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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 10

Une facture à payer... de ma personne !

Avec plusieurs hommes
Comme vous le savez, Alfred était un adepte fervent du candaulisme. Il en tirait une grande satisfaction sexuelle en plus de combler ses désirs de voyeurisme, il était énormément excité de voir sa jeune et jolie colocataire faire l’amour avec un autre, surtout si celui-ci avait une queue énorme, cerise sur le gâteau, s’il était noir.
Mais ce n’était pas aussi simple, il fallait qu’il choisisse la personne, qu’il élabore le scénario. Cela m’avait permis de comprendre l’embauche du vieux Victor avec sa grosse bite et la raison pour laquelle il me demandait de porter en permanence à la maison, une nuisette complètement transparente avec échancrure sur mes mamelons. Ce Baby-doll s’arrêtait au ras de mont de Vénus, dévoilait mon sexe bien rasé, encadré d’un porte-jarretelles en dentelles noires soutenant des bas noirs, le port du string était proscrit. Des hauts talons complétaient, comme il disait ma tenue de parfaite maîtresse de maison. Au début, cela m’avait un peu perturbée, mais je m’y étais habituée, et maintenant, même lorsqu’il avait des invités et qu’il voulait me faire admirer, candaulisme oblige, je me pliais avec grâce à ce petit jeu. Cela m’excitait vraiment de voir la réaction des hommes lors de mon apparition vêtue ainsi. Surtout que cela finissait souvent par un rapport sexuel.
Alfred aimait bien me baiser, mais il surveillait son cœur, me disait-il, il était fier de « prêter » sa jeune et magnifique Trixie pour quelques heures, ou pour une soirée. Il pouvait ainsi mieux m’observer lorsque j’avais un orgasme. Il m’avait avoué qu’il avait un léger pincement au creux du ventre lorsque mon partenaire éjaculait en moi, mais il aimait et ça lui permettait de se masturber et de jouir énormément. De plus, m’avait-il dit, je suis au comble de l’excitation de te voir baisée par un homme gros et laid avec une grosse bite, la difformité qui baise la perfection ! Et ça aussi, cela m’excitait, je m’étais rendu compte que ce genre de spécimen, qui était à l’opposé de l’image d’un apollon, compensait son handicap par un savoir-faire sexuel, bien souvent hors norme, même les vieux, qui n’avaient pas souvent la chance de baiser une jeune et jolie blonde entraient dans cette catégorie.
— Trixie, tu m’as raconté ta première visite chez ton marchand de légumes, et tes rencontres avec lui et son fils ont été, m’as-tu dit, très chaudes, non ? J’aimerais bien connaître ces deux loustics ! Aussi, j’ai pris la liberté de leur commander des légumes qu’ils m’ont fait livrer, et je leur ai demandé de passer se faire payer, aux conditions que tu avais l’habitude de leur faire.
Ils ont été enthousiasmés. Ils m’ont précisé que les conditions de paiement étaient toujours les mêmes, telles que tu me les avais décrites. J’ai acquiescé. Tu n’y vois pas d’inconvénient. Ils ne devraient d’ailleurs pas tarder à arriver. Mais, décemment, tu ne peux pas les recevoir dans cette tenue. Regarde ce que je t’ai acheté, habille-toi avant qu’ils n’arrivent !
Je restai bouche bée, mais encore une fois, c’était qui lui décidait. Je fus émoustillée, je ne pus qu’obéir, enfin, c’était ma mauvaise conscience qui me fit penser ça. Au fond de moi vint se réveiller une espèce de convoitise physique pernicieuse. Je les avais déjà invités tous les deux pour fêter l’anniversaire de son neveu Maxime. Je n’avais pas été déçue du résultat, Maxime non plus !
Il me fit mettre nue, ouvrit le paquet. J’enfilai des bas blancs, un porte-jarretelles très fin en dentelle. Il me fit revêtir un string blanc, une large ouverture, laissait apparaître ma chatte et mon petit triangle de duvet bien épilé très ras. La fente se prolongeait jusqu’à mon anus qu’elle laissait découvert, lui aussi. Un soutien-gorge où sur chaque sein deux minces bandes de tissu en dentelle blanche encadraient mes aréoles aux mamelons dressés se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Il me fit chausser des talons aiguilles blancs. J’étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur.
— Voilà, parfait... Qu’en pensez-vous Victor ?— Très bien Monsieur. C’est parfait. Dit-il d’une voix légèrement tremblotante, sachant très bien pourquoi Alfred les avait invités ! Mais il me semble entendre leur camionnette.
Alfred s’approcha de moi, écarta les bandes de tissu sur mes seins, pour bien libérer mes mamelons. Il élargit au maximum la fente du string pour dégager ma chatte et l’offrir aux regards des visiteurs.
— Voilà, Trixie tu peux aller leur ouvrir !
Un coup de sonnette retentit. J’ouvris la porte, c’était bien les deux paysans en salopette bleue qui se tenaient derrière celle-ci. Je les regardai, il y avait longtemps que je ne les avais pas vus. Mais ils étaient toujours aussi laids. Le père avait environ soixante-quinze ans maintenant, il était toujours aussi maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux, sur des arcades proéminentes, une légère odeur de vinasse émanait de lui.
Son fils était un homme d’environ quarante-cinq ans, corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux très courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Il avait toujours une salopette dont la fermeture éclair était descendue jusqu’à ses poils pubiens et laissait apercevoir une touffe noire de crins crépus. L’ouverture dévoilait un torse velu, la salopette était assez poussiéreuse, et sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants.
