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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 4

La dette de jeu...

Hétéro
J’étais parfaitement heureuse, je m’étais habituée aux petits caprices d’Alfred, cela ne me déplaisait pas de satisfaire son candaulisme avec mes ébats avec Victor, Gérald ou Maxime lorsqu’ils nous rendaient visite, ou avec les personnes qu’il me proposait. Il me semblait même que je devenais accroc à ses exhibitions ! Il participait rarement, faisant attention à respecter les consignes de son cardiologue.Mon boulot m’envoya en stage, je m’absentai presque une semaine. De retour ce jour-là, j’étais en train de prendre mon petit-déjeuner, assise en face d’Alfred. Victor ayant fait le service se tenait debout à côté du maître de maison, dans son sempiternel gilet noir à rayures jaunes. Il me regarda avec un air satisfait, un air d’envie, un sourire aux coins des lèvres, il me sembla que ses yeux pétillèrent de contentement. Alfred lui, eut l’air un peu gêné. Il s’essuya la bouche.
— Bon, voilà Trixie, avec Victor pendant ton absence... nous ne savions pas trop à quoi nous occuper... sans toi, la maison nous paraissait vide... alors pour nous distraire, nous avons joué au poker... et la dernière mise... le tapis... était que si je gagnais, Victor perdait une semaine de gage et si c’était lui, il pouvait prendre ma place en tant que patron pendant trois jours entiers... Et j’ai perdu... ! Donc comme disent les Québécois, dette de jeu dette d’honneur... A partir de maintenant, Victor prend ma place et nous devrons lui obéir... tu es d’accord ? Et tu promets d’exécuter ses ordres comme si c’étaient les miens !— Mais oui, Alfred, je ne te laisserai pas tomber, je me plierai aux caprices de Victor.— C’est bien vrai ça ? Tu me donnes ta parole, tu m’obéiras au doigt et à l’œil !— Oui, Victor vous avez ma parole !
Un large sourire éclaira la face de Victor. Le vieil Alfred se leva et échangea sa veste avec le gilet du majordome. Je pouffai de rire. Avec sa petite taille, il y nageait dedans, et il ressemblait au négatif de guignol.
— Bien dis-je, Alfred vous pouvez débarrasser...!
C’était le week-end, n’ayant pas à sortir, je m’habillai comme Alfred m’avait demandé de l’être : déshabillé translucide béant, porté sur une nuisette complètement transparente s’arrêtant au ras de mon pubis bien rasé, qui le laissait entièrement dénudé, porte-jarretelles, bas noirs. La nuisette comportait deux ouvertures qui laissaient sortir mes mamelons. Mes seins étaient bien galbés et n’avaient besoin d’aucun support.
— Si Mademoiselle Trixie veut bien venir ici, me dit mon nouveau patron. Pour moi, ce déshabillé est superflu, il voile vos magnifiques jambes et vos non moins superbes fesses... Alfred, veuillez le lui enlever... et n’en profitez pas pour la tripoter...!
La jalousie qui ressortait... Je pensai que pendant ces trois jours, on allait rigoler ! Le nouveau domestique ôta le déshabillé. Je me retrouvai face à Victor, seulement vêtue de ma nuisette laissant transparaître bas et porte-jarretelles. Il m’examina, comme si quelque chose le contrariait.
— Approche... me dit Victor.
Lentement, en regardant Alfred, il écarta largement les bords des fentes de la nuisette pour bien dégager mes deux seins. Il les malaxa longuement, suça les pointes qui durcirent, en fixant le vieil homme avec un petit air de défi.
— Tu vois, me dit-il. Tes nichons sont assez fermes, pas besoin de support... par contre, tu sais que j’adore tes mamelons... surtout lorsqu’ils sont en érection comme maintenant... on va faire en sorte qu’ils le soient en permanence...
Il sortit de sa poche un écrin noir, l’ouvrit et exhiba un bijou en or. Il s’approcha de moi et m’accrocha la parure autour du cou. Ce collier de poitrine disposait d’une goutte d’hématite à chacun des deux tétons ainsi qu’une autre à la hauteur du décolleté, il était relié à un tour de cou en or par l’intermédiaire d’une discrète main en métal précieux donnant l’impression de maîtrise de la situation. Elle tenait un anneau duquel partaient deux chaînettes, le chemin tracé par celles-ci attirait obligatoirement les regards vers les tétons, enserrés par de fines cordelettes de satin noir. Victor fit passer le nœud coulant autour de chaque mamelon, je frissonnai de plaisir. Il serra... je gémis de contentement... mes mamelons s’érigèrent en deux dômes parfaits, il ajusta les petits nœuds coulant au ras de mes aréoles serrant un peu plus. Puis sa bouche se posa sur le bout de mes seins durcis et il se mit à les aspirer à tour de rôle, me tirant des gémissements de plaisir.

Les mamelons sont une zone particulièrement érogène chez moi.
Sa main descendit entre mes fesses, et son majeur s’insinua dans ma chatte qui commençait à mouiller sous les habiles caresses du vieux pervers. Je jetai un coup d’œil à Alfred qui se tenait coi à deux mètres de notre couple. Il avait la mine renfrognée. Pour le rendre encore plus jaloux, je me mis à caresser la bite de Victor à travers son pantalon. Victor me repoussa gentiment.
