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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 11

Sex tour au Congo (1)

Avec plusieurs hommes
Marion était avec moi lorsque je reçus le mail du Directeur me demandant de venir le rejoindre dans son bureau. Il fallait, si j’étais d’accord, mettre au point les modalités de mon voyage au Congo. Il y avait en projet de cultiver et de récolter des plantes médicinales. Monsieur N’Doumbé tenait à tout prix qu’une secrétaire accompagne le pharmacien responsable et que ce soit moi. La mission devrait durer à peu près deux mois.
— Youpiieeee... le Dirlo me demande si je veux aller au Congo, tu sais N’Doumbé, le pharmacien noir a la bite immense.— Ah oui, celui qui il y a un an t’a baisée dans le sas... Putain oui quand tu m’as montré le film qu’avait tourné Boulier, j’ai été impressionnée, il a un sacré engin.— Oui, et bien il ne veut que moi comme secrétaire, ici il fait froid, là-bas c’est l’été.— Pour te baiser à nouveau.— Sûrement, mais il y a le voyage, le dépaysement.— Et surtout sa grosse queue noire !— Oui, tu sais que je raffole de sexes noirs et monstrueux !
Je donnai mon accord avec enthousiasme, deux jours après, je reçus un e-mail de N’Doumbé.
« Chère Trixie, je te remercie de bien avoir voulu accepter mon invitation. C’est avec un plaisir immense que je te recevrai. Puis-je te demander une faveur ? Est-ce que tu pourrais apporter les habits que tu avais lors de ma visite ? La veste noire, la jupe fendue, tes bas et ton porte-jarretelles. Je fantasme tous les jours de pouvoir à nouveau te serrer dans mes bras dans cette tenue. Ton Luzollo qui pense bien à toi. »
Je souris, mais je ne pus pas lui refuser cette demande. Je pris l’avion avec monsieur Dumortier pharmacien responsable du labo de recherche. C’était un homme de taille moyenne, d’environ cinquante-cinq ans, les cheveux poivre et sel, une moustache assez fournie ornait sa lèvre supérieure, il portait des lunettes. Il m’expliqua au cours du vol, qu’on nous envoyait là-bas, pour étudier si un investissement dans ce domaine serait rentable.
Par exemple le thé Camellia sinensis, la Muscade- Myristica fragrans, l’Ananas- broméliacées, le Tamarindus indica, et bien d’autres encore qui avaient des vertus médicinales. La forêt tropicale humide s’étend en effet sur près des deux tiers du territoire de la République du Congo. Pour l’instant, le site n’était qu’une ébauche, et la Direction générale attendait nos conclusions pour éventuellement débloquer des fonds. Mon travail consisterait à taper ses notes au propre et de le seconder dans diverses tâches.
L’avion se posa à Brazzaville. N’Doumbé nous accueillit à l’aéroport, on aurait dit un enfant ayant hâte de déballer son cadeau de Noël. Le reste de la journée se passa en visite de leur usine de fabrication. N’Doumbé me prit à part.
— Vois-tu Trixie, le Directeur de la société est mon frère aîné Ephraim, il a un problème ! En effet, depuis que je lui ai montré la vidéo dans laquelle nous faisions l’amour dans le sas de déshabillage, il ne peut plus entrer en érection, tellement il a été subjugué par toi, ta beauté, le fait que je puisse t’enfiler entièrement ma bite monstrueuse. Il a consulté en Europe d’éminents spécialistes qui au niveau physique n’ont rien trouvé, tout est normal. Alors, en désespoir de cause, nous nous sommes tournés vers le marabout de notre village. Nous lui avons expliqué, il a visionné la vidéo, elle lui a bien plu. Il m’a énormément questionné sur toi, ton physique, sur les sensations que j’avais ressenties lorsque nous avions fait l’amour et a conclu que c’était toi qui l’avais envoûté. Alors il nous a demandé de te faire venir, pour qu’il puisse conjurer le sort. Il a dit que c’était indispensable que tu viennes avec les habits que tu portais ce jour-là ! Tu sais ici au cœur de l’Afrique équatoriale, ces croyances perdurent encore, bien que nous soyons au vingt et unième siècle. Il m’en a expliqué le déroulement. C’est une cérémonie rituelle, il n’y a rien de dangereux ni de douloureux pour toi. Il te fera sûrement boire un élixir, fait de plantes médicinales, mais c’est inoffensif. Alors si tu es d’accord, nous pourrons y aller ce soir !— Vraiment Luzollo, toi un scientifique, tu crois à ces balivernes.— Euhhh, non pas tellement, mais c’est pour mon frère. Il serait tellement heureux de retrouver sa virilité. Tu sais, c’est de famille son sexe est aussi gros que le mien !— Je suis sceptique, mais pour te faire plaisir si tu me garantis qu’il n’y a aucun risque, je veux bien te faire plaisir.

