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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 6

Un hôte de marque

Avec plusieurs hommes
— Trixie, cet après-midi, j’ai rencontré mon ami Bisimwa Traoré, tu sais le noir, sur le campus, qui une grosse queue, mes amis en ont parlé l’autre soir lors de notre partie de billard. Il a fait carrière comme Gynéco. Je l’ai invité à venir manger à la maison demain soir. Victor, j’espère que vous nous gâterez pour dîner !— Comment l’as-tu appelé Traoré ? Il a une bite énorme et il est gynécologue ? Je crois que c’est l’oncle de Gérald, il m’a examinée lors de ma dernière visite.— Le monde est petit... Répondit Alfred.
Le lendemain matin, la mine catastrophée, Alfred me pria de l’excuser, il venait de consulter son agenda et le soir, il avait un colloque auquel il ne pouvait pas se soustraire, cela lui était complètement sorti de l’esprit.
— Je ne peux décemment pas annuler mon invitation... Si cela ne te fait rien, ne pourrais-tu pas jouer les maîtresses de maison et le recevoir, Victor te secondera habilement...— Oui, je veux bien, mais je n’ai pas de souvenir de jeunesse à partager avec lui, dis-je en souriant...— Je vais lui téléphoner et m’excuser, mais je vais lui, qu’il te connaît et tu joueras avantageusement les maîtresses de maison.
Je me remémorai les péripéties de la visite que le gynéco noir m’avait faite dans son cabinet et surtout sa bite démesurée !!
— Et je m’habille comment pour le recevoir, normalement ou en tenue de ’’parfaite maîtresse de maison’’ ?— Oh, c’est un ami... Tu fais comme tu veux, mais tu peux garder ta tenue de ’’parfaite maîtresse de maison ’’. Car comme je te l’ai déjà dit : lorsqu’on a une œuvre d’art, on l’expose ! Et puis il t’a auscultée sous toutes les coutures !!— Oh oui !!! Et même un peu plus tu ne crois pas si bien dire !! Je crois que de tous les hommes que j’ai connus, c’est lui qui a le plus gros et plus long sexe, Victor qui n’est pas mal, est battu... je peux en parler en connaissance de cause !!— Eh, bien je ne serai pas là... me dit-il avec du regret dans la voix.— Mais non Alfred, ne sois pas triste... Et puis Victor me surveillera, lui répondis-je en souriant !— Oh oui... sûrement !!
J’avais écouté Alfred et pour la venue de son copain le gynéco, je mis un soutien-gorge blanc qui ne comportait pas de bonnet. Seule, une étroite bande de tissu passait sous chaque sein, les laissant entièrement libres de toute entrave. Mais ils étaient assez fermes pour se passer de support. Un porte-jarretelles blanc à la ceinture assez large assorti à la dentelle du haut de mes bas blancs.
Les lanières des attaches encadraient ma chatte rasée, avec juste un petit triangle de poils blonds et ras au-dessus de ma fente. Aucun string ne venait la soustraire aux regards. Je passai une nuisette, avec de fines bretelles. Elle était fermée sous ma poitrine par un ruban que je nouais savamment, elle s’évasait sur mes hanches laissant mon bas-ventre et mon sexe à découvert... J’écartai au maximum les fentes sur mes seins, on aurait dit que mes aréoles brunes aux mamelons proéminents, n’attendaient qu’une chose, être sucées par une bouche gourmande.
Là-dessus, je passai un léger déshabillé blanc, qui par transparence laissait devenir cette lingerie hyper-sexy. Mais il était presque 20 heures, Bisimwa allait arriver. Je descendis rejoindre Victor qui s’activait dans le living-room.
— Fais voir, ouvre ton déshabillé...
J’obtempérai.
— Putain, tu es comme toujours, vraiment parfaite !! Si j’ai bien compris... en vous écoutant avec Alfred, c’est vieux un noir avec une bite énorme, et c’est l’oncle de Gérald ! Et d’après ce que je t’ai entendu dire à Alfred, il est mieux monté que moi !! On va se régaler ce soir !!
