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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 15

Le fantasme chevalin d'Alfred

Zoophilie
C’était quelque temps après la séance de réalité virtuelle.
— Au fait Trixie, l’autre jour tu as dit que tu faisais souvent un rêve récurent, le vieux Louis te faisait prendre par son bouc ! Te connaissant n’aurais-tu pas fait cette expérience ?— Oh non, c’est immoral et d’abord Louis n’a pas de bouc, mais un poney !— Le philosophe et auteur Peter Singer, qui milite dans les mouvements pour les droits des animaux, affirme que le sexe homme-animal n’est pas intrinsèquement immoral. Et ne serais-tu pas tentée par ce genre de pratique ? Tu acceptes sans problème les bites super grosses, Victor Gérald et surtout Bisimwa Traoré en sont la preuve, et j’ai pu voir dans la séance de réalité virtuelle que tu as pris ton pied avec le gorille ! Et moi, je raffolerai de te voir baiser par un poney et sa grosse bite, je sais, je deviens de plus en plus pervers, mais tu me rends fou !— Quand même Alfred tu me demandes un acte zoophile là ! Et même de bestialité ! La réalité virtuelle comme son nom l’indique, c’est virtuel !— Après ta prestation dans la vidéo VR, j’ai potassé un peu la question. La zoophilie est acceptée dans certaines sociétés, les Indiens Hopi, Eskimo Copper, Kusaians, Masai, Riffians, Fez. Les hommes ont des relations sexuelles avec des chiens, des chevaux, des ânes, des moutons, et même des poules. La bestialité était fréquente dans les tribus indiennes comme celles des Indiens Hopi. Voget décrit la vie sexuelle des jeunes Amérindiens comme « très inclusif », y compris la bestialité. En outre, les Inuits du Cuivre n’avaient apparemment pas d’aversion pour le sexe avec des animaux vivants.— Oui, mais quand même !— Cela me ferait énormément plaisir. Enfin....
Quelque jours après, il me convoqua avec Victor dans le living-room. Sur la table, un paquet attendait d’être ouvert.
— Voila ce que j’ai acheté, et je voudrai bien l’essayer ! Dit-il en déballant le colis. Voilà, c’est un gode de cheval silicone liquide. Comme vous voyez, c’est très bien imité. Des reliefs de veines et de gland viennent s’ajouter à sa large stature et qu’il devrait te satisfaire de la meilleure des façons à chaque va-et-vient, Trixie. Il est fabriqué en silicone liquide pour un rendu des plus réalistes et une grande souplesse, il s’adapte ainsi parfaitement au corps de l’utilisatrice.
Son diamètre de 7,6 cm et sa longueur insérable de 27,5 cm, au total, il mesure 30,0 cm. Regardez le gland rose, le début de la hampe crème et la base brune, on dirait une vraie bite chevaline.Bien, dit-il avec un large sourire, en attendant le sexe du poney de Louis, Victor voulez-vous bien faire jouir mademoiselle Trixie avec ce jouet.
— Ooohhhhhhhhhh Alfred, tu as de la suite dans les idées, mais bon pour te faire plaisir, je veux bien essayer ton acquisition ! Dis-e en m’allongeant sue le canapé recouvert d’un drap.— Dois-je retirer la nuisette de mademoiselle ? Demanda Victor excité.— Oui, juste avec les bas et le porte-jarretelles c’est plus érotique, tenez, avant de commencer, vous lui mettrez ce lubrifiant et ce stimulant pour clitoris.— Veux-tu écarter les cuisses ! Voilà, c’est bien, dégage ton clito que je l’enduise de crème, attend, ils dise qu’il faut le masser, voilà... Oh putain il grossit déjà ! Ecarte tes lèvres que je te badigeonne la chatte avec le lubrifiant, très bien ça ! De te tripoter ça me fait bander ! Monsieur, je crois que vais lui faire un doigter pour bien étaler le lubrifiant, avant de la pénétrer avec le dildo !— Faites Victor, faites comme bon vous semble !— Tu sens mes trois doigts ? Je les tourne, làààààà c’est bon hein ! Je vais entrer mon petit doigt, maintenant mon pouce, tu aimes ?— Hooooooooooooo oui, c’est bon, va doucement, enfile ta main.— Tu crois ?