Mais ils avaient quelque chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur cette ’’chose’’ qui me faisait fantasmer. Ils me regardaient avidement et deux énormes bosses commencèrent à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas-ventre, je commençai à mouiller en pensant à ce qui allait sûrement suivre, les expériences précédentes autant avec le père qu’avec le fils avaient vraiment comblé ma libido. Je suis vraiment une salope, pensai-je.
Tu n’es qu’une machine qui cherche le plaisir ! Peu importe qu’ils soient plus laids que des acariens, il n’y a que la jouissance qu’ils te donnent avec leurs grosses bites qui t’intéresse !
— En... entrez, bredouillai-je...— Bonjour, on peut s’embrasser non ? Cela fait une éternité que nous nous sommes pas vus !!
Le petit gros s’approcha de moi, il m’enlaça, plutôt il me plaqua contre lui et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, une de ses mains se posa sur un sein et l’autre s’appliqua sur ma chatte. Son majeur s’enfonça entre mes lèvres humides. Mentalement, je me traitai de salope, mais je lui rendis son baiser qui s’éternisa. Alfred n’attendait que ça, me voir soumise à leurs délires sexuels. Et moi, leur laideur m’excitait. Surtout la grosse bite qui se frottait contre ma cuisse.
— Papa, la petite Salope mouille déjà !— Eh, mais tu pourrais dire bonjour à tout le monde.— Entrez messieurs, venez me rejoindre au salon. Victor nous a préparé des collations ! Trixie conduit ces messieurs.
Je me dégageai doucement et passai devant eux pour les conduire vers Alfred.
— Putain, dit le vieux fermier, l’envers du string vaut l’endroit !! Elle me rend fou cette fille.— Moi c’est Alfred, je suis le colocataire de Trixie.
Alfred leur serra la main. Les deux hommes restèrent plantés face à lui, au milieu de la pièce, comme tétanisés par le spectacle que je leur offrais.
— Alors, j’ai bien reçu ma commande, vous venez vous faire payer, aux conditions négociées par Trixie ? J’ai ouï dire que chez vous, tout était démesuré, Trixie m’a fait l’éloge tant de vos légumes que de votre anatomie. J’ai pu apprécier les grosses courgettes, que vous nous avez livrées, mais je suis curieux de voir le reste, qui d’après ce que je vois, ne doit rien leur envier tant en longueur qu’en grosseur. Trixie, veux-tu bien me donner un aperçu des ustensiles qui vont leur servir à encaisser le paiement ?
Lui obéissant, je passai derrière le vieux Louis et très lentement en regardant Alfred en souriant, je descendis la fermeture éclair de sa salopette, comme je le pensai, il était nu dessous. Ma main se faufila à l’intérieur et je sortis son sexe monumental et turgescent, il bandait énormément, je le calottai et décalottai deux ou trois fois, cela lui tira un gémissement de plaisir, puis je fis glisser sa salopette sur ses épaules, dévoilai son torse osseux couvert de poils blancs, elle tomba à ses pieds. Son sexe monstrueux de plus de six centimètres de diamètre en érection dépassa largement son nombril. Ses deux gros testicules s’étalèrent sur ses cuisses.
— Voilà, dis-je à mon vieux colocataire, je crois que tu vas aimer ce qui va suivre.— Oh oui, Monsieur, mademoiselle est une experte en la matière. Allez dis à Monsieur Alfred combien tu raffoles de ma vieille queue, et que le goût de mon sperme ne te laisse pas indifférente !— Il a raison ce vieux salaud, pensai-je, sa bite me rend folle, bien qu’il soit d’une laideur repoussante !— Oui, je sais comme je vous l’ai déjà dit, elle m’a raconté vos exploits, c’est pour m’en assurer que vous êtes ici.
Son fils, dont la combinaison était déjà bien ouverte, commença à se déshabiller rapidement, Alfred put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c’est son pénis qui fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui procurait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït.
Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal, de petites vésicules le parsemaient. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.
Je regardai Alfred, une sorte de rictus de dédain, sûrement dû à la laideur des deux hommes, déforma sa bouche, mais ses yeux brillèrent de convoitise en attendant la suite du spectacle. Il était comblé par la laideur des deux épouvantails et la monstruosité de leurs sexes. Il avait adoré m’entendre lui raconter mes frasques avec les deux énergumènes, et il allait maintenant voir sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres. Je lui avais avoué que j’aimais cela. Sa libido allait être comblée !! Et puis Victor était là, il regarderait lui aussi mes ébats avec ces personnages repoussants, et cela me plaisait énormément d’attiser sa jalousie, car je le savais amoureux de moi, et les séances de baise qui succédaient à ces exhibitions n’en étaient que plus intenses.
Ludo, car c’était son nom, dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme me firent penser à un primate. Mais, malgré la grosse répulsion que j’éprouvai, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque et malsaine me chauffa le bas-ventre, ma chatte fut trempée. Je cédai encore une fois à ce désir répugnant, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire les pulsions d’Alfred, qui se donnait un mal fou pour satisfaire tous mes désirs.
Il s’extirpa de sa salopette et se tint gauchement. Je m’approchai, cette fois, ce fut moi qui l’enlaçai, je frottai mes mamelons durcis contre la toison étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je lui saisis la bite et le masturbai doucement, je l’embrassai goulûment, puis ma langue descendit sur ses pectoraux velus et je lui mordillai et suçai les tétons.