Le soir venu, habillée comme demandé par le sorcier, nous partîmes tous les trois en voiture, le trajet dura presque deux heures. A l’arrivée, N’Doumbé nous fit entrer dans une grande case. Un vieux noir, vêtu d’un pagne de raphia assez court et pas très épais qui ne lui cachait que le sexe et les fesses, semblait nous attendre. Il avait des plumes d’autruche multicolores sur la tête, des colliers d’ossements pendaient sur sa poitrine ridée, des bracelets de coquillages tintaient à ses poignets et à ses chevilles. Il y avait deux chaises en face d’une sorte de portique de bois qui trônait au centre de la pièce. Sans préambule, il fit asseoir Luzollo et Ephraim. Il m’examina des pieds à la tête, il écarta la fente de ma jupe pour découvrir l’attache de la jarretière, satisfait de son examen, un large sourire découvrit sa bouche édentée. Il m’entraîna sous le portique. Pendant un moment, il se mit à tourner autour de moi psalmodia des incantations dans un dialecte local.
Puis il versa une potion dans une coupelle et l’approcha de mes lèvres.
— Bois, me dit-il.
J’hésitai, regardai N’Doumbé d’un œil interrogateur. Je remarquai que son frère et lui avaient sorti leurs bites qui pendaient mollement.
— Tu peux boire sans crainte, ce n’est pas du poison, dit-il en riant.
J’avalai lentement le breuvage, c’était sucré, fortement alcoolisé et très bon au goût. Il recommença à tourner. Au bout de trois minutes, une douce sensation de bien-être m’envahit, une douce chaleur se propagea dans mes entrailles, ce fut vraiment agréable, ma tête tourna un peu. Il me sembla que mes sensations devenaient de plus en plus fortes. Il continua son rituel autour de moi pendant un moment, sûrement pour attendre que la potion fasse son effet. Mon sang s’échauffa, le désir apparut dans mon bas-ventre. C’était très agréable.
S’arrêtant devant moi, il plongea son regard dans le mien, et fit sauter le clip de ma veste. Il passa derrière moi et en écarta lentement les pans, offrit mes seins qui se durcirent sous le regard des trois hommes, les deux frères se dénudèrent aussitôt. Luzollo se masturba doucement, la queue de son frère pendait indolemment entre ses cuisses.
Je me doutai de ce qui allait suivre, mes mamelons durcirent et mes deux petits cônes bruns pointèrent fièrement malgré moi. Le marabout me quitta le vêtement, il était toujours derrière moi, ses mains fripées passèrent de chaque côté de mon corps, se saisirent de mes globes laiteux et commencèrent à me les pétrir, à me les caresser toujours en récitant ses litanies. Les doigts se saisirent de mes tétons, les tirèrent, les pincèrent, les firent rouler...
— Femme blanche, j’ai vu la vidéo, tu es habillée comme je désire ! J’ai vu Luzollo te baiser. Ma bite est encore plus grosse que la sienne... Je vais éjaculer ma semence en toi, tu vas aimer, tu vas jouir, tu vas crier de plaisir, me murmura-t-il dans un mauvais français. Mon sperme va chasser le démon !
Je commençai à ne plus être maître de mes émotions, sûrement la décoction. Et les sensations de plaisir que me donnèrent ses attouchements furent multipliées par dix, ses onomatopées lancinantes semblaient me tirer vers la luxure. Une boule de feu chauffa mon sexe, qui ne demandait qu’à s’embrasser. Ma respiration s’accéléra, ma chatte devint moite, mes seins durcirent sous ses douces palpations. Je compris lorsqu’il me leva un bras, à quoi servaient les deux cordelettes qui pendaient de la poutre transversale, dans un état second, je ne résistai pas lorsqu’il y lia mes deux poignets, chacun a une corde, je le désirai presque.
Toujours dans mon dos, il dégrafa ma jupe, qui se retrouva à mes pieds, il passa devant moi, mit deux doigts dans mon string et l’arracha d’un geste sec, en souriant de sa bouche édentée. Une décharge électrique me traversa le corps, un afflux de foutre inonda ma chatte, je ne fus plus vêtue que de mes bas et de mon porte-jarretelles noir, perchée sur mes talons aiguilles.
Il fit une espèce de danse faisant onduler ses hanches, à travers les brins de raphia son sexe, noir, énorme au gland mauve circoncis, commença à poindre lentement. Au plus, il minait une pénétration au plus, il grossissait, et montait à la verticale au travers des brins de raphia, il devint plus gros que celui de Luzollo.
