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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 17

L'ensemencement du jardinier

Avec plusieurs hommes
Un matin de printemps, en arrivant dans le living-room pour faire un peu de rangement, j’aperçus à travers la cloison de verre qui donnait sur la terrasse, un homme à genoux en train de s’occuper des parterres de fleurs qui entouraient la piscine.
J’avais la tenue exigée par Alfred, celle que je devais porter à l’intérieur de la maison. Cela se réduisait, si l’on peut dire au strict minimum. Une nuisette noire ou blanche, complètement arachnéenne, qui s’arrêtait au ras du pubis, laissant apercevoir en dessous mon sexe soigneusement rasé qu’aucun voile ne cachait. Le porte-jarretelles était assorti à la couleur de la nuisette, il retenait des bas noirs gainant mes longues et fines jambes. Sur la poitrine, deux rubans fermaient les fentes de la nuisette par lesquelles mes mamelons enserrés par les deux petits nœuds coulant de mon collier de seins ne demandaient qu’à s’échapper. Avec la légère compression exercée, ils étaient toujours en érection, ce dont raffolait Alfred, mon vieux colocataire de presque 80 ans, oncle de mon amant Maxime et surtout Victor, le majordome qui m’avait offert le collier.
Un déshabillé vaporeux plus que transparent, qui n’avait pas fermeture, baillant largement sur le devant, complétait comme le disait Alfred la panoplie de la parfaite femme d’intérieur.L’homme était de profil, il n’avait pas encore remarqué ma présence. Il devait être très grand, très musclé, une barbe noire, abondante lui mangeait le bas du visage, ses cheveux étaient assez longs. Il était vêtu d’un jean et d’une chemise. Je ne savais pas quoi faire. J’allais voir Alfred dans son bureau, il était assis à sa table de travail, Victor à côté de lui en train de lui servir un café.
— Alfred, dehors il y a un jardinier. Je sais bien que c’est le moment de s’occuper des plantations. Mais ne crois-tu pas que je devrais changer de tenue. Car beaucoup de pièces, donnent sur la piscine et le jardin et ce monsieur peut mater dans toute la maison et il...— Ben oui Trixie, tu viens de le dire, c’est la saison des plantations, de l’ensemencement. Alors, ce monsieur est là pour ça, me répondit-il avec un grand sourire. Il a un super plantoir qui devrait te plaire ! Approche. Nous allons arranger ta tenue. Car c’est vrai, elle n’est pas correcte. Victor voulez-vous ôter le déshabillé à Mademoiselle ! Reste surtout bien comme tu es. Approche !
Alfred était un adepte du candaulisme, pratique sexuelle dans laquelle une personne ressent de l’excitation en exposant ou partageant son conjoint à une ou plusieurs personnes. Le déshabillé quitté, il dénoua les petits rubans des ouvertures, écarta largement les pans de tissu, pour bien dégager les deux globes de mes seins. Il joua avec les deux gouttes d’hématite qui pendaient sous les tétons, il aspira et mordilla les deux pointes brunes qui réagirent aussitôt. Cela me tira un gémissement. Et bien, j’avais compris le message, Alfred était un grand voyeur. Il adorait me voir me faire baiser par Victor et sa grosse bite. Si c’était un noir, de surcroît avec une bite aussi grosse que la sienne, il était aux anges, il me prenait ensuite avec un entrain décuplé. Le critère d’embauche de Victor, le vieux majordome, avait été la longueur et la grosseur de sa queue. Et le domestique ne désirait qu’une chose, c’était me sauter le plus souvent possible.
Le vieil Alfred tirait parti de la situation, c’est pour cela qu’il me demandait de me promener ainsi vêtu, pour aguicher Victor, mater nos ébats et souvent y participer ! Il avait compris que lorsque une ou plusieurs personnes me regardaient en train de me faire baiser, cela m’excitait au maximum.
— Voilà parfait. Dit-il, tu peux y aller. Attends ! Victor, regardez si Mademoiselle Trixie est excitée par ce que nous lui proposons.
Le Majordome insinua son majeur dans ma chatte, fit un ou deux va et vient.
— Oui Monsieur, elle commence à mouiller. Dois-je augmenter la lubrification ? Il avait déjà ajouté son index, ne demandant qu’a me tripoter.— Non, c’est très bien ainsi.