On me prit la main. Victor m’entraîna sur une sorte de pouf sur pied, Alfred s’accroupit à côté. Il ôta mon string et me fit asseoir les jambes largement écartées en face des deux hommes.Tout en titillant d’une main mes mamelons durcis par le désir sordide qui s’insinuait en moi, il écarta les grandes lèvres de mon sexe, fit saillir mon clitoris, de la cyprine coula à flots de ma chatte.
— Regardez comme sa chatte est humide et baveuse. Vous lui faites de l’effet à cette petite Salope. Voyez mon doigt, il est luisant de son foutre, vous allez vous régaler lorsque vous allez passer à l’encaissement. Et toi petite coquine, ton tiroir-caisse s’ouvre tout seul. Il est l’heure de donner un acompte à ces messieurs, qu’en pensez-vous Victor ?— Oh ou... oui, Monsieur, répondit du bout des lèvres le majordome.
Ludo, le petit gros s’approcha. Assise, ma bouche se trouva à hauteur de son sexe. Malgré son odeur de transpiration, j’enserrai sa large taille de mes bras. Mes lèvres se posèrent à hauteur de son nombril, je sortis ma langue et elle se faufila lentement vers le bas à travers sa toison pubienne en direction de la base du sexe que je tenais de ma main droite.
Je le calottai et décalottai plusieurs fois, m’extasiant chaque fois mentalement devant son gland à la forme si particulière. Il est vrai que j’avais vraiment apprécié ses pénétrations lors de ses précédentes visites chez moi. Je fis pénétrer le bout pointu entre mes lèvres, salivai énormément et aspirai, il eut un spasme. Lentement, j’enfournai ce gland mauve dans ma bouche et le suçai doucement. Je sentis alors couler du liquide pré-éjaculatoire dans ma bouche, il en produisit une assez grande quantité, je tirai la langue en direction d’Alfred puis déglutis le liquide visqueux et incolore. Je recommençai à enfourner le gland dans ma cavité buccale, et en l’ouvrant, démesurément, avalai lentement demi-centimètre par demi-centimètre le membre aussi gros que mon poignet. Je réussis à en faire entrer presque la totalité.
Je recommençai trois fois l’opération, lui tirant chaque fois des grognements de plaisir, puis je le masturbai vigoureusement, ne fis pénétrer entre mes joues que son gland un peu plus loin que sa couronne, ma fellation dut durer une dizaine de minutes, puis des grands jets de sperme giclèrent dans ma bouche, je les avalai au fur et à mesure. Avant que sa bite ne redevienne flasque, j’aspirai le sperme qui restait dans son méat. Il hurla de satisfaction. — Parfait cela, mais passons dans la chambre si tu veux bien Trixie, dit Alfred, ce sera mieux pour la suite, ces préliminaires ont vraiment attisé ma convoitise. Voilà mets-toi ainsi.
Il me fit étendre le dos sur le lit, les jambes grandes ouvertes pour que, une fois installé debout au pied du lit, il ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre.
— A mon tour, si tu veux bien !
Le vieux Louis s’allongea à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposa sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas. Sa main gauche calleuse aux ongles sales se posa sur ma cuisse droite et il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement, il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte et son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent. Alfred me demanda d’écarter un peu plus les jambes, j’obéis. Le paysan en profita pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frotta mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémis de plaisir. Ma chatte écartelée ruissela, son pouce quitta mon clito et vint s’adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin.
— Putain ce que tu es bonne, petite salope. Tiens, lèche ton foutre sur ma main. Je suis émerveillé par tes prouesses sexuelles !
J’étais presque dans un état second, avec application, ma langue essuya sa main. Il se mit à genoux face à Alfred. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Je me mis à genoux, il la baissa d’une main et me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu. Je lui léchai le pourtour du gland lentement en l’humectant avec ma salive.
— Prends-la dans ta bouche.
Ce que je fis, et je commençai à avaler cette immense hampe. Il posa la main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge.
— Woouuuaaahhhhhh, c’est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler. Doucement, doucement, ne me fais pas éjaculer, pas encore !
Malgré ma bonne volonté et les encouragements d’Alfred, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis me positionna sur le côté, me fit poser le pied-droit sur son genou, comme cela, Alfred était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien-gorge, elles compressèrent mes deux globes et les firent durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa de sa main droite sa monstrueuse bite et présenta le gland à l’entrée de mon orifice vaginal, je frémis de plaisir, attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir.
— Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l’énorme bite du vieux Louis, tiens voilà. Tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît, putain ce que tu mouilles, doucement, doucement. Elle entre toute seule. Mais ta chatte commence à la connaître, ce n’est pas la première fois, petite Pute et tu l’aimes toujours autant !! Je suis là, aussi étonné de pouvoir enfiler la totalité de ma bite ?
Tout en parlant, il enfonça par petits à coups qui me tirèrent des hoquets, les vingt-neuf centimètres et je sentis bientôt ses couilles frotter mon entrejambe. Sa main gauche me tritura le sein droit, griffa mon aréole et pinça fortement mon mamelon. Il se mit à faire rapidement des allers et retours, me triturant les seins avec force.
— Tu aimes, ma grosse queue. Dis-le que tu aimes. Tu aimes que je t’enfile en totalité ma bite.— Aaaahhhhh, Aaaaaahhhhhh oui..... ouuuuiiiiiii, j’aime votre bite.— Tiens Salope régale-toi !!
Il accéléra encore sa cadence pénétration, me tira des cris de plaisir. Je regardai Alfred, il semblait aux anges, de me voir haleter de contentement, il était nu et se masturbait. Louis tirait sur mon mamelon puis lorsqu’il fut en pleine érection, il le mordit assez cruellement, je poussai un cri de douleur mêlé à de la jouissance.