Il se sépara du pagne, me laissa un moment admirer son squelette décharné, je me demandai comment un corps aussi émacié pouvait avoir un sexe aussi gros, long et aussi épais, il était circoncis. Il repassa dans mon dos, son phallus énorme et raide frotta mon pubis entre mes fesses, ses mains se plaquèrent au bas de l’intérieur de mes cuisses et suivant les lanières du porte-jarretelles firent une lente reptation vers ma chatte en feu.
Il écarta mes grandes lèvres, son majeur s’insinua dans mon vagin trempé, il fut bientôt suivi de deux autres doigts, longs et décharnés. Il frotta de plus en plus fort son membre démesuré dans la fente de mon cul. Ses doigts entamèrent dans ma chatte une valse, ils me tirèrent des gémissements de plaisir et des halètements saccadés.
— La femme blanche aime les caresses du vieux noir, sa chatte est trempée. Attends que ma bite te pénètre.
Mon corps commença à onduler. Il lécha mon cou gracile, récita ce qui devait être des formules magiques. Je fus de plus en plus excitée, mon cerveau ne commandait plus. Je fermai les yeux, me laissais couler un peu plus profondément dans la perversion. Lorsque je les ouvris, il était devant moi, nu, le sexe en totale érection son gland circoncis dépassant largement son nombril, une énorme paire de testicules pendait entre ses cuisses. Il tenait une sorte de chasse-mouche, fait d’un manche en bois sur lequel étaient fixées de nombreuses lanières de cuir.
— L’esprit malin qui se cache en toi va être atteint par les lanières du Fimbu, puis il sera dilué par le sperme que je vais éjaculer dans ta chatte !
Toujours, psalmodiant, il caressa mes seins avec les fines courroies, ce fut très agréable, je tendis la poitrine en avant, il fit de nombreux passages, excita mes mamelons, jusqu’à ce je gémisse de plaisir. Puis un rictus me montra à nouveau sa bouche édentée et un coup s’abattit sur mon sein droit, le gauche eut droit au même traitement, cela les rendit plus fermes et mes mamelons durcirent encore plus. Il flagella mes flancs, mon dos sans trop appuyer les coups, avec mes amants au boulot, avec le fermier et son fils, j’avais pratiqué cette expérience de flagellation et je ne détestais pas. Lorsque le martinet s’attaqua au haut de mes cuisses puis à mes fesses et à ma chatte, je râlai et hoquetai de plaisir. Le foutre coula sur mes cuisses le long de mes bas.
— Oui, oui, encore, encore fouette-moi encore, mes seins mes tétons, lui criai-je.
Me tortillant avec volupté et tendant mon corps vers les coups qui pleuvaient. Dans un brouillard érotique, je regardai N’Doumbé, il branlait avec vigueur son énorme appendice noir, son frère par contre avait toujours le pénis qui pendait mollement entre ses jambes. Le sorcier délaissa son fouet en souriant, il s’avança vers moi. Il me prit une jambe avec son avant-bras décharné, la souleva et l’écarta largement. Avec son autre main, il positionna le gland de son phallus éléphantesque à l’entrée de mon vagin le pénétra un tout petit peu.
— Oui, oui, enfonce-moi ta bite noire. Ouuiiii, vas-y, je veux sentir ta queue au fond de ma chatte. Dans un brouillard érotique, pénètre-moi ! Je veux sentir ta grosse queue ! Baise-moi viiiite ! Enfonce ta grosse queue noire, fais-moi jouir !
La drogue me sublimait le corps, l’emplissant d’un désir malsain, il fallait que cette bite me pénètre à tout prix, écarte mes parois vaginales et entre jusqu’à mon utérus, me fasse hurler de plaisir.Sans se presser, il frotta son torse ridé sur mes tétons bourgeonnant, sa bouche s’en empara ensuite à tour de rôle, il les suça, les mordilla, puis elle délaissa les petits cônes bruns, se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Dans un état second, je lui rendis son baiser, une petite voix très loin dans ma tête me disait.
— Salope, salope, il est vieux, laid, fripé, décharné, sale, pas ragoûtant, et il va te baiser, résiste, il va vider ses couilles en toi. Salope ! Mais pourquoi tu aimes ça, petite vicieuse ? Pourquoi ta chatte raffole de son énorme bite ? Et tu as vraiment envie de jouir avec ce vieux débris... Salope ! Tu attends avec impatience qu’il vide son sperme en toi et ça va te faire jouir, salope !