— Trixie, tu restes ainsi... Qu’en pensez-vous Alfred ? Mademoiselle n’est-elle pas mieux ainsi ? Si ses tétons diminuent un peu, il suffit de tirer un peu sur la goutte d’hématite... comme ceci...
Sous la légère douleur, mes mamelons se tendirent encore plus...
— Et attention, Alfred pendant trois jours c’est moi le Boss... vous ne la touchez qu’avec ma permission... Mais vous pouvez vous rincer l’œil tant que vous voulez... Allez, Trixie, sors ma queue et tu suces la grosse bite de ton nouveau patron...
Je débouclai sa ceinture, il ne portait jamais de slip... le pantalon tomba sur les chevilles, son sexe de vingt-cinq centimètres se tendit sous mes caresses, il jaillit. Je tombai à genoux, le pris dans ma bouche, en regardant le vieil Alfred. Je dus le sucer longtemps avant que le liquide chaud et visqueux ne s’épanchât dans ma gorge...Le nouveau majordome s’acquitta toute la matinée de sa tâche domestique, fit le ménage... astiqua les meubles. J’allai prendre une douche, il me suivit. Je le vis par la porte de la salle de bain grande ouverte, me regardant depuis le couloir dans la grande glace posée exprès pour que l’on puisse m’observer sous la douche. Je jouai avec le collier de poitrine, cela dut l’exciter, car il sortit son petit membre turgescent et commença à se masturber. N’y tenant plus, il entra.
— Alfred, Alfred... une dette de jeu est une dette d’honneur... il ne faut pas me toucher... pendant trois jours... Il ne fallait pas jouer... avec Victor, es-tu sûr qu’il n’a pas triché ? Mais tu peux me regarder à loisir...
Tête basse, il obtempéra, je me rhabillai langoureusement devant lui, comme le majordome me l’avait ordonné... seins et chatte offerts aux regards, je resserrai bien les petits nœuds coulants pour faire ressortir mes tétons bruns.
— Ainsi mis en valeur, mes seins sont beaux, hein Alfred ? dis-je pour attiser un peu sa jalousie...
Victor pendant ce temps était descendu à la cave. Nous entendions des coups de marteau et un certain remue-ménage. Dans le courant de l’après-midi, celui qui maintenant dirigeait la maison nous pria de descendre au sous-sol. Il avait placé des spots qui éclairaient la pièce d’une lumière crue. Il avait rapproché une table à un mètre d’une grosse poutre fichée au sol.
— Alfred, mettez-vous tout nu... et ne discutez pas !
Celui-ci obéit, dénuda son ventre bedonnant et son petit phallus, qui pendait mou. Victor l’attacha à la poutre, la corde passait dans un anneau derrière la poutre et venait se lier à ses poignets, ce qui lui laissait une certaine autonomie de mouvements.
— A toi, Trixie... tu te couches sur la table.
J’hésitai ! Me reculai légèrement.
— Tu as promis de m’obéir, tu m’as donné ta parole !
Je lui obéis, il me lia les bras au-dessus de la tête, il écarta mes jambes pendantes et attacha mes chevilles aux pieds de la table. Alfred avait ainsi une vue parfaite sur ma chatte grande ouverte parfaitement épilée.
— Vous pouvez la caresser Alfred, vous avez la permission !
Celui-ci envoya ses mains pour profiter de l’autorisation, mais la corde les lui bloqua à cinq centimètres de mon corps... Sa queue qui avait commencé à bander retomba d’un seul coup. Une immense déception teinta son visage... il avait compris... le supplice de Tantale...
— Eh oui, c’est moi qui décide...!! Regardez... C’est une petite vengeance !
Victor se déshabilla à son tour... Enjamba ma tête, il me mit son sexe dans la bouche, me malaxa les seins. Il craqua les bretelles de la nuisette et la déchira sauvagement sur la longueur... J’étais allongée nue, seulement vêtue de mon porte-jarretelles, de mes bas et mes talons aiguilles, cela m’excita. Il se mit sur le côté pour ne pas gêner la vue d’Alfred, il décapuchonna mon clitoris, et le caressa en petits ronds concentriques, je gémis de plaisir. Mon petit bouton réagit la caresse, je le sentis durcir. Sa langue remplaça ses doigts, mon bassin allait au-devant de la caresse.
Il écarta mes grandes lèvres et son appendice buccal s’insinua dans ma fente ruisselante. Alfred gémit, sa vieille bite commença à se tendre. Il essaya de se rapprocher, les mains tendues. Victor le surveillait. Il mit deux doigts dans ma vulve, les imprégna de mon foutre, les extirpa ruisselants et les fit lécher à Alfred qui les suça avidement.
D’un petit meuble, il sortit une cravache, la vue de la cravache m’envoya une onde de plaisir dans les entrailles. Ma chatte palpita toute seule, on m’avait déjà flagellée même plusieurs fois, et je n’avais pas détesté ces expériences.
— Bien, dit Victor... il faut d’abord que je punisse cette petite Salope pour s’être fait faire un double vaginal par les deux noirs l’autre soir au dîner et avoir aimé ça, elle a joui comme une folle, cette petite pute !