La sonnette retentit, Victor partit ouvrir, et fit entrer notre invité. Bisimwa était un petit homme noir, de l’âge d’Alfred un peu plus de 75 ans, bedonnant, le dessus du crâne chauve, des cheveux blancs crépus autour des tempes, un nez épaté et depuis notre dernière rencontre un petit bouc pointu de poils blancs ornait son menton. Je faisais presque une tête de plus que lui. Il était vêtu d’un élégant costume trois-pièces, d’une chemise bleu pâle.Il s’avança vers moi, avec un grand sourire, me serra contre lui, il m’embrassa sur les deux joues, et me prenant une main, il me fit tournoyer lentement sur moi-même.
— Toujours, aussi parfaite !! Et waoouuhhhh ! Ces vêtements te mettent vraiment en valeur !!— Oui, c’est Alfred qui désire que je reste ainsi... Il appelle ça ’’Ma tenue de parfaite maîtresse de maison’’, il veut vous en faire profiter...— Il en a de la chance ce vieux grigou, de t’avoir vêtue ainsi, en permanence sous les yeux...
Avec un sourire malicieux, Victor s’approcha.
— Si Mademoiselle veut bien me permettre, Monsieur aura un meilleur aperçu...
Il passa derrière moi, il dénoua lentement la ceinture mon déshabillé, en ouvrit doucement les pans et les rabattit sur mes bras. Le déshabillé grand ouvert, je m’appuyai d’une main sur le dossier d’un fauteuil face à Bisimwa pour bien le laisser admirer mon corps. Victor toujours derrière moi, passa ses mains sous mes seins, il malaxa mes globes fermes et les présenta en offrande au petit gynéco.
— Au cours de vos examens, avez-vous vu des seins aussi parfaits ?
Il fit rouler mes tétons entre ses pouces et ses index, les pinça avec ses ongles, ils se gorgèrent de sang et doublèrent de longueur.
— Et des tétons aussi érectiles que ça... ? Oui, nous en avons de la chance avec Monsieur Alfred !!
Il fit glisser mon déshabillé qui chute sur le sol et ses deux mains fripées descendirent le long de mes flancs, s’attardèrent sur la ceinture de mon porte-jarretelles, en suivirent les lanières jusqu’aux attaches sur les bas, puis remontèrent lentement à l’intérieur de mes cuisses, il écarta les lèvres de ma chatte dévoila au noir, surpris par le manège du vieux domestique, l’intérieur rose de ma chatte où perlaient maintenant de petites gouttes. Et avec une pique de jalousie dans la voix, Victor lâcha.
— J’ai su que vous aviez pris énormément de plaisir, à mettre votre grosse queue noire dans cette jolie chatte de petite blanche !— Oui, effectivement, dit Bisimwa un peu gêné... Mais Alfred ne rentre pas ce soir ?— Hélas non, il vous prie de l’excuser, répondis-je, il a dû s’absenter, un colloque important, mais il nous a dit vous recevoir comme si c’était lui, et de répondre à tous vos désirs. D’ailleurs, Victor nous a préparé un succulent repas...
Vu le comportement du majordome, ce diable d’Alfred avait dû lui donner des consignes, surtout pour les désirs sexuels !Mes yeux se portèrent sur son entrejambe, pour voir si comme lors de notre première rencontre, je lui faisais de l’effet. Je ne fus pas déçue, une bosse énorme se dessina lentement, le long de sa cuisse descendit jusqu’à son genou. Victor amena l’apéritif, il lui servit deux whiskies bien tassés. On se mit à table, je ne remis pas mon déshabillé. Le repas fut délicieux et bien arrosé pour Bisimwa. Les yeux fixés sur mes seins qui jaillissaient par les fentes de mon déshabillé, il me complimenta sans arrêt sur la beauté de mon corps. La conversation roula sur les faits d’actualité, puis sur la littérature surtout érotique. Je trouvai que l’alcool aidant, il était de plus en plus enjoué, il devint intarissable. Et au plus, il regardait mon corps mis en valeur par ma lingerie sexy, au plus je lisais du désir dans ses yeux. Ses regards appuyés me troublaient, et maintenant, je ne pensais plus qu’à son immense queue exorbitante, glissant dans mon sexe sur la table d’examen de son cabinet, et cela commençait à exacerber mes sens.