Je retournai donc dans le living-room, descendis les trois marches, me dirigeai vers la table basse qui se trouvait à environ 1 mètre de la baie vitrée, pour faire un peu de rangement.L’homme était maintenant face à la porte vitrée, il dut sentir ma présence, car il leva la tête et regarda dans ma direction. Il eut l’air tétanisé par mon apparition, son plantoir resta figé à 20 cm du sol. Je le regardai, comme si j’étais étonnée de le voir là. La pièce était inondée de soleil, il devait apercevoir chaque détail de mon anatomie, pour qu’il puise en profiter, les ordres étant ce qu’ils étaient, je m’étirai en levant les bras langoureusement.
La nuisette remonta lentement assez haut sur mes hanches presque jusqu’à mon nombril, découvrant mon mont de venus bien épilé, imberbe, laissant apercevoir la fente de ma chatte, mise en valeur par la mince ceinture de tissu noir en dentelle. Aguicher les hommes m’excitait au possible, je sentis ma chatte s’humidifier.

Comme s’il n’existait pas, je vaquai à mes occupations, il ne me quitta pas des yeux. Je lui tournai le dos et me penchai pour débarrasser les revues et documents qui traînaient sur la petite table. Les lanières de mon porte-jarretelles bien tendues tranchaient sur la peau blanche de mes fesses. J’écartai un peu les jambes pour dévoiler la fente de mon sexe. Je lui fis face à nouveau, pour se donner de la contenance, il fit semblant de rempoter, au ras de la porte une plante, mais ses yeux étaient rivés sur moi.
Arrangeant mon collier de seins, resserrant les nœuds sur mes mamelons, je me dirigeai lentement sur mes hauts talons, vers la baie vitrée. Faisant semblant de m’intéresser à son travail, je plaquai mes seins contre le verre. Le contact froid fit durcir encore un peu plus mes tétons, la chair de poule granula mes aréoles.
Je tournai ensuite les talons, j arrangeai les cousins sur le canapé, tout en jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule. Le poisson avait l’air ferré, il frétillait. Alfred qui épiait sûrement devait être satisfait, Victor lui aussi ne devait rien manquer du manège.
En me dirigeant vers la cuisine, j’entendis la porte-fenêtre s’ouvrir. Des pas étouffés, une respiration saccadée. Je passai derrière la banque qui séparait le coin repas de la kitchenette, pris une éponge et nettoyai la surface carrelée.
Il entra, sans un mot passa derrière moi, ses mains se posèrent sur mes hanches, caressèrent le devant de mon porte-jarretelles et remontèrent doucement sous la nuisette pour me saisir les seins qu’il malaxa délicatement. Ses pouces et ses index s’emparèrent de mes mamelons qu’il se mit à faire rouler, mon buste se tendit vers l’avant. Sa bouche se posa dans mon cou et il se mit à me donner de petits coups de langue.
— C’est rare de voir une nana avec un tel bijou pour mettre en valeur ses nichons, c’est vachement excitant Salope ! Tu fais toujours le ménage habillée ainsi ? C’est les deux vieux qui doivent être contents ! Ils te baisent ?— ....— Alors tu réponds ! Je sûr que oui ! Putain ce que ton porte-jarretelles te met en valeur, et que tes tétons sont longs et raides, tu aimes leurs vieilles bites ?
Son bas-ventre se pressait contre la peau nue de mon postérieur, il bandait dur. La bite, qu’il frotta dans la raie de mes fesses, devait être de la longueur et de la grosseur de celle de Victor, c’était à croire qu’ Alfred m’embauchait que des mecs avec des sexes conséquents, je me demandais s’il avait exigé qu’il lui la montre ! En pensant à lui, j’entendis la porte du fond de la cuisine s’ouvrir. Il ne devait rien perdre de ce qui se passait. Jetant un regard à la fenêtre, je vis Victor qui me fit un clin d’œil.
Une des mains du jardinier était passée sous mon porte-jarretelles et descendue sur mon sexe, il avait entré son majeur dans ma chatte, il était trop accaparé pour remarquer que nous étions épiés. Je me décalai un peu pour que mes vieux voyeurs puissent profiter au maximum du spectacle. Il me fit pencher en avant, relever la jambe gauche, faisant pendre appui à mon genoux sur le plan de travail.