Il leva la badine, ma poitrine se tendit vers le cuir, une légère douleur irradia mon téton droit, puis ce fut du gauche, je me tortillai dans mes liens, gémissant. Il ne frappa pas trop fort... il renouvela plusieurs fois l’opération. Je regardai Alfred, sa verge était maintenant tendue à tout rompre, ça devait lui plaire et l’exciter de me voir fouetter... Le salaud ! Il allait en avoir pour son plaisir. Je me mis à pousser de petits cris, demandant à Victor de taper un peu plus fort, celui-ci émoustillé bandait aussi, son monstrueux rouleau pointant vers le plafond. La cravache descendit sur mon ventre, puis s’insinua dans mon vagin, il tapota mon clitoris, m’arracha des cris d’extase.
— Salope, tu as aimé te faire baiser par les deux noirs ensemble ?— Oui...
La cravache s’abattit sur un de mes seins.
— Tu as aimé, leurs deux grosses queues noires... dans ta chatte ?— Oui, je les ai adorées...
Ce fut le tour de l’autre.
— Leurs bites étaient meilleures que la mienne ?— Oui, oui, elles étaient plus grosses, plus jeunes, plus raides...— Tu as joui en recevant leur sperme ?— Oui... oui... j’adore que les noirs éjaculent dans ma chatte... j’adore avaler leur sperme... il est meilleur que celui des blancs...
Les coups continuèrent, mais légèrement plus fort, mes réponses avaient dû attiser sa jalousie, ce qui ne fut pas pour me déplaire... Je me tortillai sur la table, râlant, gémissant, jouant la comédie de la douleur... Alfred ne sut pas si je souffrais ou si ça me plaisait, mais toujours est-il qu’il caressa son membre tendu ardemment.
— Tu as l’air d’aimer ça aussi Salope, dit Victor, le fouet... en avisant la petite flaque de foutre entre mes jambes. Attends...
Il mit une capote parsemée de petites excroissances rigides. Il me détacha les jambes, je les ouvris en grand. Il repositionna son gland entre mes grandes lèvres et poussa lentement. Son gland écarta mes petites lèvres et la queue de Victor glissa plus profondément. Mes parois trempées facilitèrent l’insertion du gros cylindre, les petits grains de latex les griffaient au passage, sensation délicieuse. Je gémis de bonheur.
— Regardez Alfred, je lui ai enfoncé toute ma queue, elle aime... Allez action !
Disant cela, il se mit à me labourer la chatte à grands coups de reins, me tira à chaque pénétration des cris d’extase, mon corps s’arc-boutait, ma tête dodelinait en tous sens. Le vieux se tortillait maintenant dans ses liens.
— Victor, pitié... pitié... je veux la baiser aussi !!— Ben non, Alfred... c’est vous qui avez perdu... et qui avez fixé le pot, non ? Et puis votre cardiologue ne veut pas que vous fassiez des efforts !
Les mains bien ancrées sur mes hanches et passées sous mon porte-jarretelles, Victor accéléra la cadence, il avait presque trente ans de plus que moi et il allait me faire jouir... Notre attention fut attirée par les halètements de Alfred qui se calottait et décalottait la bite de plus en plus vite.
— Oh non, oh non... je vais... je vais jouir... ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!
Son vieux corps se cambra, sa main enserra fortement son phallus, et son sperme gicla sur le sol entre ses doigts.
— Et voilà dit, Victor... à nous maintenant...
Il ôta la gaine caoutchoutée de sa queue.
— Regardez Alfred, c’est dommage que vous ayez éjaculé...
Il enfila de nouveau, avec facilité, entièrement sa grosse queue dans ma chatte inondée. Il me fit basculer sur le côté, me souleva une jambe et se saisit d’un godemiché lisse, il me le fit pénétrer lentement dans l’anus... et commença de lents et profonds va-et-vient.
— Tu aimes, hein Salope... dis-moi que tu aimes ça autant que les bites des noirs !! — Oui, mais...— Mais quoi...? Bon Alfred je vais préparer le terrain pour la prochaine fois... et je vais la faire jouir, la petite Trixie...
Il me remit sur dos, sa verge toujours dans ma chatte, il remua lentement les reins, la fit pénétrer entièrement. Écarta mes lèvres de ma vulve, il commença à introduire la tête du cylindre en plastique lisse au-dessus de sa bite.
— Écarte bien les jambes petite Salope pour que Alfred puisse bien en profiter ! Il m’a promis qu’on te ferait un double vaginal... alors je prépare le terrain !!
J’obéis, le godemiché s’enfonça au-dessus de sa queue, il me détacha les mains. Je haletai, je lui pris la main pour guider l’insertion...
— Alors, salope ça ne te rappelle rien... je vois que tu aimes... autant que les queues des noirs !!
Ma main orchestra les entrées et sorties du gros tube, Victor bougea doucement, mais je sentis aux battements de son membre que son plaisir montait... le mien aussi d’ailleurs et j’explosai de jouissance... Il retira d’un seul coup le gros cylindre lisse et rigide, poussa sa bite bien au fond de mes entrailles et éjacula avec un grand cri.