— Oh oui, oh oui... à... l’au... tre, mords-le. Mords-le, putain que c’est bon !
Je me cambrai pour le lui offrir, et essayer de faire pénétrer encore plus profondément la bite qui me pourfendait. Il ralentit sa cadence de pénétration, et s’appliqua à me tirer des cris et des grognements de plaisir, parfois il ne laissait que son gland dans ma chatte, cessait complètement ses mouvements, puis d’un seul coup entrait la totalité de son membre. Ce qui me faisait hurler. Je devins folle de plaisir. Mon orgasme montait, cela devait faire plus de vingt minutes qu’il enfonçait son pieu dans mes entrailles. Je sentis qu’il était lui aussi au bord de l’explosion !
— Ouiiiiiii..... ouiiiiii... Putain, Louis décharge ton sperme en moi, remplis-moi de ta semence, je veux que tu éjacules au fond de ma chatte, que ton sperme coule en moi. Je, je vais jouir !
Un grand coup de reins enfonça la totalité de son membre colossal et il vida en moi sa semence avec de grands spasmes accompagnés de cris gutturaux, vantant mes mérites. Son éjaculation précipita mon orgasme, à mon tour, je hurlai de plaisir en lui entourant la taille avec mes jambes, plaquant mon bassin contre lui. Il se retira lentement en souriant, me laissant pantelante sur le dos, un filet de son sperme coula de ma chatte.
— Putain c’était super, tu me fais toujours autant jouir, petite Salope.— Parfait, parfait, dit Alfred. Je me suis régalé, mais je crois que nous n’avons remboursé que la moitié de notre dette. C’est au tour de Ludo de se faire payer. N’est-ce pas Victor ?
Je levai les yeux vers le majordome, qui acquiesça avec une drôle de grimace, je le regardai d’un air narquois, il avait fait attention à ne pas éjaculer en se masturbant. Il attendait la suite pour conclure, espérant participer lui aussi à la fête. Le fils de Louis, le petit gros s’approcha du lit bandant comme un âne.Je jouissais encore, ou tout au moins, ma chatte palpitait encore, laissant couler du sperme, lorsque doucement, Ludo écarta mes cuisses et se pencha sur ma chatte ruisselante du liquide séminal du vieux Louis.
— Putain, Papa ce que tu as pu décharger comme sperme !!— Oui, répondit avec dédain Victor, qui n’avait rien perdu de mes ébats avec Louis, cela s’appelle de l’hyperspermie due en général à la prostate ou à une longue période d’abstinence !!— Quoiqu’il en soit, c’est dommage de laisser perdre ce nectar !! Contracte bien ta chatte, elle est encore pleine de sperme, voilà comme ça, regardez, comme ça coule, il doit y avoir plus de 12 ml. Pose ton dos bien à plat, écarte bien tes jambes, que tout le monde en profite bien, recueille le sperme avec tes doigts, voilà, c’est bien allez, suce. Ouiiiiii, encore une fois. Tu aimes le sperme de mon vieux père, petite Salope. Recommence jusqu’à ce que ta chatte soit sèche. Il se coucha à côté de moi, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s’insinua, je ne desserrai pas les dents. Il grogna, il me saisit le mamelon droit et le pinça fortement en le tordant, un petit cri de douleur mêlé à du plaisir me fit ouvrir la bouche, sa langue envahit ma cavité buccale. Sa salive au goût suret coula dans ma bouche. Il dut sentir que j’aimais son pincement, car il se saisit de mon autre téton et lui fit subir le même sort.
Ma poitrine se tendit vers l’avant comme pour en redemander, et vaincue par le plaisir et la légère douleur qui irradia du bout de mes seins, les faisant se durcir, je lui rendis son baiser avec fougue.Il écarta les bandes de tissu qui encadraient mes aréoles, faisant bien jaillir les globes mes seins qui se trouvèrent légèrement compressés par les lanières de dentelles, les raffermissant encore plus.Sa bouche entourée de poils rêches et piquants descendit le long de mon cou, son menton se frotta sur le haut de ma poitrine et ses dents encerclèrent mes bouts en totale érection. Il se mit à me les mordiller assez vigoureusement.
— Ouuuuiiiii, ouuuuuiiiii. Vas-y mords moi bien les tétons, ouuiiiii comme ça !!! Ça m’excite, mord les bouts, les bouts, j’aime que tu me les suces, regarde comme tu les fais se dresser, pince-les, ouiii plus fort.

J’étais vaincue par la luxure, mon corps réclamait du plaisir. Je voulais sentir son sexe envahir ma chatte. Son gland triangulaire dur comme un roc se frotta au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et me caressa doucement la peau nue. Son gros majeur velu entra dans mon conduit vaginal et ma vulve commença à me chatouiller et à devenir à nouveau moite. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre. Il passa ses deux mains sous mes fesses et malaxa mes deux globes fermes. Les étira pour ouvrir mon anus qui subit la pression de ses majeurs.
Ses yeux sombres ne quittèrent pas le spectacle obscène de la fente rose et humide largement ouverte de ma chatte qui palpita sous son regard lubrique.Je lui saisis la tête et plaquai sa bouche sur mon vagin en feu, qui n’attendit alors que la pénétration de son gland décalotté mauve foncé, qui me rendait folle. Il était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, cela m’avait procuré des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors de nos précédents coïts, j’en redemandais. Son prépuce était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface parsemée de petites vésicules assez dures, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque gros que des œufs de poule.
