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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 13

un bout d'essai... porno !

Avec plusieurs hommes
Cela faisait maintenant un bon mois que j’étais de retour de mes aventures africaines.
— Trixie, me dit Alfred, Tu sais pendant le mois que tu as passé loin de moi, tu m ’as vraiment manquée ! Heureusement que j’ai les vidéos que nous avons tourné, je ne peux plus me passer de ton image, te voir faire l’amour et une drogue pour moi ! J’en ai fait visionner plusieurs à un vieil ami, il est producteur et metteur en scène de films érotiques. Il t’a trouvé merveilleuse, dans tous les sens du terme ! Il cherche sans cesse de nouveaux talents, il demande si tu ne donnerais pas ton accord pour faire une vidéo avec lui, ou tout au moins tourner un bout d’essai. Tu sais ce genre de prestation peut rapporter pas mal d’argent !— Oui mais...— Et puis je t’ai bien observé, pendant les rapports sexuels que tu as eu devant moi avec d’autres hommes et j’en ai conclu que tu dois posséder une sorte de nerf masochiste, les scènes de violences toutes relatives bien sûr, ont l’air de déclencher chez toi l’éveil d’un plaisir incontrôlable, et puis tu m’as avoué que tu prenais plaisir à baiser avec des partenaires assez moches, même gros et vieux. Cela te procure m’as tu dis des sensations glauques qui excitent ta libido.— Oui, tu as raison, ma jouissance se manifeste parfois furieusement. Pourquoi et comment, je pense que c’est un jeu psychologique. Je dois t’avouer sans la moindre honte, que je fantasme énormément sur l’image de la femme objet, que l’on peut soumettre à tous les caprices, surtout si mes partenaires sont laids et libidineux et qu’ils ont une grosse bite, cela attise mon désir ! — Oui, j’ai remarqué que tu es très chaude, et qu’il ne t’en faut pas beaucoup pour émouvoir tes sens, avec ce genre de personnages. Et puis comme tu me l’as si bien expliqué, je n’ai plus de crainte de te voir t’empaler sur des bites énormes, et je sais que ta préférence va vers les noires et bien dures.— En plus, j’adore que l’on me regarde faire l’amour, cela décuple ma jouissance ! Alors la proposition de ton ami, de filmer mes ébats, pourquoi pas !

Le lendemain matin de retour au boulot, j’hésitais toujours, pourquoi ne pas demander conseil à Maxime.
— Tiens Maxime, ton oncle me demande si je ne veux pas aller tourner un essai cinématographique, avec une de ses vieilles connaissances.— Oui. Il te demande si tu veux bien participer au tournage d’un clip, filmé par son pote le réalisateur. Avec ce gars là, je pense que ce doit être plus qu’érotique, porno même !— La dernière fois aussi, c’était porno les clips que ton oncle m’a fait tourner, dis-je en rougissant ! Je les ai fait par plaisir. Alors j’hésite, Alfred m’a dit qu’il y avait pas mal de fric à se faire !— Tu fais comme bon te semble. Tu n’as pas à avoir mon accord. Maintenant, tu n’as plus à t’occuper de ton mari, tu es tranquille avec le papier qu’il a signé et puis le divorce a été prononcé !— Ce n’est pas ça, ce n’est pas ta permission dont il est question, je me demandais si... si, tu ne pouvais pas m’accompagner ?— Oui, pourquoi pas, je n’ai jamais assisté à un tournage, qui de plus, sera sans doute porno ! Et puis tu as vu combien j’ai apprécié la séance que m’a offerte pour mon anniversaire, ou tu t’es faite baisée devant moi par les deux atroces épouvantails que sont le gros Ludo et son vieux père ! Alors bien sûr je suis partant.
On se présenta à l’adresse indiquée par le Producteur, c’était une bâtisse importante, isolée au milieu d’un grand parc. On nous conduisit dans une grande pièce, sorte d’entrepôt, ou il y avait un bureau et plein d’accessoires qui allaient des habits à la machine à écrire en passant par des pistolets et des couteaux factices. Le responsable qui nous reçut était chauve, moustachu, il portait des lunettes et avait un sourire paternel qui me mit en confiance.
— Bonjour, vous êtes Trixie la colocataire d’Alfred. Vous êtes encore plus jolie en réalité que sur les vidéos, ou pourtant vous dévoilez tous vos trésors !
Je lui désignai Maxime comme mon petit ami, en lui disant que sa présence ne posait aucun problème. Ce monsieur qui cumulait aussi le rôle de metteur en scène et me présenta son assistant, David un gars aux allures de garde du corps. Il m’expliqua en quoi pourrait consister mon rôle si j’acceptais.
— Bon, alors voilà pour résumer, je ne vous cache rien. Nous faisons du cinéma érotique pour ne pas dire porno ! J’ai vu sur les vidéos qu’Alfred m’a montré que vous étiez plus que parfaite en tant qu’actrice. Nous faisons des clips assez courts, en essayant de ne faire qu’une prise de vue. Les tournages coûtent chers, dit-il en riant. Notre clientèle est surtout asiatique, arabe ou africaine et raffole de ce genre de vidéos où de jeunes et jolies blondes se retrouvent dans des situations difficiles, pour eux, c’est le summum de l’exotisme et de l’érotisme. Si en plus nous leur montrons en grand format, la pénétration sans préservatif, l’éjaculation interne et la jouissance non feinte de la jolie blonde, ils en raffolent et nous sommes sûr de vendre notre vidéo comme des petits pains. Pour cela, nous laissons nos acteurs s’exprimer librement, c’est beaucoup plus naturel ! Un vrai orgasme féminin et toujours bon à filmer ! Comme nous ne voulons pas de préservatif, nous demandons à tous nos acteurs un test négatif au VIH. Bien sur, le salaire est en conséquence de ce que nous demandons.
