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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 18

Le garagiste

Avec plusieurs hommes
Alfred venait de s’offrir un superbe cabriolet décapotable à un prix exorbitant ! Fière de l’étrenner, je revenais à faire des courses en ville, il n’était pas loin de midi, le camion de chantier freina devant moi. Mon pied écrasa la pédale de frein, je donnai un coup de volant, cela ne suffit pas, le choc eut lieu. Je descendis, le chauffeur du camion inspectait les dégâts.
— Eh bien je n’ai, rien, vous par contre, votre phare et votre clignotant sont complètement HS. Mais c’est vous qui êtes en tort, vu que vous m’avez percuté par l’arrière ! Allez au revoir ma petite dame, me dit le chauffeur routier.
Il me planta là, remonta dans son camion et partit. Je ne voulus pas appeler Alfred, la voiture était neuve ! Il m’avait fait tout un tas de recommandations, hésitant à me la prêter, il m’avait même parlé d’une punition si seulement je l’éraflais. J’avais acquiescé, je voulais à tout prix l’essayer. Mais, maintenant, il fallait que je me débrouille. Je cherchai un garage sur mon téléphone, coup de chance, il y en avait un à quelques rues d’ici. Je me dirigeai vers ce qui me sembla le paradis des automobilistes en détresse.Je me garai devant et entrai, une flèche désignait l’accueil, je poussai la porte du réduit. Un noir obèse d’environ soixante-cinq ans était assis derrière un bureau encombré de paperasses. Un jeune homme, noir lui aussi était debout derrière le patron, le gros homme leva les yeux sur moi et continua sa lecture.
— Oui, bonjour asseyez-vous, je suis à vous dans un instant.
Je portai un tailleur très chic de couleur crème, la veste avait un décolleté assez profond et la jupe une fente assez conséquente sur le devant. La chaise sur laquelle il me proposa de m’asseoir avait une propreté somme toute vraiment relative, mais j’obtempérai. Il leva les yeux vers moi. Je ne le trouvai pas avenant, presque désagréable.
— Oui que puis-je pour vous ?— Je viens de casser mon phare et mon clignotant droit, pourriez-vous s’il vous plaît, me les réparer, maintenant si vous pouviez, je suis assez pressée, vous seriez très gentil !— Vous avez-vu l’heure ? Il est midi passé.— Oui... mais...— Non... non...
Je croisai mes jambes, il aperçut les lanières de mon porte-jarretelles, ma jupe remonta. Alfred désirait que je ne porte ni string, ni soutien-gorge lorsque je sortais en ville, ça l’excitait, disait-il et puis cela pouvait provoquer une aventure érotique et il adorait que je lui la narre avec force de détails.Je décroisai mes jambes lentement, ses yeux s’écarquillèrent, il avait dû entrapercevoir ma chatte bien rasée. Je me levai et m’approchai de son bureau d’une démarche chaloupée. Un magasine porno s’étalait devant lui. Je me penchai, ma veste bailla, son regard ainsi que celui de l’arpète plongèrent dans l’échancrure, ils aperçurent mes seins libres de toute entrave.
— Alors, ce n’est vraiment pas possible, ma langue passa doucement sur mes lèvres.— Heuuuu, peut, peut être que si. Je vais mettre mon apprenti sur le coup, il y a un petit resto au coin de la rue, allez déjeuner, si vous voulez, revenez dans une heure.— Merci, c’est sympa, lui dis-je, me penchant encore plus.
Je revins une heure et demie plus tard après m’être sustentée. Le patron était dans son bureau en train de casser la croûte.

— Je crois que oui, mais asseyez-vous !
En posant mes fesses sur le bord de la chaise, je remontai ma jupe à la limite des attaches de mon porte-jarretelles et écartai mes genoux.
— Rince toi l’œil, pensai-je.
Il ne se gêna pas pour le faire ! Fixant sans vergogne mes jambes gainées de bas noir,
— Je n’ai pas beaucoup de temps pour faire votre facture, mais montrez moi, une pièce d’identité donnez-moi votre adresse, et je vous la ferai parvenir !
Je me levai et me penchai à nouveau sur son bureau pour lui montrer mes papiers et mes seins, il releva mon nom et mon adresse, tout en fixant intensément ma poitrine.
— laissez-moi votre carte grise et allez voir Jack, je crois qu’il a fini !
Je me dirigeai vers ma voiture, l’apprenti, un jeune noir d’environ une vingtaine d’années passait un chiffon sur le capot. Il était assez maigre et plus petit que moi.
— Le patron m’a fait bosser toute la pause pour réparer la casse !! Voilà, c’est fini !— C’est très gentil, je pourrai avoir les clés ?
Il laissa tomber le trousseau de clés, je me penchai pour les ramasser. Il y donna un coup de pied, les repoussant plus loin. En me courbant, le dernier bouton veste de mon tailleur se défit et elle bailla largement sur mes seins, les découvrant à la limite de mes aréoles. Je me redressai, et ne reboutonnai pas ma veste.
— Je ne sais pas si tu es au courant, mais ton patron m’a dit que je pouvais récupérer ma voiture !! Je suis pressée et j’en ai besoin maintenant.— Oh putain vous avez des nichons magnifiques ! J’aimerais bien les sucer !— Arrête de mater mes seins ! Et écoute moi. Donne-moi mes clés, ou je vais voir ton patron !— Allez-y, mais je crois qu’il vient de partir avec un client.