Mais lorsque sa bite monstrueuse écarta les grandes lèvres de ma chatte, puis les petites et glissa doucement dans mon conduit vaginal, les murmures de ma raison furent couverts par mes gémissements de plaisir. Il me pénétra au rythme de ses incantations, suivant les modulations, ce fut rapide ou lent. Ses couilles tressautaient et frottaient la peau nue au-dessus de mon bas. Une chose fut indéniable, son énorme bite me tira un plaisir fou. J’avais saisi les cordes et m’arc-boutais pour recevoir ses assauts, plus rien ne compta que l’ivresse que me donna ce coït, avec ce membre démesuré et noir. Il me pénétra ainsi pendant ce qui me sembla une éternité, mais qui me parut trop courte lorsqu’un orgasme monumental déferla au travers de mon corps ! Je hurlai de jouissance quand il déversa une énorme quantité son sperme tiède au fond de ma chatte et qu’il se répandit en moi.
Mon corps se cabra et resta tétanisé, puis la vague de volupté m’emporta voguer sur les nimbes du plaisir, une fois celle-ci passée, je m’écroulai tremblante de jouissance, retenue par les cordes de mes poignets, abasourdie par le plaisir.
Le sorcier ricana, il s’approcha et me murmura.
— Tu as bien joui ? On va se revoir bientôt, petite salope de blanche !
Luzollo vint me détacher, me soutenant, il m’emmena vers sa chaise, son monstrueux membre viril toujours en érection. Il me fit asseoir sur ses genoux me caressa les cheveux.
— Trixie, tu me rends fou, regardes comme je bande, c’est vraiment merveilleux de te voir faire l’amour, je crois que je ne vais pas tarder à éjaculer, puis-je le faire dans ta chatte ?
Le besoin de sexe ne m’avait pas tout à fait quittée, comme dans un rêve, sans réfléchir, sans un mot, je l’enjambai, m’empalai sur le membre noir turgescent, sa bouche se plaqua sur mes seins, quelques allers et retours et il déversa sa semence dans mes entrailles en m’embrassant comme un fou.Après qu’il eut discuté longuement avec le marabout, car la queue de frère était toujours sans consistance, il fallut se rendre à l’évidence, le désenvoûtement avait été un échec, nous reprîmes la route de Brazzaville.
— Eh bien, tu as vu, tu avais raison d’être sceptique, le désenvoûtement n’a pas fonctionné. A voir le sorcier te baiser ainsi, cela aurait dû faire bander Ephraïm, autant que moi, mais ses incantations ont fait chou blanc ! Le marabout m’a indiqué un autre moyen. Il y a peut-être un remède, une potion. Enfin, je vais voir !
Le lendemain avec Dumortier, nous partîmes rejoindre le camp. Trois jours plus tard, un jour entier de navigation compris, sur une rivière au cœur de la jungle, nous arrivâmes au débarcadère qui permit d’accéder à la zone de travail. On fut accueilli sur le quai par un noir à la carrure impressionnante, qui nous conduisit à travers la jungle jusqu’au campement. J’eus un hoquet, c’était vraiment une esquisse de cantonnement. Le camp se composait de paillotes plus ou moins grandes. L’électricité fournie par des groupes électrogènes.
Il y avait maintenant huit jours que j’étais ici. J’étais arrivée au Congo avec des chemises résistantes, des pantalons longs que je pensais indispensables. Mais ces vêtements se sont vite avérés complètement inadaptés à la chaleur et à l’humidité étouffante et sont rapidement devenus humides. Sous la pluie presque constante, chaque chose était mouillée et restait spongieuse.
J’ai vite adopté les chemises légères et les shorts que le professeur Dumortier fit venir de Brazzaville.J’abandonnai vite le port de mon soutien-gorge, et même de mon string. En revanche, la plupart des travailleurs noirs locaux ne portaient que des pantalons assez fins, et la pluie moulait le tissu sur leur bas-ventre. Il s’avéra que pour moi, c’était une distraction quotidienne, d’admirer leurs corps musclés et durs pendant qu’ils travaillaient. D’accord, admirer n’est pas un mot juste. Cela avait peut-être du sens, les premiers jours, mais maintenant au bout d’une dizaine de jours, le mot convoitise était probablement plus approprié.
Être entouré toute la journée par des hommes à moitié nus, au corps ciselé, l’humidité faisant coller le tissu aux parties génitales, cela conduit aux fantasmes inévitables. Je m’imaginais souvent en train de travailler les seins nus, la douce pluie ruisselante, coulant sur ma poitrine tendue, chaque bouffée de brise rafraîchissante chatouillant mes mamelons durcis tandis que je travaillais assidûment sous le regard des travailleurs indigènes. Je me voyais ensuite enlevée par ces ouvriers aux corps musclés, qui déchiraient et ôtaient mon short. Il me semblait que tous les jours, je finissais par avoir les culottes mouillées, et pas seulement par les conditions environnementales naturelles. J’étais constamment en état d’excitation. Je me demandais, étant la seule femme, si le cuisinier ne mettait pas une quelconque drogue aphrodisiaque dans ma nourriture.