Il dégagea sa tête de l’étreinte de mes mains et ses lèvres se posèrent sur la peau de ma jambe droite, là où s’arrête le bas. Sa langue baveuse remonta le long de l’attache jusqu’à mon mont de Vénus, redescendit dans l’aine, puis il pressa son visage contre ma vulve ruisselante, huma le foutre qui coulait, son appendice buccal lécha le bord de mes lèvres. Des mouvements lascifs firent tressauter mes hanches. Au fur et à mesure que sa langue s’enfonçait dans mes entrailles, mes cuisses s’ouvrirent, son pouce titilla mon clitoris, un cri d’extase jaillit de ma gorge.
Je savais qu’Alfred était à l’affût de mes sensations, il aimait regarder mes ébats. Mais moi aussi, j’étais friande des émotions que ceux-ci pouvaient provoquer chez lui, et aujourd’hui, je n’avais pas besoin de tricher. Il ne voulait pas me l’avouer, mais j’étais sûre que ce brave Alfred était comme Victor un peu jaloux lorsque Ludo me baisait et cela augmentait mon plaisir.
Ludo me fit asseoir sur ses cuisses, jambes largement ouvertes, face aux trois autres hommes, car Victor était là lui aussi, renfrogné, mais ne voulant rien rater. Il se mit à caresser mon corps, malaxa ma poitrine ferme et douce, ce qui me tira un gloussement de plaisir.
Sa queue commença à se frotter le long des lèvres de ma chatte, son érection géante les écarta, son membre glissa le long de ma fente du bout de son gland, jusqu’à la base de sa queue garnie de poils noirs et rêches. Il posa une main sur ma chatte et commença me masturber le clitoris, tandis que de l’autre, il me malaxa un sein et me tira le mamelon. Doucement, sa langue me lécha le cou, laissant des traînées de salive sur ma peau.
Je poussai un gémissement de plaisir et pris une profonde inspiration. Le gros fermier frotta mon clitoris et fourra sa queue de haut en bas dans ma fente, la fit glisser lentement contre ma chatte humide et tremblante, puis sur mon mont de Vénus jusqu’à la faire passer sous la dentelle de mon porte-jarretelles, les petites vésicules frictionnaient la sensibilité de mes petites lèvres, c’était délicieux.
Des sensations sauvages envahirent mon corps, je n’avais jamais ressenti cela et je laissai un long feulement agréable sortir de ma gorge.Ludo essaya de glisser trois doigts dans ma chatte humide, mais il ne put les intégrer que jusqu’à sa deuxième phalange, ils étaient trop boudinés. Sa queue, engorgée de sang, bandait énormément, il ressortit ses doigts trempés de mon foutre, les lécha avec délice et il me chuchota à l’oreille :
— Petite salope, je vais te mettre ma queue ! Tu n’attends que ça. Je sais que tu en raffoles !— Oui, ouiiii pénètre-moi. J’aime ta bite, elle me rend folle !
A ces mots, je commençai à frotter doucement son énorme sexe. Je l’attrapai avec la main pour la masturber lentement. Mes yeux s’écarquillèrent de stupéfaction, le monstrueux phallus s’était encore élargi. Je continuai à le branler lentement, il se coucha sur le dos et je me penchai en avant pour prendre sa queue dans ma bouche.
Il enfonça sa bite dure et tendue dans ma cavité buccale douce et pulpeuse, je l’avalai et ma langue s’agita autour de ce qui ressemblait à un champignon géant, puis je commençai à sucer toute la longueur, les petites vésicules me faisaient un drôle d’effet dans ma cavité buccale.
Je fus obsédée par ce sexe monstrueux et je ne pus pas arrêter ma fellation, je n’entendis pas les commentaires salaces des trois autres hommes. J’eus un désir profond de le faire éjaculer dans ma bouche, mais cette fois, je voulus que ce soit différent de ce que je lui avais fait par le passé. Je caressai les couilles géantes de Ludo, les soulevant, les soupesant en soupirant de convoitise, elles étaient comme des sacs géants de sperme bouillonnant, destinés à moi toute seule.
— Je ne peux pas croire à quel point ta bite ait pu atteindre ce diamètre phénoménal et qu’elle soit devenu encore plus grande !
J’ouvris la bouche aussi largement que possible. Je dus insister pour avaler l’énorme mandrin dans ma gorge. J’arrivai à la base lorsque je pus déguster le bouillonnement du liquide pré-éjaculatoire qui commença à s’écouler régulièrement de la pointe de son gland évasé. Je sortis son membre et posai mes lèvres sur son méat aspirai le liquide séminal, il trembla de satisfaction.Il poussa vers le bas ma tête, en appuyant derrière. Il sentit que je le suçai comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Il haleta à perdre l’esprit, se raidissant. Il eut une énorme envie d’éjaculer. Mais il se retint.
— Trixie, c’est ce qui arrive à une grosse queue quand elle est prête à aller s’enfoncer à l’intérieur d’une jolie chatte comme la tienne. Elle enfle au point d’en éclater. Je voudrais qu’elle soit encore plus grosse pour te défoncer, t’entendre hurler, avant d’éjaculer au fond de toi !— Ouiiii ouiiii, moi aussi !
Ludo m’attrapa, autour de la taille me fit sans effort passer sous lui. Je posai le dos sur le lit et regardai juste son énorme et gigantesque bite lancinante comme si j’étais en transe. Il m’embrassa, sa langue s’insinua dans ma bouche, son torse nu et velu se frotta sur mes seins, il m’embrassa avec passion, me cloua sur le dos. Nerveusement, j’acceptai son baiser, submergée par le désir. Il épousa mon corps, frotta son énorme bâton contre mon ventre et mes seins.Je le repoussai et je réussis à m’asseoir, je repliai mes jambes ensemble, comme pour me protéger. D’une main, je poussai en arrière, pour l’énerver un peu, son pieu monstrueux.