Le repas fini, il s’installa sur un fauteuil près de la cheminée. En face de lui, assise sur le tabouret devant le piano, je réajustai les jambes ouvertes, les attaches de mon porte-jarretelles sur mes bas. Je posai ensuite un talon sur le siège. Je le surveillai du coin de l’œil, mais malgré la vue sur ma chatte béante offerte, sa mine s’était attristée. Il se leva, déboutonna sa braguette et laissa tomber son pantalon sur ses chevilles. Son énorme bite noire, démesurée pendit flasque entre ses jambes. Victor fit semblant de faire du rangement et surveilla nos faits et gestes, ses yeux s’écarquillèrent au vu du rouleau de chair noire, et des bourses velues suspendues en dessous.
— Trixie, me dit Bisimwa, tu sais, je suis extrêmement malheureux ! Regarde ma queue, mais tu la connais... On peut penser que c’est un avantage de posséder un tel appendice, mais en réalité, c’est une malédiction !! Aucune femme ne veut de moi, je n’ai pas pu me marier... Les filles acceptent tout juste de me faire une fellation, parfois, elles m’autorisent à entrer la moitié de mon membre en elles, mais c’est exceptionnel... Les occasions de faire l’amour sont plus que rares maintenant que je n’exerce plus mon métier... Il n’y a que toi, avec qui j’ai pu enfoncer entièrement mon énorme mandrin et depuis plus rien... Heureusement, Gérald m’a fait des copies des DVD où tu fais l’amour avec divers partenaires... Cela m’a permis de me masturber !! Mais rends-toi compte, cela fait presque maintenant un an, depuis votre dernière visite, que je n’ai pas touché une fille...Je crus qu’il allait pleurer... Mais oui, une larme perla sur sa joue ! Je me levai à mon tour, et avec un air contrit, me dirigeai vers lui, je lui déposai un baiser sur la joue...
— Je vois Bisimwa, mais que puis-je faire, pour vous ? Comment puis-je vous aider ?— Eh bien, pour commencer, en me laissant enlever ta nuisette.
Avant que je puisse esquiver un geste, il tira sur le cordon, le fin vêtement de dentelle blanche s’ouvrit. Je me tournai comme si j’étais choquée...
— Noonnnn, Bisimwa, minaudai-je, ce n’est pas de ça que je parlai. Et puis Alfred n’est pas là... Il m’aime beaucoup... Je ne sais pas s’il permettrait que je vous aide de cette façon !!— Oh oui, je sais ! Alfred, tout comme Gérald te chérit corps et âme, mais s’il t’a permis de me recevoir dans cette tenue, c’est que peut-être, il voulait que je puisse moi aussi chérir votre corps ! Ne crois-tu pas ?
Il attrapa les bretelles de la nuisette et les fit tomber de mes épaules, je le laissai faire. Il dégagea délicatement mes seins des fentes, et la laissa choir sur le sol, et me remit face à lui. Ses grandes mains noires se posèrent sur mes seins blancs. Mes mamelons dépassaient de deux centimètres entre ses majeurs et ses annulaires.
— Nooonnnnn, Alfred ne m’a rien dit ! Je n’ai pas sa permission, nonnnn... Je ne veux pas... !!— Alors peux-tu me dire pourquoi tes seins sont si fermes, et tes mamelons si durs et je suis sûr que tu mouilles.
Il plaqua une main sur mon sexe, et insinua son majeur dans ma fente palpitante, il le retira luisant de liquide séminal et le porta à ses narines, puis suça son doigt.
— Bon sang, Trixie, c’est le paradis. L’odeur et le goût de ta chatte sont divins, j’avais oublié ! J’adore ton petit sexe ! Et tu vois, c’est ta bouche qui dit non, ma petite chérie, mais ta chatte raconte une histoire différente, elle est trempée. Je sais que tu le veux Trixie, tu veux sentir mon énorme bite noire te pénétrer ! Allez dis-le !!— Oui... mais Alf...— Alfred n’est pas là et je vais profiter de ta jolie petite chatte blanche et profonde, il y a si longtemps que j’attends ce moment !
Victor, la mine déconfite, avec la télécommande transforma le divan en lit.Avec fermeté, le petit gynéco noir me poussa vers la couche. J’y tombai à genoux, le visage collé contre le matelas. Il se pencha, il embrassa mes épaules et je sentis glisser sa langue dans mon dos.Elle passa la cambrure de mes reins, s’attarda sur le pourtour de mon porte-jarretelles, serpenta entre mes deux globes fermes, qu’il écarta de ses deux mains. Son appendice buccal tourna lentement autour de mon orifice anal, le faisant se contracter, puis il y enfonça plusieurs fois légèrement le bout rose à l’intérieur, je gémis, tendant les fesses en arrière.