Je dois vous avouer que la plupart du temps votre ou vos partenaires parfois surprenants, ne sont en général pas au courant qu’on les filme. Nous leur faisons croire que leur rencontre avec vous est fortuite et nous attendons qu’ils prennent des initiatives, c’est un peu du cinéma vérité. Jolie et sexy comme vous êtes, ils ne devraient pas manquer d’idées, et vous devez jouer le jeu, vous soumettre à leurs désirs, si vous acceptez bien sûr ! Nous veillons à ce que nos actrices ne soient jamais maltraitées, David est toujours prêt à intervenir en cas de problème, mais certaines situations peuvent être très hard, comme se laisser entièrement dominer ou comme par exemple recevoir quelques légers coups de badine, peuvent faire parti du scénario, mais dans les clips qu’Alfred m’a fait visionner, j’ai vu que vous ne détestiez pas ce genre de circonstance.
— Euh ! pardonnez-moi, mais c’est de la prostitution déguisée que vous me proposez !— Mais non, Mademoiselle, pas du tout ! Nous sommes une maison d’édition cinématographique reconnue, sérieuse, tout à fait légale. Si vous acceptez, je vous demanderai par contre de signer un contrat comme intermittent du spectacle, qui vous engage et qui précise ce que je viens de vous dire, pour qu’il n’y est pas de malentendu ! Votre salaire sera soumis aux prélèvements sécu, urssaf, etc... Vous serez payée à la fin de chaque tournage.— Maxime me murmura doucement. J’avais raison, c’est vraiment du porno !
Le réalisateur m’annonça une somme qui suivant les tournages, me fit écarquiller les yeux. Il me tendit le contrat, c’était ce qu’il venait de m’expliquer. Me rappelant mes expériences passées, j’hésitai encore à apposer ma signature, je me dis qu’en plus d’être un petit peu nymphomane, je devais être aussi un tant soit peu masochiste, si j’acceptais. Voyant mon hésitation, il me dit.
— Vous avez, le temps de réfléchir. Maintenant pouvez-vous faire un strip-tease, nous pourrons ainsi juger de vos talents d’actrice.Vous voulez bien ?— Pourquoi-pas.
Il appuya sur un interrupteur, une lumière vive surgit d’un spot puissant. Une musique douce envahit la pièce. Ils s’assirent tous les trois pour profiter du spectacle.Je me mis face à eux, à environ deux mètres. Mes mains plaquèrent ma jupe sur mes cuisses, pour bien faire ressortir les lanières et les attaches de mon porte-jarretelles. Puis elles remontèrent jusqu’à mon pubis pour le caresser. Je les regardai d’une façon énamourée à tour de rôle de mes yeux bleu-vert. Me déhanchant lentement. Elles remontèrent jusqu’à mes seins, que je caressai. Avec mon index, je frottai mes tétons en cercles concentriques à travers mon chemisier diaphane, déboutonnai deux boutons pour leur laisser entrevoir mon soutien-gorge noir, entièrement transparent, on devinait mes aréoles brunes à travers les vêtements.
Puis je les redescendis lentement sur mes hanches, et à travers ma jupe, fis descendre mon string le long de mes cuisses. Lorsqu’il fut à mes genoux, je le laissai tomber sur mes pieds et me dégageai gracieusement de la petite culotte. Je relevai alors ma jupe doucement, dévoilant tout d’abord les attaches de mon porte-jarretelles, puis les lanières qui striaient ma peau bronzée. Je dévoilai juste le début de mes grandes lèvres pour leur montrer que j’étais rasée et laissai retomber ma jupe. Je lus de la déception dans les yeux du metteur en scène et de son assistant.
A travers mon chemisier bleu et transparent, je dégrafai mon soutien-gorge, et baissai les bretelles l’une après l’autre sur mes bras et extirpai mes mains. Je fis sortir le soutien-gorge par le devant du chemisier, mes tétons commencèrent à durcir. Mouillant mon majeur avec de la salive, j’en imprégnai le tissu sur les aréoles de mes deux seins. Le tissu se plaqua à la peau, la transparence fut accrue, on eut dit que le bout de mes seins passait à travers le chemisier. Je m’approchai des trois hommes la poitrine en avant, à hauteur de leurs yeux. Le manager tendit une main pour toucher, mais je me reculai malicieusement, en faisant non de mon index.
Je finis alors de déboutonner mon corsage et l’écartai très lentement sur mes seins, et l’ôtai. En les regardant langoureusement, je me pinçai et tirai les tétons pour bien les ériger, je savais qu’ils étaient très érectiles et que les hommes raffolaient de la longueur qu’ils pouvaient atteindre.
Je les regardai à nouveau, ils étaient très attentifs. J’attrapai une chaise et bien en face d’eux, mis un pied sur le plateau. J’écartai légèrement les jambes, ils pouvaient voir ma vulve béante. Je relevai ma jupe, dégrafai les pinces qui tenaient mes bas et les ôtai langoureusement, tout en leur laissant admirer mon vagin qui commença sous leurs regards, à devenir quelque peu moite. Je dégrafai ensuite ma jupe et la laissai tomber à mes pieds. Je m’approchai alors du vieux, il avait sorti son phallus et se masturbait calottant et décalottant son gland. Je me mis de dos devant lui.
— Voulez-vous ôter mon porte-jarretelles.
Il le fit d’une main tremblante. Une fois nue, il m’examina, me tenant aux hanches, me faisant tourner devant lui, s’extasiant sur mes seins, mes hanches, mes fesses, le galbe de mes jambes. Il ne tarissait pas d’éloges.
— Vous avez le sexe bien rasé dit-il, en le parcourant de la paume de sa main, c’est parfait. Votre clitoris se devine bien, il le chatouilla de son index, vous mouillez non ? Permettez que je vérifie ! Ouiiiiii, mon doigt est mouillé, c’est vraiment super, allez, habillez-vous. J’ai hâte de vous voir à l’œuvre. Si vous savez vous servir de votre corps merveilleux, comme j’ai pu le voir dans les vidéos d’Alfred, je crois que nous pouvons faire tomber le jackpot. Elle est vraiment canon votre amie Monsieur !
