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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 9

Une crevaison providentielle

Avec plusieurs hommes
Lorsqu’il m’avait demandé d’être sa colocataire, Alfred un vieux monsieur de plus de 75 ans avait inclus une clause dans le bail, elle spécifiait que pour lui tenir compagnie, à l’intérieur de la maison, je ne devais être vêtue que d’une nuisette complètement transparente. Il en avait acheté tout un stock, elles comportaient toutes des ouvertures sur les aréoles de mes seins et s’arrêtaient au ras de mon pubis, laissant ma chatte nue, complètement rasée, offerte aux regards. Je devais porter ce déshabillé par-dessus un porte-jarretelles soutenant des bas noirs, des talons aiguilles complétaient la panoplie de la parfaite maîtresse de maison, comme il se plaisait à le dire. Il s’extasiait sans cesse devant ma jeunesse, mes cheveux blonds tombant sur mes épaules, mon cou gracile, mon nez légèrement aquilin, mes yeux bleus-verts, ma bouche sensuelle, mes seins parfaits disait-il pour la main d’un homme, ma taille de guêpe, mes fesses fermes, mes jambes splendides.
— C’est pour que nous puissions bénéficier à tous les instants de cette vision de rêve, que je veux que tu sois habillée ainsi, argumentait-il.
Je n’y avais émis aucune objection. Il avait engagé, un vieux majordome très stylé, Victor. Le critère d’embauche avait été son appendice sexuel avoisinant en érection les 28 centimètres de long et les 7 centimètres de diamètre. Alfred n’était pas très gâté au niveau du sexe, le sien était assez petit, il pouvait ainsi laisser libre cours à son candaulisme, sa pratique sexuelle favorite, avec laquelle il ressentait une excitation sans borne en m’exposant à des hommes, ou surtout en me partageant avec eux, me regardant me faire baiser. Là aussi, j’y avais pris un goût certain, et souvent, je me traitais de salope, de participer à ces jeux plus qu’érotiques.
Il était fréquent que Victor satisfasse la libido d’Alfred, la monstruosité de son sexe et son habilité à me faire jouir, avaient gommé à mes yeux, son grand âge et sa laideur. Je prenais vraiment du plaisir lorsque son énorme sexe entrait entièrement en moi, et que son sperme emplissait mon vagin. Le candaulisme de mon patron le poussait aussi à me faire avoir des rapports sexuels avec plusieurs hommes ou femmes, devant son regard consentant et demandeur. Je crois d’ailleurs qu’au plus mes partenaires étaient laids, au plus cela l’excitait et au plus sa jouissance était intense. Il aimait par-dessus tout me voir baiser par un noir, surtout si celui-ci était gros, laid et monté comme un étalon. Du côté taille du sexe, mon copain Gérald était parmi ses favoris. Il m’avait avoué que ses orgasmes les plus forts se produisaient lorsque mon partenaire noir me faisait jouir et éjaculait sa semence dans ma chatte.
Et d’ailleurs, bien que je refusais de me l’avouer, j’avais pris goût à ces jeux pervers. Il désirait par exemple que lors de mes déplacements en ville, sous ma robe ou mon chemisier et ma jupe, je ne porte aucun sous-vêtement, si ce n’étaient les bas et le porte-jarretelles. C’est pour aguicher les hommes, prétextait-il, car on ne savait jamais. Et moi, cela me plaisait.
Je pouvais avoir nombre d’expériences sexuelles, à condition de les lui relater avec force de détails en rentrant.Il venait de s’offrir le dernier modèle de téléviseur, un écran incurvé de 88’’ UHD/4 mesurant 110 centimètres de haut sur 190 centimètres de large. En plus, il avait fait équiper chaque pièce de la maison d’une caméra qui lorsqu’il la sélectionnait, retransmettait les images sur son nouveau jouet. Il en avait même fait installer deux dans ma chambre.
Il pouvait visionner et ne rien rater des ébats que je pouvais avoir avec Victor, à qui il avait fait tourner plusieurs clips vraiment pornos, avec sa ’’petite Trixie’’, pour les vidéos, il avait aussi mis à contribution mon amant Gérald et aussi son neveu Maxime.