Elle reprit sa lente progression vers mon méat vaginal, s’insinua entre mes lèvres. Je saisis et serrai le plaid du canapé, laissai sortir un lent soupir plaisir, lorsque la langue de l’homme noir lécha mon clitoris, sa bave chaude coula le long de ma chatte et sur mes jambes.
Mon corps s’est tendu, il est devenu rigide. Bisimwa tel un animal sauvage assoiffé, lapa toute la longueur de mon sexe, lécha, suça, aspira l’excroissance rose de mon clitoris, but la douce crème gluante qui suintait de mon vagin.
Ses massages buccaux furent incroyables, son visage noir était enfoui dans les profondeurs de mon intimité. Mes cuisses s’ouvrirent en grand, pour lui permettre d’avoir une plus grande facilité de manœuvre. Sa langue plongea profondément dans mon orifice vaginal grand ouvert, il la rentra et la sortit à toute allure, puis suça et lécha le fluide qu’il tira et fit couler de ma jeune chatte humide, puis elle titilla mon petit bouton rose qu’il mordilla ensuite du bout des dents.
Ses caresses me firent haleter, je commençai à gémir bruyamment sans discontinuer, mes hanches commencèrent à trembler, un orgasme puissant commença à poindre dans mon bas-ventre, mais il cessa d’un coup ses palpations et je réussis à contenir mon désir.
Bisimwa s’éloigna de mon corps pendant un petit moment, comme pour vérifier les résultats de ses caresses. Ensuite, il se mit à genoux derrière moi, et brandissant sa bite démesurée et ferme d’une main, se précipita sur moi, à la recherche de ma chatte.
Je redressai mes fesses, aplatissant mon buste sur le lit. Bisimwa, sa bite monstrueuse en main, bandante et gonflée comme celle d’un âne, posa rapidement son gland cramoisi virant sur le noir à l’entrée de ma chatte trempée et il commença à l’enfoncer entre mes lèvres avec une longue et profonde poussée.
Lors de la visite gynécologique, il m’avait déjà défoncé la chatte avec son plus que gigantesque engin noir, mais il m’avait bien préparée avant avec plusieurs godemichés... Là, bien que je mouillais comme une petite folle, une certaine appréhension me fit une boule dans le ventre.
J’essayai d’avancer sournoisement mes hanches, pour retarder la pénétration, mais je commençai à respirer bruyamment, sentant ma chatte s’agrandir et être de plus en plus humide. Cet énorme tronc noir frictionna l’entrée de mon orifice vaginal, frotta lascivement autour de mon clitoris.
Bisimwa grogna, frustré, plaqua ses grandes mains noires autour de ma taille, sur mon porte-jarretelles et commença à frotter énergiquement le long de ma fente ruisselante, sa queue de mammouth dure comme du fer.
Il poussa sa large et monstrueuse bite noire dans les plis de ma chatte, il força assez durement pour l’écarter et pouvoir enfoncer sa virilité inhumaine à l’intérieur de mon vagin. Pendant plusieurs minutes, la bite noire du gynéco entra en moi, d’abord deux centimètres, puis trois... puis quatre...
Mais c’était seulement le gland qui venait d’entrer dans ma chatte. Je serrai fortement le plaid du lit, un cri muet sortit de ma bouche, lorsque la tête de l’énorme bite noire commença à me pénétrer plus avant. Par petits coups de reins, il continua à enfouir son pieu dans mes entrailles, il le ressortit à moitié, pour mieux l’enfoncer à nouveau gagnant chaque fois quelques centimètres. Il respirait fort, parfois un grognement sourd sortait de sa gorge, lorsque je contractais autour de son énorme phallus mes muscles vaginaux.
Il s’appliqua à faire entrer la totalité de son membre démesuré. Je haletai, pantelante, je nageai dans un brouillard de félicité et l’énorme bite noire vint buter jusque sur le col de mon utérus profondément dans mes entrailles. Je trouvai cette bite monstrueuse, particulièrement chaude. Elle était rugueuse et épaisse et remplissait entièrement ma féminité. Mes parois vaginales palpitèrent autour du membre titanesque. Il marqua un temps d’arrêt bien calé au fond de mon vagin.