Cette position me dégagea entièrement le sexe. Il se mit à genoux, ses pouces écartèrent mes petites lèvres pour bien ouvrir ma chatte, ses attouchements commencèrent vraiment à me faire mouiller abondamment. La pointe de sa langue, s’insinua dans mon orifice vaginal, mais pas profondément, puis elle remonta doucement le long du méat urinaire, pour titiller mon clitoris qu’il décapuchonna avec son index. Cette lente caresse me fit gémir de plaisir et me donna la chair de poule. Sa langue s’enroula autour de mon petit bouton rose, je sentis qu’il gonflait et durcissait. Des traits de feu s’en irradièrent et montèrent dans mon ventre. Je lui appuyai sur l’arrière de la tête pour l’empêcher de cesser ce merveilleux frôlement buccal. Sa barbe frotta doucement mon raphé du périnée. Cela me provoqua de légères contractions anales qui ne furent pas désagréables du tout.
Il dut s’en apercevoir, car son index, se positionna à l’entrée de mon anus, puis il l’enfonça avec délicatesse et effectua de lents va et vient, tandis que sa bouche s’occupait toujours de mon vagin.
Ses lèvres aspirèrent mon clito, ses dents l’enserrèrent avec une infinie délicatesse.Puis sa langue pénétra l’orifice béant et humide de foutre, qu’elle fouilla avec ardeur.
— Putain, c’est délicieux ce que tu me fais goûter...
Je me caressai les seins, tirai sur mes tétons, gémissant de plus en plus fort. Je regardai la fenêtre, Victor monté sur une brouette était en train de branler son énorme bite. Je le regardai langoureusement, je savais qu’il était jaloux lorsqu’un homme me baisait. Et j’aimais bien attiser cette jalousie. Alfred devait en faire autant, m’épier, la masturbation devait battre son plein.
L’horticulteur me fit mettre à plat ventre sur le plan de travail, les seins aplatis sur le froid du carrelage. Il se mit debout devant moi, je lui caressai la verge à travers le pantalon. Ma langue lécha l’étoffe rugueuse du jean, ma bouche mordit le dur rouleau, tandis qu’il planta son majeur dans mon anus et titilla le petit orifice rond. Il déboucla sa ceinture, je descendis le zip de sa fermeture éclair, ma main plongea dans la braguette. J’extirpai non sans mal sa queue, elle était en tout point semblable à celle de Victor, mais vu la jeunesse de son propriétaire, elle me sembla plus ferme et un peu plus grosse
Je tirai le prépuce en arrière et enfournai son gland dans ma bouche tout en masturbant la longue hampe. La tête d’Alfred dépassa de la porte, le regardant amoureusement, ma langue titilla le méat urinaire, fit plusieurs fois le tour du gland mauve, puis j’avalai doucement le gros rouleau tendu. Il glissa de plus en plus profondément dans ma gorge. J’écartai au maximum les jambes pour que Victor puisse bien voir ma chatte trempée, une petite flaque de foutre était en train de se former sur les carreaux. J’espérai qu’il la remarque.
Le jardinier me fit mettre sur le dos, les fesses au bord de la table de travail. J’ouvris largement les cuisses. Il glissa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles, son gland comme la tête d’un missile téléguidé trouva l’ouverture de mon orifice vaginal. La pénétration fut grandement facilitée par le liquide séminal poisseux qui s’en écoulait. Il commença à me besogner à grands coups de reins, enfonçant sa queue jusqu’à ce que ses poils frottent mon pubis.
— Tiens, dit-il, il y a le vieux domestique qui nous mate par la fenêtre, je crois qu’il se branle, le salaud, il a une sacré queue, le vieux !! Il te la met souvent, non ? C’est pour ça que je n’ai pas forcé pour te pénétrer, petite salope. Tu aimes te faire baiser par les croulants ? L’autre vieux ne doit pas donner sa part au chat ?— Ouuui, Oui, surtout par Victor, sa queue est comme la tienne énorme, il sait me faire jouir ! Hoooo putain c’est bon, tu me baise bien.........ouiiiiiiiii, continue !
Cela décupla son ardeur, ses couilles vinrent buter plus rapidement mes fesses.