Effectivement, une voiture sortit du garage. Mince, j’étais coincée. A moins que, son regard ne quittait pas l’échancrure de ma veste.
— Hey, mon biquet ! Je pense que nous sommes partis du mauvais pied !! Ton nom, c’est bien Jack, moi, c’est Trixie.— Oui madame.— Hé bien Jack, tu as l’air d’aimer mes seins ! Veux-tu que je te les montre ?— Oh putain oui, madame.
Je déboutonnai les deux deniers boutons de ma veste, et l’écartai. D’un mouvement rapide, il en saisit les revers, surprise; je n’esquissai aucun geste, et il me la quitta et l’envoya sur la banquette de la décapotable. Ses mains se tendirent vers mes seins, je lui en bloquai une. Sa main libre descendit son short, il le baissa, il était nu dessous...
— Tu ne touches pas mes seins, petit morveux. Mes yeux se portèrent sur sa bite.— Oh merde, je n’ai jamais vu des nichons aussi beaux, regarde tes tétons sont tout durs.
Mes yeux ébahis fixèrent l’énorme boudin noir qui pendait entre ses jambes, le bout de son prépuce lui arrivait presque au genou, il commençait à bander.
— Putain, ce n’est pas vrai ! Pensai-je. Tous les noirs que je connais ont une queue aussi grosse et aussi longue. On dit que c’est une légende, mais pourtant, c’est la réalité !
J’étais habituée aux membres gigantesques, les amants noirs que j’avais eu possédaient tous le même modèle. Mais vu son apparence de gringalet et sa petite taille cela me laissa pantoise, j’étais figée par la surprise. Il quitta son marcel, et profita de ma stupeur pour me saisir un sein d’une main, et de l’autre commença à se branler, calottant et décalottant son gland bistre.
— Mince Trixie, tes nichons sont aussi parfaits à la vue qu’au toucher !!
Profitant de ma surprise, il pencha la tête, et se mit à me lécher les aréoles et mordiller tour à tour mes petits cônes bruns qui se gorgeaient de sang. Je ne réagis pas à ses caresses buccales. J’étais subjuguée par le boudin qu’il avait exhibé.
— Quelle est la longueur du monstre qui pend entre tes jambes ! Rien que de le voir ça me fait mouiller.
Il m’avait enlacé et s’acharnait à me téter les mamelons, il me prit la main et y déposa son immense rouleau de chair noire. Je ne réagis pas à son étreinte, encouragé par ma passivité, il éructa.
— Branle moi ? Branle moi. Il est gros hein ! — Je ne devrai pas faire ça, et te laisser me faire ça, mais je mouille trop, ta grosse bite m’excite trop !! Lui dis-je en commençant à le masturber doucement.— Tes mamelons sont super longs et ont un goût merveilleux !! Dis, c’est vrai que je te fais mouiller. J’ai vu dans le bureau du patron quant tu étais assise que tu avais des bas et un porte-jarretelles, j’ai même cru voir que ne portais pas de string, petite salope.

J’étais prise au piège, cela m’appendrait, mais ça ne me déplaisait pas de me retrouver dans cette situation. Sa main dans mon dos descendit la fermeture éclair de ma jupe, elle tomba sur mes chevilles. Il se baissa pour la ramasser et la jeta avec ma veste. J’étais nue avec seulement mes bas et mon porte-jarretelles.
— Putain que tu es belle, j’avais bien vu petite salope tu ne portes pas de string. Ta chatte rasée est splendide encadrée par ton porte-jarretelles noir, putain que tu m’excites salope de blanche !
J’étais assez flattée de ses réflexions. Il passa derrière, il était plus petit que moi, sa queue se faufila entre mes jambes, je la vis aller et venir se frottant sur ma chatte baveuse, ses mains pétrirent mes seins, il me lécha le dos.
— Mon petit chéri si tu me donnes les clés de ma voiture, tu pourras enfiler ta grosse bite dans ma chatte !! Mais seulement quelques instants et tu n’éjaculeras pas en moi, promis !
Les clés n’étaient plus qu’une excuse, je désirai ardemment qu’il me pénètre, sentir sa queue noire au fond de ma chatte, son sperme couler en moi. Sa main gauche passa entre la lanière de mon porte-jarretelles et ma cuisse, de sa main droite il présenta le gland durci de son énorme bite noire à l’entrée de mon orifice vaginal.
— Ok, mais avant laisse moi te pénétrer ! Penche toi un peu..Putain, ça glisse. Ta chatte est délicieuse ! Tu mouilles tellement qu’on dirait qu’elle aspire ma bite. C’est comme si elle me la suçait !! Ooooohhh et puis c’est le pied, je n’ai jamais baisé une blanche et blonde comme toi, c’est bon, c’est bon ! Toi aussi tu en as envie Salope !
Il était vraiment excité et impatient de m’enfiler entièrement son immense sexe noir ! Heureusement que je portais des talons hauts, ça le freinait un peu.
— Il est vraiment gros ton mandrin !! Ralentis, ralentis mon garçon ce n’est pas une course. Mais c’est vrai, ta bite me rend folle.— Allez penche toi plus sur le capot et écarte plus les jambes, ma grosse bite entrera plus facilement. Làààà, tu vois, c’est bon, mais si tu ne me laisses que cinq minutes, je ne vais pas pouvoir te faire jouir. Tu aimes ma grosse bite noire ?— Arrête de parler et enfonce moi bien profondément ton gros rouleau, enfonce toute la longueur. Ouiiii là, c’est bien. C’est bon, encore, encore !