— Oui, Bisimwa le gynécologue me l’a déjà fait, c’était bon, et puis tu as vu le diamètre du godemichet ! Ouiiiiiiiii laaaaaaaaaaaaaaa, c’est bien bouge d’avant en arrière, putain elle glisse bien, enfonce, enfonce encore un peu ! Titille moi encore un peu le clitoris ce stimulant est divin.— Victor ce n’est pas ainsi qu’il faut la faire jouir, c’est avec le gode chevalin !— Bien Monsieur, dit le domestique en ressortant sa main couverte de foutre et de lubrifiant.
Il ses saisit du godemichet, et approcha le gland de mon orifice vaginal.
— Ecarte tes lèvres avec tes doigts dit-il en me caressant le clitoris avec son majeur.
La grosse tête rose commença avec quelques difficultés à glisser dans ma chatte. Le gland entra entièrement.
— Ça va, je peux continuer ?— Ouiiiii, doucement, enfonce, enfonce le, ça glisse bien.— j’en ai entré plus de la moitié !— Victor, il faut tout enfiler ! Ordonna Alfred, le poney ne s’arrêtera pas en chemin !— Ecarte un peu plus, voilà Monsieur, les 30 centimètres sont entrés. A t’entendre gémir Trixie on dirait que tu aimes ça ! Ton clito est dur comme du bois !— Ooooohhhh, ooouiiii, c’est bon ! Fais des vas et viens, oui lààààààà !!— C’est bon Salope ! Tu adores ça, veux-tu que j’accélère la cadence !— Oui, oui, plus vite, plus vite ! Hoquetai-je, Oh putain que j’aime cette grosse bite, encore, encore, tu vas me faire jouir.

Alfred s’approcha, il se mit à me caresser les seins, tirant, griffant, mordillant mes mamelons.
— Alors petite Salope, j’avais raison tu prends ton pied avec cette grosse bite ! Tu devrais aimer celle du poney de Louis. Allez dis moi que j’ai raison ! — Oooooohhhh ouuiiiii ! Victot fais moi jouuuuiiiiirrr, Ouuiiii Alfred tu as raison j ’aime.... Ohhh putain je jouiiiiiiiii !— Alors dit Alfred, on va aller voir Louis.— Si, si tu veux balbutiai-je le cerveau englué dans les brumes de ma jouissance.
Alfred ne perdit pas de temps et prit rendez-vous avec le vieux fermier.
— Bonjour Louis, toujours aussi gaillard ?— Oh que oui ! S’il faut vous rendre service avec mademoiselle Trixie, je suis doublement partant !— Ce n’ai pas de vous dont il s’agit, mais Trixie m’a dit que vous avez un poney et....— Ah oui, je me souviens, elle m’ a demandé si j’avais un bouc, cela m’avait semblé bizarre, mais je commence à comprendre ! C’est une sacré coquine, que vous avez la  ! Tu serais prête à essayer ?— Pour faire plaisir à Alfred... c’est envisageable !— Vous seriez d’accord Louis ? Demanda Alfred excité par ma réponse.— Putain oui, à condition d’être présent.— Aucun problème dit Alfred au contraire, vous avez l’habitude des saillies ! On peut voir la bête.
Le vieux fermier nous emmena dans une partie du hangar ou il y avait un box d’environ douze mètres carré . Il contenait un poney blanc d’environ un mètre scinquante au garrot, il était mignon avec sa grande crinière et sa queue touffue bien peignées, il avait l’air très bien entretenu, son poil brillait, sa litière était propre et épaisse.
— Voila la bête, il n’est pas très grand, il est très gentil, mais pour ce que vous voulez faire, il n’est pas dressé. Il faudra que Trixie vienne plusieurs fois, d’abord pour qu’il s’habitue à elle, et ensuite pour lui apprendre ce que vous voulez qu’il fasse. C’est un très bon reproducteur, dit-il en rigolant et en faisant un clin d’œil à Alfred !— Alors Trixie, es-tu toujours prête pour l’expérience ? Me demanda Alfred.— Tu sais que je ne suis vraiment pas chaude ! Et puis quelle est la grosseur de sa bite ?— Oh ça, je vais te montrer, dit Louis, il a l’habitude que je lui lave le sexe, il n’y a pas de problème.