— Non ! Tu ne peux pas me baiser ainsi !! Je ne veux pas tomber enceinte... Je viens de me rappeler que je n’ai pas pris ma pilule... et tu vas éjaculer dans ma chatte. J’ai eu assez de sperme de la part de ton père.
Je voulais attiser sa colère pour qu’il me prenne assez brutalement, cela réussit, il grimaça de mécontentement et essaya de me pousser à nouveau sur le dos, mais je renforçai ma position de départ, comme pour le faire entrer dans un état second.Il me fusilla du regard, se rapprocha de mon visage et en me regardant dans les yeux, il me poussa fermement sur le dos, je m’étalai sur le lit. Il posa ses mains calleuses à hauteur des attaches de mon porte-jarretelles et écarta assez violemment mes jambes, je cédai.
— Pour l’instant, et pour faire durer le plaisir, je ne vais te mettre que mon gland, juste le bout, nous allons voir ce que nous pouvons te faire ressentir avec mon gros bout dans ta douce chatte, je suis sûr que tu vas adorer, tu vas en redemander. Salope, puis je vais te baiser, jusqu’à que tu demandes grâce et je vais éjaculer au fond de ta chatte, et tant mieux si tu tombes enceinte !
Je retins un soupir de désir et regardai à nouveau avec envie son énorme queue gorgée de sang et palpitante comme douée d’une vie propre, s’approcher de ma chatte trempée qui ne demanda qu’à l’accueillir.
Une partie de moi désirait cette pénétration, mon corps me fit savoir qu’il en avait envie, mais dans mon cerveau, une autre partie de moi refusait cet accouplement avec cet être bestial, et primaire, à la propreté toute relative, tout le contraire d’un apollon, il était vraiment repoussant. Mais c’est mon corps qui prit le dessus. Je ne pensai plus à Alfred ni à Victor. Une libido bestiale s’installa en moi.
Ludo se jeta sur moi et enfila rudement sa très grosse queue entre les lèvres de ma chatte, il continua de forcer son chemin dans mon jeune vagin humide, je contractai mes muscles vaginaux pour profiter de cette pénétration ardente.
Il attrapa ma taille au-dessus de mon porte-jarretelles et tira mon corps vers le sien, son gland épanoui en corolle força le passage, je me mordis les lèvres pour ne pas crier de volupté.Ensuite, je criai de plaisir lorsque la délicieuse brûlure se propagea le long de mon vagin, les petits grains de peau dure me griffant les parois vaginales.Il écarta mes jambes encore plus et son gland monstrueux glissa à l’intérieur de ma chatte humide et trempée. Maladroitement, j’essayai avec mon bassin de suivre ses pénétrations, mais pressées et écartées par la dure corolle, mes parois vaginales se contractèrent et se relâchèrent mécaniquement comme pour aspirer le piston, voulant qu’il aille plus profond. Je poussai un énorme gémissement de plaisir.
Ludo laissa échapper un grognement puissant et plongea son phallus géant et encore plus profondément en moi, s’arrêta lorsqu’il eut rentré 15 centimètres dans ma chatte écartelée et palpitante, me regardant avec un air de triomphe.
Je recommençai à crier mon plaisir, lorsqu’il commença de rapides va-et-vient, la dureté de sa queue la fit entrer avec puissance dans ma chatte. Il sentit maintenant mon acceptation totale et le resserrement étroit de ma chatte autour de sa longue bite géante, sembla satisfaire son arbre veiné palpitant comme jamais.
Il me regarda et sourit comme un démon, il avait gagné, j’étais complètement soumise, il glissa ses bras sous mon dos et saisit mes épaules, me positionna de sorte qu’il puisse tirer mon corps vers lui et enfoncer son membre démesuré au plus profond de moi.
Maintenant, je hoquetai de plaisir, mon vagin était en feu. Il me chevaucha, enfonçant en moi, sa bite démesurée avec une rage lubrique.D’un coup, il me pénétra plus violemment, plus je criai et plus il aimait poignarder la fente de ma chatte ruisselante et chaude avec sa perche géante.Il me fouilla de plus en plus fort, il plongea sans discontinuer son énorme bite en moi, mes cris se transformèrent en gémissements de plaisir et je rejetai ma tête en arrière, retenant des larmes de joie.
Ludo me baisa sur un rythme soutenu, mais régulier et mes cris de ravissement, intenses et profonds se transformèrent en gémissements de plaisir mélangés à une douleur lancinante et sourde procurée par la grosseur de sa queue qui écartelait mes parois vaginales.
La bite monstrueuse de grosseur racla au plus profond de mon vagin et je criai de plaisir.Il commença à me baiser sauvagement, comme un animal, mes seins rebondirent, mes mamelons en érection totale frottèrent contre les pectoraux graisseux et velus de Ludo. Je m’accrochai à lui et j’entourai mes bras et mes jambes autour de lui.
Ses coups de boutoir furent un peu douloureux, mais je me sentais si bien, mes idées se brouillèrent dans ma tête alors qu’une lancinante vague de plaisir commença à sourde à l’intérieur de mes entrailles.