J’étais sûre que le professeur Dumortier n’aurait pas été très heureux s’il avait pu savoir ce que je pensais la plus grande partie de la journée.L’air était chaud et collait, empreint d’humidité. Je ne pouvais toujours pas m’habituer à cette chaleur et à cette humidité. Tout était toujours mouillé, humide de pluie et de sueur. J’avais fanfaronné avec Marion sur mon voyage, mais maintenant, je regrettais presque.
— Tu es une petite salope, pensais-je. Tu approches de la trentaine, les vieux gros et laids, les noirs te font toujours autant fantasmer. Tu aimes te faire baiser par leurs grosses bites qu’elles soient noires ou blanches, celle de Gérald te manque, celle de Luzolo aussi ! Vas-tu résister longtemps ?
Et bien sûr, en pensant à cela, j’aimais à espérer que j’étais assez sophistiqué dans le choix de mes partenaires surtout noirs, car Louis, le fermier et son fils Ludo ne faisaient pas partie du gratin, mais ils savaient malgré leur laideur, me faire grimper au septième ciel ! Enfin, me dis-je, de toute façon, tu es maintenant au Congo, pour bosser et tu as accepté ce contrat. Mais cette acclimatation avait eu un début lent et difficile pour moi. Nous étions isolés dans un camp à l’intérieur de la forêt tropicale, avec peu de contact avec le monde extérieur et uniquement pris en charge par les habitants des villages locaux, ce qui aurait dû me réjouir, car ils étaient tous noirs, mais mon moral était en berne.
Lorsque nous avions quitté Brazzaville, N’Doumbé m’avait promis de venir au camp dans 15 jours.Au fil des jours, je sentais de plus en plus que les yeux des travailleurs erraient sur mon corps. J’essayai de me persuader du contraire. Mais c’était vraiment le cas et cela ne fit que nourrir ma convoitise croissante. Je me concentrai difficilement sur mon boulot, toute perception de la réalité était assombrie par un état d’éveil érotique et distrait.
À la fin de chaque journée, je ne pouvais pas attendre de terminer le dîner, il fallait que je prenne une douche et regagne ma hutte pour me masturber. Tous les soirs, j’étais terriblement excitée, j’étais de plus en plus persuadée que l’on me droguait.
Dans le confinement de ma case, l’air était si moite qu’au bout de la première nuit, je dormis sur le dessus du lit, juste avec une petite culotte. Cela provoqua une nouvelle série de sensations érotiques. Avec le trou ouvert pour la fenêtre et juste un rideau pour la porte, le sentiment d’exposition et d’insécurité se transforma rapidement en fantasmes imaginaires pervers.
Des travailleurs noirs et musclés, aux bites énormes m’assaillaient avec une intention salace de profiter de ma féminité, et malgré moi, mon corps en sueur se tordait de plaisir sous leurs mains rugueuses.
Cela devint une obsession nocturne récurrente, conduisant mon corps et mon esprit à une masturbation libératrice. Au fil des soirées, cela évolua en rituel nocturne avant que je pus m’endormir. Je masturbai ma chatte avec vigueur, je pinçai, tirai mes mamelons durcis, enfonçant mes doigts dans mon vagin trempé pour me donner une jouissance démentielle.
Je gémis, haletante et tremblante. Je rêvai que des ouvriers imaginaires étaient autour de moi et me regardaient attendant leur tour, pour tous me baiser. Mon corps se balançait jusqu’à la poussée pénétrante d’un gros sexe noir et j’appréciai avidement chacune de leurs bites qui m’entouraient énormes et raides en prévision du travail qu’elles allaient faire dans ma chatte.
Après ma jouissance, je m’écroulais épuisée sur le matelas, trempée de sueur et de foutre et dérivai dans un sommeil érotique rempli de rêves plus salaces les uns que les autres.Ces activités nocturnes me fatiguèrent et je me réveillais de plus en plus lasse chaque matin. Malgré mon épuisement, je m’éveillais avec un désir palpitant de sexe, mais je devais être active immédiatement, sauter hors du lit, m’habiller et sortir pour le petit-déjeuner.
Je savais que si j’essayais de m’allonger, je replongeais dans les bras de Morphée, mais mon esprit me trahissait, et mon corps voulait être assouvi à tout prix.J’étais consciente que je devais me faire baiser, et me faire baiser bientôt. Je n’allais pas pouvoir tenir jusqu’à la fin de mon contrat et de mon retour à la maison. J’espérai ardemment la visite de N’Doumbé et de sa grosse bite.
Monsieur Dumortier se dirigea vers moi. Ma chemise était ouverte sur mes seins, et mes tétons se dessinaient en transparence sous le mince tissu.