Ce jour-là, je revenais faire des courses en ville, habillée selon le désir d’Alfred. Je n’avais ni soutien-gorge ni string, simplement mes bas et mon porte-jarretelles, j’avais enfilé une robe blanche avec des bretelles assez lâches qui la soutenaient sur mes épaules, en me penchant, elle baillait et laissait plus qu’entrevoir mes seins. Assez courte, attachée à ma taille par une fine ceinture blanche, elle plaquait assez sur mes cuisses pour laisser deviner les fermoirs des lanières du porte-jarretelles.
Tout d’un coup, la direction de la voiture flotta légèrement. La poisse, j’ai dû crever, un des deux pneus de devant doit être à plat, me dis-je. Je me garai et descendis. La rue était complètement vide, aucune circulation, les maisons avaient l’air fermées, les gens devaient être au boulot. Je m’aperçus que j’avais oublié mon téléphone portable, décidément, c’était le jour ! Je parcourus à pied une cinquantaine de mètres, miracle, un gros 4x4 était garé dans l’allée d’un jardin. J’allai pouvoir demander de l’aide, pour changer ma roue ou que l’on me prête un téléphone.
Je sonnai, attendis, sonnai à nouveau, une voix assourdie me dit de patienter un peu, puis la porte s’ouvrit. Le gars qui s’encadra dans le chambranle était grand, torse nu, légèrement enrobé, un embonpoint proéminent, il avait un pantalon de jogging et des tongs... Sa tête était rasée, sa peau était d’un beau noir luisant, parsemée de fines gouttelettes d’eau.
— Oui, bonjour mademoiselle, j’étais sous la douche, juste le temps de passer ce pantalon avant de vous ouvrir. Mais que vous arrive-t-il ?— J’ai crevé, mon pneu avant droit est complètement à plat et j’ai oublié mon téléphone.— Et vous aimeriez que je le change, dit-il en souriant !— Euh oui, si, si vous pouviez, ce serait très gentil, lui dis-je avec un sourire enjôleur.
— Faut voir ! Et vous êtes où ?
En chemin, je pensai que si je l’émoustillai un peu, il me changerait la roue défectueuse sans problème et j’étais assez douée pour cela, je ne devrais pas avoir trop de mal y parvenir ! Arrivé devant le véhicule, il s’accroupit devant le pneu à plat.
— Regardez, là. Il y a un clou !!
Je me penchai, le devant de ma robe bâilla. Il releva les yeux et son regard engloba mes seins, sous son regard inquisiteur, mes tétons durcirent. Le soleil darda ses rayons dans l’échancrure du bustier, je le laissai se délecter du spectacle.Je me baissai à mon tour, ma robe assez courte remonta sur mes cuisses et découvrit les attaches de mon porte-jarretelles. Aussitôt, son regard descendit sur mes jambes. J’étais face à la voiture, je me tournai vers lui, délicatement, pour ne pas trouer mon bas, je posai mon genou droit au sol et écartai légèrement ma cuisse gauche. Le bas de ma robe se tendit, le soleil pénétra à flots dans l’ouverture ainsi créée. Il dut apercevoir la fente de mon sexe exempte de toute pilosité.Il se figea, comme tétanisé. Je le regardai avec des yeux de velours, fit osciller mon genou gauche pour augmenter l’ouverture.
— Croyez-vous que vous pourrez changer ma roue ?— Euh, ou... ouuiiii, dit-il sans quitter mon entrejambe des yeux, vous savez où est votre roue de secours, votre cric, et votre douille pour le boulon antivol ?— Oui, je crois que tout se trouve dans le coffre.
Il se releva à regret, le tissu de son jogging fit une bosse à hauteur de son sexe, je restai encore un peu un genou à terre. Mon stratagème avait l’air de marcher. Je lui ouvris le coffre, il repéra le cric, la manivelle et la roue de secours, mais il chercha en vain la douille pour le boulon antivol.