Tout d’un coup, je vis son visage s’éclairer.
— Bien dit-il, si vous êtes libre maintenant, nous avons une prise de vue aujourd’hui, vous pourrez remplacer si vous voulez, la personne prévue. Cela nous donnera une idée de vos capacités, et vous aurez ainsi un aperçu de ce que l’on attend de vous. Je vous paierez pour cela ! Ainsi vous serez plus à même pour vous décider à signer ou non votre contrat.
Un peu effrayée par cette demande impromptue, j’interrogeai Maxime du regard, il me fit oui de la tête, j’acceptai. Le metteur en scène me dit de revêtir les vêtements qu’il partit choisir, des bas, un porte-jarretelles en dentelle, un soutien-gorge très fin, un string diaphane, un chemisier complètement transparent, une jupe courte et des talons aiguilles. Les sous-vêtements et les habits étaient noirs, ma couleur fétiche.
Ils me firent descendre au sous-sol dans une pièce violemment éclairée.
— Nous allons vous mettre dans la situation exigée par le scénario. Je vais vous attacher, une personne va entrer, pour vous surveiller. Elle a le droit de s’amuser sexuellement avec vous et nous filmons vos ébats en camera cachée. Êtes-vous d’accord ?— Oui, dis-je avec un petit pincement au creux du ventre.
David lia mes poignets à deux cordelettes qui pendaient d’une poutre et passaient chacune dans une poulie. Le metteur en scène m’expliqua.
— Les caméras sont ici, là et là, ah oui ! Encore une ici, elles sont bien cachées, nous commandons leurs zooms. Cela nous permet de filmer en gros plan pour ne rien rater, doigter, pénétrations, fellations. Les micros captent le moindre soupir, m’indiqua-t-il. Nous allons faire entrer votre partenaire. Nous l’avons accueilli ici par une entrée secondaire et nous lui avons fait croire que nous avions kidnappée une jolie fille très riche pour avoir une rançon. Qu’il devait la surveiller, il pouvait s’amuser un peu sexuellement, avec elle, car elle est très jolie et il faut bien passer le temps et que le bon temps qu’il aurait passé avec elle, serait son salaire, il a une interdiction formelle de vous maltraiter. Il était très excité à cette idée. Ne vous inquiétez pas, David est là pour intervenir à tout moment. Avec votre ami, nous sommes à côté, je supervise le tournage sur un écran vidéo. Et nous sommes d’accord, pas de capote et éjaculation interne, si le sperme est déchargé dans la bouche, on déglutit et o l’avale.— Euh oui, dis-je avec un peu de réticence, ne sachant pas ce qu’il allait m’arriver.
Les habits de satin noir qu’il m’avait fourni, moulaient mon corps comme une seconde peau. A genoux, cambrée, mes bras tirés vers le haut faisaient ressortir mes seins, à peine contenus par les bonnets de dentelle, leur transparence laissait deviner mes aréoles et mes mamelons. Un bout de ventre semblait offert entre le chemisier et la jupe qui découvrait sur mes cuisses la bande de dentelle des bas et les attaches du porte-jarretelles, j’étais prête pour la suite. Ils me laissèrent seule.Je n’eus pas le temps de regretter la situation que je venais d’accepter, la porte s’ouvrit, d’un coup et tel un pantin surgissant de sa boîte, un nain entra. Noir comme de l’ébène, un mètre trente environ, des mains crochues. Ses traits étaient légèrement trisomiques. Il avait les jambes tordues.
— Alors tu es réveillée ? Ah, ah !! Je suis ton gardien, mais pas un ange... gardien !! Et je reste avec toi jusqu’à ce qu’on paye ta rançon, j’espère que ce sera le plus tard possible. Tu es superbe et on m’a donné la permission de faire joujou avec toi, pour passer le temps.
Dit-il, en me jetant des regards lubriques. Je me mis à remuer dans mes liens. En dandinant, il s’approcha de moi. Il se mit sur la pointe des pieds et d’une main me caressa les seins à travers le mince tissu du chemisier. De l’autre, il sortit son sexe, assez gros pour sa petite taille. Il me pinça les tétons, je remuai mon torse :
— Sale petit gnome ! L’insultai-je, — Oui, continue, c’est ainsi que tu me plais, regarde, tu me fais bander.
Il me montra son sexe turgescent circoncis, qu’il caressa doucement. Le nain passa derrière moi, il attrapa mon chemisier et en écarta les pans, en faisant sauter les boutons un à un. Mes seins jaillirent tout seuls hors des bonnets de dentelle, mes mamelons gonflés par ses caresses étaient aussi durs que son sexe. Puis repassant devant, il monta sur une caisse, s’étirant à nouveau, il fit entrer la pointe brune et gonflée d’un sein entre ses lèvres et l’aspira goulûment comme un enfant qui tète. Il les suça chacun leur tour, jusqu’à ce qu’il fut satisfait de la longueur qu’il avait donné à mes tétons, il se recula et les fit rouler entre ses doigts noirs et crochus, en les pinçant avec ses ongles acérés.
— Oh, putain ! Sa bouche commence à m’exciter, pensai-je. Ce n’est pas possible ! Je ne suis qu’une obsédée sexuelle. Mais dans l’état où je suis, je sens que je ne peux pas résister, que va penser de moi Maxime ? Je suis une petite salope, même les nains me font de l’effet maintenant. Une petite voix me souffla, mais oui, tu sais très bien que les hommes raffolent de voir une jeune et jolie blonde se faire baiser et surtout jouir avec un partenaire qui sort de l’ordinaire, qu’il soit obèse, laid ou même nain, comme celui-ci, en plus il est noir ! Ça t’excite de savoir ça !