— Ca va Trixie, en forme... Vous me semblez distraite ! Est-ce que cette chaleur vous accable ? Dit-il fixant ma poitrine dénudée.— Non monsieur, je suis juste un peu fatiguée, je n’ai pas bien dormi la nuit dernière, mais ça ira.— Je vais dans le lot 67 alors, mais prends bien soin de toi.
Je pense qu’il s’inquiétait pour moi. Il a regardé avec attention mes seins se dessinant sous ma chemise et puis il opina de la tête. Mes yeux se portèrent sur son bas-ventre, une légère bosse déformait son short.
— C’est bien ce qui s’est passé hier soir, je m’occupe bien de moi tous les jours, pensai-je en souriant.
Le pharmacien tourna les talons, pour réorganiser le travail d’un groupe qui apparemment avait pris du bon temps en me regardant. Décidément, j’étais une grande salope. Si le professeur Dumortier eut été plus attentif, il aurait vu que c’était moi qui les distrayais, ou plutôt que c’était moi qui les excitais, ce qui ne devait pas faire avancer bien vite leur travail.
Mais maintenant, je ne pouvais plus m’en empêcher. Je savais que les travailleurs noirs me désiraient et je me montrais de plus en plus dévêtue, autant que possible !Je me penchai pour offrir le spectacle mon cul, ou laissai par inadvertance ma chemise s’ouvrir et exhiber un sein ou parfois les deux. J’étais une putain terriblement excitée. Ces petits jeux me faisaient mouiller comme une folle. En regardant les gars, je fus prête à me laisser baiser sur-le-champ. Et lorsque je suis rentrée au camp aujourd’hui, j’étais tellement excitée qu’il fallait faire baisser la pression de ma libido de suite. Si la journée avait traîné beaucoup plus longtemps, je suis sûre que je me serai déshabillée et j’aurai laissé les ouvriers me baiser sur le site.
Dès que j’entrai dans ma hutte, je me mis nue et commençai à explorer ma chatte en sueur avec mes doigts avides.
— C’est si bon, mais j’ai besoin de plus, beaucoup plus. Une grosse bite noire et dure.
J’ai joui avec rage. Pendant la nuit, un sentiment étrange me traversa, j’eus l’impression fugace d’être observée alors que je pétrissais lentement ma poitrine, mes doigts pinçant et roulant doucement mes mamelons de plus en plus durs.
Je ne pus pas vraiment comprendre d’où vint ce sentiment, mais il intensifia mon désir de jouir, je fermai les yeux et m’imaginai que je laissai des ouvriers me regarder nue, me tordant de désir sur le lit, les jambes grandes ouvertes caressant ma chatte sous leurs regards lubriques.
Alors que mon fantasme prenait une consistance de plus en plus pornographique, je m’allongeai et laissai mes doigts courir lentement sur mon corps, glissant à travers les ruisseaux et la sueur sur mon ventre et dans les replis de ma chatte. J’allai encore plus loin, écartai largement mes jambes pour plonger mes doigts entre mes lèvres engorgées de sang, avec mon pouce appuyai fort sur mon clitoris.
Je captai un léger mouvement au pied de mon lit à travers mes yeux mi-clos. J’essayai de fixer mon attention et puis je vis une silhouette. C’était un homme, il était grand, la lumière de la lune venant par la fenêtre fit luire sa peau d’ébène, il était nu. Sa forme se précisa nettement quand il s’approcha de mon lit. J’aurais dû être terrifiée, j’aurais dû crier, mais j’étais trop loin sur la route de ma jouissance. Je m’entendis dire à haute voix.
— Hooooo putain quelle bite !! Elle est énorme ! Je vais jouir oh merde. Aaaaaaahhhhh je ne peux pas me retenir. Je jouiiiiiiis. Oh putain que c’est bon !!!
Que pouvais-je faire d’autre ? Je continuai à haleter de plus en plus fort, mes doigts continuèrent à s’activer dans ma chatte avec une vitesse fulgurante. Voir ce gars qui me regardait accéléra mon orgasme, qui me laissa dans une paralysie euphorique, je haletai et gémis très fort. Si j’avais été dans un état rationnel, je me serais inquiétée, j’aurais réveillé par mes cris le reste du camp, pas un son ne sortit de ma gorge à part des gémissements de plaisir.
Mon voyeur, les traits obscurcis par l’ombre, se tint au-dessus de mon corps qui se tordait de plaisir, des cris de bonheur s’échappèrent de mes lèvres, la jouissance me traversa avec des flèches de plaisir fulgurantes faisant onduler mon corps en tous sens.
Je me relevai, cambrant le dos, mon bassin et ma chatte offerte s’élevèrent vers le voyeur.Mon corps devint rigide avec mes doigts enfoncés au creux dans ma chatte convulsive, tandis que l’orgasme explosa à travers mon corps, puis la vague de plaisir passée, je m’effondrai sur mon lit comme une baudruche. Je respirai fort dans mon étourdissement post orgasmique en attendant qu’un semblant d’ordre se rétablisse dans ma tête. J’ouvris les yeux, personne, pourtant, il était bien là, j’en étais sûre !