Il me fit mettre sur le côté, me souleva une jambe. Il batailla pour me pénétrer.
— Tu n’en as rentré que la moitié, pourtant je mouille, elle devrait glisser toute seule !
Il me coucha sur le capot se mit entre mes jambes et poussa fortement.
— Aaaahhhh, voilà, je la sens bien maintenant, ta gosse bite, elle est pleine de vigueur.— Oui c’est parfait, ta chatte me l’enserre bien, je voudrais bien éjaculer en toi !— Plus fort, plus profond, plus vite ooohhhh !!! Je vais jouir surtout ne t’arrête pas continue !! Et surtout retire toi pour éjaculer !— Petite Salope, je n’arrêterai pas tant que mon énorme bite ne t’aura pas fait jouir, et que tu me demandes grâce !!
Des pas me firent lever la tête, son patron, une feuille à la main arrivait dans le dos de Jack, qui ne l’avait pas entendu, prêt à jouir.
— Arrête, tu dois arrêter ! Je suis en retard, je dois y aller maintenant !! Lui intimais-je.— Non Salope, tu n’iras nulle part tant que je n’aurai pas éjaculé mon sperme de nègre dans ta chatte de blanche. Oh putain ; oh putain, je jouiiiis, tiens, tiens, putain, c’est bon de faire gicler ma semence dans une blanche, encore une ou deux minutes.— Oooooohhh non ; je t’avais demandé de ne pas éjaculer en moi !!
Le patron, la mine renfrognée tira le jeune homme par le bras, deux giclées de sperme s’étiolèrent sur mon ventre, et du liquide visqueux coula de ma chatte.
— Tu n’es qu’un petit con, espèce de paresseux !! Je ne sais pas ce qui me retient de te mettre une raclée, fous le camp ! Oh putain ce petit salaud a éjaculé dans votre chatte, son sperme coule !— Mais Monsieur, Jack n’a rien fait de mal, dis-je.— D’accord ! Mais je ne le paye pas, pour qu’il baise les clientes avec sa grosse bite. A ce propos, voilà ma facture.
J’y jetais un coup d’œil.
— Quoi ? 2 500 euros pour un phare et un clignotant...— Eh ma petite demoiselle, les pièces, la main d’œuvre tout est hors de prix maintenant !— Vous vous moquez de moi, je ne paierai pas une telle somme.
Il tira de sa poche un appareil photo numérique, et me fit visualiser la photo d’une voiture exactement semblable à la mienne, mais avec l’avant complètement défoncé.
— Si vous ne voulez pas payer, je porte plainte, vu les dégâts sur la voiture accidentée et vu l’aspect impeccable de la vôtre maintenant, je suis sûr de gagner. Alors !!— Vous n’êtes qu’un voleur, un salaud.— Peut-être, mais vous n’avez pas le choix, à moins que. J’ai vu que vous appréciez les grosses bites noires. Tu sais que de te voir complètement nue et ta chatte baveuse mise en valeur par tes bas et ton porte-jarretelles m’excite beaucoup, regarde.
Il fit coulisser la fermeture éclair de sa salopette et sortit son sexe. Il bandait, il n’était pas aussi long que celui de Jack, mais d’un diamètre plus gros.
— Peut-être que si tu me laisses te baiser, ta facture pourrait être divisée par dix !
En disant cela, il était passa derrière moi, et m’enlaça de ses bras. Une petite voix me murmura dans la tête.
— Et pourquoi pas, tu n’as pas jouis tout à l’heure. Et puis Salope, tu as vraiment une addiction aux bites noires et monstrueuses, il est moche gros et affreux, mais ça t’excite, allez accepte ! Et puis encore une histoire pour Alfred, cela atténuera l’accident.
Je capitulai, ma main saisit le gros cylindre dur comme du bois, elle n’en faisait pas le tour.
— Ce n’est pas possible d’avoir une queue aussi grosse.
Il m’entraîna dans une petite pièce à côté de son bureau, il y avait un lit, il s’y laissa tomber. Il me fit mettre à genoux devant lui, et glissa son phallus entre mes seins, me demanda de les presser et il commença à le frotter doucement.
— Oooooohhh putain ! C’est le pied de frotter ma bite entre tes nichons ! Fais-la bien durcir avant que je te baise..— Son diamètre est monstrueux, je veux bien que tu me baises ! Mais je ne sais pas si elle va entrer dans ma chatte ?— Trixie, tu es sûre que tu veux me laisser t’enfiler ma grosse queue ?— Oui, je veux bien, à nouveau excitée.— Alors on va faire les choses dans l’ordre ! Dit-il en s’asseyant sur le lit.— Tu es une bonne petite salope de blanche ! Suce bien la bite de Bob ! Enfonce-la jusqu’à tes amygdales, c’est ça, ouiiiiii !
Avec la grosseur de sa queue, j’avais vraiment du mal à l’avaler, mais je m’appliquai et il se mit à gémir de contentement. Ça m’excita énormément, je mouillai l’abondement ! J’étais de plus en plus excitée. Il fallait que je jouisse, que j’enfile rapidement ce monstre en moi !! Je montai sur ses cuisses, lui passai un bras autour du cou.