Malgré ma réticence, effectivement cela commença à me stimuler plus que sérieusement, un mélange de désir et de répulsion me parcourut le corps, j’écoutai les propos malsains qui venaient de me traverser l’esprit, en me laissai couler dans l’abject. Les yeux globuleux du gnome se fixèrent sur la peau dorée de mon ventre largement dénudé du fait de mes gigotements.
— Sale porc lubrique, lui dis-je pour l’exciter. C’était sûrement ce qu’attendait le metteur en scène.— Tu fais la fière, hein ! Tu vas voir.
Sa main partit à la rencontre du renflement de mon sexe qui, du fait de ma position, se tendait vers lui, la chaleur de sa paume engloba mon pubis. En souriant, il attrapa ma jupe et la tira lentement vers le bas, fit apparaître le porte-jarretelles, puis le string diaphane qui glissa légèrement et découvrit le haut du petit triangle de duvet ras de ma toison blonde et bien épilée. Il descendit le vêtement avec une lenteur calculée, il la laissa choir sur le sol. Ce jeu morbide, sachant que l’on filmait et que Maxime n’en perdait pas une miette m’excita de plus en plus.
— Putain que tu es belle, petite Garce ! J’adore ta lingerie, je suis autant excité par le contenant que le contenu !— Non, arrête, pas ça !
Il s ’accroupit et attacha mes chevilles, il tira ensuite sur les cordes et mes jambes furent obligées de se séparer largement. Avec mes bras étirés vers le haut, mes jambes écartées, j’offris aux caméras un plan superbe sur mon intimité. Ça m’émoustilla de plus en plus et le string commença à laisser apparaître les traces de mon désir naissant, ce qui le rendit encore plus transparent et laissa deviner la fente de ma chatte.Le gnome noir se planta devant moi et ses yeux examinèrent mes seins offerts, mon ventre bombé, son doigt frotta le tissu humide du string.
— C’est bien Salope, tu mouilles, dit-il en enfonçant son médium dans mon orifice vaginal à travers le string. Tu aimes ce que je te fais, attends !
Il sortit de sa poche deux épingles à linge en acier, et en me disant que les pointes de mes seins avaient diminué de volume, il me les accrocha à la naissance des tétons, qui aussitôt sous la douleur se tendirent à nouveau.
— Ça te plaît, on dirait ! Dans la longueur, on ne peut pas faire mieux !!
Les poulies grincèrent. Je me retrouvai à genoux, mais le torse presque à l’horizontale, le dos presque parallèle au sol, les jambes toujours largement ouvertes. La position était vraiment inconfortable. Mais ainsi positionnée, je sentis les lèvres de mon sexe se séparer et celui-ci s’ouvrir lentement sous le string qui était maintenant complètement trempé par mon foutre. Le réalisateur devait faire un zoom sur mon intimité. Le gnome se mit à plat ventre entre mes cuisses, sa bouche à hauteur de ma vulve, sa langue vint caresser par de petits attouchements mon clitoris à travers le tissu du string. Puis il se débrouilla pour le baisser avec sa langue et ses dents, puis il arracha d’un coup sec le mince rempart et commença à mordiller mon petit bouton rose qui se gorgea de sang et devint dur, je ne pus pas retenir des gémissements de plaisir.
J’imaginai les milliers de gens qui allaient voir la vidéo, cela décupla mon excitation. Et puisqu’elle était principalement destinée à des noirs et à des Asiatiques, je voulus qu’ils bandent, se masturbent et éjaculent en me regardant sur ces images. A cette pensée mes hanches furent prises d’un mouvement convulsif, et j’imprimai à mon ventre un balancement lascif, en poussant de petits cris de jouissance, écartant le plus possible les cuisses pour leur faire profiter du spectacle. J’oubliai complètement la présence de Maxime. Je ne vis plus que des milliers d’hommes en train de se masturber en visionnant ces images. A ce rythme je sentis que ma délivrance allait arriver. Mais tout à coup, le nain cessa. Il voulait m’exciter jusqu’à ce que je le supplie de me faire jouir. Il repassa derrière ma tête, je fus frustrée ne pas parvenir à goûter au nirvana.
— Tes tétons sont de nouveau en berne.
Et il tourna les épingles à linge, j’émis un gémissement de plaisir. Il les repositionna bien à la base des aréoles, mes mamelons réagirent aussitôt et pointèrent largement au-dessus des petites mâchoires. Il se pencha, les saisit à tour de rôle entre ses dents, et se mit à me les mordiller assez fortement, pour me tirer des gémissements de plaisir teintés de douleur. Il quitta son pantalon et enjamba ma tête, je sentis ses couilles noires me caresser la figure.
— Lèche-les, m’ordonna-t-il.
Je m’exécutai, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspirai l’une après l’autre dans ma bouche, il grogna de plaisir. Puis il mit son phallus noir dans ma bouche. Il n’était pas gros et je l’avalai de suite entièrement. Il commença des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes, sa verge commença à avoir des contractions. Il l’enfila dans ma gorge jusqu’à sa toison bouclée et éjacula à grand trait dans ma bouche :
— Avale Salope, avale le sperme du nain... Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh c’est bon. Tu aimes les nains noirs, on dirait. Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme.
Il s’éloigna fouilla sur les étagères et revint avec en main un énorme et très long phallus violet.
— Regarde ce que j’ai trouvé dans un casier. J’ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire connaître le summum du plaisir.
Il me montra l’imposant engin, il était d’un diamètre énorme et orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vis qu’elles étaient flexibles lorsqu’ avec un rictus pervers, il en caressa la longueur. Il enfila le godemiché sur son sexe et l’attacha fermement autour de sa taille. D’un geste brusque, il arracha le string qui était saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guida le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le remonta jusqu’à l’orifice vaginal qu’il pénétra légèrement. Il recommença l’opération, plusieurs fois, chaque fois que le gland de l’engin arrivait à l’entrée de mon méat, je donnai un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant, mais il le retirait en souriant. Je gémis plusieurs fois de frustration. Puis il me pénétra doucement, je criai de délice et de souffrance, la grosseur de l’engin et les cornes me griffèrent les parois vaginales. L’extase et la douleur se mélangèrent délicieusement.