— Tiens, Tiens Salope, le sperme de Victor... Il t’a fait jouir comme les jeunes noirs !!
Il se vida longtemps avec des spasmes et des hoquets de plaisir. Il se retira lentement, puis il écarta mes lèvres, son sperme coula sur la table.
— Regardez Alfred comme elle aime sucer mes doigts pleins de sperme...
Puis pendant le dîner, notre patron temporaire nous informa qu’il avait, pour la soirée, invité son neveu. Il n’allait d’ailleurs pas tarder à arriver.
— Il a une particularité... enfin vous verrez ! J’espère Alfred que votre service sera impeccable... Quant à toi Trixie, tu restes habillée comme tu es. Ta nouvelle nuisette n’a rien à envier à celle que j’ai déchirée.
On n’attendit pas longtemps le coup de sonnette. Victor s’empressa de bien faire sortir mes seins par l’échancrure des fentes, les écarta au maximum sur mes deux globes fermes, il resserra les nœuds coulants sur mes tétons, les fit rouler au passage entre ses doigts. S’assura que la nuisette s’arrêtait bien juste sous mon porte-jarretelles, et laissait une vue dégagée de ma chatte et de mes fesses.
— Trixie, tu vas avec Alfred, accueillir mon neveu...!
Celui-ci me précéda jusqu’à la porte, l’ouvrit en s’effaçant. Je me retrouvai sous la lumière vive du plafonnier du couloir, nez à nez avec le neveu. Je vis sa bouche s’arrondir, mais aucun son n’en sortit, ses yeux s’écarquillèrent, on eut dit qu’il était coulé dans du béton tellement il se figea de stupeur.Il devait avoir une quarantaine d’années, le crane absolument chauve luisant, des bajoues flasques qui tombaient, un triple menton, un nez légèrement tordu. Il mesurait plus de deux mètres, ses bras étaient aussi gros que mes cuisses. Il devait avoisiner les cent cinquante kilos. Il faisait vraiment négligé, avec ses habits froissés. Son ventre était tellement gros que je me demandai quelle taille devait faire son pantalon ! Ses yeux porcins me scrutèrent de la tête aux pieds. Je les vis suivre les chaînettes du collier de poitrine, se poser sur mes tétons tendus, descendre lentement sur mon ventre et se fixer sur mon pubis rasé.
— Si Monsieur veut bien se donner la peine d’entrer... dit notre nouveau domestique.
Le gros bondit presque dans le couloir, et se retrouva comme par magie à mes côtés. Une énorme main velue se posa sur ma hanche, je me retournai vers l’appel de Victor qui nous invita à le rejoindre à l’intérieur de la maison.
— Alors c’est toi la locataire, dit l’obèse... Putain que tu es belle, tu es un vrai canon... on dirait une star. Victor ne m’avait pas menti. Oh la la, tes seins, putain la taille de tes tétons ! Ces bas ! Ce porte-jarretelles, incroyable ! Ta chatte rasée, je n’en crois pas mes yeux ! C’est pour moi que tu as mis tout ça ou tu es toujours habillée ainsi ? Les deux croulants ne doivent pas s’ennuyer avec toi !! Ils te baisent ?
Tout en marchant vers Victor, sa main se glissa sous la lanière du porte-jarretelles, descendit le long du galbe de ma fesse, et le majeur s’insinua entre mes jambes, chercha l’entrée de ma chatte. Avec l’autre, il fit rouler mon téton gonflé entre le pouce et l’index. Arrivé devant son oncle, il réussit à entrer deux phalanges de son majeur dans ma chatte. D’un geste sec, je lui repoussai les bras.
— Trixie, on agit pas ainsi avec les invités voyons ! Et toi Marc un peu de patience... les présentations n’ont pas été faites ! Trixie, je te présente donc Marc. Tu vois garçon, je ne t’ai pas raconté de salades lorsque je t’ai dit que nous possédions une Déesse chez nous. Regarde ses seins parfaits... et ses tétons, en as-tu déjà vu qui sont aussi érectiles. Et sa chatte, en as-tu déjà vu une aussi jolie ?
Victor se tenait derrière moi, il resserra les nœuds coulants et les repositionna au plus près de mes aréoles gonflées et couvertes de chair de poule. La légère douleur les fit s’allonger un peu plus... Il fit l’éloge de mes jambes, descendit lentement ses mains sur les lanières du porte-jarretelles. Il passa devant moi, me courba, fesses offertes aux regards de l’adipeux, ma chatte devint moite, malgré moi, sous les regards inquisiteurs du gros neveu. Il me demanda d’écarter les jambes et de poser les mains au sol, j’obéis... Ses mains écartèrent mes globes bronzés, dégagèrent mon anus, son index et son majeur pénétrèrent dans mon conduit anal largement ouvert.
— Pas mal hein !! Attends la suite...
Avec sa main gauche, il ouvrit mes grandes lèvres, ses deux doigts quittèrent mon anus pour investir ma cavité vaginale, deux autres doigts vinrent rejoindre les premiers tandis que son pouce me massa délicatement le clitoris.
— Sa chatte est vachement bonne et profonde ! Mais, mais c’est qu’elle mouille fort la petite salope, tu veux venir goûter ?