— Attends, lui dis-je, on va prendre une autre position.
Je voulais que Alfred puisse en aussi profiter. Je me remis dans la première position, dos à la porte ou se trouvait le maître de maison, une jambe relevée sur la table. Cela du donner des idées au barbu, écartant d’une main mes globes fessiers, il positionna son gland à l’entrée de mon cul, il le frotta sur mon petit trou granuleux. Il cracha dans sa main se badigeonna la bite de salive, et commença à enfoncer son phallus lentement, mais sans s’arrêter, il m’avait empoigné les hanches à hauteur du porte-jarretelles. Je gémis de plaisir, envoyant les fesses en arrière pour mieux faire pénétrer son gros pénis entre mes parois anales que je contractai pour mieux profiter de la pénétration.
— Tu es une vraie petite salope, toi. Tu as l’air d’aimer ça. La sodomie à l’air de te plaire au vu de ce que tu me fais. Et puis, ces mecs qui nous regarde, ça m’excite. Putain, c’est vrai, pour son âge, il a une bite aussi grosse que la mienne. Il t’encule lui aussi, pas vrai, et tu aimes Salope !L’autre vieux doit nous mater aussi ! Tu aimes qu’ils te regardent te faire baiser !— Ooooohhhhhhh, oooouuuuuiiiiii !
Je levai les yeux, effectivement, Victor regardait toujours à la fenêtre en se branlant. Avec force de gestes, le majordome me fit comprendre que nous devrions continuer nos ébats dans le living-room, à côté la cheminée dans laquelle ronronnait un feu. Les deux hommes pourraient ainsi mieux profiter du spectacle par la grande baie vitrée.
Je fis part à mon compagnon de mon désir de finir notre partie de jambes en l’air, près de la cheminée. Il n’y vit aucun inconvénient. Arrivé à destination, je positionnai la chauffeuse basse en face de la grande porte fenêtre coulissante. J’avais maintenu son érection en le caressant tout le long du chemin, tandis qu’il m’embrassait goulûment. Il se déshabilla en un tour de main, il avait un corps d’athlète, des pectoraux saillants, ses abdominaux ressemblaient à une tablette de chocolat.
Je le fis coucher sur le siège bas, je l’enjambai au moment ou Alfred et Victor se plantaient devant la vitre coulissante qu’ils avaient ouverte, leurs sexes étaient tendus au maximum, ils les caressaient doucement, les calottant et décalottant, je leur fis face. Je leur souris et pliai les jambes descendis lentement sur la monstrueuse bite turgescente que le jardinier tenait d’une main ferme, elle pénétra dans mon anus, jusqu’à la garde, pour que les deux vieux comprennent bien qu’il me sodomisait, j’écartai ma chatte des deux mains. J’enfilai mon index et mon majeur et ajustai mes va-et-vient aux pénétrations, puis j’y adjoins l’annulaire, l’auriculaire et mon pouce ne tardèrent pas à les rejoindre.
— Ma bite ne te suffit pas, salope, il te faut aussi tes doigts ! Dit le géant qui me sodomisait. C’est pour les exciter ! Ils ne ratent rien, les cochons !
Il me souleva par les hanches et me laissa retomber de tout mon poids sur sa virilité tendue comme un arc. Je poussai des râles d’extase, des hoquets de plaisir, lorsque j’étais empalée jusqu’au tréfonds, des frissons me parcoururent. Je bougeai mon bassin d’avant en arrière.
— Oui, Victor dit Alfred, vous avez entendu ! Mademoiselle Trixie à l’air d’avoir besoin que l’on s’occupe de sa chatte, vu la grosseur que votre queue vient d’atteindre, je pense qu’elle devrait apprécier.— Bien Monsieur, répondit le majordome. Un sourire satisfait sur les lèvres.
Ils entrèrent tous les deux dans la pièce. Victor quitta son pantalon, je souris en voyant ses jambes grêles, qui contrastaient avec les cuisses bronzées du jardinier. Sa queue par contre soutenait la comparaison.
— Pardon, si monsieur veut bien me permettre de me joindre aux ébats et si mademoiselle veut bien s’étendre sur le ventre de Monsieur. Dit Victor en me poussant doucement aux épaules.