J’étais une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repensai aux futurs spectateurs et écartai les cuisses en poussant des cris de satisfaction.
— Ah, tu aimes ? Tu es vraiment une salope !
Il enfonça d’un violent coup de reins l’objet au fond de mon vagin. Je hurlai en me cambrant, cela me fit délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvraient davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu’il avait tout enfilé, ses poils crépus et rêches étaient autant de caresses sur mon bas-ventre.
— Aaaaahhh, oui, oui, encore, encore, n’arrête pas, hurlai-je.
J’avais honte que ce nabot puisse m’exciter autant, je me demandai ce que Maxime pouvait penser de moi. Mais je tombai dans la luxure, je ne fus plus qu’un sexe qu’il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s’accélérèrent, mes râles se mêlèrent aux halètements du nain. Chaque allée et venue lui ouvrit davantage le tréfonds de ma chatte ruisselante. Il me sembla que mon cœur tombait dans mon ventre. J’étais la victime consentante de cette protubérance. Le plaisir et une légère douleur se mélangèrent, je me laissai déborder par les premières vagues de ma jouissance, et ce fut ensuite l’orgasme qui déferla sur mon corps, je me cambrai en hurlant, le nain fut rejeté en arrière par la violence de mon spasme. A toute allure, il ôta le sexe factice, et tandis que je jouissais, il enfila son sexe dans ma chatte palpitante et éjacula en criant de bonheur, son sperme tiède inonda mon vagin.
— Putain dit-il, toi lorsque tu jouis, tu ne fais pas semblant !
Sur ces mots, la porte s’ouvrit le réalisateur entra, ayant eu ce qu’il voulait, l’éjaculation du nabot noir dans la jolie blonde et ma jouissance devant les caméras.
— Ça va William, dit-il au nain, nous reprenons le contrôle de la situation, la rançon a été versée, tu peux partir.
Le nain se rhabilla, et en me jetant un regard envieux et triste, sortit de la salle tandis que le producteur me déliait.
— C’était super Trixie, un léger mixage et nous pouvons le mettre sur le marché. Voici votre argent, le montant convenu. Alors ça vous a plu ? Vous signez ? Je vais vous donner une copie du DVD. Voilà votre argent, il me tendit une liasse de gros billets.— Ben dis donc me dit Maxime. En taille, c’est le contraire de Gérald, mais il t’a drôlement fait jouir le gnome. Tu t’es éclatée petite Salope, j’ai bien vu que ce n’était pas du cinéma. Je me suis branlé en le regardant te baiser ! Tu me donneras une copie du DVD  !!— Je ne sais pas toujours pas, répondis-je au réalisateur, j’aimerai bien. Il y a pas mal d’argent à gagner en effet. Mais je ne voudrais pas perdre mon job, si je pouvais tourner le week-end ou pendant les vacances. Peut-être. Essayez de voir si c’est possible et renvoyez moi par mail le nouveau contrat.
Quelque temps après, mon téléphone portable sonna.
— Alors Trixie, êtes-vous décidée à signer ce contrat. Si vous voulez, je vous propose de tourner une nouvelle vidéo. La première a été un succès fou ! Les clients ont adoré voir la jolie blonde se faire baiser par le vilain nain noir, l’argent est rentré à flot. Vous pourrez ainsi vous rendre compte de ce je vous demande, avec ce nouvel essai !— C’est vrai la vidéo a été un succès ?— Oui, les DVD sont partis, comme des petites pains.— La prochaine est du même genre ?— Euh, pas tout à fait, ce serait presque le contraire. Avez-vous signé le contrat ?— Oui, je vous l’apporte.
Il avait piqué ma curiosité au vif, et donc, j’acquiesçai à sa proposition. Le samedi matin, jour du tournage, le vieux metteur en scène m’expliqua le scénario primaire. Je serai l’enjeu d’un combat clandestin, entre deux lutteurs. Celui qui gagnerait le combat pourrait passer un long moment avec moi, j’étais la récompense sexuelle. Et que dans l’après midi, si j’étais d’accord, nous pourrions tourner une seconde vidéo.
Cela se passait toujours dans le sous-sol de la maison de production. On me lia les poignets et il furent attachés à un pilier. La corde était assez lâche pour que je puisse le saisir à deux mains et en faire le tour facilement. Ce poteau se trouvait à cinq ou six mètres d ’un cercle rempli de sable qui faisait environ dix mètres de diamètre. Le tournage nécessitait une lumière crue. On m’indiqua l’emplacement des cameras, il y en avait beaucoup, au plafond, sur les côtés, au ras du sol. Je me dis que le premier film avait eu beaucoup de succès le producteur m’avait montré le nombre de vidéos vendues ! Et cela ne me laissa pas indifférente. Cette pensée m’excita légèrement. Le sentiment que je devenais une vrai salope, traversa mon esprit.
La porte s’ouvrit, précédés par un petit asiatique, deux géants firent leur entrée, des lutteurs de Sumo. En effet c’était diamétralement opposé au niveau taille du nain noir de la vidéo précédente ! Le plus grand devait mesurer plus de deux mètres et avoisiner les 200 kg. Ses biceps étaient aussi gros que mes cuisses. La graisse des deux combattants ne pendait pas mollement. Ils étaient musclés. Ils arboraient un chignon sur la tête. Le second était nettement plus petit. Le petit arbitre les conduisit devant moi. Je sentis, tandis qu’ils s’inclinaient pour me saluer, les yeux du plus gros, m’étudier attentivement, cela accru mon émoi naissant.