Nos pénétrâmes dans le box, il se pencha saisi le fourreau du sexe du poney, le tira en arrière, la phallus s’étira. Tout d’abord on aperçut le gland légèrement noir, plus gros que le reste du sexe puis un tuyau rosâtre. Le gland ressemblait au chapeau d’un champignon. Il était en tous point semblable au godemichet acheté par Alfred, peut être un peu plus gros et la longueur avoisinait les 40 cm.
— Alors Trixie, elle te plaît sa bite, dit Louis en riant, elle est un peu plus longue quand il bande !— Pour moi, elle est parfaite, et toi Trixie répondit Alfred !— Je ne sais pas pourquoi, je t’obéis, tu me demandes de faire des choses que la morale réprouve, et moi en grande salope que je suis, j’accède à tes désirs !! Mais je dois reconnaître que bien souvent, j’aime ça ! Je ne dois pas être normale.— Caresse lui la bite, me dit Louis.— Oui Louis, vous avez raison, mais Trixie veux-tu te déshabiller et ne garder que tes bas et ton porte-jarretelles, nous aurons un aperçu de la Belle et la Bête. Oui, c’est bien ! Frotte toi les seins contre lui.
J’acquiesçai à son désir, puis je flattai d’abord les flancs du cheval, et saisis le rouleau de chair rose. Ma main fit juste le tour de la hampe, elle était chaude, vivante, c’était totalement différent de la froideur du gode factice. Je fis glisser ma main plusieurs fois le long du sexe monstrueux, le poney tourna sa tête vers moi et me fixa avec de grands yeux doux.
— Parfait dit Louis. Le contact avec l’animal à l’air de te plaire, regarde les bouts de tes seins sont en érection ! Il va falloir que tu viennes trois ou quatre fois, avant qu’il soit au point ! Je t’attends demain ! Tu te mettras comme maintenant avec ton porte-jarretelles, tes bas noirs et tes talons, je t’adore dans cette tenue. Mais approche, fais voir que je vérifie quelque chose ! Oh putain Alfred, elle mouille vachement, regardez mes deux doigts, ils dégoulinent de son foutre.
Le lendemain habillée comme demandé, je me présentai à la ferme .
— Alors petite Salope, tu veux vraiment te faire baiser par le poney ? Oui, car tu ne serais pas là !— J’hésite, mais cette expérience me tente, oui je sais je suis une perverse... Mais toi aussi, tu aimes que soit ainsi. Je suis sûre que tu vas t’éclater !— Oh que oui, j’en redemande, dans les films de zoophilie, les filles ne sont jamais aussi jolies que toi ! Voir baiser ton corps parfait par le poney, m’excite à un point que tu ne peux pas imaginer ! Regarde, je bande rien que d’y penser ! Allez viens, allons voir ton nouvel amant !
Arrivée près du box, une appréhension me tordit le ventre, mais « alea jecta est » me dis-je.
Il me demanda d’abord de bien vouloir me coucher le dos, sur la table. Il la positionna mes fesses au bord, les jambes pliées, mes talons aiguilles en appui sur le sol. Il m’approcha les poignets des anneaux vissés sur le meuble et les attacha assez solidement. Je ne pus ainsi presque plus bouger. Il me regarda en souriant. Je me demandai quel était ce nouveau jeu.
— Tu m’as bien dit que tu aimais être attachée, et que tu aimais les grosses queues ! Tu vas être servie petite salope !
Il ôta son pantalon et sa chemise, il était nu. Je le regardais, c’est vrai qu’il était laid, avec ses jambes maigres, ses poils blancs encadrant son sexe monstrueux, tout juste moins gros que celui du poney, sa poitrine émaciée couverte elle aussi de poils blancs, son crâne presque chauve, et sa figure de fouine. Mais il m’avait fait énormément jouir plusieurs et c’était cela qui comptait.Il était nu debout à côté de moi, comme la table était basse, il me dominait. Il défit la fermeture éclair de ma jupe, et commença à la tirer lentement vers le bas. Mon sexe épilé, encadré par mon porte-jarretelles noir se dévoila doucement, le vieux ne se pressa pas, il savourait le spectacle, dénudant lentement ma chatte rasée. La jupe glissa jusqu’au chevilles.
— Tu as des jambes merveilleuses, dit-il , en faisant remonter sa main le long de celles-ci, en les caressant doucement, il effleura la fente du sexe avec son majeur. Ta chatte est une splendeur !