— Si, nous ne la trouvons pas, je ne pourrais pas démonter la roue, vous ne savez pas ou elle se trouve ?— Non, je n’y connais pas grand-chose. Elle a dû rester à la maison. Comment va-t-on faire ?
Discrètement, je descendis une bretelle sur mon bras. Je me penchai dans le coffre et fis semblant de chercher, en faisant aussi bien attention de faire bâiller le devant de ma robe, la bretelle tomba plus bas et un sein et son mamelon en érection se découvrirent. Ses yeux brillèrent de convoitise.
— Oooohhh, le coquin, dis-je en remontant ma bretelle en souriant.— Vous habitez loin ?— Non pas très, à quelques rues d’ici.— Bien dans ce cas, je peux vous emmener avec ma voiture, récupérer la douille et revenir changer la roue, qu’en pensez-vous ?— C’est très gentil. Vous méritez un baiser. Comment vous appelez-vous ? Moi c’est Trixie.— Idrissa.
Je me hissai sur la pointe des pieds, appuyai mes seins aux pointes tendues sur ses pectoraux et lui fis deux bises sonores sur les joues, la dureté de son sexe appuya sur mon ventre, il bandait énormément.Sortant du bain, il devait être nu sous son pantalon. Je récupérai mes achats, il les porta jusqu’à son 4x4, s’installa au volant et déverrouilla la portière passager. Pour m’asseoir sur le siège, je fus obligée de lever la jambe assez haute, le bas de ma robe remonta très haut sur mes cuisses et découvrit un morceau de peau conséquent, les fermoirs et les lanières blanches de mon porte-jarretelles. Assise sur le siège, je ne remis rien en place, me débrouillai pour la faire remonter un peu plus. Il mit le moteur en route, il allait démarrer lorsque la porte de la maison s’ouvrit, un second gars jaillit littéralement sur le trottoir et s’approcha rapidement de la voiture et se pencha à ma vitre ouverte.
— C’est mon frère, me dit Idrissa.— Tu vas où comme ça, avec la jolie demoiselle ?
Ses yeux lorgnèrent mon décolleté qui bâillait largement sur mes seins, il dut apercevoir mes pointes brunes érigées, puis ils se portèrent sur mes cuisses, en vraie salope, je les écartai légèrement, de sa position, il aperçut la naissance de ma fente.
— Ooooohhhh. Putain ! Je viens avec vous.
Il s’installa à l’arrière. Les yeux d’Idrissa ne regardèrent la route que par intermittence, je vis qu’il devait faire des efforts pour que sa main ne se pose pas sur ma cuisse. Il bricola le rétroviseur, l’orientant de façon à apercevoir mes jambes. En souriant, je les écartai un peu plus. Je le guidai en direction de chez Alfred. Le parcours comportait pas mal de gendarmes couchés, il les passa assez rapidement, chaque trépidation fit remonter un peu plus haut ma robe. Mais le trajet ne fut pas assez long pour qu’elle découvre entièrement le bas de ma fente.Arrivé chez Alfred, je leur demandai de venir avec moi, car seul Victor devait savoir où se trouvait la pièce manquante. Mon vieux patron et Victor étaient dans le living-room, regardant une émission sur son nouveau joujou tout neuf. Je lui présentai Idrissa et son frère, je lui expliquai ce qui m’était arrivé. Il me regarda avec un air malicieux en souriant.
— Vous êtes très serviable, monsieur, cela mérite une récompense. Trixie, ma Chérie, as-tu fait des achats ? Oui, d’après tes paquets, mais as-tu acheté ce que je t’ai demandé ?— Oui, mon Alfred chéri, j’ai acheté le petit porte-jarretelles noir qui te plaît beaucoup.— Tu peux me le montrer ?— Voilà, dis-je en sortant le petit bout de lingerie, et ce n’est pas donné !!
Il le prit, le regarda sous toutes les coutures. A son sourire, je compris qu’il mijotait quelque chose.