Il s’installa entre mes cuisses, ses genoux serrant mes hanches. Le jardinier avait cessé ses mouvements pour lui laisser le temps de bien pénétrer ma chatte. Son gros gland écarta mes lèvres, puis le diamètre conséquent s’enfonça lentement dans ma féminité brûlante, gagnant avec application centimètre par centimètre, le gros phallus dans mon anus gênait un tant soit peu la progression du sexe de Victor.
— Mademoiselle est super bonne, dit-il, ma queue est entrée entièrement, dit-il avec une grosse pointe de jalousie.
Les hanches du majordome commencèrent à onduler, d’abord doucement, pour permettre à son partenaire d’ajuster ses pénétrations anales aux siennes. Une fois le rythme acquit les deux énormes pistons accélèrent la cadence. On aurait dit qu’ils se faisaient concurrence, c’était à celui me tirerait le plus de soupirs, de gémissements. Je me tordais de plaisir sur la poitrine du jardinier. Je voyais le regard lubrique d’ Alfred parcourir mes pointes de seins durcies gorgées de sang, puis regarder avec admiration les deux énormes bites s’enfoncer entièrement dans mes orifices et me tirer des cris de plaisir. Il se masturbait avec vigueur. Victor avait décapuchonné mon clitoris et augmentait mon plaisir en frottant amoureusement mon petit bouton rose avec son pouce.
Les mains rugueuses du jardinier malaxaient mes seins, pinçant les mamelons, jouant avec les deux perles d’hématite, y tirant dessus, à chaque tiraillement une légère douleur irradiait les globes durcis, j’adorai cette sensation. Mes cris de plaisir en étaient la preuve. Je m’étais complètement abandonnée, la tête rejetée en arrière, le jardinier me mordilla le lobe de l’oreille.
— Tu es vraiment une sale garce, murmura-t-il ! Tu aimes te faire baiser et en plus par des vieillards. Ces deux vieux débris te baisent souvent ensemble ? Tu aimes ma bite dans ton cul ?— Ouuuiiiii, ouiiiiiii souvent, mais défonce moi, continue, continue je vais jouuuuiiir !
Victor me tenait fermement aux hanches, la cadence de ses pénétrations s’accéléra, il ne devait pas être loin d’atteindre la jouissance. Ses halètements devenaient plus rapides, le jardinier me plaqua avec force sur lui, enserrant mes seins, il se crispa et dans un spasme libéra sa semence tiède dans mon trou intime. Ses mains descendirent sur mon ventre, remontèrent sur mes seins pour les caresser tandis qu’il vidait son sperme dans mes entrailles.Victor à son tour éjacula écartant mes genoux au maximum pour pouvoir enfoncer son énorme bite tendue au plus profond de ma chatte, il s’écroula sur moi, malaxant à son tour mes seins, suçant et tétant à tour de rôle mes tétons endoloris avec frénésie.
— Salope, Salope. Dis le que tu aimes ma queue et mon sperme, éructa Victor comme dans un sanglot.,
Ces deux éjaculations presque simultanées eurent raison de moi, mes jambes se raidirent, les muscles de mes cuisses de mon bas-ventre se contractèrent, mes sphincters et mes parois vaginales se refermèrent avec force sur les énormes bites qui me pourfendaient, mon corps se tendit en arc de cercle tandis qu’un cri d’extase jaillit de mes poumons.Il fut vite étouffé par la queue de Alfred qui força mes lèvres, je n’eus que le temps d’avaler son gland avant que je sente son sperme tiède couler dans ma bouche.
— Tiens, tiens ma petite chérie. Avale. Avale tout. Je t’adore...!!
Une fois la furia sexuelle éteinte, Alfred emmena le jardinier dans son bureau pour lui régler ses émoluments. Je me retrouvai seule avec Victor.
— Salope, salope. Tu as pris ton pied avec le grand barbu.— Oui, dis je en riant, tu es jaloux Victor. Sa queue était presque plus grosse que la tienne, plus dure, c’est sûr. Alors comme ça, tu es jaloux...— .....— Mais c’est Alfred qui voulait. qu’il me baise !— Je m’en fou. Ça m’agace.. Demain, Monsieur doit partir. Je me vengerai. Salope.Tu as préféré sa queue à la mienne, je l’ai bien senti.
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