— Aaarrghhh ! ta bite est énorme, donne moi une minute pour que j’écarte bien ma chatte avec mes doigts.— C’est quoi ton problème ? Je suis le premier noir qui te baise avec une queue aussi grosse ?— Mais non, tu es loin d’être le premier. Oh oui !! c’est bon enfonce toi bien dans ma chatte !! Je vais te montrer de quoi je suis capable !! Oh oui !! c’est bon, c’est bon.— Oui je vois petite Salope, avec toi, j’ai gagné à la loterie ! Tu viens de t’enfiler toute seule mes 25 centimètres !
Mon foutre lubrifia l’énorme mandrin qui s’enfonça sans discontinuer au plus profond de mes entrailles. Mon premier orgasme me fit hurler de plaisir, je me mis à califourchon sur ses cuisses, et le chevauchai avec furie.
— Putain dis-je, tu n’as pas encore joui.— Je ne suis pas le gamin qui t’a baisé tout à l’heure ! Je sais me retenir!! Allez, tourne toi, que je profite de tes seins.— Enfonce la, encore plus profond et plus vite Bob. Oh putain qu’elle est bonne ta grosse queue.— Tu en veux encore Salope ! Combien de bites ont pénétré ta douce chatte cette semaine ? Celle de ton copain est aussi grosse que la mienne ?— Ouiiiiii. La bite noire de mon pote Gérald est aussi grosse que la tienne, et plus longue.
Il eut l’air déçu de ne pas être le premier à me baiser ainsi. Bob martela ma chatte enfonçant sa bite de plus en plus profondément ! Il grogna tellement fort, que je me demandai si un jour, il avait enfoncé sa grosse bite aussi loin dans une femme.J’étais maintenant à genoux sur le lit, il me pénétra entièrement, me passant un bras autour du cou, il me releva, je tournai la tête et lui donnai un baiser fougueux. J’adorai la façon dont il me tripotait ! J’avais oublié qu’il était très moche, vieux et obèse, il était vraiment trop fort pour me tirer du plaisir.
— Tu a une queue exceptionnelle ! Dorénavant, je ferai l’entretien de ma voiture ici !!— Ta chatte est si profonde, elle mouille si fort et elle enserre bien ma bite, c’est vraiment le pied.— Ouuui, ouiiii enfonce entièrement ton énorme bite. Défonce ma chatte, encore plus fort !!— Petite Salope de blonde, tu vas m’avoir !! Je ne vais pas tarder à jouir !!— Moi, tu m’as donné au moins deux orgasmes. Tu le mérites, mais juste un truc, évites d’éjaculer en moi.
Il repoussa mon buste sur le matelas, m’attrapa fermement aux hanches, les mains sous mon porte-jarretelles, il se mit à trembler, je sentis la contraction de ses énormes couilles, les soubresauts du boa à l’intérieur de mon vagin, et un flot de sperme tiède m’inonda.
— Merde, vous le faites exprès, je ne voulais pas que tu éjacules en moi !— Oooooohhhh putain, je n’ai pas pu résister, c’est la première fois que je déverse ma semence dans une jeune blonde. C’est trop bon. Je n’avais jamais baisé une jolie fille comme toi !
Je repris mes esprits, en le regardant, je me traitai d’obsédée sexuelle, il ressemblait à un monstre vraiment disgracieux, avec les triples bourrelets de son ventre, ses cuisses graisseuses, ses pectoraux flasques recouverts d’une toison grisonnante, sa grosse tête presque chauve, mal rasé, sa grosse bite qui maintenant pendait flasque, ses poils pubiens étaient collés par le sperme. Mais il m’avait énormément fait jouir. J’allai jusqu’à la voiture, je récupérai mes clés. J’étais en train m’habiller quand mon portable sonna. C’était Alfred, je pris l’appel visio.
— Ben dis donc Trixie, il est quinze heures, cela fait un sacré bout de temps que tu es partie ! Il ne t’est rien arrivé ? Mais, mais, recule ton téléphone. Oooohhh, mais je vois que tu es nue avec seulement tes bas et ton porte-jarretelles !— Alfred, rien de bien méchant. J’ai été retardée par un petit incident.— Mais qui est ce gros mec noir, affreux derrière toi ?
Je me retournai, le patron, c’était approché, nu, la nouvelle facture à la main.
— Heu, c’est un garagiste, j’ai eu petit problème avec la voiture.— Tu l’as fait réparer, et pour payer tu as couché avec le gros que je vois derrière toi ?— Oui, c’est un peu ça !— Il est à poil ? Montre-moi sa bite ! Oh putain, quelle est grosse ! Il t’a fait jouir, petite Salope ?
Bon, eh bien ça m’excite tout ça, tu vas te débrouiller pour l’amener à la maison. Allez à tout de suite, je vous attends, je voudrais bien profiter du spectacle moi aussi ! Et tu sais que tu vas avoir droit à une punition pour avoir abîmé la voiture ! Je t’avais prévenu ! Surtout qu’il est comme je les aime, laid, noir, obèse et vieux, je vais adorer le voir te baiser !
— Oui, mais le camion à...