Tu mouilles drôlement, c’est vrai que tu aimes être attachée ! J’adore ton porte-jarretelles .Il y passa les mains dessous et caressa la peau nue. Puis ses mains remontèrent sous le tee-shirt et dégagèrent mes seins, qu’il pétrit longuement.
— Ton soutien gorge est extra lui aussi .

Puis il délaça les deux bretelles du tee-shirt et fit glisser le vêtement vers le bas. Il s’allongea sur moi, cherchant ma bouche et frottant sa queue qui était devenu raide et énorme, contre la fente de mon sexe, sans chercher à me pénétrer. En tenant sa bite d’une main, avec le gland, il me caressait le clitoris. Cela m’excita de plus en plus. Mon foutre coula sur mes cuisses. Il se releva, écarta mes jambes et enfourna ses quatre doigts dans ma fente ruisselante, il les fit tourner dans ma chatte, ensuite il joignit le pouce et il commença à enfoncer doucement sa main à l’intérieur de mon vagin, qui mouilla encore plus et se distendit sous cette pénétration. Je commençai à gémir de plaisir, je regardai cette main calleuse qui entrait moi, mais je me demandai toujours pourquoi il faisait cela.Sa main était presque entièrement entrée, il fit plusieurs va et vient, elle était trempée, il eut l’air satisfait. Sa bite avait pris des proportions énormes.
— Pourquoi, fais-tu ça ? lui dis-je. Je pensai que ’on allait s’occuper du cheval.— Oui, oui nous allons y venir ! Dit-il en retirant sa main de ma chatte, je vérifie que l’ouverture de ton vagin est assez large, dit-il en riant.
Sa bite démesurée glissa en moi, ses reins s’activèrent.
— Salope, tu veux te faire baiser, par le cheval, je sais que tu vas aimer ça, mais tu sens ma queue, la bite du poney est tout juste un peu plus grosse que la mienne. Le vieux Louis va te faire crier ta jouissance encore une fois ! Embrasse moi ! Putain que c’est bon de pouvoir t’enfiler entièrement ma queue. J’adore sentir mon sperme couler dans ton corps splendide, je m’étonne toujours de pouvoir le faire, un vieux croulant comme moi ! Si ma bite n’était pas aussi grosse je n’aurai pas ce privilège !— Oh ouiiiiiii, ta queue est une merveille, si celle du poney me donne les mêmes sensation... Oooohhhh que c’est bon, ce ce sera vraiment le pied !
Il fit monter mon plaisir d’abord doucement, puis rapidement, et au bout d’un moment je criai ma jouissance à l’instant ou il éjaculait. Presque aussitôt, sans un mot, il prit une corde et se dirigea vers le box du poney. Il attacha la longe au licol de l’animal et l’amena près de la table.
— Tu es vraiment merveilleuse habillée ainsi ! Je vais défaire ton chignon ton chignon, j’aime voir tes longs cheveux blonds, parfait ainsi ! N’ai pas peur, si je t’ai attachée, c’est aussi pour que tu ne bouges pas. Ecarte bien tes jambes, oui c’est parfait ! Attention !
En douceur il fit mettre au poney les deux pattes de devant sur la table de chaque côté de moi, les postérieurs entre mes jambes. Puis il le fit avancer jusqu’à ce que son sexe soit bien en face de ma vulve. Je ne bougeai, retenant ma respiration de peur que le cheval ne m’écrase, j’ étais tétanisée, c’était impressionnant. Mais le cheval étai calme.Il lui pris le sexe et chatouilla mon orifice vaginal de plusieurs caresses.
— Impeccable, c’est la bonne hauteur ! Normalement c’est dans cette position qu’il fait ses saillies, n’est pas peur je vais te détacher, ne bouges pas ! On va lui faire connaître ta chatte ! Allonge toi bien, écarte les jambes, je vais badigeonner ta fente, j’ai fait dissoudre de la pierre à sel dans de l’eau, je vais la lui faire lécher.
Il inonda ma chatte avec cette mixture, ouvrant mes lèvres pour la faire pénétrer dans mon conduit vaginal, il en profita pour me faire un doigter.
— Mais Salope, ça t’excite, tu mouilles, c’est parfait il connaîtra aussi le goût de ton foutre.
