeune homme pour lubrifier le légume, il y cracha dessus, et écarta mes lèvres, commença à faire pénétrer par petites pressions successives l’énorme légume boursouflé. Il avait le coup de main le vieux sadique, lorsqu’il eut bien écarté ma vulve, il ressortit la cucurbitacée, puis l’enfonça à nouveau par des petites saccades de son poignet. Lorsque doucement, il le tourna, les boursouflures me râpèrent les parois vaginales, que je contractai et relâchai pour absorber le légume, je me tortillai sur la table. Je haletai de plaisir. Le gros subjugué par cette pénétration arrêta de me sucer les seins.
— Oui regardez Monsieur, Mademoiselle apprécie, elle mouille de plus en plus et sa chatte s’ouvre largement, j’ai bientôt tout enfilé...
Je hoquetai de plaisir, je me traitai de salope, mais j’aimai cela, je me surpris à saisir la main de Victor pour accélérer la cadence et l’enfoncer plus profondément, il entra presque entièrement dans mon vagin, il ne dépassait que de quelques centimètres. C’est à ce moment que la sonnette retentit. En me laissant l’énorme légume dans la chatte, Victor me releva, réajusta les fentes de la nuisette bien en face de mes mamelons qui ressemblaient à deux petites têtes d’obus, remit d’aplomb mon porte-jarretelles et mes bas, tira légèrement sur le bas de la nuisette et me remit le déshabillé.
— Si Mademoiselle veut bien aller ouvrir, me dit-il !— Comment ? Comme ça... avec ce truc ? hoquetai-je !— Oui, c’est un sacré morceau, et ça te fait mouiller comme une petite folle, pas vrai ! Dit Alfred.— Et vous voulez que je conserve ça en moi pour aller ouvrir ?— Oui, allez-y et dépêchez-vous, marchez ! Que nous puissions vous admirer Mademoiselle ! dit Victor.
Je me dirigeai vers la porte d’entrée, chaque pas fit bouger l’énorme concombre, cela me fit un peu mal, mais je sentis le plaisir qui montait. Mon visage dut trahir mon émoi et le foutre qui humidifia le pourtour de mon sexe, me rendit folle d’excitation.
— Tu aimes ça coquine, me dit Alfred.
Je répondis par un hoquet de plaisir. J’atteignis la porte et l’ouvris. Un jeune noir d’au moins deux mètres se tenait dans l’encadrement. Mes yeux brouillés ne le reconnurent pas.
— Je suis Gérald... Tu m’as dit de passer !
Ses yeux me parcoururent des pieds à la tête, il ne sut pas sur quelle partie de mon corps les fixer. Lorsque je compris qui il était, une série de petits spasmes contractèrent mon utérus comprimant le concombre, je crus que j’allai jouir devant lui.
— Mademoiselle Trixie, faites entrer Monsieur, dit Victor derrière moi.
Je retournai dans la cuisine, Gérald sur mes talons. Son regard se fixa sur mes fesses que je gardai serrées pour ne pas perdre le légume, qui entrait et sortait à chacun de mes pas. Arrivée à la table, je m’y appuyai, légèrement penchée en avant, jambes écartées, je me sentis prête à jouir, Gérald était toujours derrière moi. Victor en le regardant en souriant, me quitta le déshabillé, le fait de sentir le vêtement glisser, que mes fesses et ma vulve dénudées soient offertes au regard de mon amant me fit jouir. Un violent spasme me contracta les entrailles, la cucurbitacée fut éjectée de ma chatte ruisselante et tomba sur le sol, un flot de foutre s’écoula à la suite. Abasourdi dans un premier temps, Gérald se baissa, ramassa le légume.
— Ma foi... bel engin...!
Dit-il en examinant, sous toutes les coutures, le légume dégoulinant de mon jus intime.
— Mais il n’est pas aussi gros que ma bite... si ça te dit !
Joignant le geste à la parole, il quitta son pantalon. Je ne pus rien voir, agrippée à la table encore parcourue par des tremblements, finissant de jouir. On aurait pu entendre une mouche voler.Je le sentis s’approcher, ses deux mains me saisirent à la taille, et descendirent le long des lanières de mon porte-jarretelles, arrivées aux bas, elles remontèrent très doucement, passèrent sous la nuisette, qu’elles remontèrent, s’attardèrent sur mes seins.
— Putain que tu es belle, ma petite salope de blonde.
Me murmura-t-il dans l’oreille avant de m’en mordiller le lobe et de me lécher le cou. Puis il fit passer la nuisette par dessus ma tête. Ses longues mains se posèrent sur mes épaules, lorsqu’il me saisit les seins, je frissonnai d’extase. Il me pencha un peu sur la table, fléchit les genoux et je sentis le dessus de sa bite, frotter ma fente trempée. Il me pénétra lentement... Quoiqu’il en fut, j’allai encore passer un bon moment !
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