Il raccrocha. Je savais ce qu’il attendait de moi,la punition consisterait a ce que je satisfasse son candaulisme, il adorait me voir baiser par des étrangers, et au plus, ils étaient laids, gros, au plus il aimait cela et si de surcroît, ils étaient noirs, c’était la cerise sur le gâteau. J’avais pris goût à ses jeux érotiques, il me passait tous mes caprices, et de ce fait, il m’était difficile de dire non à ses désirs, du moins ce fut la raison que je me donnai pour obéir, à la punition qui consisterait sûrement à me faire baiser par le garagiste. Je m’habillai, le gros patron me tendit la facture.
— Voilà, la réparation fera 200 euros.— Je peux payer par carte bleue.— Bien sûr et il me tendit la machine.
Je tapai sciemment un code erroné, recommençai trois fois l’opération.
— Ça ne marche pas. Je n’ai pas de chèque, ni d’espèce, comment pourrait-on faire ? Oh, j’ai une idée, Jack peut garder le garage un moment et je vous emmène chez moi. Il n’y en a pas pour longtemps.— Ok , c’est faisable.
Je me garai dans l’allée, Alfred nous attendait sur le pas de la porte. Un sourire égrillard sur la figure.
— C’est ton père, le vieux monsieur ? Me demanda le garagiste.— Non, c’est comment dire, mon patron.— Bonjour monsieur, dit Alfred en lui serrant la main, mais entrez.
Il l’examinait des pieds à la tête, je vis ses yeux pétiller.
— Trixie, me dit-il, c’est parfait. Tu peux aller passer ta tenue de travail, pendant que j’offre un rafraîchissement à Monsieur, puis nous réglerons ta petite affaire, car monsieur est là pour se faire payer sa facture, me dit-il en souriant.
Dans ma chambre, je quittai mon tailleur ne gardant que mon porte-jarretelles et mes bas. Je choisis une nuisette noire complètement transparente s’ouvrant sur le devant, et laissant ma chatte rasée découverte. C’était ce qu’Alfred appelait la tenue de parfaite secrétaire. Je réajustai mon chignon, repoudrai mes joues, surlignai mes lèvres avec du rouge, la glace me renvoya l’image d’une fille blonde, ma foi assez appétissante, aux seins fermes, aux jambes galbées. J’enfilai un déshabillé complètement diaphane, satisfaite de mon apparence, je retournai au salon. Je ne croisai pas Victor le majordome.Lorsque j’entrai, le gros garagiste eut un hoquet de surprise, du whisky de son verre se répandit sur la moquette. Il émit un long sifflement.
— Ooooohhh putain, dit-il, elle est merveilleuse, je... je n’en reviens pas.— N’est ce pas dit Alfred, elle est vraiment splendide. C’est sa tenue de travail !— Quoi ? Toute la journée, elle est ainsi !! Non, moi, je ne pourrai pas résister.— Elle vous fait bander, mais peut-être vous a-t-elle déjà fait éjaculer, demanda Alfred avec un sourire. C’est l’effet recherché.— Oh putain oui !— Trixie approche, me demanda Alfred.
Ce que je fis d’une démarche chaloupée, je voulais exciter à mort le gros garagiste. Alfred écarta les pans de la nuisette pour bien dégager ma chatte.
— Elle est rasée, avec deux doigts, il écarta mes grandes lèvres, regardez son petit nid d’amour, cela vous plaît-il ?
Avec son majeur droit, il parcourut la longueur de ma fente et dégagea mon clitoris.
— Vous aimez ? On dirait que oui, votre salopette est vraiment boursouflée. Mais au fait ! Pourquoi a-t-elle eu besoin de vos services ?— Ben elle a eu un accident, un phare, un clignotant.— Trixie chérie, va libérer le monstre qui tend le pantalon de monsieur, tu sais que tu as droit à une punition, pour avoir cassé la voiture !— Oui, répondis-je penaude, j’avais accepté cette condition.
Je m’approchai du gros garagiste, descendis lentement la fermeture éclair de son vêtement, il était nu dessous. Je passai derrière lui et lui quittai les manches faisant sortir ses pectoraux flasques et velus, la descendis sur ses hanches libérant les bourrelets de son ventre couverts eux aussi de poils grisonnants qui rejoignaient la touffe hirsute surmontant son énorme bite raide et tendue et ses monstrueuses couilles. Il s’extirpa de sa salopette et resta planté devant moi.Alfred avait les yeux qui pétillaient, le spécimen qui allait me baiser devait lui plaire, tant au niveau de la laideur que de la grosseur de ses attributs sexuels. Il appuya sur une sonnette, Victor apparu comme par enchantement.
— Trixie a embouti, la nouvelle voiture, et ce Monsieur attends le paiement de sa facture. Mais je crois qu’elle mérite une punition !— Le coupé que vous venez d’acquérir, oui elle mérite une punition ! Pourquoi pas, voyons voir, une flagellation ! En plus, elle ne déteste pas, n’est ce pas Trixie ?
Il était derrière moi, et sur un signe de tête d’Alfred, il ôta mon déshabillé.