Le gros se précipita et tomba malgré son poids, rapidement à genoux derrière moi, sa langue s’enfouit dans mon vagin, elle me sembla aussi grosse que la queue d’ Alfred. Victor s’assit sur le canapé, sortit sa verge et me demanda d’approcher. A quatre pattes, son corpulent neveu me léchant toujours, je me présentai devant le membre tendu qui se balança devant ma bouche. Il força mes lèvres, il appuya derrière ma tête pour le faire entrer, je l’avalai par à coup.Le bouffi aspira délicatement mon clitoris, son pouce caressa doucement mon anus palpitant qui ne demandait qu’à être forcé. Il appuya doucement et l’énorme doigt velu pénétra dans mon trou intime. Je râlai de plaisir.
— Putain ce qu’elle est belle et qu’elle m’excite cette salope, son foutre est délicieux. Je sens que je bande comme un âne, sans vouloir te vexer mon oncle, ma bite doit être presque deux fois plus grosse que la tienne !! Tu crois qu’elle va l’accepter ?— Eh oui, c’est de famille, dit le majordome... Tous bien montés... mais Marc nous surpasse tous, attends de voir Trixie, il dit la vérité...!! — Oui, dit ce dernier, je veux qu’elle me suce, au moins le gland !! Tu peux me laisser ta place ?— Alfred, allez nous chercher un verre de whisky...
Marc prit place sur le divan, il était vraiment souple malgré son poids. Il déboutonna la ceinture de son pantalon, défit le zip de sa braguette, il souleva ses fesses et baissa son pantalon sur ses chevilles, et l’envoya sur le tapis. Il ne portait pas de slip. Il écarta ses énormes cuisses. J’en restai bouche bée, il prit dans sa main, ce qui était plus qu’énorme rouleau de chair. Je n’avais jamais vu un tel engin. Celle de Victor était déjà énorme, mais celle-là était une « difformité », je ne trouvai pas d’autre mot pour la qualifier. Elle devait mesurer dix centimètres de diamètre, son énorme main velue n’en faisait pas le tour, presque trente centimètres de long. Mandigo, mon acteur porno préféré, noir américain était battu. Une excitation malsaine me traversa le corps, cet énorme tas graisseux allait sûrement me baiser, me pénétrer avec cette bite géante !
Il se mit à la calotter et la décalotter en me regardant avec un grand sourire de me voir à mon tour changée en statue de pierre...Chaque rétractation de son prépuce découvrit son énorme gland violet.
Sa bite pour l’instant pendait flasque.
— Alors qu’est-ce que tu attends Salope, lèche...— Elle est tellement grosse, je ne sais pas si...— Tu as donné ta parole Trixie, alors fais-le ! grommela Victor.
Les mains velues de Marc se mirent à me malaxer les seins, à me tordre les tétons...Il demanda à Victor s’il pouvait ôter ma nuisette, sans attendre la réponse, il me la fit passer par dessus la tête. Il me fallut les deux mains pour tirer le prépuce vers l’arrière et dégager le gland monstrueux, ma langue en lécha le pourtour, tandis que mes mains allaient et venaient le long de cette hampe monstrueuse. Elle commença à se redresser, et prendre de la rigidité. Je lui caressai, puis léchai ses énormes testicules, ma langue parcourut la longueur du phallus géant. Sa bite bien que graisseuse devint sous mes caresses d’ une rigidité phénoménale. Le diamètre et la longueur devinrent vraiment impressionnants. Cette expérience démesurée me titilla le bas-ventre, tout en me faisant un peu peur. Mon foutre suinta le long de mes cuisses, je me traitai de perverse de désirer me faire baiser par un tel engin. Je me rappelai les paroles de l’oncle de Gérald, lors du dernier examen gynécologique.
Il m’avait expliqué que la vulve d’une femme était d’une élasticité à toute épreuve, et qu’elle pouvait avec un peu d’entraînement accepter des insertions énormes. Et il me l’avait prouvé en enfilant complètement sa main à l’intérieur de ma chatte. Il m’avait en outre dit que d’après l’échographie, mon vagin mesurait 17 centimètres de long au repos, mais que l’excitation pouvait le faire grandir.Le gros me fit asseoir face à lui sur ses cuisses, le gland de son sexe rigide me chatouilla sous les seins. Le haut de mes bas fut mouillé de mon foutre.
— Bien, me dit-il, je vais y aller très doucement... je ne veux pas te faire mal ! Mais je vois que tu es trempée petite salope, tu n’attends que ça ! dirait-on !
Et il me mordilla les mamelons durcis autant par le désir que par les petites cordelettes qui les entouraient. Je me levai, jambes largement ouvertes, de deux doigts, j’écartai mes lèvres, il mit son énorme gland à l’entrée de mon vagin.Mon foutre coula abondamment sur sa verge, les chaînes de mon collier me caressèrent la peau sous mes seins tendus par le désir, mes tétons frottèrent contre les plis de ses pectoraux glabres. Je descendis lentement sur son pénis rigide comme un pieu, je ne comprenais pas par quel miracle une masse graisseuse comme lui pouvait avoir une bite aussi dure.
— Alfred, pouvez-vous me faire passer le flacon qui se trouve dans la poche de mon pantalon ? demanda le replet.