Ils étaient vêtus d’une bande de tissu serrée autour de la taille et de l’entrejambe qui laissait leurs fesses découvertes. Ils se mirent face à face dans le cercle, et après un rituel rapide, l’arbitre donna le départ du combat. Celui-ci fut violent mais bref, après quelque affrontements brutaux, le plus petit fut projeté hors du cercle. Ce devait être un figurant payé par la production, car ce n’était pas le combat qui était important, c’était ce qui allait suivre !
L’arbitre s’inclina devant le vainqueur et ordonna au vaincu de sortir. Puis sûrement en japonais et en me désignant du doigt, il parla au géant dans un dialecte étranger.Ils se dirigèrent vers moi, l’arbitre indiqua qu’il devait rester pour voir si tout se passait bien. La montagne de chair graisseuse s’approcha de sa récompense faisant retentir les murs et le sol d’un pas pesant. Il passa derrière moi, attrapa mon chemisier et de le déchira dans le dos, puis sans effort il fit subir aux manches le même sort, lorsque les lambeaux tombèrent sur le sol, cela me donna la chair de poule. Dans mon dos il attrapa à deux mains l’attache de mon soutien gorge qui céda, je frissonnai et cette brutalité accentua ma chair de poule. Il se positionna devant moi, ses yeux se posèrent sur mon corps, il en contempla d’un air connaisseur chaque détails avec attention. Il admira mes tétons durcis qui pointèrent fièrement hors des bonnets. Il fit descendre les bretelles sur mes poignets libérant mes seins de leur écrin de dentelles, les déchira elles aussi. Me faisant tourner, il glissa ses mains sous ma jupe et lentement découvrit mes fesses. En mauvais français, il me dit qu’il adorait les sous vêtements des européennes.
Tout en caressant mes fesses il commença à baisser mon string, puis d’un seul coup, il le déchira lui aussi. Je commençai à être extrêmement excitée par ce petit jeu. Des gouttes de foutre perlèrent à l’entrée de mon vagin. Il me quitta lentement la jupe, ne me laissant que mes bas, mon porte-jarretelles et mes talons aiguilles. Une boule commença à me tordre le ventre, de l’excitation mêlée à de l’appréhension, ce ne fut pas désagréable.
Il se mit alors face à moi, et commença à ôter la bande de tissu qui lui servait de culotte. J’avais entendu dire que ce genre d’homme avait de tout petits sexes, tout au moins loin d’être en rapport avec leur corpulence. Ce que découvris au fur en mesure que son bas ventre se dénudait, mit à mal mes certitudes. En me regardant et avec un léger sourire, il laissa choir sonmawashi, Il s’était rasé les poils pubiens. Sa bite gigantesque pendait entre ses jambes, la pointe affleurait ses genoux, ses couilles étaient grosses comme des oranges. Il les caressa, et passa sa main le long de l’immense cylindre, décalottant son gland, comme pour me le faire admirer. Mon acteur noir préféré Mandingo était battu. Il passa derrière moi, me saisit aux jambes et comme un fétu de paille me mit les cuisses sur ses épaules.
Je me calai, en saisissant le poteau des deux mains. Ma vue surplombait sa bite monstrueuse qui pour l’instant pendait toujours. Il approcha sa bouche de mon bas ventre. Le bout de sa langue, se positionna sur le bas de ma fente, ses mains attrapèrent mes seins, et il commença à me triturer les tétons, je me mis à gémir et à me tortiller. Cela dut l’exciter car sa bite commença sa lente ascension. Je la vis grossir et s’élever, elle dépassa l’horizontale son gland arriva plus haut que son nombril. Cette métamorphose déclencha une coulée de foutre dans mon vagin, je le sentis ruisseler le long ma fente ou la langue du géant avait commencé sa douce remontée. Il lapa puis aspira mon liquide intime.
— Mmmmmhhhhuuuummm... La femme blanche bon goût !!
D’une main il me dégagea le clitoris, avec de petits coups de langue il le fit bien saillir, et durcir, j’étais au comble de l’excitation. Il l’aspira, puis me le mordit doucement, je hurlai de plaisir. Sa langue redescendit, elle écarta mes petites lèvres et s’insinua dans ma vulve. Elle était au moins aussi grosse que le phallus d’Albert mon colocataire. Elle s’enfonça dans mon vagin, il effectua des mouvements de va et vient qui me rendirent folle. Je regardai sa queue, elle était tendue en arc de cercle, rigide, beaucoup plus grosse que mon poignet, du liquide pré-éjaculatoire suintait du gland. Je descendis mes mains le long du poteau, enfournai son énorme gland brun dans ma bouche, et aspirai le liquide visqueux. Il eut un cri de plaisir, mais ne me laissa pas aller plus loin, il me descendit de ses épaules, me courba en avant. Il positionna sa bite à l’entrée de ma vulve.
Il se tortilla émettant de petits gloussements, une énorme grosseur se frotta contre mes cuisses glissant vers l’entrée de ma chatte. D’une poussée constante, il entra son gland sans trop de difficulté. Mais pour aller plus loin, vu la grosseur de son engin, il eut quelques difficultés, pourtant mon sexe ruisselait abondamment. Je contractai les muscles de ma vulve plusieurs fois, mes petites saccades aspirèrent l’immense rouleau de chair. Je l’entendis grogner, il avait l’air d’apprécier mes mouvements internes.
Sa bite progressa lentement, il donna un violent coup de rein, et elle entra d’un seul coup, il avait atteint le fond de mon vagin . Le mouvement de ses va et vient s’accéléra progressivement. Des vagues de plaisir semblèrent le submerger, il haleta comme un bœuf. Il n’avait jamais du baiser comme ça avec une femme surtout une blanche. Je le sentis prêt à jouir. A la pensée que des spectateurs allaient visionner cette scène, on eut dit que de la lave en fusion s’accumulait dans mon ventre, mon plaisir arriva à la vitesse grand V.