— C’est vrai Victor, répondis-je, je ne déteste pas.— Oh Putain, c’est pas vrai s’exclama le gros noir, en roulant des yeux étonnés, vous allez vous laisser fouetter ? Devant moi ?— Eh bien oui, répondis-je, comment l’expliquer. Il faut que ça commence lentement et doucement, d’après mon expérience, puis on augmente en rythme et en intensité, de manière à faire croître l’extase. Imaginez une musique qui débute doucement et lentement, puis s’oriente vers une puissance allant crescendo. C’est quelque chose de ce genre, mais il faut toujours que la douleur reste dans les limites du supportable, et surtout que les coups ne laissent aucune marque sur la peau ! Et ainsi si on se laisse aller, la souffrance peut agir comme une porte donnant sur d’autres dimensions, comme une drogue, elle peut nous emmener dans des endroits où l’on n’a jamais été. C’est une expérience qui peut vraiment faire bouger des choses à l’intérieur de nous, et nous amener jusqu’à la jouissance totale. D’autant que la libido de notre tourmenteur et elle aussi exacerbée, et que le coït qui suit obligatoirement, doit nous faire exploser de volupté. Car c’est bien ainsi que je veux être punie, et Victor est passé maître dans l’art de la flagellation !— Je vois que ces Messieurs sont aussi excités que moi, Monsieur, voulez-vous que l’on fasse subir à mademoiselle Trixie, cette petite séance de flagellation ? Pourquoi ne pas mettre en pratique ce qu’elle vient de nous expliquer ?
Sans attendre la réponse, il sortit une cravache et une paire de bracelets reliés par une fine chaînette, d’un tiroir.
— Ah oui, dit-il, j’avais oublié le godemiché avec les petites vésicules. Elle devrait l’apprécier en dessert !
Il sortit aussi le dildo. Une boule de plaisir, se forma dans le bas de mon ventre. Je suis vraiment une salope, pensai-je. Ma nuisette complètement transparente, s’arrêtait tout juste un peu plus bas que la ceinture de mon porte-jarretelles. Elle était fermée lâchement par deux rubans, mais laissait voir ma chatte bien rasée, et était retenue par de fines bretelles nouées sur les épaules. Je n’avais pas mis de soutien-gorge, devant Alfred et le gros pousha noir, je dénouai les attaches qui fermaient les fentes du tissu sur mes aréoles les écartai, et offris mes deux globes fermes à leurs regards, puis je pinçai mes mamelons pour les faire durcir. Victor, lui s’extirpa de son pantalon, seulement vêtu de son gilet rayé jaune et noir, il me fixa en souriant avec des yeux gourmands, tenant la cravache d’une main et de l’autre se calottant et décalottant sa monstrueuse bite en érection. Avec son index, il me fit signe d’approcher, j’obéis, il était à deux mètres devant Alfred.
— Si Mademoiselle veut bien me donner son poignet.
Le métal froid se referma avec un clic, cela me fit frissonner. Clac le second bracelet se referma. Il attacha une fine corde à la chaînette des menottes, grimpa sur une chaise pour faire passer la corde par-dessus une solive du plafond. Son énorme rouleau de chair toujours bien tendu entre ses jambes frêles et ridées. Il tira lentement sur la corde, mes bras se relevèrent au-dessus de ma tête. Cette position avait largement fait remonter ma nuisette jusqu’au niveau de mes hanches. Le bout de son gland rose, était à hauteur de ma bouche, il dépassait à moité de son prépuce. Je le pris entre mes lèvres et le mordillai assez fortement.
— Aie, Voyez Monsieur, elle veut vraiment être punie !! Elle a une chatte superbe, ne trouvez-vous pas Messieurs ?
En disant cela, il passa le bout de la cravache sous la lanière de mon porte-jarretelles à hauteur de mon bas, et le remonta lentement le long de ma cuisse, puis le dirigea vers la fente de mon sexe, et titilla mon clitoris. Le bout de cuir continua son ascension, faisant plusieurs fois le tour de mes aréoles, frôlant les bouts turgescents de mes seins qui pointaient hors de la nuisette. Il dirigea ensuite la claquette sur mes épaules et repoussa les ganses des fines bretelles sur mes épaules à la naissance de mes bras.
— Il va falloir que tu les dénoues avec tes dents, pour que ta nuisette tombe toute seule. Tant qu’elle ne sera pas à tes pieds, je frapperai tes seins et tes mamelons...
Le premier coup tomba, assez fort. Je le regardai en souriant, il frappa l’autre sein. Puis un déluge de petits coups s’abattit à tour de rôle sur chacun de mes tétons. Ma poitrine se tendit vers la cravache. Mais, au bout d’un moment mes mamelons et mes seins durs comme de la pierre commencèrent à me faire un peu mal. Je réussis avec mes dents à dénouer le nœud de mon épaule gauche.
— Bien, tu aimes ça, hein ?? La morsure de la cravache !— Oui, j’ai mal. Mais j’aime.— Alors ne te presse pas ! Pour défaire le nœud !
Le temps que je réussisse à dénouer mon épaule droite, il me sembla que, sous les coups, mes seins avaient doublé de volume. La nuisette tomba sur mes chevilles. Les lèvres du vieux Victor effleurèrent ma chair durcie avant de se refermer sur mes mamelons en érection, il se mit à les téter goulûment et sauvagement, je geignis.
— Salope ! Tu me fais bander ! Ça m’excite de te flageller !