— Bien, très joli, mais je vais avoir besoin de toi, mais tu n’es pas dans ta tenue de travail, et j’ai un truc assez urgent à te faire faire. Victor, vous allez aider Trixie à porter les paquets dans sa chambre, il lui fit un clin d’œil et rajouta en riant, vous pouvez l’aider à se changer, ensuite vous chercherez cette douille et vous irez avec monsieur récupérer la voiture. Mais messieurs prenez place à côté de moi, en attendant que Victor revienne. Je vous offre à boire ? Je crois qu’il va y avoir un programme assez intéressant à la télé. Si vous n’êtes pas trop pressé, vous allez pouvoir en profiter !
Victor prit les paquets et m’accompagna à ma chambre.
— Tu as compris ce que veut Alfred ? Me dit Victor.— Oui, je pense. Il veut que tu me baises pour en faire profiter Idrissa et son frère en direct sur la télé.— Et je suis sûr que ça t’excite.— Oui, car ensuite, je compte bien profiter de leurs grosses queues noires.— Salope, tu les aimes les noirs.— Oui et tu le sais, tu sais aussi que j’adore que l’on me regarde faire l’amour !
Lorsque nous entrâmes dans la chambre, les deux caméras étaient allumées, l’une au plafond, l’autre grand-angle, positionnée sur le devant du lit, c’était celle-ci qui filmait pour l’instant. Alfred à distance pouvait les faire pivoter, zoomer.
— Alfred veut que tu te mettes en tenue de travail. Laisse-moi t’aider, tu veux bien ?— Ouiiiiii. Je vais mettre le porte-jarretelles qu’il a voulu que j’achète.
Il s’approcha, dénoua la ceinture blanche qui ceignait ma taille, passa derrière moi et me positionna face à la caméra, puis il baissa les bretelles de la robe, dénuda lentement mes seins. Dans un geste d’offrande, je tendis ma poitrine vers l’objectif. Lentement, il tira le léger vêtement vers le bas, dévoila ma chatte bien rasée, et mes jambes gainées de noir. Il fit sauter les attaches du porte-jarretelles blanc et le dégrafa dans mon dos, il chute sur le sol. Il se déshabilla et nu comme un ver, s’allongea sur le lit.
Lascivement, j’enfilai ma nuisette noire en dentelle transparente, ajustai les bretelles sur mes épaules, positionnai bien les ouvertures du devant en face des aréoles de mes seins et nouai les petits rubans de fermeture. Elle couvrait tout juste mon sexe. J’agrafai autour de ma taille le porte-jarretelles noir qu’Alfred avait désiré que j’achète, c’est vrai qu’il était joli avec sa fine dentelle sur le devant. Je m’approchai du lit sur lequel Victor était étendu, me déhanchai devant lui, soulevant légèrement le bas de ma nuisette pour qu’il aperçoive ma chatte.
C’était maintenant la caméra du plafond qui filmait, Alfred et ses invités ne durent rien manquer.Je regardai Victor. Il n’était vraiment pas beau, des cheveux blancs clairsemés, un visage émacié, un nez recourbé assez pointu, un torse poilu, exempt de toute musculature avec la peau du ventre qui plissait, des bras vraiment maigres, des jambes de momie.
Mais un énorme rouleau de chair d’au moins vingt-sept centimètres de long et de sept de diamètre, pour l’instant au repos, était étendu sur sa cuisse, et la longueur du membre en dépassait largement la moitié, son scrotum contenait deux testicules gros comme des œufs de pigeon, il avait rasé son pubis. L’absence de toute pilosité augmentait encore l’amplitude de son membre, il vit que je regardai sa verge monstrueuse, en souriant, il me dit :
— Elle te plaît, ma grosse bite. Tu crois que celle d’Idrissa est aussi grosse que la mienne ? Tu as dû le remarquer, mais que tu baises avec d’autres hommes attise ma jalousie, c’est plus fort que moi, et le comble de ma souffrance, c’est lorsque je te vois jouir avec eux !— J’espère qu’elle est aussi grosse et en plus, elle est noire et tu sais que je les adore de cette couleur. Mais viens ici, agrafer mes jarretelles à mes bas. Alfred m’attend !