Le poney descendit avec dextérité, mais je surveillai avec appréhension la manœuvre. Louis approcha le museau du cheval de mon entre-jambe, je me raidis, la langue rose se promena sur ma chatte rasée, ce n’était pas du tout désagréable, au bout d’un moment j’étais complètement alanguie.
— Ecarte tes lèvres avec tes doigts pour qu’il puisse lécher plus profondément, encore un peu, oui c’est bien, il à l’air d’apprécier et toi aussi, allez décapsule ton clito, il va te faire jouir, salope !
Je fis ce qu’il me demandait, il versa une rasade de mixture sur le petit bouton turgescent, la langue du cheval s’y promena, me tirant des gémissements de plaisir, cela dure pendant 3 ou 4 minutes. Je me tordis dans tous les sens sur la table. Louis remit le poney dans son box.
— Alors, ça t’a plut on dirait, moi aussi, regarde comme je bande, allez suce moi !
C’est vrai que cela m’avait excité, je m’appliquai, pour le remercier à lui faire une sensationnelle fellation, sa bite était juste le modèle au-dessous de celle de l’équidé.
— Oh putain que c’était bon, je ne lasse jamais de ta bouche ! Je ne croyais pas que nous serions allé aussi loin avec le poney ! Demain, tu reviens et on passe aux choses assez sérieuses !
Le lendemain, j’arrivai en avance, lorsque me vieux Louis me rejoignit, j’étais déjà,dans le box, en tenue adéquate comme demandé, je caressai l’animal et frottai mes seins contre les flancs du poney, je me masturbai en même temps.
— Hou la ! Jeune fille, on y a pris goût, dit-il en entrant dans le box et en m’embrassant sauvagement, tes seins sont fermes et d’une splendeur ! Putain, mais tu mouilles déjà, dit-il en ressortant deux doigts poisseux de ma chatte. Bon aujourd’hui du vas essayer de le faire éjaculer en lui faisant une fellation ! Experte comme tu es cela ne devrait pas poser de problème !— Oui, mais comment est-ce que je fais ?— Comme hier, tu t’accroupis, tu décalottes sa bite, tu la caresses, et tu la suces, jusqu’à ce qu’il éjecte sa semence.
Je m’accroupis à côté du poney, lui attrapai la bite et la décalottai, je la caressai plusieurs fois, elle réagit assez vite et pris de la consistance. J’avais de l’appréhension à saisir le gland entre mes lèvres.
— Tourne toi vers moi et écarte largement les cuisses, que je puisse voir ta jolie chatte bien ouverte, allez, n’ai pas peur met là dans ta bouche et suce !— Il ne va pas m’envoyer un coup de pied ?— Mais non, n’ais aucune crainte !
Je lui tins assez fermement la bite et prudemment, j’approchai ma bouche de l’énorme rouleau, je l’ouvris en grand, mes lèvres enveloppèrent le gland, le cheval ne broncha pas.
— Oui, c’est bien, c’est ça avale tout le gland, ouuiiii, encore, oui encore, putain tu es une experte, suce, suce ! Lèche-lui sa hampe, oui jusqu’en haut ! Avec ta langue Titille lui bien le bout maintenant, met dans ta bouche de nouveau, c’est bien il l’air d’aimer ça ! Caresse-lui les couilles. Fait attention lorsqu’il va éjaculer, il y a de la pression et la quantité de sperme et phénoménale ! Attention de ne pas t’étouffer.
Une petite giclée de sperme, ruissela dans ma gorge, surprise, j’eus un hoquet d’étouffement, lâchai la bite et me levai. Le poney se mit à hennir, son immense queue devint toute raide, et se balança et il piaffa.
— Il va éjaculer ! Hurla le vieux Louis, qui se précipita pour lui saisir le sexe, Trixie n’ait pas peur accroupis toi, suce le, suce le, vite.
Surmontant ma crainte, je plongeai à nouveau sous l’animal, lui pris la bite des mains de Louis et la au moment où il éjaculait, une importante giclée se perdit sur le sol, ma cavité buccale ne put contenir la quantité qui s’écoula plus doucement, son sperme gicla sur ma poitrine, j’en avalais quand même une assez grande quantité. Et prise au jeu de la luxure, j’aspirai le sperme qui coulait sans discontinuer, puis je frottai sur mes seins et sur mon ventre le gland d’où s’échappait toujours du liquide chaud et visqueux, de mes doigts poisseux, je me badigeonnai la chatte !