Les yeux exorbités par ce qui allait se passer, il s’exécuta. L’énorme ventru fit couler dans sa main une bonne dose de gel lubrifiant et l’étala sur sa bite en la massant doucement. Il introduisit le bouchon dans ma chatte et envoya une giclée du produit. Puis sa bouche se posa sur la mienne, sa langue se noua avec ma langue... j’abaissai lentement mon bassin.
Son gland m’écarta mes parois vaginales, je descendis en forçant, le gland peina à entrer, pourtant je ruisselai de foutre, le gel facilita la pénétration. Je me relevai et puis redescendis un peu plus violemment. Son gland entra entièrement, je fis plusieurs tractions, gagnant chaque fois deux ou trois centimètres. Je jetai un coup d’œil à Alfred qui me rassura par des sourires et des hochements de tête et de Victor sembla hypnotisé par la grosseur du boa que j’étais en train d’engloutir. La queue s’ enfonça d’une dizaine de centimètres. J’augmentai la vitesse de mes soubresauts, les zones érogènes et les plus sensibles d’une femme se trouvant environ à cette distance, cela me fit beaucoup d’effet. Je commençai à râler de plaisir, me sentant rempli par cet énorme sexe. Je voulus le sentir encore plus profondément en moi. Je contractai mes parois vaginales, chaque contraction fit que le monstrueux rouleau glissa encore un peu plus loin.
Le monstre adipeux eut l’air d’aimer cela, il donna de petits coups de reins qui firent glisser encore et encore son sexe bien lubrifié par le gel et mon foutre.
Entre chaque petite poussée, il me suça le bout des seins. Son gland allait atteindre le fond, je me laissai retomber. Il glissa au plus profond de ma chatte et il me sembla que son gland butait le col de mon utérus. Mais ma cavité vaginale avala presque entièrement les trente centimètres de sa bite. Je râlai de plaisir.
— Putain salope ! C’est bien la première fois que je peux enfiler ma queue entièrement dans une fille !!— Je ne croyais pas qu’elle allait y arriver, s’exclama Victor.— Moi si ! Dit Alfred en souriant !
Je commençai alors à me trémousser lentement d’avant en arrière, sa queue bien plantée en moi.Il me prit sous les bras, me souleva, et accompagna doucement ma descente, je m’empalai avec vigueur et délice sur son membre. A chaque pénétration, je sentais la brûlure de cette énorme bite, qui écartelait ma vulve au maximum et emplissait entièrement mes entrailles. Il avait oublié ce qu’il m’avait dit, qu’il serait doux avec moi. La frénésie sexuelle le gagna. Il me mordit les bouts de tétons. Je hurlai, de douleur et d’extase.
Il me saisit aux hanches, me leva et me rabaissa de plus en plus vite, il haleta de plus en plus fort. Je sentis sa queue prête à déverser son sperme, j’allai moi aussi jouir sans tarder.Il m’empala une dernière fois, et me tint plaquée fermement sur ses cuisses, son énorme bite frotta le fond de mon vagin, il se libéra avec de grands hoquets suivis de râles à chaque fois qu’une giclée de son sperme coula en moi. Les deux hommes regardèrent ébahis la scène de cette incroyable éjaculation, ils n’eurent qu’un cri.
— Oh putain, la garce... il lui a tout enfilé...
Je les regardai, ils étaient l’un à côté de l’autre et leur sperme gicla par saccade sur le tapis. A la pensée qu’ils avaient pris leur pied se masturbant en regardant cette pénétration monstrueuse, une onde brûlante partie de mes entrailles irradia mon ventre, je me tendis en arc de cercle, comme pour enfoncer le pieu encore plus loin en moi, comme pour mieux recevoir le liquide séminal qui s’en épanchait, et je hurlai mon plaisir comme une bête.Je voulus me relever, mais il me maintint fortement par les hanches, en me levant et me descendit doucement le long de sa hampe qui malgré son éjaculation n’avait presque rien perdu de sa rigidité.
— Ne soit pas pressée, c’est la première fois que je peux enfiler ma bite entièrement dans une fille, et jamais dans une aussi jolie que toi, alors je veux en profiter... ne pas gâcher mon plaisir !!
Lorsqu’enfin il débanda, lorsqu’il sortit son sexe adipeux, suintant de mon foutre et de son sperme, de ma vulve, un flot de liquide séminal s’écoula. Il m’ordonna de lui sucer le sexe jusqu’à ce qu’il soit propre, de nettoyer le canapé avec ma langue, ce que je fis avec application en regardant voluptueusement mes colocataires, déglutissant à chaque coup de langue le sperme recueilli.Puis chacun regagna sa chambre pour une nuit de repos... Il restait encore un jour à Victor pour faire valoir ses droits. Le matin suivant, il nous dicta notre conduite pour la journée à venir.