Il entra la presque totalité de sa queue géante en moi. Il força pour enfoncer en entier les derniers centimètres de sa queue, ma chatte était ouverte au maximum.Mon corps commença à trembler, mes seins se durcirent encore au point de me faire mal, je sentis qu’un puissant orgasme était en train de naître au tréfonds de moi, il déferla :
— ohh, ohh, s’il te plaît, vas plus lentement, oui plus profond, oh chéri. Je jouiiiiiis, oui plus profond. Pénètre-moi doucement. Ouuuiiiiiii !!!!! Ta bite est une pure merveille, ooouuuiii !!!! Éjacule, éjacule, encore plus profond oh ouiiiiiiii, je veux sentir couler ton sperme.
Pendant de longues minutes, Ludo me tint enlacée étroitement, sa bite bien enfoncée pour bien laisser mon foutre couler sur ses grosses couilles velues, il m’embrassa passionnément.Alors, dans ma chatte, une éjaculation conséquente et profonde coula à travers moi, la bite de Ludo se déversa avec de grands spasmes, il grognait de contentement.Son sperme chaud coula à l’intérieur de ma féminité béante, il haleta et gémit à chaque fois que ses couilles frappèrent mon cul.Sa queue était encore dure à l’intérieur de ma chatte, et il commença à frotter ses couilles contre mes fesses dures et poussa sa bite aussi profondément qu’il le put en moi. Puis il bascula sur le dos, me mit à califourchon sur ses cuisses. Il ne bougea plus, semblant récupérer. J’essayai de récupérer en respirant lentement, je réalisai qu’il ne fallait pas qu’il me prenne pour sa putain de service !! Je me secouai, Ludo couché dos sur le lit caressa ma poitrine et sa grosse bite encore à moitié et dure à l’intérieur de ma chatte, il la sortit lentement, poussa fort entre mes jambes et frôla à nouveau mon ventre au-dessus de mon porte-jarretelles. En regardant les trois spectateurs ébahis par mon comportement, je me sentis confuse et un sentiment de honte m’envahit. Je ne comprenais pas pourquoi et comment ce gros porc, laid comme un pou, pouvait profiter de moi ainsi, avec mon assentiment !
Mais je reconnus qu’il m’avait donné énormément de plaisir toutes les fois qu’il m’avait baisée. Je pensai que j’étais une vraie petite salope, accroc aux énormes bites, tandis que ces pensées traversèrent mon esprit, je regardai la bite de Ludo à nouveau dure comme du bois, venir flageller mes seins.
— Putain, Trixie, ta chatte est vraiment faite, pour ma grosse queue, tu dois avoir un élixir magique en toi, regarde, je bande à nouveau !
Il remit ça en me l’enfilant à nouveau dans la chatte.Victor complètement nu s’approcha du lit, il se masturba, il calotta et décalotta son immense queue qui atteignit une érection maximale près de vingt-huit centimètres. Je le regardai d’un petit air contrit, d’avoir pris du plaisir avec Ludo, il avait d’ailleurs l’air assez en colère.
— Suce mon gland, petite Salope, ensuite, je vais te sodomiser, me dit-il.
Tu devrais lui obéir, pensai-je, tu dois abréger son supplice, je décidai de satisfaire sa demande, Ludo lui reprit le malaxage de mes seins, mes mamelons commencèrent à me faire mal à force d’être triturés, mais je ne détestai pas cette légère douleur qui les tenait en érection permanente.
Victor passa derrière moi et se mit à genoux sur le lit, il me pencha en avant, Ludo en profita pour sucer mes tétons, comme s’il voulut en tirer du lait.La queue ferme et longue de Victor se positionna à l’entrée de mon anus et il poussa lentement, mon ampoule rectale ne résista pas et son gland entra dans mon petit trou. Il me connaissait, il savait que j’appréciais les pénétrations lentes, avec beaucoup de va-et-vient. Il savait aussi que j’acceptais dans mes entrailles la totalité de sa queue, alors il prenait son temps pour me faire savourer chaque centimètre qui entrait en moi.
Avec ses deux énormes bites en moi, Ludo bougea lui aussi doucement dans mon vagin comme pour me rappeler sa présence, je m’envolai à nouveau vers le paradis de la luxure. Les deux hommes me besognèrent pendant dix bonnes minutes.
— Dis, Victor, ne pourrai-je pas la sodomiser ? Elle a l’air d’aimer ça !!— Bien sûr Monsieur, c’est vous l’invité.
Victor lui avait répondu poliment et se retira, mais d’un air contrit. Le gros fermier mit sa bite au ras de mon cul, la pointe de son gland y pénétra légèrement.
— Allez assieds-toi dessus, et tu ne t’arrêteras que lorsque tu sentiras mes poils te chatouiller les fesses, puis tu me chevaucheras toute seule, tu m’as épuisé tout à l’heure !
Je lui obéis à la lettre, j’entendis Victor soupirer de déception.
— Victor, dit le père de Ludo, vous devriez en profiter aussi, Trixie peut accueillir deux bites dans son cul, essayez, j’adorerai voir cela !!
Victor remonta sur le lit se mit à genoux, fit passer mes jambes sur ses cuisses, Ludo les mains sur mes hanches à hauteur de mon porte-jarretelles bloqua mon bassin, puis une fois qu’il sentit le gland de Victor se positionner sur sa bite à l’entrée de mon trou intime, il m’attrapa sous les cuisses et écarta le plus possible mes jambes. Victor, s’aidant d’une main, poussa lentement et petit à petit, son gland glissa au-dessus de la bite de Ludo. Je fus terriblement excitée, mes sphincters se détendirent juste pour permettre cette énorme intrusion. Il cracha sur son gland, passa deux doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme gluant, qu’il badigeonna sur la tête de sa bite pour bien la lubrifier. Victor procéda lentement, attentif aux expressions de mon visage et aux petits cris qui sortaient de ma bouche, il ne voulait pas me faire mal, sitôt que j’ouvrais la bouche, retenant ma respiration, il stoppait sa progression.