Bien qu’il soit âgé, Victor avait l’art de faire naître la volupté chez moi. Ses dents mordillaient mes tétons turgescents, ses lèvres descendirent sur mon ventre et coururent sur ma peau frémissante. Puis il se recula, le manche de la cravache remonta lentement à l’intérieur de ma cuisse, je me cambrai, jambes à demi ouvertes, fixant langoureusement les deux spectateurs qui bandaient comme des ânes. Le bout de cuir glissa entre mes lèvres humides pour titiller mon clitoris. Puis Victor l’enfonça doucement entre mes parois vaginales après quatre ou cinq allers et retours le manche était abondement recouvert de cyprine. Il s’approcha du gros noir, qui tenait une érection monstrueuse.
— Voulez-vous goûter Monsieur ?
Tout en me regardant avec des yeux brillants de désir, celui-ci suça avec délice le manche gluant.
— Allez tourne toi.
Victor quitta mes talons aiguilles, je me retrouvai sur la pointe des pieds. Je sentis la douce caresse de la languette de cuir descendre lentement le long de mon dos, je serrai les fesses en attendant le coup. Il n’y en eut pas, la claquette se repositionna sur mon épaule gauche et Victor la promena en zigzag sur mon dos, je serrai à nouveau les fesses, rien !! Je me décontractai, le coup fusa sur mon flanc !! Puis sur l’autre, puis sur mes fesses, mes omoplates. Je me débattis en me lançant en avant et en arrière, mon ventre tressauta, mes seins dansèrent la sarabande. Je tournoyai sur moi-même, offrant à ses coups mes seins, mon ventre, mon sexe. Mais je trouvais qu’il retenait énormément ses frappes, il fallait que je l’énerve un peu. Je savais qu’il était un tantinet jaloux lorsque je me faisais baiser par un autre homme, j’allais jouer là-dessus.
— Vas-y Victor, frappe, tu peux me punir, ce n’est pas toi qui va me baiser !! Tu as vu avec quoi je vais prendre mon pied. Par rapport au Salamis du Monsieur, ta bite ressemble à une merguez !!— Tiens Salope, tiens.— Ouiiiiii, ouiiiiiii, c’est ça, continue. Rien que de penser à la grosseur de la bite que le Monsieur va enfoncer dans ma chatte, Aiiiiieeee.
Un coup bien plus fort que les autres me cloua le bec. Comme je leur avais expliqué, il arrive un moment où la flagellation devient un plaisir, elle stimule les terminaisons nerveuses de tout le corps, ainsi que les zones érogènes. Il continua ainsi pendant plusieurs minutes, mais avec ma position sur la pointe des pieds, les bras tirés au maximum, les seins tendus à l’excès, je sentis durcir les muscles de mes cuisses, mes gémissements de jouissance se transformèrent en halètements. Alfred s’en aperçut, bien que passablement excité, il demanda à Victor de me remettre mes chaussures et de détacher la corde. Je rechaussai mes talons aiguilles et Victor détendit la corde.
Victor s’empara du godemiché. C’était un Gode Extrême, un dildo nouvelle génération, recouvert d’un relief stimulant fait de petites excroissances assez dures. Il était fait en vinyle noir, une matière offrant l’harmonie parfaite entre souplesse et fermeté. D’une Longueur de 28 cm, d’un diamètre de 6,60 cm. La main de Victor armée de l’impressionnant appareil en forme de verge s’approcha de ma vulve. Il la passa doucement sur mon entrecuisse entre mes lèvres sans me pénétrer, les vides entre les aspérités se remplirent de mon liquide séminal. Ma respiration se fit plus rapide.
— Oui, frotte-la doucement, j’aime l’entendre gémir de plaisir, dit Alfred, frotte plus bas, là c’est mieux, attends ne la pénètre pas encore.— Elle aime ça, vous savez monsieur, elle coule comme une fontaine.
Mon vieux patron se masturbait maintenant avec vigueur. Il allait éjaculer, il prit le godemiché des mains de Victor et déversa sa semence sur le bout en forme de gland, avec soin, il éjacula sur tout le tour, entre les aspérités.
— voilà, du lubrificateur, tu peux le lui mettre dans la chatte.
Victor, passa derrière moi et fit pénétrer doucement le bout gluant du liquide séminal, le tournant doucement pour que ma chatte s’imprègne bien du sperme d’Alfred. Puis avec deux doigts, il me décapuchonna le clitoris ne me le titilla doucement avec le bout du gland, le faisant croître et gonfler. Je gémis sans discontinuer, il était un expert. Le bout de latex granuleux, taquina mon sexe humide, joua avec mes lèvres gonflées, s’enfonça dans ma fente qui ne cessait de s’élargir. Lorsqu’il le ressortit, les petites excroissances griffèrent mes parois vaginales avec délice me tirant des hoquets de plaisir.Victor tint le gode d’une main ferme, je fis des mouvements de hanches de bas en haut et de haut en bas, fis tourner mon ventre autour de l’engin. Mes parois s’enflammèrent, mon rythme de pénétration s’accéléra. L’orgasme arriva.
— Regardez Messieurs, elle jouit comme une Salope !!