Avec un cri rauque, il enfonça sa bite, se calant au fond de ma ma vulve, ses mains griffèrent la ceinture de mon porte-jarretelles, et il éjacula avec de terribles et interminables soubresauts dans mon ventre, j’explosai avec lui, criant ma jouissance, mon corps se tétanisa, mes muscles internes lui enserrèrent avec force le pénis, ce qui lui déclencha de nouveaux spasmes et des rugissements de plaisir. Haletant, toujours en moi il se figea, léchant mon dos à grands coups de langue.
Puis, l’arbitre, qui s’était masturbé pendant la scène, vint éjaculer sur moi, et lui signifia qu’il fallait partir. Ils sortirent de la pièce.
— Putain, c’était parfait Trixie, dit le metteur en scène, en s’approchant. C’était trop excitant, tu me rends fou.Laisse moi, laisse moi te baiser, s’il te plaît je n’y tiens plus.
J’étais toujours attachée, il passa derrière moi, me saisit à la taille il avait la respiration saccadée et une toute petite bite chercha l’ouverture de ma chatte. Il s’enfonça d’un coup sec il me besogna à toute vitesse une quinzaine de fois puis sa semence se mélangea à la quantité phénoménale de sperme que le sumo avait déversé en moi.
— Pardonne moi, mais je n’ai pas pu résister, tu es merveilleuse ! J’espère que tu vas signer ce contrat. Tu veux bien que cet après-midi nous filmions la seconde vidéo. Pour ce qui est de l’histoire en gros, nous allons tourner les aventures sexuelles d ’une passagère clandestine se faisant surprendre sur un bateau. Pour pousser le côté porno à son paroxysme, car il faut que les spectateurs puissent vivre l’action comme si c’était eux, tes trois partenaires ont été recrutés sur le quai, il y a un coréen, un camerounais et un marocain. Je crois que les grosses bites ne te font pas peur. Ils ont toute latitude pour abuser de toi. Toute violence étant bien sûr exclue ! Et toujours sans capote.— Oui, mais s’il ont le...— Sida ! Tranquillises toi, je leurs ai fait passer un test VIH, je peux t’assurer qu’ils sont clean, et d’ailleurs, ils n’éjaculeront pas en toi, je les ai prévenus. Mais il faut que le viol ait l’air bien réel.
Après avoir pris un délicieux repas, le metteur en scène me conduisit au studio, le décors représentait une grande cabine de bateau.
— Voilà, Trixie es-tu prête ? Silence on tourne !
Les trois hommes avaient tous des faciès patibulaires. Ils étaient vraiment laids, ils m’entourèrent en ricanant,tournant doucement autour de moi, alléchés par ce qui allait suivre. Leurs bouches étaient tordues par le désir, leurs yeux étincelaient de convoitise. Ce n’était pas tous les jours qu’ils pouvaient se taper une jolie blanche blonde en toute quiétude. La toile de leurs pantalons était tendue à hauteur de leurs sexes. Une sorte d’onde de plaisir malsaine, me traversa le ventre, je réagis malgré moi à cette situation qui m’excitait à nouveau.
— Alors, on t’as débusquée. Que viens-tu faire sur ce bateau. Que cherches tu ? Ou vas tu ?— Elle doit chercher trois types bien montés comme nous ! Regarde ma bite. Petite Salope.
Les trois hommes exhibèrent trois queues vraiment imposantes, le cercle se resserra, l’un d’eux attrapa le haut de ma robe et tira d’un coup sec, elle se déchira entièrement. Je lu l’étonnement dans leurs yeux. Le réalisateur ne les avait pas prévenu, de ma tenue vestimentaire.
— NOOOONNNN, nooooonnnn, ne me touchez pas, laissez moi tranquille, nooonnnnn !— Putain, la salope de blanche, elle a des bas et un porte- jarretelles, un vrai trésor cette nana.— Oui, elle est à poil dessous, elle n’a même pas une culotte pour cacher sa chatte.— Elle est complètement rasée, mais regardez c’est une vraie blonde cette garce ! Et je n’ai jamais baisé une blanche. Et vous ?— Moi non plus, cette jolie salope, en bas et porte-jarretelles m’excite.
La vue de leurs sexes et leurs réflexions m’excitèrent aussi ! Le coréen m’attrapa les bras et me les tira dans le dos, pour faire saillir mes seins. Je me débattis en hurlant à plein poumons. Sa queue raide comme un morceau de bois se frotta dans la raie de mes fesses. Les grosses mains du noir se mirent à me caresser les nichons, ce qui eut pour effet immédiat de faire dresser les pointes de mes seins, et durcir mes deux globes laiteux.
— Cette petite grue, a les seins qui réagissent au moindre contact, regardez ses mamelons !! Je me demande si sa chatte répond aussi vite ? Amhed regarde si elle mouille !
Les grosses lèvres du camerounais se refermèrent sur mes mamelons, sa langue lécha mes aréoles.Inconsciemment ma poitrine se tendit vers cette bouche gourmande. Mais je continuai à les supplier de me laisser tranquille, en gigotant comme une furie, comme le voulait le metteur en scène, le public qui verrait la vidéo voulait voir la jolie blonde se faire violer ! Il fallait le satisfaire !
Le coréen me pencha vers l’avant sa bite essaya de forcer mon anus, mais la position s’y prêta mal. A genoux devant moi, le dit Ahmed, posa ses mains sur ma peau nue au dessus de mes bas et remonta lentement le long des lanières tendues. Je refermai mes cuisses, en me forçant à pleurer. Mais je sentis que ma chatte commençait à devenir moite. Un peu violemment, il écarta mes jambes. L’intrusion de deux doigts accéléra le processus d’humidification. Comme si j’abandonnai la partie, je poussai réellement un long gémissement de plaisir, autant dut au mordillement de mes mamelons tendus et gorgés de sang qu’a la pénétration digitale et à la caresse de mon clitoris par le pouce du marocain.