— Comme ni Alfred ni moi n’avons connu les joies du mariage, et surtout celles d’une nuit de noces, nous allons nous en offrir une. Malheureusement, je dois raccompagner mon neveu chez ma sœur, j’ai des affaires de famille à régler, cela devrait me prendre presque toute la matinée. Donc Alfred, puisque vous êtes un cinéaste hors pair, avec votre matériel sophistiqué, vous allez filmer Trixie et son mari. J’ai choisi son époux en fonction des goûts et des couleurs de Mademoiselle !! Il est d’ailleurs arrivé, je l’ai installé dans la chambre bleue, au premier étage. Alfred j’espère que le film sera réussi, que celui avec le marchand de légumes. Je voudrais le regarder tout en baisant mademoiselle Trixie à mon retour, ce qui ne devrait pas être désagréable et très émoustillant... Je veux des gros plans, et si je pouvais avoir l’éjaculation finale, ce serait parfait. Attention Alfred... Le ’’Mari’’ de Trixie a des consignes... on ne touche pas, on filme seulement !! Cela vous convient-il ?— Je suis bien obligé d’obéir, dit le vieil Alfred...— Moi aussi, j’ai donné ma parole ! répondis-je.— Pour l’instant, je suis aux anges, dit-il en riant. Allons habiller Trixie.
Il me fit revêtir un bustier blanc sans bretelle, mes tétons toujours emprisonnés par le ruban du collier de seins affleuraient les bonnets, le haut de mes aréoles était apparent. Partant du bustier des jarretières soutenaient des bas blancs, un string complètement transparent voilait impudiquement la fente de mon sexe rasé, de hauts talons aiguilles de la même couleur rehaussaient ma taille. Il posa sur mes cheveux un diadème assorti d’un voile de marié qui tombait sur mes fesses...
— Voilà, à vous de jouer maintenant... Je compte sur vous Alfred pour me faire bander avec la vidéo... mais je sais qu’avec Mademoiselle, il ne devrait pas y avoir de problème...
Lui et son neveu partirent alors. Alfred récupéra sa caméra. Je montai au premier étage et lui demandai de me filmer, descendant les escaliers langoureusement. Arrivée en bas, je passai devant lui, il fit un zoom sur mes fesses. Je me retournai, il s’agenouilla, filma ma main qui enfonça le string le long de ma fente. Le vieux me suivit, je remontai les escaliers, arrivée au premier étage, j’écartai le mince rempart de tissu du string et me caressai le clitoris en gros plan, m’insérant l’index et le majeur dans la vulve. Cela m’excita malgré moi, comme chaque fois que je tournai un clip vidéo... ma chatte s’humidifia. La caméra remonta jusqu’à ma poitrine, je baissai lentement un bonnet du bustier, caressai mon téton gonflé, réajustai le ruban, serrai le clip, remis le sein en place et sortis l’autre pour faire pareil. C’est à ce moment que la porte de la chambre s’ouvrit. Et comme promis par Victor, ce fut ma couleur préférée qui sortit de la pièce, un noir, costaud et barbu.
Il s’approcha de moi et m’embrassa avec fougue, sa main partit à la rencontre de mes seins sous le bustier...
— Alors c’est toi mon épouse ! Très joli ton collier... avec ça tes tétons sont magnifiques...
Il avait dénudé ma poitrine, en baissa les bonnets du corset. Il se mit à les mordiller, il les aspira l’un après l’autre, cela me plut énormément. Sa main se glissa sous mon string et deux doigts noirs s’enfilèrent dans la moiteur de ma chatte. Il me le quitta délicatement. Je lui ôtai veste et chemise, frottai mes mamelons sur le torse noir et glabre, et ma main partit en reconnaissance à travers son pantalon sous sa ceinture. Lui non plus ne portait pas de slip, je suivis son membre qui descendait encore flasque le long de sa cuisse, il était au moins aussi gros et long que celui de Victor.
Je m’assurai que Alfred filma sans interruption, m’accroupis et me mis à lécher à travers le pantalon le phallus qui commença à prendre consistance. Je défis la fermeture éclair et la ceinture du pantalon et sortis l’objet de mes désirs. En le décalottant, je le présentai à la caméra et l’engloutis lentement dans ma bouche, regardant l’objectif, le cameraman filmait en gros plan.
Une main à la base de son sexe, l’autre lui malaxant les testicules, j’entrai et sortais de ma bouche le sexe noir tendu comme un arc maintenant. Au bout de trois ou quatre minutes de succion buccale, il me releva, me fit tourner de dos, les mains appuyées sur la rambarde des escaliers, écarta mes jambes, il demanda à Alfred de filmer la pénétration en gros plan. Avec deux doigts, il ouvrit mon conduit vaginal pour en permettre une bonne prise de vue et lentement, très lentement, fit glisser son gros rouleau noir dans mes entrailles. Attrapant mes seins, il se mit à me labourer avec de sourds grognements.
D’une main, j’écartai une fesse pour que ce diable de Victor ne perde pas une miette du spectacle. La queue était énorme, la cadence infernale, ça me changea de la baise des deux hommes qui certes savaient m’amener au plaisir, mais là, il y avait la fougue de la jeunesse. Et je réagis, sans tricher... ce qui dut plaire à Alfred, friand de candaulisme... qui continua à filmer pour payer sa dette.