J’avais dit cela pour émoustiller les deux noirs. Le majordome s’approcha à quatre pattes sur le lit. Adroitement, de ses vieilles mains, il boucla les fermoirs de devant. Je me tournai, il attacha avec autant de dextérité ceux de derrière. La seconde caméra se déclencha. Les mains du vieux domestique se positionnèrent sur le devant de mes cuisses et remontèrent lentement, le long des lanières, sa bouche se posa dans mon cou, avec sa langue, il en remonta la courbe gracile et me mordilla le lobe de l’oreille. Je penchai la tête en arrière pour lui offrir mes lèvres, qu’il mordilla doucement avant que sa langue n’investisse ma bouche.
Ses mains ne restèrent pas inactives, avec la gauche, il souleva le bas de ma nuisette, pour bien dégager mon pubis rasé et après quelques allers et retours le long de mes grandes lèvres moites, il inséra son majeur et son index dans mon conduit vaginal. Il ajouta son annulaire et ses trois longs doigts décharnés firent de profonds va-et-vient dans mon sexe maintenant ruisselant. Son pouce caressa mon clitoris.
De sa main gauche, il dénoua les petits rubans des fentes de la nuisette et les écarta sur mes mamelons, il fit rouler à tour de rôle mes tétons durcis entre ses doigts, les pinça avec ses ongles. Les deux caresses conjuguées me firent gémir de plaisir.
Il me mit face à lui, je sentis contre mon ventre la dureté de son sexe qui n’avait pas atteint tout à fait son apogée, car lorsqu’il était en érection totale, il avoisinait les trente centimètres. Je le saisis et me mis à masturber la verge qui bien que vieille, darda fièrement et durcit comme du fer. Il m’embrassa farouchement et descendit lentement les bretelles de ma nuisette, dénuda mes seins et se mit, toujours en m’embrassant furieusement, à me malaxer la poitrine en fixant camera comme pour bien montrer à Idrissa et à son frangin que pour l’instant, c’était lui le mâle alpha, que je lui appartenais entièrement.
Il me prit la tête à deux mains, appuya dessus pour me faire comprendre qu’il désirait que ma bouche s’occupe maintenant de sa bite.Je me mis à genoux sur le lit, jambes écartées, croupe relevée pour qu’Alfred et les deux noirs puissent profiter du moindre détail de mon anatomie intime. Je m’appliquai à faire une fellation à Victor, je calottai et décalottai son prépuce à toute vitesse en essayant d’avaler son sexe éléphantesque au plus profond de ma gorge. Cela dut lui plaire, car je l’entendis gémir et ses hanches accompagnèrent mes succions appuyées.
Il s’étendit sur le dos, les jambes largement ouvertes offrit à la caméra et à ma bouche gourmande son sexe érigé tel un petit gourdin. Je me mis de côté, puis entre deux tétées, je frottai l’énorme membre turgescent sur et autour de mes seins, essayant de faire entrer le bout durci de mon téton dans son méat béant dont j’avais écarté la fente avec le bout de ma langue.
Son phallus était maintenant en érection totale, je pensai qu’il avait assez profité de ma bouche, j’avais très envie de me sentir envahie par cette colossale colonne.Face à la camera, je l’enjambai, Alfred devait zoomer sur ma chatte. Je tins son membre monumental d’une main, Victor en frotta le gland le long de ma fente. Il me souleva la cuisse gauche pour le faire glisser à l’intérieur de mes lèvres bien lubrifiées. Mes deux mains les écartèrent et son gland phénoménal glissa légèrement à l’intérieur, les bords de sa large couronne frottèrent et distendirent mes parois vaginales, le gland violet disparut dans l’orifice. Il resta encore vingt-cinq centimètres d’un phallus de sept centimètres de diamètre à faire entrer dans ma chatte.
D’une main qui n’en faisait pas le tour, je saisis la base du sexe de Victor et regardant l’objectif avec des yeux de velours et en me passant doucement la langue sur les lèvres, je m’empalai doucement.