— Putain, oui les mecs, cette petite pute blonde coule comme une fontaine. Regardez, mes doigts ils sont trempés de son foutre. OOOuuuuaaaahhhhouuuu, il est délicieux je n’avais jamais goûté celui d’une blanche, divin ! Qui veut sucer mes doigts. Tu aimes ça, hein Salope quand j’enfonce.ma main ! Alors tu réponds ?— Ou.... ouuuiiii. Pl.... plus... plus profond... lui répondis-je l’air effrayée.
Il accéléra la cadence entrant toutes ses phalanges et en ajoutant son annulaire et son auriculaire. Puis sa langue entra en action. Le coréen réussit à entrer la moitié de son gland dans mon trou intime, mais le reste malgré ses efforts ne suivit pas. La grosse queue noire du camerounais oscilla devant moi, je l’attrapai et prise au jeu, enfournai le gland mauve entre mes lèvres, puis ma bouche glissa le long de la hampe noire.Au bout de quelques aller et retour, il se dégagea, quitta son pantalon et bouscula le marocain, se coucha entre mes jambes, sur le dos, son énorme bite pointa vers le plafond et sembla défier la pesanteur.
— Allez, enfile toi sur ma queue, gronda-t-il. — Oooooohhhh, elle est grosse ! D’un air apeurée, je l’enjambai.

J’étais face à la grosse caméra fixe qui filmait ma chatte béante et ruisselante en gros plan, un autre cameraman tournait autour de nous filmant les plans rapprochés. L’asiatique me saisit aux épaules et me força à m’accroupir. Je pris conscience d’un seul coup que seules nos respirations saccadées et le ronronnement des caméscopes trouaient le silence. Je regardai les hommes derrières les caméras, ils avaient tous l’air subjugués par la scène qui se déroulait et leurs respirations semblaient suspendues à la disparition de l’énorme mandrin noir dans ma chatte.
J’imaginai alors, les milliers d’hommes qui allaient voir la vidéo, cela décupla mon excitation. Et puisqu’elle était destinée à des noirs et à des asiatiques et des arabes , je voulais qu’ils bandent, se masturbent et éjaculent en me regardant sur ces images, moi,Trixie la super jolie blonde subir cette triple pénétration interraciale. A cette pensée, tout en regardant langoureusement l’objectif, je m’empalai lentement jusqu’à ce que les vingt cinq centimètres du monstrueux phallus noir soient entrés en moi. Puis mes hanches furent prises d’un mouvement convulsif, et j’imprimai à mon ventre un balancement lascif, en poussant de petits cris de jouissance, écartant le plus possible les cuisses pour leur faire profiter du spectacle, un sentiment de triomphe envahit mon cerveau.
— Voilà, c’est bien, mets-toi à genoux et tu te penches bien, pour que je puisse profiter sans problème de ton cul. Attends, là tu sens bien ma bite prête à entrer dans ton petit trou. — Ouuuiii monsieur, je la sens mais arrêtez. Ne me sodomisez pas à sec elle est trop grosse.. Ça va me faire mal.— Tssss, tsssss. ! Tu vois j’en ai déjà rentré les deux tiers, et tu as l’air d’aimer ça Salope, regarde ma grosse bite entre et sort sans difficulté. Eh, Amhed, arrête de te masturber, tu ne vas pas nous regarder la besogner, il y a encore un trou de libre !— Ne vous inquiétez pas pour moi les gars, j’arrive, allez ouvre ta bouche ma jolie !
J’aspirai le pieu circoncis, au bout duquel des gouttes de liquide pré-éjaculatoire perlaient déjà. Maintenant je ne jouai plus la comédie, ils me prenaient avec fougue, ils n’avaient jamais été à pareille fête, baiser une superbe blanche, blonde comme les blés, ils réalisaient sûrement leur fantasme le plus fou ! Cette étreinte interraciale sauvage, me tira réellement des cris de plaisir. Mon corps réagit aux sexes qui me pourfendirent, des frissons me parcoururent de la tête aux pieds. Je m’abandonnai au plaisir qui montait. Je ne sais pas combien de temps ils mirent pour décharger leur semence, ce fut d’abord le coréen qui explosa, il s’enfonça jusqu’ à la garde dans mon cul, il se vida en cinq contractions énormes et se retira d’un seul coup comme tiré avec force vers l’arrière, remplacé aussitôt par la bite du marocain qui aussitôt entré avec un grand cri déversa son foutre.
Je jouis à mon tour, mes muscles vaginaux se contractèrent autour de la bite du noir, qui éjacula longuement son sperme tiède au fond de ma chatte. L’orgasme déferla sur moi, mon corps se tendit en arc de cercle et un puissant cri de jouissance jaillit de ma gorge. Je n’avais pas feint ma jouissance, j’espérais que ceux qui achèteraient la vidéo en seraient conscient et j’étais contente de moi.
— Putain superbe, cette gonzesse et une vrai pro, je ne la croyais pas capable de tourner une scène aussi réaliste, s’exclama un cameraman.— Eh les joyeuses pipelettes arrêtez de commenter mes exploits, avant de commencer la scène, il me semble avoir entendu le Boss dire que vous ne deviez pas jouir en moi...— Ou, oui, mais tu es si belle, c’est la première fois que nous baisons une super jolie blanche. C’était tellement grisant et tu étais tellement excitée, que nous n’avons pas pu nous retenir.— Allons, ce n’est qu’un détail. C’est moi qui leur ai demandé, d’éjaculer leur sperme leur en toi. Ainsi comme je te l’ai déjà expliqué les acheteurs qu’ils soient noirs, jaunes, ou arabes peuvent fantasmer sur la superbe blanche, c’est un peu comme si c’était eux qui éjaculaient dans ta jolie chatte et la valeur marchande du DVD est multipliée par trois.
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