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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 3

Le diner...

Avec plusieurs hommes
Alfred aimait bien une fois dans la semaine, que nous mangions le soir tous les deux en tête à tête. Nous devions nous habiller en grand standing. Il mettait un costume sombre, une chemise blanche et une cravate.Il m’avait acheté pour les grandes occasions plusieurs robes du soir noires, très décolletées. Ce soir j’en choisis une, retenue par de fines bretelles sur les épaules. Il ne me fut pas pensable de porter un soutien-gorge en dessous. Je nouai mes cheveux châtains dorés presque blonds en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complètement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornèrent mes oreilles et j’accrochai un collier du même genre à mon cou. Des deux cotés, la robe était fendue très haut sur les cuisses. Chaque mouvement laissait apercevoir une bande de peau blanche, au-dessus de mes bas noirs. Assise, le pan de devant tombait entre mes jambes, dévoilant les fermetures et les lanières de mon porte-jarretelles sur mes deux cuisses.Ce soir, j’ai décidé de faire une surprise à Alfred. Dans ma jeunesse, j’avais été invitée au restaurant, par le grand-père de mon flirt de l’époque. Cela fut un repas mémorable. Du point de vue sexuel, j’avais passé une soirée fantastique. Je voulus offrir la même à Alfred.J’ai donc briffé Victor, pour lui demander de bien faire ce que j’attendais, je voulais rejouer le scénario qui avait eu lieu il y avait longtemps entre le vieux grand-père de mon flirt de l’époque et son copain Marcel. Il acquiesça avec enthousiasme à l’histoire proposée !La table était assez grande, nous étions chacun à un bout. La lumière tremblotante des bougies des trois chandeliers et une lumière tamisée mettaient une ambiance romantique. Un feu de bois brûlait dans la cheminée.
Le dîner servi par Victor, qui n’ arrêta pas comme de routine de lorgner mon décolleté et mes jambes, fut succulent. Le vin était excellent et j’en abusai un peu. Le majordome comme d’habitude était vêtu d’un pantalon noir et de son gilet jaune à rayures noires, d’une chemise blanche et de son éternel nœud papillon. Vu la bosse de son pantalon, je subodorai qu’il ne portait, comme toujours pas de slip. Nous en étions au dessert.
— Victor, une coupe de champagne, s’il vous plaît, demanda Alfred.
Le domestique s’empressa de nous servir. Je me penchai pour lui tendre mon verre. La robe bailla sur mes seins dévoilant mes aréoles, un léger tremblement agita sa main et du champagne se répandit sur la table.Je bus lentement mon champagne en regardant le vieil Alfred. Il me sembla que son regard devenait coquin. Je fis un léger signe de tête à Victor.
— Mademoiselle prendra bien un fruit !
Me demanda le majordome, et sans attendre ma réponse, il prit une banane dans la corbeille. Il la pela délicatement, l’approcha lentement de mes lèvres. Les yeux de Alfred me fixèrent tendrement. Un nouveau jeu, impliquant Victor et son gros phallus ?Je plongeai mon regard dans celui du valet et sortis ma langue pour lécher le bout du fruit. Victor me la fit pénétrer lentement dans la bouche, puis la ressortit tout aussi lentement. Il recommença trois ou quatre fois l’opération, comme si je suçais un phallus, puis il me la fit entièrement avaler.Mais avant qu’il ne la ressorte entièrement, je croquai le bout, en souriant à Alfred. Victor posa un petit panier de fraises sur la table accompagné d’une coupe de crème chantilly.
— Après la banane, Mademoiselle goûtera aussi les fraises ?
Il les trempa dans la crème, et me les fit manger voluptueusement une à une. Astucieusement, il les approcha de ma bouche puis recula les petits fruits rouges, pour m’obliger à me pencher en avant, ce qui ouvrit mon décolleté, dans lequel son regard plongea sans aucune retenue. Alfred sembla subjugué, lorsque ma langue lécha la crème sur les fraises. Victor en eut plein les doigts et me les fit sucer.
— Mademoiselle à l’air d’aimer la chantilly... Vous allez pouvoir en manger !
Il sortit son sexe. J’étais toujours en admiration devant la longueur et la grosseur du phallus de cet homme de plus de cinquante ans, qui comme celui d’un jeune homme ne trahissait jamais mes attentes. Mais je savais qu’Alfred l’avait embauché à cause de cela, j’aimais les gros sexes. Il le savait et il l’avait vérifié lors d’une réception mémorable de trois de ses amis.