Mon vieil amant mit ses mains sous mes fesses et me les poussa vers le haut, puis d’un seul coup, il donna un coup de reins, j’eus un hoquet de plaisir et je sentis sous mes fesses la peau de son pubis glabre.
Il passa ses mains fripées sous les lanières de mon porte-jarretelles à hauteur de mes hanches pour accompagner les mouvements de mon bassin qui engloutit à toute allure sa verge tumescente, des petits cris de plaisir gutturaux s’échappèrent de nos lèvres. Lors de la pénétration, la couronne de son gland monstrueux se rétractait puis s’évasait lorsqu’il se retirait. Elle frotta délicieusement le conduit de mon vagin sur toute sa longueur. Sous le vertige de cette volupté, ma tête dodelina de droite à gauche, de longs frissons me parcourent et firent trembler mes épaules, mes seins lourds de plaisir dansèrent une sarabande effrénée. Au bout d’une éternité, me sembla-t-il, il me fit mettre à genoux, la tête enfouie dans les oreillers. Il sépara largement mes jambes, il cracha dans mon anus, l’index et le majeur de sa main droite pénétrèrent entièrement, il fit tourner ses trois phalanges. Il les ressortit pour les remplacer aussitôt, par la tête violette de son gland gorgé de sang.
Il entra son énorme piston par petites saccades, je gémis de plaisir.Je sentis ses testicules venir battre mes fesses, là aussi, il entra entièrement sa longue verge. Je passai mes mains entre mes jambes, frottai ma chatte et me titillai le clitoris. Il me besogna ainsi longtemps, le plaisir qui monta, je me masturbai de plus en plus rapidement.
— Je... je crois que ; je... je vais... jou... iiirrrrrr.
Mon corps fut traversé par une décharge électrique, je me cambrai et un long cri de jouissance sortit de ma gorge. Victor sortit précipitamment sa bite de mon anus et d’un seul coup l’enfila dans ma chatte, je sentis les contractions de sa verge et de son scrotum et des giclées de sperme tiède se déversèrent en moi, il cria lui aussi sa jouissance.Je me mis sur le dos, il approcha de ma bouche son sexe ruisselant de son sperme et de mon foutre, je le léchai tendrement et l’engloutis entièrement.
— Voilà, me dit-il, en regardant d’un air goguenard caméras, j’espère qu’Alfred a été satisfait, cela a dû mettre en appétit ses invités de voir un vieil homme te faire jouir aussi fort !!
Son téléphone sonna, il prit l’appel.
— Oui, bien Monsieur. Tout de suite, oui, nous arrivons ! Il raccrocha. Le patron, me dit-il, nous demande de les rejoindre.— Oui, je prends une douche.— Non, tu mets ta nuisette et il veut nous voir de suite.
Je passai mon vêtement arachnéen, réajustai les ouvertures sur mes aréoles et mon porte-jarretelles sur mes hanches, du sperme de Victor coula de mon vagin sur le haut de ma cuisse, mais Alfred, nous avait demandé, il fallait obéir.
Je pénétrai avec le vieux domestique dans le living-room au moment où Alfred éteignit la télévision. Il regarda les énormes bosses qui à hauteur de leurs parties génitales déformaient les pantalons de ses invités.
— Alors, messieurs, on dirait que ce petit intermède sexuel ne vous a pas laissé indifférent. Vous êtes-vous délectés de la voir si jouir si fort avec la bite du vieux sadique ? Ah mais voilà nos acteurs qui arrivent. Bien, Victor, vous allez réparer la crevaison. Et toi Trixie, viens t’asseoir ici, entre nous, tu as été merveilleuse.
Dit-il en me laissant une place entre lui et les noirs. Victor sortit en maugréant, sachant ce qu’il allait se passer. N’en croyant pas leurs yeux, la bouche ouverte, Idrissa et son frère me regardèrent m’approcher d’eux. Alfred se leva, se mit derrière moi.
— Alors qu’en pensez-vous ? N’est-elle pas jolie, ma petite poupée blonde, et c’est une vraie, regardez ! Et vous avez vu ! Elle est faite pour l’amour !