— Tu vois Trixie, c’est comme si ta chatte avait été conçue pour ma grosse bite noire, et je pense que tu l’aimes ma grosse queue, et à t’entendre gémir de plaisir, je vois bien que tu prends ton pied ! N’est-ce pas, petite salope ! Oh putain, je suis aux anges, elle est tout entrée... Tu as bien enveloppé mon énorme bite, elle est serrée agréablement, je n’aurai jamais cru que tu arriverais sans préparation... comme la dernière fois ! Je n’ai jamais ressenti cela, tu me rends fou de bonheur... Dis-moi que toi aussi, tu perds la tête...
Je dus convenir qu’il avait raison, je n’aurais jamais cru que cela serait si puissant... Je n’avais encore jamais ressenti ça quand je faisais l’amour avec un autre homme. C’était vraiment plus qu’intense, mon corps devenait de plus en plus alangui, cet homme noir me rendait folle avec sa bite monstrueuse.
Oh putain ! Ma chatte se sentait si bien ! Je ne me souvenais pas d’avoir un jour ressenti cela ! C’était si fort ! Je ne voulais pas permettre à Bisimwa de me contrôler entièrement, mais mon corps n’avait jamais connu quelque chose comme ça auparavant, et avant que je puisse aller plus loin dans mes réflexions, il me retourna sur le dos, il retira la totalité de son membre gluant. Mon cœur battit à tout rompre, mon corps était engourdi, ma chatte se sentait vide, mon ventre réclama à nouveau la monstrueuse intrusion de cette énorme bite noire. Je la voulais par-dessus tout, je voulais encore la sentir en moi à tout prix... Je voulais cette queue monstrueuse noire profondément dans ma chatte. Oui, je suis une fille terriblement salope, nymphomane, voulant que des hommes avec de grosses bites s’enfoncent profondément en moi.
Il exauça mes désirs, son énorme mandrin noir glissa cette fois sans heurt au plus profond de mon vagin, il m’embrassa fougueusement sa langue se noua à la mienne, je lui rendis son baiser avec passion. Il m’empala avec de puissants allers et retours. Au diable sa laideur, son obésité, son âge. Au travers d’un brouillard érotique, je vis Victor s’approcher du divan. Il me sembla qu’il était nu, sa queue blanche, presque aussi grande que celle du noir qui me martelait, en érection.
Bien lubrifiée, pleine de cyprine qui faisait un anneau blanc à la base du cylindre noir monstrueux, la queue de Bisimwa entrait et sortait à toute vitesse de ma jolie chatte de petite blanche. Mon sexe était en feu, une boule de lave se déplaça dans mes entrailles, cherchant à traverser mon corps pour aller déverser sa jouissance dans mon cerveau, enfin l’éruption eut lieu, mon corps se cambra, souleva le petit gynéco, et comme des bombes volcaniques, des cris de jouissance fusèrent de mon gosier...
— Bien bien ça... Tu as joui... Ton orgasme a été puissant... Mais moi, je ne suis pas encore prêt, je n’ai pas encore éjaculé chérie... Je veux profiter de ta chatte Trixie, elle est la meilleure chatte que je n’ai jamais baisée, la seule où je peux enfiler entièrement ma queue !! Alors, je fais durer le plaisir !!
Son dard démesuré continua au moins pendant dix minutes à transpercer mon sexe ruisselant, je sentis ses couilles rebondir sur mes fesses, il me tirait toujours des gémissements de ravissement.
— Bisimwa, je... je vais m’évanouir... je... je ne peux plus supporter le plaisir que vous me donnez... !!— Tixie, je vais jouir !! Veux-tu que j’éjacule mon sperme à l’intérieur de ta chatte ?— Oui, oui faites gicler votre semence profondément dans ma chatte, je la veux à l’intérieur de mon vagin... Répondis-je en transe..... AAAAAHHHH, OOOHHHH... je jouis à nouveau... avec vous !! Je sens votre sperme chaud couler dans mon ventre ! Oh putain... c’est une sensation merveilleuse. J’aime que les Noirs éjaculent dans ma chatte !!— AAAAAAHHHHHHH... Putain que c’est bon... cela faisait un an que j’attendais de pouvoir à nouveau éjaculer mon sperme dans ta chatte, mais j’en ai tellement en réserve... regarde mes couilles sont pleines, caresse-les-moi. Mais je vois que Victor voudrait nous dire quelque chose.