— si Mademoiselle veut bien profiter de ma cuillère...
Victor mit sa bite au-dessus de la coupe de crème. Il ne bandait pas et le bout effleurait la chantilly. Je la pris délicatement, décalottai son gland en tirant lentement son prépuce vers l’arrière. Je plongeai au fur et à mesure le monstrueux phallus dans la mousse onctueuse. Je le tournai dans la coupelle pour bien l’enduire. Victor prit son sexe d’une main et me le porta à hauteur de la bouche. Je léchai à petits coups de langue la friandise blanche. Il y en avait pas mal entre son prépuce rétracté et son gland, la pointe de ma langue fit doucement le tour des seize centimètres de circonférence de son gland bien décalotté. Une bretelle de ma robe glissa et mon sein droit dénudé, darda un téton brun durci. Ma jambe fut aussi découverte jusqu’à l’aine. Victor commença à bander, sa queue se releva imposante. Je l’attrapai et la replongeai dans la crème. Puis enfournai cette fois le gland dans ma bouche, j’aspirai comme une gourmande. Avec le bout de ma langue, j’essayai de nettoyer son méat, dont la fente était assez grosse pour permettre au bout de mon appendice buccal de s’y insinuer.
 Cela lui tira un gémissement de plaisir.Il me sembla qu’Alfred se masturbait doucement. Le domestique me fit lever, je voulus remonter ma bretelle, il m’en empêcha. Il m’entraîna devant son vieux patron toujours assis en bout de table. Je posai mes fesses sur le meuble, Victor m’attrapa sous les cuisses me fit basculer vers l’arrière, je m’appuyai sur mes avants bras. Il remonta largement sur mon estomac ma robe, laissa mon ventre dénudé par une large bande de peau bronzée au-dessus de mon porte-jarretelles. Il me tourna légèrement de côté, m’écarta largement les jambes, pour offrir une vue complète de la suite des opérations à son patron. Il m’attrapa le sein droit, et me roula le téton entre son pouce et son index. Puis sa main gauche descendit sur mon ventre et se glissa sous le porte-jarretelles, tout en me caressant l’abdomen. Avec le majeur de sa main droite, il frotta mon string, le long de la fente de ma chatte. Celui-ci fut aussitôt trempé par le foutre qui s’en écoula. Il enfonça le léger tissu dans mon orifice vaginal, comme pour bien l’imprégner.
— Vous avez vu Monsieur, elle mouille la petite coquine ! Son string est trempé.
En disant cela, il me l’arracha d’un coup sec, me tirant un hoquet d’extase. Il enfila son majeur dans mon vagin qui offrit à Alfred une vue parfaite sur mon orifice béant et de son pouce me caressa le clitoris. Il savait y faire pour exciter les jeunes femmes, Victor.Le vieil Alfred, se leva et sortit son sexe. Il bandait, et se caressait doucement.
— À mon tour d’être gourmand... Moi aussi, j’aime la chantilly, dit Victor.
Le majordome attrapa la coupe de chantilly, prit le reste de la crème sur son index et son majeur et me badigeonnant la chatte, il la fit pénétrer assez profondément. Puis il commença à me lécher. Je sentis sa langue me fouiller, remonter au clitoris, qu’il suça avidement, me le mordillant. Je me tortillai et gémis de plaisir. Je réussis à attraper le pénis d’Alfred et le masturbai vigoureusement.
— C’est délicieux, Monsieur la chantilly parfumée au foutre de Mademoiselle. Voulez-vous goûter ?
Alfred ne se le fit pas dire deux fois, la petite barbiche de son menton me frotta l’entrejambe, tandis que sa langue me parcourut le vagin.
— C’est dommage, il n’y en a plus... dit-il après m’avoir léchée plusieurs fois.— Bon alors on va nettoyer la chatte de Mademoiselle !
Victor attrapa la bouteille de champagne et me versa une rasade de liquide sur le mont de vénus. Il écarta de deux doigts mes lèvres et en fit couler encore un peu à l’intérieur.
— Si Monsieur veut bien boire !
Celui-ci se pencha, lécha ma fente et aspira le liquide mêlé au foutre de mon vagin.
— Victor, dit-il vous avez des idées merveilleuses !— Si Monsieur veut bien me permettre...
Le domestique s’installa entre mes jambes. Il me sortit l’autre sein, les caressa pour bien faire dresser mes mamelons.