Il arriva à entrer les deux tiers de sa queue, il se retira de 10 centimètres, puis d’un petit coup de reins sec, il les remit en place, profitant de gagner un peu plus de profondeur, je hoquetai de plaisir. Il recommença l’opération plusieurs fois, Ludo lui pour l’instant ne bougeait pas.
Victor voyant que j’acceptai doucement les deux énormes membres, accéléra sa cadence de pénétration, sa bite entra presque entièrement. Ludo comprit et lui aussi commença à faire des va-et-vient dans mon conduit anal, démesurément distendu.
Ma bouche était grande ouverte, et je cherchai frénétiquement de l’air, submergée par les puissantes sensations de plaisir, d’avoir deux bites monstrueuses enfoncées profondément dans mon cul.J’enfouis mon visage dans les poils de la poitrine de Ludo, après quelques minutes de baise anale profonde, je commençai à gémir comme une petite chienne.Je hurlai avec force, quand Ludo accéléra ses pénétrations, il me sodomisa plus férocement, je pus sentir tous les centimètres de sa bite qui entraient en moi, mes parois anales devinrent plus sensibles. Victor attrapa mes fesses et les écarta, il appela le vieil Alfred :
— Venez voir Monsieur, vous aurez un point de vue magnifique, sur son cul !! Je crois que ne vais pas tarder à éjaculer. Dois-je le faire à l’intérieur, ou voulez-vous voir gicler mon sperme dans sa raie ?— Moi aussi je vais jouir, Papa fais-moi passer un petit verre.
Alfred attrapa le verre à liqueur et le tendit à Ludo, celui-ci avec dextérité y déversa sa semence, tandis que Victor avec de sourds grognements, éjacula son sperme tiède dans la raie de mes fesses. Le vieux fermier et Alfred se masturbèrent vigoureusement, le spectacle les avait entièrement comblés et assouvi leurs fantasmes, ils étaient au bord de l’éjaculation.
— Attends Papa, attendez monsieur Alfred, mélangez vos spermes au mien dans le petit verre.— Oui, mais pourquoi ?
Dit le vieux fermier en versant sa semence dans le petit verre qu’il transmit à Alfred et qui en fit autant. Le verre était plein du sperme des trois hommes.
— Trixie, approche. Ouvre la bouche, penche la tête en arrière, tire la langue.
Le gros Ludo versa avec dévotion par petites rasades, les liquides translucides sur ma langue.
— Allez avale. Tu aimes le sperme. Montre-nous que tu adores nos spermes !
J’obtempérai, et déglutis le cocktail de sperme.
— Bien Messieurs, je crois que votre facture est réglée, dit Alfred. Victor voulez-vous raccompagner ces braves gens ?
Une fois Louis et Ludo sortis, Alfred s’approcha de moi, et m’essuya délicatement le sperme qui gouttait sur mon menton.
— Tu sais, me dit-il, j’adore te voir baiser avec plusieurs hommes à la fois. Je suis toujours émerveillé par la grosseur et la longueur des bites qui peuvent te pénétrer. Tu acceptes les doubles sodomies et vaginaux et de la part de Victor et de Ludo, ça tient de l’exploit, j’ai un toujours peu peur pour toi !— Mais non, ton copain Bisimwa Traoré, le gynéco noir avec la queue énorme, me l’a expliqué lorsqu’il est venu l’autre jour et qu’à tout prix, il a voulu me faire un double vaginal avec Victor. Leurs deux sexes monstrueux me faisaient peur. Il m’a expliqué que le vagin a la capacité de s’étendre, c’est d’ailleurs ce qui se passe lors de l’accouchement et de la stimulation sexuelle. Lorsque la femme est excitée sexuellement, le sang envahit la région génitale, ce qui entraîne l’ascension du col et de l’utérus : par conséquent, les deux tiers supérieurs du vagin s’allongent. Lorsque la femme ressent une grande excitation, pendant l’orgasme, le vagin se "ballonise", c’est-à-dire que ses parois s’écartent, prenant la forme d’un ballon". Il avait ajouté que le mien réagissait parfaitement, suite sûrement aux nombreuses pénétrations de la bite colossale de Gérald son neveu et de celle de Victor.
Il en avait été étonné, et avant de me baiser, soi-disant pour me faire le test de Hühner, pour profiter de m’enfiler sa grosse bite noire et d’éjaculer en moi, il avait testé l’élasticité et la profondeur de mon vagin.
— Et bien sûr, tu les aimes bien grosses et bien longues !!
Lorsque ma chatte enserre ta bite, ceux sont les muscles du périnée qui travaillent. Le vagin est un tissu dépourvu de muscle et en grande partie de sensibilité. En dehors de son quart inférieur, il est peu sensible. Alors vois-tu même une petite bite peut faire jouir. Et puis, il y a les préliminaires, et moi, j’aime te faire plaisir... Je sais que tu aimes que je me fasse baisser par des hommes moches, gros aux bites énormes, et tu sais que mon plat préféré est de couleur noire. Mais je dois dire qu’aujourd’hui avec Ludo, Louis et Victor, j’ai pris mon pied. La laideur et la bestialité de ces deux hommes m’excitent et me dégoûtent à la fois, mais je crois que je prends de plus en plus goût à ce désir malsain que me donnent leurs étreintes. Mais toi aussi. Non ? Cela t’a plu ? Est-ce que je devrais encore te servir de chèque pour payer tes factures, ce n’est pas désagréable, dis-je en riant !
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