La raison revint, je devais trouver qui était cet homme, ce qu’il voulait. Je ne pouvais toujours pas distinguer ses traits, mais il devait être l’un des ouvriers, je ne vis pas qui d’autre ce pouvait être.
J’essayai de me triturer le cerveau pour obtenir des réponses, je réalisai tout d’un coup que je caressai toujours ma chatte ouverte et palpitante.J’étais encore très excitée, un mouvement, se mettant sur mon côté droit, mon observateur passa ses grandes mains sous moi et me retourna sur le ventre.Avant même que je pusse tourner la tête pour demander ce qu’il était en train de faire, il me saisit les hanches et me souleva sur les genoux. Au moins, une de mes questions obtint une réponse.Maintenant, je sus pourquoi il était là. J’avais été dans cette position plusieurs fois auparavant et cela ne signifiait qu’une chose, une bite allait se glisser en moi !Je regardai en arrière et je vis la silhouette de son pénis, putain, c’était un monstre, noir, épais, dressé et très grand. J’en restai la bouche grande ouverte. Il me tira vers le bord du lit, celui-ci n’était pas très haut. Le gros phallus noir glissa aussitôt de haut en bas entre mes fesses.
Mon corps réagit avec une nouvelle brûlure dans les reins et je ne pus pas m’empêcher de hausser mes hanches sur lui pour signaler mon envie.J’essayai de me raisonner, je ne pus pas croire que je n’avais pas essayé d’arrêter ça, je n’avais pas dit un mot pour exprimer mon refus. L’ombre noire, avait-elle compris ? Avant que je puisse répondre à cette pensée, je sentis sa grosse main sur le haut de mon dos et il poussa ma poitrine vers le bas, écrasa mes seins sur le matelas. Mes mamelons en érection durs comme du bois frottèrent sur le tissu de la literie ferme et ma poitrine glissa de tous côtés, envoyant des impulsions de plaisir perçant qui me parcoururent le corps.
Les dernières velléités de santé mentale qui me restaient me crièrent de m’arrêter, de combattre ce que je subissais. Mais cela fut coupé et balayé lorsque son gland, puis sa queue glissèrent en moi, ma vanité fut vaincue et une vague accablante de plaisir me submergea. Je m’entendis crier.
— Ouiiiiii... S’il vous plaît, enfoncez votre bite, s’il vous plaît baisez-moi. Dou... doucement s’il vous plaît, vous êtes si gros. Mais oui, baisez-moi, baisez-moi ; s’il vous plaît. Enfoncez votre grosse queue, j’ai tellement envie de la sentir, ouiiiii c’est bon !
Mon bassin se releva, une pression sur mes fesses m’obligea à écarter les jambes, ma chatte fut enfin en train d’être comblée lentement par l’énorme piston noir. Mon vagin ne protesta pas et le frottement se transforma rapidement en un plaisir brûlant lorsque cette immense bite pénétra sans relâche dans ma chatte. Je criai et gémis de plus en plus, sentant glisser son énorme sexe en moi. Mes hanches ronronnèrent d’extase, tout mon corps trembla tandis qu’un autre orgasme commença à s’emparer de mes entrailles.
— Aaaaaahhhhh enfonce, enfonce plus profond, oh merde, je vais jouir. Putain que ta bite est bonne.
Mon esprit refusa l’orgasme qui naissait dans mon ventre, il fallait que je retarde ce moment ! J’essayai de forcer pour enfoncer la bite le plus loin possible en moi. Il me tint fermement par les hanches, me pénétra avec de longues poussées tandis que ma chatte se convulsa prête à l’orgasme et se contracta de manière incontrôlable. Sans prévenir, je jouis, mon orgasme passa comme un flash, je me sentis tomber dans un gouffre, mais mon corps perfide commença à se préparer pour un autre. Le géant noir me serra et me pétrit le cul et il continua à me labourer la chatte avec sa queue lentement à mesure que je récupérai.
— Oooooohhhh putain baise-moi encore et encore.
Lentement, il commença à augmenter le tempo et la profondeur de ses pénétrations. Je recommençai à repousser vers lui mon cul plus fortement, tandis qu’il continuait de me pilonner avec une rapidité inouïe, jusqu’à ce que ses cuisses claquent dans mes fesses et que ses couilles giflent mon clitoris. Cela déclencha une autre série d’orgasmes qui déchirèrent mon corps, me laissa hagarde, accrochée à sa forte emprise sur mes hanches.