— Monsieur, les tétons de Mademoiselle m’étonneront toujours, avez-vous remarqué la longueur qu’ils peuvent atteindre ?
Il me mit la jambe droite sur son épaule. Son énorme gland chercha mon orifice anal. Le champagne l’avait imprégné et le fait que ma jambe soit surélevée l’ouvrit largement. L’énorme rouleau y pénétra tout en douceur, mais sans aucun arrêt. Victor était un as de la sodomie, ce n’était pas la première fois qu’il me prenait ainsi. Sa toison blanche vint me chatouiller, le mont de vénus. Alfred ne perdit pas une miette du spectacle. Je repris sa queue en main et la caressai doucement.Il avait l’air admiratif, de ce que me faisait Victor. Je lus dans ses yeux une légère pointe de jalousie, pour l’exciter, je me mis à gémir, disant à Victor que j’adorai sa queue. Le domestique dut sentir la contrariété de son patron.
— Mettez-vous à l’aise, Monsieur, je vous laisse la place...
Alfred se déshabilla en un tour de main. Lorsqu’il baissa son slip, sa verge jaillit comme un diable monté sur un ressort. Il me fit mettre à genoux sur la table, je crus qu’il allait lui aussi me sodomiser. Mais son phallus s’inséra dans mon vagin, et il commença de lents mouvements de pénétration. Il s’appliqua à bien faire entrer sa petite virilité jusqu’au bout, pour me tirer lui aussi des gémissements de plaisir. Victor se mit devant moi, il me pencha la tête sur son appendice d’où quelques gouttes de liquide perlaient. Je le suçai comme un bâton de sucre d’orge. Il me malaxa les seins. Alfred me tint par les hanches en s’escrimant toujours pour me tirer des râles de plaisir. Ses coups de boutoir et la caresse sur ma poitrine, me firent enfin gémir de plaisir.Aidé en cela par Victor, il grimpa sur la table, il se coucha sur le dos, s’appuya sur ses  coudes et me demanda de m’empaler sur sa verge. Ce que je fis lui tournant le dos. Mes deux seins hors de ma robe, tressautèrent sous les assauts d’Alfred. Dans cette position, son phallus me fit plus d’effet. Victor emplit une coupe de champagne et me fit boire le liquide ambré et pétillant. Il en fit couler sur mes seins, suça ensuite mes mamelons. Faisant passer ma robe par-dessus ma tête, il me la quitta. Il fit ensuite couler du champagne sur mon ventre, et se mit à me caresser le clitoris ruisselant de vin pétillant, tandis que genoux écartés, cuisses ouvertes, j’engloutis entièrement le petit sexe d’Alfred dans ma chatte et m’assis sur ses cuisses. Je hurlai d’extase. J’embrassai le vieux valet pervers, je lui titillai sa langue avec la mienne, puis l’aspirai dans ma bouche. Les mains ridées d’Alfred me saisirent les seins, les pressèrent fortement. Il se vida, en hoquetant, de plaisir de sa vieille semence dans mon vagin ruisselant de champagne. J’attendis le dernier spasme de son pénis pour descendre de la table, me pencher sur lui et bien le lui lécher.
Victor monta à son tour sur le meuble, jambes pendantes de chaque côté de la table. Il entretenait sa condition physique. Il me dit de venir le rejoindre et de m’accroupir de dos sur son pénis tendu. Il le tenait fermement d’une main.
— Mets le dans ton anus...
Je guidai l’imposant mandrin, dans mon orifice anal bien ouvert, avec ma position accroupie. Il glissa presque tout seul entre mes parois anales, elles aussi détrempées par le champagne. Lentement pour bien profiter de la grosseur de la queue qui m’empalait, je me relevai et me rabaissai tout aussi doucement. Puis tenant la bite rigide d’une main, j’alternai les pénétrations entre ma chatte et mon anus. Lorsque les poils pubiens blancs de Victor frottèrent mon entrejambe et que son sexe remplit bien à fond mon vagin, je remuai lascivement mon bassin d’avant en arrière ou en rotation autour de l’énorme pieu.Alfred lui, accroupi devant la table, ne rata rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi, me caressa les seins et se mit à m’embrasser comme un fou.
— Maintenant, tourne toi et mets toi à genoux, Victor enfoncez bien votre bite dans la chatte de Trixie.
Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il me fit pencher sur le torse de Victor et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussai un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. Alfred se mit à plat ventre sur la table et sa langue s’insinua dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.Victor récupéra la bouteille, et me fit boire de petites gorgées glacées. Je ne sus pas si c’était l’alcool qui commençait à me faire de l’effet, mais il me sembla être dans un rêve. La sensation de bien-être fut décuplée par la chaleur qui montait de mes entrailles... Victor accéléra la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse. Il me plaqua sur la base de sa bite, m’empêcha de bouger, comme s’il ne voulait pas qu’une goutte de sa semence puisse gicler au-dehors.
— Je t’avais bien dit, que je te le ferai payer, salope... Putain, c’est bon d’éjaculer dans ta chatte !— Bon le repas n’est pas terminé, sans que l’on félicite le cuisinier et son marmiton. Ils vont d’ailleurs amener quelques friandises... Trixie reste allongée sur la table... !
Dit le maître de maison. Simplement vêtue de mon porte-jarretelles, mes bas et de mes talons aiguilles, j’obtempérai à la demande d’Alfred. Victor en profita pour remettre en place ma lingerie autour de mes hanches et de rattacher une fermeture de jarretière. Je sentis le sperme couler entre mes jambes et faire une petite tâche sur la table. Les deux hommes nus comme des vers, les bites en berne maintenant, prirent place chacun à un bout de table. Alfred fit tinter une sonnette.
— J’ai moi aussi préparé une surprise. Comme je sais que tu aimes les phallus noirs biens gros et durs...
La porte s’ouvrit et deux noirs, nus sous un tablier blanc de cuisinier faisant ressortir la couleur anthracite de leur peau, entrèrent. Les vêtements avaient été découpés sur le devant, et ils portaient leurs bites passant au travers, sur un plat de faïence blanche. On aurait dit deux gros boudins noirs, d’environ 25 ou 30 cm de long, d’un diamètre vraiment conséquent. Ils passèrent de chaque côté de la table et déposèrent les plats et leur contenu à hauteur de ma tête. Je les examinai à tour de rôle. Les phallus étaient légèrement plus gros et plus longs que celui de Victor, noirs de surcroît... J’avais parlé à Alfred de ma passion pour les noirs aux grosses bites... Le prépuce de la plus grosse était légèrement retiré et laissait apercevoir la fente du méat et un bout de gland rose. Je sentis ma chatte palpiter à nouveau devant ce spectacle. Mes seins étaient encore fermes suite à mon orgasme. Ils avancèrent chacun une main pour me les malaxer doucement.
Dans le seau à champagne, ils se saisirent chacun d’un gros glaçon et avec un ensemble parfait m’en frottèrent le pourtour des aréoles, je frissonnai. Elles se couvrirent aussitôt de chair de poule et je gémis de plaisir quand ils les passèrent sur mes tétons qui s’érigèrent à ne plus en finir...Puis le plus membré, fit descendre son glaçon sur mon ventre lentement, très lentement... Avec deux doigts, il décapuchonna mon clitoris. Je tremblai littéralement attendant la morsure glacée et je soulevai mon bassin à la rencontre du petit morceau de givre. Il en fit le tour encore et encore, me fit crier de plaisir. Je saisis les deux grosses queues et je les branlai calottant et décalottant les prépuces. Une partie de l’eau glacée coula dans mon orifice vaginal tandis qu’un petit filet se faufila jusqu’à mon anus. Deux longs doigts noirs s’insinuèrent dans ma chatte tandis que le pouce caressa mon petit bouton rose maintenant aussi dur que la glace qu’il avait faite fondre...
Son collègue m’embrassa goulûment, sa grosse langue rose envahit ma bouche, puis elle descendit sur mon menton, le long de mon cou et il me lécha les seins mouillés. Mes aréoles disparurent à tour de rôle dans sa bouche. Il suça et me mordilla les tétons qui en réclamèrent encore plus.On me tourna la tête, j’ouvris la bouche et le premier insinua son gland entre mes lèvres. Me tenant derrière la tête, il enfonça doucement le reste de son tuyau noir, puis il me laissa faire. Mes succions et aspirations lui tirèrent des râles de contentement. Il accorda la pénétration de ses doigts aux mouvements de ma bouche, ce fut loin de me déplaire...
Je me retrouvai en travers de la table, jambes pendantes d’un côté ma tête dépassant de l’autre. Je vis Alfred et Victor se lever et venir se positionner de chaque côté du noir. Ils bandaient à nouveau. Le noir aussi d’ailleurs, on aurait dit que son immense queue, tendue à l’horizontale, était douée d’une vie propre tellement elle frétillait. J’écartai au maximum les cuisses pour que mes deux hommes puissent profiter pleinement de la pénétration de cette monstrueuse bite noire.