— Eh bien, c’est une réussite ! Ça t’a plu, on dirait ! Tu es parfaite, je n’en reviens toujours pas, qu’une jolie blonde comme toi puisse se prêter à tels jeux pervers, pour mon grand plaisir ! Tu n’as plus peur du cheval maintenant ! Je crois que nous allons pouvoir satisfaire le fantasme d’Alfred ! Es-tu toujours d’accord ?— Peut-être que oui, dis-je en souriant, et suçant mes doigts poisseux.— Bien on fait ça demain, alors, mais tu m’as tellement excité qu’il va falloir que je te baise de suite, ma bite n’est pas aussi grosse que celle du poney, mais tu l’apprécies quand même, pas vrai ! Et puis ça distendra un peu ta chatte, il y a longtemps que je ne t’ai pas baisée !
Alfred et Victor étaient installés dans des fauteuils de camping, le cheval attaché a 1,5 m d’eux.Il faisait un temps magnifique, Louis lentement me quitta mon chemisier, mon soutien-gorge, ma jupe mon string, me laissant porte-jarretelles bas et talons hauts. La table recouverte d’une couverture était à côté du cheval.
— Comme vous me l’avez demandé, Alfred, Le poney n’a pas encore baisé Trixie, vous allez avoir la primeur ! Allez, allonge toi ma chérie, écarte les jambes que j’enduise ta chatte avec de l’eau saline, il faut qu’elle mouille beaucoup avant la pénétration ! Ses doigts s’activèrent dans mon sexe.
Voilà, c’est parfait le cheval va se régaler !
Le museau de l’équidé se promena sur mon mont de Vénus, ses naseaux frémirent, il avait du sentir mon foutre, cela avait dû lui plaire hier, sa langue commença à me lécher je me tortillai dans tous les sens sous la caresse, Louis approcha et décapsula mon clitoris, il laissa longtemps le poney brouter mon petit bouton gorgé de sang, cela me tirait des soupirs d’extase et des petits couinements.
— Elle aime ça, sa chatte est trempée ! Accroupis-toi, prend lui la bite et suce le un peu, me dit-il. Très bien, encore un peu et puis on y va ! Vous voulez approcher, messieurs !Lève-toi et penche toi en avant.
Il saisit la hampe rigide, et dirigea le gland qui avait pris la forme du chapeau d’un champignon vers mon orifice vaginal. Il frotta plusieurs fois, la corolle du gland en forme de champignon entre les grandes lèvres de ma chatte. La vision du gigantesque sexe du sorcier noir, sur lequel on m’avait empalé en Afrique, dansa devant mes yeux fermés, elle était aussi grosse que la bite qui allait entrer en moi, mais aujourd’hui je n’avais pas bue de l’élixir qui avait distendu ma chatte pour permettre cette colossale intrusion. Mon estomac se noua.
— Je vais essayer de te pénétrer, décontracte toi, écarte bien les jambes, voilà, je suis au bord, sépare tes lèvres avec tes doigts, allez je pousse.— Noonnn, c’est trop gros ! Doucement, doucement,— Attend, je vais mettre du lubrifiant, je recommence, voilà ça rentre !— Nonnnnnn, aie, aie !— Décontracte toi, ça glisse, le gland est à moitié entré... ça va ! Respire doucement, essaye de faire jouer tes muscles vaginaux, oui, c’est ça !— Aie, je sens qu’il rentre doucement, hou lala que c’est gros, continue, mais doucement, doucement, aiiieeee !— Çà y est le gland est entré, ça va glisser en douceur maintenant.— Noonnn on arrête, aie.— On y est presque !
Le cheval donna un léger coup de rein, faisant entrer six centimètres de son gros phallus. Je le retirai d’un main.
— Ohhhhh putain qu’elle est grosse ! Hurlai-je.— Il saisit fermement la grosse hampe. Vous voyez ce bourrelet après la partie rose, dit Louis, il ne faut pas qu’il enfonce sa queue plus loin, car avec un coup de rein violent, il pourrait déchirer Trixie ! Nous allons procéder autrement ! Nous allons le mettre dans la position laquelle il a l’habitude de saillir. Allez, ma chérie allonge toi sur la table. Très bien, viens ici toi, dit-il au cheval en le positionnant au-dessus de moi. Ta chatte est béante, il ne devrait pas y avoir de problème pour une nouvelle insertion, je mets son gland, je pousse, je pousse, làààààààààà, ça entre doucement dans ta vulve. Voila c’est bon, tu la sens bien en toi ? Veux-tu que je fasse des vas et viens ? Ecarte bien les jambes en grand qu’Alfred puisse bien regarder sa magnifique blonde se faire baiser par un cheval !— Non, c’est moi qui vais les faire, dis-je en attrapant l’énorme sexe et en le faisant coulisser doucement en moi !