Le mystérieux visiteur n’avait toujours pas lâché un seul mot. Je n’avais toujours pas de réponse à mes questions !Je baissai ma poitrine sur le matelas, ce fut clairement sa position préférée et je levai les fesses plus haut, attendant que son énorme baïonnette acérée me pénètre.Il stoppa brusquement sa baise rapide, passa à des coups lents et profonds, des grognements brusques s’échappèrent de ses lèvres tandis que ses hanches me martelèrent le cul, il me sembla que sa queue prit des proportions gigantesques alors qu’il l’enfonça plus profondément dans mon vagin.
Ma chatte fut en constante contraction, étranglant sa queue jusqu’à ce que je la sente tendue, puis il déchargea son sperme au plus profond de moi avec un fort grognement guttural final. Je ressentis une sensation de ballonnement soudain qui déclencha un orgasme massif lorsque le liquide tiède et visqueux explosa dans ma chatte, remplit mon conduit vaginal pour couler le long de mes cuisses.
Il resta enfoncé fortement dans les profondeurs de ma chatte, jusqu’à ce que la dernière goutte de son éjaculation fut déposée, puis il se retira lentement.Le vide laissé par sa bite vide fit palpiter ma vulve avec de délicieuses sensations, répliques post organique. Il relâcha mes hanches et mon corps s’effondra sur le lit.
— Que ton sperme est bon, lui murmurai-je !
Quand le brouillard de ma tête se dissipa suffisamment pour regarder derrière moi mon mystérieux visiteur et pour obtenir des réponses, il était parti.Je m’endormis d’un seul coup, au réveil le lendemain matin, des écharpes de brume tournèrent dans mon cerveau, j’étais toujours allongée là où il en avait fini avec moi. Alors que je déplaçai lentement mes hanches et sentis à quel point ma chatte était meurtrie.J’ai aussi souillé de sperme que le matelas qui était en dessous de moi, il était énormément trempé, je me levai, du sperme s’écoula entre mes jambes.J’enroulai une serviette autour de moi et me dirigeai vers la douche, les ouvriers étaient attablés à la table du mess. Je les regardai avec attention, en pure perte, pour essayer de voir si je pouvais identifier mon visiteur mystérieux. J’entrai dans la douche, les canisses qui étaient censées isoler des regards, laissaient à désirer et n’étaient pas très hautes... La douche n’était pas très éloignée du réfectoire.
— Putain, est-ce que je pourrai me masturber ici devant eux ? Celui qui m’a baisée cette nuit sera peut-être à nouveau émoustillé ?
Me suis-je demandé en enfonçant mes doigts dans ma chatte. Au bord de la palissade délabrée, je commençai à me masturber, en les regardant. Mes gémissements de plaisir attirèrent vite leur attention, sans vergogne, ils sortirent leurs bites et se masturbèrent, l’acuité de leurs regards m’amena à l’orgasme, mon esprit était maintenant complètement embué par les événements de la nuit dernière. Je jouis assez fortement, mais aucun des hommes présents ne se manifesta, ils s’approchèrent et éjaculèrent, mais pas un n’essaya d’entrer dans la douche. Je fus déçue et après une longue douche, je sortis de la douche pour examiner les ouvriers. Je devais à tout prix découvrir qui m’avait baisée hier soir ! Je devais le savoir, je devais le faire revenir.
La journée s’éternisa, longue, monotone, je fis tout pour les exciter, pour qu’il se découvre, mes efforts restèrent vains.Le soir, il était presque minuit, j’espérais son retour, lorsque le rideau se souleva, je me mis aussitôt à genoux sur le lit, levant mon bassin, lui offris ma chatte, la magie opéra à nouveau. Cela continua pendant quatre nuits, j’avais cessé de chercher qui pouvait être, le prince noir qui me faisait autant jouir.
Le cinquième soir, au lieu de grimper sur le lit derrière moi, il se pencha sur moi, me souleva dans ses bras et me jeta par-dessus ses épaules. Je fus sur le point de crier, jusqu’à ce que je réalise les très larges épaules sur lesquelles j’étais enroulée, et je compris que mes appels ne serviraient à rien !
Je me mordis la langue en me demandant ce qui se passait, ce qui avait changé ?Peut-être voulait-il me baiser ailleurs ? Il franchit le seuil de ma hutte et commença à me transporter hors du camp. Je réalisai d’un coup que j’étais complètement nue.Je commençai à paniquer un peu, je lui demandai où il m’emmenait, il ne me répondit pas, mais un doigt de la grosse main qui me tenait par-dessus mes fesses s’insinua dans la fente de ma chatte grande ouverte. Cela me calma, comme si à nouveau je faisais une chute dans la luxure emplie de convoitise, je gémis de plaisir aux sensations que ses gros doigts produisirent alors qu’ils balayaient et sondaient ma chatte.
A suivre
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