— Elle est vraiment très belle, votre petite blonde !
Leur dit le noir en ouvrant mon vagin qui ruisselait de foutre. Mes hanches se cambrèrent vers le monstrueux sexe, qui ne me pénétrait pas assez vite... Il fit enfin pénétrer son gland...
— Oui, et regardez comme elle gémit et tremble d’envie cette petite coquine, dit Alfred en me pinçant le bout d’un sein. Elle a pourtant joui tout à l’heure.— Croyez-vous que je puisse entrer entièrement ma bite, elle est quand même énorme et je ne voudrai pas la blesser !— Oh, vous pouvez y aller sans crainte, répondit Victor, cette petite garce à l’habitude des queues énormes, et on ne vous aurait pas demandé de la baiser, si cela ne lui avait pas plu...
Il y avait comme une pointe de jalousie dans sa voix. Rassuré, le noir continua sa progression jusqu’à ce que ses poils frisés viennent buter mon mont de vénus. Il commença alors de lents va-et-vient qui me firent gémir d’extase. Excité par mes halètements de plaisir, il augmenta progressivement la cadence. Victor se branla d’une main, de l’autre, il me caressa rapidement le clitoris, ce qui augmenta mon plaisir.L’autre noir mit ses jambes de chaque côté de ma tête, et me demanda de lui lécher les couilles et la bite, et de la branler doucement pour ne pas le faire éjaculer, il réservait son sperme pour un autre endroit.
— Tu veux la baiser... Allez, prends ma place. Mets toi sur la chaise-là !
Dit alors le noir à son copain. Ils m’entraînèrent sur une chaise, je m’empalai sur la bite tendue, me levai et me rabaissai rapidement. Au bout d’un petit moment, on me saisit la taille au niveau de mon porte-jarretelles et on stoppa mes soubresauts.
— Si ces Messieurs veulent approcher...
Alfred et Victor ne se le firent pas dire deux fois. Le noir au sexe le plus important me fit pencher légèrement en avant, présenta son gros gland rose à l’entrée de mon anus, et poussa d’un seul coup.Ils accordèrent ensuite leur cadence, me tirant des râles et des cris de plaisir... Je ne voulus pas que cela s’arrête... Alfred était aux anges, subjugué, il regardait les deux énormes bites noires disparaître à tour de rôle au fond de mes deux orifices.Mais celui qui me sodomisait me saisit tout d’un coup sous les bras, me tourna face à lui et m’empala à nouveau sur la queue de son copain... Je me demandai bien pourquoi. Je ne mis pas longtemps à comprendre, lorsque le vis diriger son membre noir et luisant de mon foutre, vers mon orifice vaginal ou frétillait déjà de la bite de son pote. J’avais déjà subi, plusieurs fois ce genre de double pénétration vaginale, j’avais aimé. Son énorme tuyau, força pour se créer une place, je me décontractai le plus possible, écartai les jambes au maximum... Celui qui était assis, écarta mes lèvres de ses mains... Le gland entra. et lentement l’immense hampe noire luisante s’enfonça avec celle de son copain.
— Oooohhhh putain, la salope... Dirent en chœur Alfred et Victor.
Ils m’entendirent râler de plaisir, de demander aux noirs de continuer. Ils se branlèrent vigoureusement tous les deux. Me caressant un sein de temps en temps.Le grand noir, en insistant fit entrer la moitié de son énorme sexe, et ils me besognèrent longtemps, mon corps se couvrit de sueur et mes halètements, entrecoupés de cris de plaisir, furent incessants... Je sentis soudain l’énorme queue tressauter et du sperme chaud s’écoula de ma chatte, il se retira me mit la bite dans la bouche, je léchai et avalai le liquide poisseux.Le second investit, mon trou intime et donna de grands coups de rein, son éjaculation était proche, sûrement accélérée par ce qu’ils avaient fait à la jolie femme blanche et blonde. Il explosa à son tour avec un cri de plaisir. Ma jouissance fut provoquée par les éjaculations d’Alfred et Victor sur mon corps.
— Salope, salope dit Victor... Nous aussi nous lui ferons la même chose... N’est ce pas Monsieur ?
Sur mon ventre et mes seins, avec ses doigts, il ramassa le liquide translucide et poisseux et il me fit ingurgiter la totalité du sperme répandu.
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