Le noir me souleva comme un fétu de paille, je l’attrapai par le cou, me tenant sous les fesses, il m’empala sur sa queue dure comme du bois. Puis tout en m’embrassant, il m’emmena dans la chambre et me déposa sur la moquette. Il recula pour que je pus devant l’objectif ouvrir largement les jambes et me masturber le clitoris. Ma tête toucha le côté du lit bas, il se mit à genoux et sa bite retrouva tout naturellement sa place dans ma chatte, et les pénétrations succédèrent aux pénétrations. Alfred s’appliqua, il zooma, approcha l’objectif, un vrai professionnel. Le noir me porta sur le lit, notre cameraman put ainsi filmer entre ses jambes, la pénétration de l’énorme phallus noir dans mon anus. Il me fit tourner légèrement sur le côté, me releva une jambe pour que le cinéaste enregistre la sodomie en gros plan, ce dont ne se priva pas le vieil Alfred.
Les grosses mains noires me malaxèrent les seins, tirant parfois sur les chaînettes, ça m’arracha des râles d’extases et des cris de béatitude.
Je pris plaisir à lui dire que j’aimais sa longue bite noire et dure, qu’aucune autre ne me faisait autant d’effet que la sienne, qu’il fallait qu’il me l’enfonce encore plus profondément, que je mouillais comme une folle, tout cela pour rendre jaloux Alfred. Le vieux grommela des insanités... tout en continuant à filmer...Sentant qu’il allait éjaculer, le noir me coucha sur le lit. Comme Victor le lui avait expliqué, il fallait qu’on filme son éjaculation dans ma chatte. Il demanda donc au vieil homme de positionner l’objectif entre ses jambes, juste sous ses couilles pour ne rien rater. Son énorme phallus envahit à nouveau ma chatte et il commença de lents va-et-vient, fit pénétrer sa queue entièrement.
— Salope, me dit-il, tu aimes les noirs avec des grosses bites... Je crois que je n’ai jamais senti une nana mouiller comme toi, ma queue est trempée et visqueuse de ton foutre... Putain Victor a eu raison de me demander de te baiser... Il va se régaler ce vieux pervers...à voir le sperme que je vais envoyer dans ta chatte !! Putain que c’est bon de baiser une jolie blanche comme toi...!!
Je sentis sa semence qui montait. Il me demanda de m’écarter les lèvres, tenant sa queue d’une main, il positionna son gland à l’entrée de mon orifice vaginal bien ouvert et lâcha son liquide séminal avec des râles de plaisir, une petite partie coula le long de mes fesses, le reste dans ma chatte.
— C’est bon, dit Alfred, j’ai eu ce que voulait Victor...,— Continuez à filmer, lui dis-je...
Je pris la bite encore tendue et la remis dans mon vagin palpitant, je n’avais pas joui, mais j’étais au bord de l’explosion, le noir dut le sentir, car il enfonça doucement son sexe comme pour bien pousser son sperme dans mes entrailles, son baiser couvrit le cri de jouissance que je poussai. Je me rapprochai du bord du lit, et écartai les jambes au maximum, je caressai et contractai ma chatte pour faire sortir du sperme, j’y enfonçai deux doigts qui ressortirent, luisants et visqueux de semence tiède, je récupérai celui qui coulait sur mes grandes lèvres et léchai mes doigts. Le grand noir s’était mis de côté après m’avoir fait sucer sa queue. Les jambes toujours largement écartées, je caressai ma chatte largement ouverte, gluante de sperme et de foutre que Alfred filmait toujours, je m’adressai à Victor à travers la caméra, en suçant mes doigts poisseux.
— Alors Victor, satisfait du film... de l’opérateur et des comédiens ...? As-tu vu la quantité de sperme qu’il m’a injecté... et en plus, il est délicieux ! Coupez !
Celui-ci arriva en début d’après-midi. J’avais remis ma tenue d’intérieur, exactement comme il me l’avait demandé. A peine arrivé, il s’installa au salon, demanda à Alfred de brancher la caméra sur l’écran de la télévision un Led de 189 centimètres home cinéma, on ne devrait rien rater de la vidéo !! Il me demanda de venir m’asseoir à côté de lui. Il était excité comme un enfant à qui on vient de donner un nouveau jouet.
— Vous pouvez rester Alfred, pour profiter du spectacle, j’espère que le film est excellent...
Le clip du effectivement lui plaire, il était déchaîné, m’embrassa, me caressa, me suça la chatte, se fit sucer la bite, me prit par-devant, par derrière, mais en faisant attention de ne pas aller trop loin pour ne pas éjaculer.
— Tu es vraiment une petite salope, tu aimes vraiment les noirs avec des grosses queues...— Oui, je les adore... mais je vous aime bien aussi avec Alfred !!
Celui-ci lui, nous regarda autant excité par le film ou le grand noir me baisait que par ce que me fit subir Victor... Il se masturba, ne nous quittant pas des yeux nos ébats... Victor riait en le regardant...
— Allez Alfred, dit-il en fin d’après midi, je vais être comme vous un bon patron... votre supplice a assez duré... Venez la baiser avec moi, nous allons lui faire un double vaginal puisqu’elle a l’air d’aimer ça !!
Les deux Hommes peinèrent un peu pour trouver la position adéquate, mais une fois trouvée, ils me besognèrent en douceur et leur éjaculation presque simultanée scella dans ma chatte leur amitié retrouvée.
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