Effectivement, un volcan interne déversa sa lave, l’orgasme commença, et la jouissance qui me submergea redoubla lorsque Victor me frotta le clitoris avec son pouce. Je me tordis en tous sens hurlant de bonheur, mes muscles vaginaux se resserrèrent autour du godemiché, mon sexe était un vrai brasier.Le gros noir vraiment excité par ce qu’il venait de voir, se masturbait la bite, qui bien que la graisseuse avait une rigidité phénoménale. Le diamètre et la longueur étaient vraiment impressionnants. La vue de ce membre démesuré tendu au maximum, m’avait titillé le bas-ventre, pendant toute la séance de flagellation. Il était évidant qu’Alfred m’avait dit de faire venir cet homme pour satisfaire son candaulisme. Il voulait me voir baisée par ce monstre, obèse, noir et laid. Le garagiste était assis sur un fauteuil, sa bite turgescente tendue vers le plafond. Alfred me poussa vers lui.
— voilà elle et à vous ! Faites la jouir à nouveau !
Me prenant par les mains, il me fit asseoir de face sur ses cuisses, le gland de son sexe rigide me chatouillait le dessous des seins. il me mordilla les mamelons durcis par le désir, me faisant à nouveau gémir d’excitation. Je me levai, avec deux doigts, j’écartai les lèvres de ma chatte, il mit son énorme gland circoncis à l’entrée de mon vagin. Mon foutre coula sur sa verge. Mes seins étaient tendus et mes tétons frottèrent contre les plis graisseux de ses pectoraux glabres. Je descendis lentement. Son pénis était rigide comme un pieu, je ne savais pas par quel miracle une masse graisseuse comme lui pouvait avoir une bite aussi dure. Son gland m’écarta les parois vaginales, je descendis en forçant, le gland peinait à entrer pourtant, je ruisselai. Je me relevai et puis redescendis un peu plus violemment. Son gland entra entièrement, je fis plusieurs tractions gagnant chaque fois deux ou trois centimètres.
— Oui, c’est bien, c’est bien, encore, encore plus profond haletait Alfred !
Sa queue était maintenant enfoncée d’une dizaine de centimètres, j’augmentai la vitesse des va-et-vient, les zones érogènes et les plus sensibles d’une femme se trouvant environ à cette distance, cela me fit beaucoup d’effet. Je commençai à râler de plaisir de me sentir mon sexe rempli par cette énorme bite noire, je voulus l’enfoncer encore plus profondément en moi. Je contractai mes parois, chaque contraction fit que le monstrueux rouleau glissait un peu plus loin. Le monstre adipeux, avait l’air d’aimer cela, il donna de petits coups de reins qui firent coulisser encore et encore plus profondément son sexe. Son gland frotta le col de mon utérus, je me laissai retomber. Il glissa au plus profond et il me sembla que le bout en vint à buter le fond. Mais j’avais avalé entièrement les vingt-neuf centimètres de sa bite. Je tressautai sur place pour m’en assurer.
— Oh putain. Oui, Salope pensai-je et tu aimes ça, les queues énormes, et noires !! — Putain petite Salope tu as pris entièrement sa grosse queue ! Se délecta Alfred.
Je ressentis quand même une étrange fierté ! Qui m’excita un peu plus. Je commençai alors à me trémousser d’avant en arrière, sa queue bien plantée en moi. Je m’empalai avec vigueur sur son membre. Il recommença plusieurs fois, à chaque pénétration, la brûlure de cette énorme bite, écartela ma vulve et emplit entièrement mes entrailles. Il avait oublié ce qu’il m’avait dit, qu’il serait doux avec moi. La frénésie sexuelle le gagnait. Il me mordit les bouts de tétons. Je hurlai, de douleur et d’extase. Il m’avait saisi aux hanches, me levait et me rabaissait de plus en plus vite, il haletait de plus en plus fort. Je sentis aux spasmes de sa queue qu’il était prêt à déverser son sperme, j’allai moi aussi jouir sans tarder. Il m’empala une dernière fois, et me tenant plaquée fermement sur ses cuisses en me tenant fortement aux hanches. Son énorme bite frottant le fond de mon utérus, il se libéra avec de grands hoquets à chaque fois qu’une giclée de son sperme coulait en moi.
C’était la seconde fois qu’il éjaculait son sperme en moi La répulsion de me faire emplir par la semence d’un tel monstre, me souleva le cœur. Il me semblait que j’étais devenue sa chose, cette masse gélatineuse et repoussante me possédait brutalement, cela me procurait un certain dégoût, mais cette sensation glauque accroissait mon plaisir.
Une onde brûlante parti de mes entrailles et irradia mon ventre, je me tendis en arc de cercle, comme pour enfoncer son pieu encore plus loin en moi et mieux recevoir son liquide séminal tiède qui continuait de s’écouler, et je hurlai mon plaisir comme une bête. Je voulus me relever, mais il me maintint fortement par les hanches, en me levant et me descendant doucement le long de sa hampe qui malgré son éjaculation n’avait presque rien perdu de sa rigidité.
J’étais consciente que j’adorais me faire empaler par ces bites monstrueuses. Lorsqu’enfin, il débanda, lorsqu’il sortit son sexe adipeux suintant de mon foutre et de son sperme de ma vulve, il y eut comme un bruit de succion, un flot de sperme s’écoula de ma chatte sur ses cuisses. Il m’ordonna de lui lécher le sexe jusqu’à ce qu’il soit propre. Et de nettoyer le fauteuil, ce que je fis avec application déglutissant à chaque coup de langue le sperme recueilli, en regardant voluptueusement Alfred qui était aux anges, il avait d’ailleurs éjaculé une seconde fois.
— Je crois que tu viens de te faire pardonner pour l’accident, dit celui-ci en rigolant.
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