Le cheval avait compris, hier, il avait joui, sa bite était devenue raide. La douleur s’était estompée, je m’enhardis à accélérer la cadence, mon sexe commença à s’échauffer, puis mon ventre, le plaisir montait, je gémis de contentement. Je haletai de satisfaction, la croupe de l’équidé entra doucement en action. Louis faisait attention que l’insertion ne soit pas trop profonde. Lors de la pénétration, la corolle du gland s’aplatissait, lors de la rétractation, elle s’épanouissait et frottait délicieusement mes parois vaginales bien lubrifiées, c’était plus que divin, mon cœur battait la chamade. J’étais aux anges ! Je cherchai l’air, ma tête roulait de droite à gauche, mes parois vaginales se contractèrent et se relâchèrent autour du phallus monstrueux. Alfred se pencha sur moi.
— Eh bien dis donc, il te fait de l’effet ton étalon, je n’ai jamais vu tes nichons aussi durs et le bout de tes tétons aussi érigés !
Il se mit à me caresser les seins, tirant sur mes mamelons, les pinçant, griffant mes aréoles, suçant les bouts turgescents. Je lui fus grès de me prodiguer ces attouchements. Une douce félicité envahit mon corps petit à petit.
— Tu vois, petite Salope, dit-il, je savais que ça te plairait, tu es en train de prendre ton pied, pour moi, c’est un spectacle magnifique, je te suis reconnaissant de m’avoir fait partager cela.— Suce moi dit Louis en se positionnant devant ma tête, sa queue énorme tendue vers le ciel, il l’abaissa vers ma bouche, tu es merveilleuse, je savais que tu aimerais la bite de mon poney. Vous allez voir Alfred, elle va le faire éjaculer ! J’espère qu’il va la faire jouir.
Je continuai à faire aller et venir le monstrueux phallus dans ma chatte, ou il glissait sans heurt maintenant, faisant monter crescendo mon plaisir, la jouissance n’allait pas tarder à transpercer mon corps. Un éclair fusa dans ma tête, je pris appui sur mes talons et projetai mon bassin en avant, la colonne rose s’enfonça plus profondément en moi, l’équidé donna un coup de rein en hennissant, heureusement que Louis tenait sa bite, son mouvement l’enfonça plus avant. Me tirant un hoquet de surprise.
— Oooooohhhh, doucement hurla Louis au cheval ! Il s’est enfoncé jusqu’au bourrelet ! Mais elle a l’air d’apprécier cette petite salope, ça va, Trixie ?— Ouiiiiiii, je je jouiiiiiiiiii !!!! hurlai-je en serrant fortement la bite qui tressautait. En plantant mes ongles dans la chair ferme.
Ma chatte reçut alors un flot de sperme d’une force inouïe, cela me fit crier encore plus fort mon plaisir. Je sortis alors le membre tressautant, je dirigeai le jet de sperme sur mon ventre, il monta jusqu’à mes seins, éclaboussa ma figure. Son éjaculation semblait ne jamais tarir, le sperme tiède coula sur mon corps, cela fit redoubler mon orgasme, je tremblai de la tête aux pieds.
— Putain, dit Alfred complètement nu, tenant son petit appendice raide, d’une main. Je crois que tu.
n’as jamais joui comme ça ! Louis, voulez bien ôter le poney, il faut que moi aussi, je vide ma semence dans sa chatte ! Tu ne vas pas sentir ma petite bite, mais ça urge vraiment !
Il se coucha sur mon ventre couvert de sperme, du liquide séminal du poney coulait encore de ma chatte.
— Tiens, voilà ma queue est en toi ! Oh putain, j’éjacule, c’est bon, c’est bon ! Tu es une merveilleuse petite Salope ! Je n’ai moi non plus jamais connu une telle jouissance en te regardant baiser avec une bite aussi grosse et te voir jouir comme ça !
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