J’obtempérai, lui caressai les testicules et regardai Victor en souriant, je savais en voyant son regard que le vieux domestique d’Alfred était jaloux lorsque je me faisais baiser devant lui par un autre homme. Il s’était déshabillé lors de nos ébats, il bandait énormément.
— Oui... Mademoiselle ne va pas me laisser dans cet état...— Pour l’instant, je suis crevée... Victor, on verra !! Mais si tu nous préparais un bon thé pour nous retaper.
Il partit en grommelant, nu comme un ver, en cuisine, préparer les boissons. Nous avions remis le canapé en place, et assis l’un tout près de l’autre, Bisimwa me complimenta à nouveau, j’étais pour lui une femme exceptionnelle... Il continua ainsi pendant un quart d’heure, usa de tout un tas de superlatifs, ponctua ses dires par de petits baisers, palpa mes seins, s’amusa avec mon porte-jarretelles. Je continuai à malaxer ses couilles velues, déposant parfois de petits baisers sur son gland bistre que je décalottai, par plaisir.
Victor revint avec la théière, et nous servit les boissons revigorantes auxquelles il avait ajouté, nous dit-il une larme de cognac. Le tout conjugué dut faire effet, la main noire de Bisimwa se glissa sous la lanière de mon porte-jarretelles, et remonta en direction de ma chatte. Je l’embrassai...
Un peu, brutalement, Victor, toujours nu et bandant comme un taureau, vint s’asseoir à côté de moi. Il se pencha sur moi pour m’embrasser passionnément, j’acceptai sa langue sauvage et ses lèvres tremblant de désir, puis sa langue pleine de salive descendit sur mon cou, le lécha tandis qu’une de ses mains malaxa mon sein droit. Le petit gynéco, avec la télécommande, remit le divan en position-lit, ce qui obligea Victor à se mettre debout.
Le noir profitant de cette aubaine, craignit que Victor ne m’accapare, me renversa sur lui. J’avais encore le sexe et l’anus trempés par son sperme et par le foutre qui suintait à nouveau de mon vagin. Rapidement, il enfonça légèrement son énorme gland dans mon conduit anal. J’étais jambes largement écartées, il se mit à triturer mon clitoris, faisant profiter de mon intimité grande ouverte et trempée à Victor. Celui-ci ne put résister, se mettant à genoux entre mes cuisses, il passa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles et enfonça sans ménagement sa grosse bite dans ma chatte dégoulinante. Je frissonnai en la sentant me pénétrer. Chaque centimètre de sa vieille bite tendue pénétra profondément ma vulve et butta l’entrée de mon utérus à chaque pénétration.
Bisimwa lui aussi enfonça petit à petit sa bite cyclopéenne dans mon anus. J’étais complètement coincée entre les corps blanc et noir. Mon cul et ma chatte pilonnée par deux pistons géants, dont les évolutions devinrent plus dures, plus rapides, plus profondes.
La jalousie du vieux majordome fut exacerbée. Il me baisa comme un fou, il s’allongea sur moi, suça et mordilla fortement mes mamelons. Puis il se laissa tomber sur le côté, réussit à se coucher sur le dos, m’entraîna avec lui, pour ne pas sortir sa bite de mon anus, Bisimwa fut obligé de suivre le mouvement, et se retrouva au-dessus de nous.Je fus à nouveau projetée dans un nirvana de jouissance, chaque pénétration de l’un ou de l’autre me tira des gémissements de plaisir. Mon corps, mon esprit ne devinrent qu’un seul sexe dans lequel le plaisir s’engouffra.Victor attrapa mes fesses, se mit à les pétrir. Bisimwa eut une vue splendide sur ma chatte baveuse emplie par l’énorme sexe blanc. Mais la bite de Victor empêcha l’énorme mandrin du petit noir bedonnant de me sodomiser facilement. Il grogna de mécontentement, c’est lui maintenant qui fut jaloux du vieux domestique ! Il sortit sa queue...