Il souleva le bas de ma nuisette et leur montra mon petit triangle de poils ras, châtain, très clair, au-dessus de la fente de la chatte. Il remonta encore plus haut le tissu de dentelle complètement transparent, et leur demanda si le porte-jarretelles qu’il m’avait fait acheter mettait ma chatte en valeur. Ils bredouillèrent tous les deux, une affirmation, ne pouvant détacher leurs regards de ce qu’Alfred leur faisait découvrir.
— Ohhhlala, dit-il, je crois deviner à travers vos pantalons que vos sexes n’ont rien à envier à celui du vieux Victor. Permettez que Mademoiselle Trixie nous dévoile vos merveilles. Ma petite chérie, au travail, baisse leurs pantalons.
Idrissa se leva, je m’accroupis devant lui, caressai légèrement son sexe à travers le tissu et fis glisser le jogging sur ses cuisses jusqu’au sol, il était nu dessous. Sous sa bedaine et ses poignées d’amour, son phallus semi-rigide, mesurait un peu plus de vingt centimètres, mais il était extrêmement volumineux, son prépuce très fin et transparent découvrait le bout de son gland mauve foncé, je le décalottais, le frôlai du bout de ma langue. Je me tournai vers son frère qui s’était approché, il avait déjà ôté son pantalon, je baissai son slip, son membre jaillit. En noir, son appendice était le frère jumeau de celui de Victor, aussi long, aussi gros. Ma main le parcourut du haut en bas.Alfred me fit relever, et mettre à genoux sur le canapé, je posai mes bras sur le dossier, il releva ma nuisette sur mes reins, leur demanda de s’approcher. Il me caressa le bas du dos et ses mains effleurèrent lascivement les deux globes fermes de mes fesses, qu’il écarta doucement.
— Regardez son petit trou, on dirait une petite fraise, mais vous avez vu tout à l’heure le vieux Victor lui a entré entièrement son énorme bite et il l’écarta, ça donne envie non ? Voyons voir sa petite chatte, vous voyez bien là, j’écarte ses lèvres encore un peu ? Elle mouille vachement cette coquine, attendez, putain sa chatte est encore pleine du sperme du vieillard.
Il entra quatre doigts, et me fouilla, il ressortit ses doigts poisseux et avec un sourire les lécha longuement devant les deux frères médusés.
— Bien, je crois que vous aussi vous aimeriez bien déverser votre semence dans sa jolie chatte. Elle adore baiser avec des noirs, surtout avec des bites comme les vôtres. Dis-le, ma Chérie.— Oui, oui Alfred, j’adore les, les grosses queues noires comme les leurs !!— Alors messieurs, il va falloir que vous fassiez plaisir à la demoiselle.
Il appuya sur un bouton de la télécommande et le canapé se transforma en lit. Idrissa s’assit sur le bord, je m’approchai et posai ma jambe gauche à côté de lui, son frère passa derrière moi. Il défit les nœuds des rubans sur mes seins et commença à me triturer les mamelons qui réagirent aussitôt en s’érigeant de deux centimètres.La grosse main boudinée d’Idrissa se posa sur ma cheville, remonta le long de mon mollet et vint glisser, au-dessus de mon bas sur la peau nue de ma jambe, sous ma jarretelle. Sa bouche vint se plaquer à l’intérieur de ma cuisse, qu’il me lécha à grands coups de langue. Il souleva ma nuisette et ses narines épatées frottèrent la fente de mon sexe, qu’il avait écarté, comme pour en sentir la fragrance.
— Amosa, je n’ai jamais rien senti d’aussi raffiné... !
Dit-il à son frère, qui pendant ce temps dénuda mes seins en quittant les bretelles de mon déshabillé. Il me lécha le dos en me caressant doucement la poitrine, tira et pinça la pointe de mes seins. Ma nuisette était autour de ma taille, je me dégageai et la laissai choir sur le sol. Puis je m’assis sur le lit à côté d’Idrissa, et reculai un peu mes fesses sur la couche, écartai les jambes, posai mes talons aiguilles au bord du matelas, me penchai en arrière et m’appuyai sur les coudes.