— Faites-moi une petite place Victor, je viens vous rejoindre...— Nooonn, nooonnn... Vous n’allez pas mettre vos deux bites éléphantesques dans ma chatte, nooonnn !!— Mais pourquoi pas, Mademoiselle, ce ne serait pas la première fois que...— Oui, oui Victor, mais jamais deux monstres de cette taille !! Elles ne rentreront jamais et vont me déchirer !!— Mais non, Trixie, je suis gynéco... Le vagin féminin peut se dilater jusqu’à plus de dix centimètres en largeur alors en forçant un peu, nos deux bites vont trouver leur place... Détends-toi... Nous avons déjà fait cela avec Gérald lors de ton dernier examen !
Son gland se posa à l’entrée de ma chatte, sous mon clitoris, au-dessus de celle de Victor, qui ne bougea plus, sa bite bien enfoncée en moi. Puis il força, enfonça son phallus noir dans ma chatte bien lubrifiée, lentement centimètre par centimètre. Je haletai bruyamment, gémis doucement en sentant ma chatte s’étirer autour de deux grosses bites dures comme du fer. J’eus un hoquet lorsque je sentis le bout de la bite de Bisimwa toucher mon utérus.
— Relaxe-toi, Trixie, nous avons entré nos deux bites, tu es vraiment super...
Ils commencèrent à me baiser de plus en plus vite, me pénétrant avec leurs bites palpitantes, sans les faire sortir ma chatte surchargée... Victor me massa les fesses, chuchota dans mon oreille.
— Allez, tu aimes nos deux bites... petite salope... tu vas jouir... je le sens...
En effet, bien que je luttais pour le repousser, je commençai à ressentir qu’un orgasme, un des plus puissants que j’ai connu se formait à l’intérieur de mon ventre. Mes fesses rebondirent, mes seins se balancèrent violemment, tout mon corps me brûlait, j’attendis qu’ils éjaculent profondément leur sperme dans ma chatte. Leurs énormes bites dures et gonflées étaient depuis un moment dans mon vagin, en entendant mes cris d’extase, les deux hommes redoublèrent la cadence de pénétration.
J’explosai, chacun des muscles de mes parois vaginales se serra avec une force inouïe, puis se relâcha, une vague de foutre humide et crémeux déferla comme une cascade le long de mon vagin, trempant les bites monstrueuses des deux hommes, leurs couilles et les jambes de Victor. Ils sentirent les spasmes de ma chatte, elle se serra avec force autour de leurs énormes queues, et ils les enfoncèrent plus profondément dans ma chatte blanche et humide, chaque bite luttant pour faire son chemin entre mes parois vaginales distendues.
Puis deux geysers simultanés éclatèrent de leurs queues avec une vigueur inouïe dans mon ventre, il me sembla que ma chatte s’étirait encore plus, de façon à accueillir leur profusion de sperme chaud et gluant giclant avec force dans la profondeur de mon intimité.
Pendant plusieurs longues minutes, l’énorme bite du petit noir resta bloquée dans ma chatte, il jouit énormément, son éjaculation fut intense et sembla ne vouloir jamais s’arrêter.J’acceptai le baiser que Victor me prodigua et je l’embrassai passionnément, ravie que le vieux majordome ait pu me faire jouir, comme jamais il ne l’avait fait auparavant.
Tandis que Victor me délivrait son baiser, Bisimwa m’embrassa dans le cou et il devint vraiment jaloux, que Victor pût être si intime avec moi. Il le repoussa en arrière. Leurs deux bites s’échappèrent en même temps de ma chatte, leur sperme se mit à couler de mon orifice béant, se répandit sur mes cuisses et jusque sur mes bas.
— C’est quoi ça ?? Alfred, ne vous a-t-il pas dit de vous occuper de moi ? Allez, dégagez Victor... reprenez votre place de domestique...
Il dit cela assez méchamment, je crus que Victor allait riposter, mais Alfred pénétra dans la pièce. Il s’approcha en souriant.— Eh bien Messieurs !! Je vois que vos bites sont flasques, vos testicules doivent être vides... la chatte et les cuisses de Trixie sont pleines de vos spermes !! Vous avez dû vous éclater ce soir, non ?? Alors, pourquoi s’énerver !!
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