Sa bouche s’empara aussitôt de mes tétons gorgés de sang, il les suça et me mordilla les orifices des canaux galactophores, je gémis de plaisir. Je les pressai pour rendre encore plus turgescents mes petits pics bruns. Cette douce stimulation fit grimper mon taux d’ocytocine et lubrifia abondamment les deux longs doigts noirs d’Amosa qui me fouillaient profondément la chatte.
Je masturbai doucement le gros rouleau noir d’Idrissa, pris son gland dans ma bouche et avalai par petites touches le phallus tendu. Il était bien moins long que celui de Victor, mes lèvres réussirent à atteindre son pubis où s’étalait une toison bouclée de poils ras. Puis, je remontai et descendis rapidement ma bouche le long du petit gourdin noir, tirant des cris de contentement à son propriétaire.
Son frère avait remplacé ses doigts par sa langue, qui telle un serpent se faufila entre mes lèvres moites, elle titilla mon clitoris et vint l’aspirer, me faisant hurler de plaisir.Je passai ma jambe droite par-dessus sa tête crépue, Idrissa s’allongea sur le lit, le sexe tendu vers le plafond, attendit que ma bouche l’engloutisse à nouveau.Je me mis à genoux, présentai mes fesses à Amosa, ses mains se glissèrent sous les lanières de mon porte-jarretelles, je sentis le bout de sa langue tourner plusieurs fois lentement autour de mon anus, puis elle entra dans l’orifice, et sa bouche se mit à faire des allers et retours entre ma chatte et mon petit trou intime.
— Hé, tourne-toi, regarde ma grosse bite, elle réclame ta bouche.
Je lui donnai satisfaction, et commençai une savante fellation, j’étais toujours à genoux, Idrissa m’écarta les jambes, sa bouche remplaça celle de son frère, et maintenant, c’étaient quatre de ses doigts qui glissèrent dans mon vagin trempé. Ils ne tardèrent pas à être relayés par sa bite dure comme du bois. Au début, il l’enfonça entièrement, la ressortit complètement et d’une seule poussée, elle s’engloutit jusqu’à ses couilles qui vinrent battre mes fesses. Puis il se mit à genoux et accéléra sa cadence de pénétration, me tira des halètements de plaisir étouffés par la grosseur de la queue de son frère qui envahissait ma bouche.
— Laisse-moi la place, lui dit celui-ci.
Il se coucha sur le dos, fit face à Alfred, je me positionnai à l’aplomb de la stalactite noire qui s’érigea vers le plafond et la tenant d’une main à la base, je la dirigeai vers mon anus et m’empalai sur le phallus noir tendu, en regardant mon patron d’un air gourmand. Il était aux anges, il souriait d’un air comblé, se masturbant doucement.
— Veux-tu que je te suce la queue Alfred ?— Non ma chérie, pas pour l’instant... Je crois qu’Idrissa a une énorme envie de pénétrer ta chatte.
Mais Amosa me fit tourner et me mettre à genoux sur lui, ce fut son énorme bite qui coulissa à l’intérieur de mon sexe en feu. Son frère monta sur le lit, il s’accroupit et sa colossale bite noire, s’enfonça sans peine dans mon anus bien lubrifié.Ils me besognèrent encore et encore, je perdis la notion du temps, j’entendis comme dans un brouillard de luxure les encouragements qu’Alfred prodiguait.L’orgasme me tomba dessus tel un ouragan, partant de mon sexe, remontant mes parties génitales, faisant contracter d’une force inouïe, mes parois anales et vaginales, et me faisant hurler ma jouissance, c’est ce qui dut provoquer leurs jouissances, car je sentis les soubresauts de leurs éjaculations presque simultanément. Je gardai les yeux clos, pendant toute la durée de ma jouissance.Lorsque j’ouvris les yeux, Alfred était devant moi, le sexe tendu à hauteur de mes lèvres, j’ouvris la bouche, sa bite glissa à l’intérieur et son sperme se déversa dans ma gorge
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