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Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 19

Des vacances façon Vaudou

Avec plusieurs hommes
Un soir après dîner Alfred me dit.
— Je suis plus qu’enchanté de tes services, et de ta gentillesse. Tu es vraiment parfaite avec moi, et même plus que cela ! Aussi, j’ai décidé maintenant que les beaux jours sont là, de t’offrir des vacances au soleil dans une villa aux caraïbes. Nous emmenons Victor avec nous. Maxime m’a dit qu’avec son copain Gérald, ils viendraient nous rejoindre dans une semaine, je leur paye le voyage, j’ai loué une superbe maison.
En effet, la résidence était vraiment luxueuse. Il ne manquait rien. Un immense jardin avec une pelouse impeccable en faisait le tour. Une allée bordée de palmiers et de tamaris amenait à une grande piscine, ou plusieurs formes ovoïdales étalaient une eau limpide et chaude sur environ soixante mètres carrés.
Le bassin principal se trouvait sur une terrasse surplombant une vallée. Il était au soleil presque toute la journée. Les abords décorés de gros rochers, de plantes grasses et de palmiers dispensaient une ombre salvatrice, Alfred nous avait trouvé un petit paradis.
C’était l’après-midi, j’étais en train de bouquiner tranquillement dans la fraîcheur du living, tempéré par la climatisation, nue sous ma nuisette, car Alfred voulait à tout prix que je continue à m’habiller, comme il le désirait. Nuisette complètement transparente, qui ne cachait rien de mon corps, elle possédait même des fentes pour laisser sortir les pointes de mes seins et s’arrêtait juste en dessous du porte-jarretelles que je devais porter, avec des bas foncés ce qui laissait ma chatte bien rasée offerte aux regards. Je m’étais habituée à évoluer ainsi. J’étais heureuse et m’épanouissais dans mon nouvel univers, bien que de temps en temps Alfred, assouvisse son candaulisme en me faisant prendre par Victor, ou assiste discrètement à nos séances de baise lorsque Maxime ou son copain ou même les deux viennent me voir.
Il aimait aussi, me faire baiser par des individus, qui la plupart du temps étaient gros, laids, diront nous disgracieux physiquement et s’ils possédant un énorme sexe, il est aux anges. Il avait même assouvi son fantasme le plus pervers en me faisant prendre par le poney du vieux Louis !
Je dois dire que j’y prenais un certain plaisir ou plutôt un plaisir certain, après la censure intériorisée par la gent féminine après des siècles d’oppression de leur plaisir, être une femme, à qui on permet d’être active sexuellement, est maintenant une liberté. La société accorde cela plus facilement aux hommes qu’aux femmes. La répression sexuelle, imposée aux femmes a laissé des traces.
La perspective de mon corps à corps enflammé avec un homme totalement inconnu qu’il soit gros et laid, même vieux, dans une situation imprévue, décroche la palme de mon désir impérieux et débride littéralement ma libido féminine. Sachant que l’inconnu mâle, même disgracieux, s’avère huit fois plus excitant que les autres. Mon amant officiel est souvent distancé, quant au copain de longue date, il ne suscite à ce moment plus aucun attrait sexuel. L’érotisme fonctionne le mieux dans l’imprévu et avec des inconnus,
Lorsque je défais la ceinture du partenaire choisit par Alfred, j’aime deviner son gros sexe bandant sous le tissu du caleçon, et je guette cet instant où il va surgir pour moi, la veine principale palpitante de désir. Il n’est jamais tout à fait le même, souvent gros, dur, noir, je touche, j’embrasse, je lèche, j’aime me dire que ce bronze puissant, que je regarde, va renverser mes sens. J’ai une excitation optimale, devant le sexe en érection. Une ultra-réactivité visuelle qui m’apporte une preuve de plus que le désir féminin, à la base, est tout ce qu’il y a de plus animal, et peu m’importe l’apparence physique du propriétaire, même si au fond de moi j’éprouve une certaine répulsion, cela attise encore plus ma libido. J’ ai envie de tout lui donner quand je vois qu’il me veut, moi, au point qu’il peine à canaliser son désir.
Lorsqu’il a le souffle court avec une impatience un peu bestiale, je ne raisonne plus, c’est comme une pulsion-réaction, une sorte de pilotage automatique primal, je me sens femelle comme jamais, arrimée à son sexe, qu’il soit un apollon ou ressemble à Quasimodo !
Il s’avère clairement que les émotions sexuelles que je ressens lorsque je vis une telle relation sexuelle détrône haut la main les facteurs hormonaux, supposés pénalisants pour la libido des femmes.
La maison était silencieuse, il faisait très chaud, les deux hommes devaient faire la sieste. Alfred, était assez fatigué, il y avait plus de dix jours que nous étions là, il ne m’avait pas fait faire de jeux érotiques avec Victor, et étant en vacance, je n’avais vu ni Gérald, ni Maxime. Je n’avais eu aucun rapport sexuel, au moins depuis trois semaines. Ça commençait à me manquer ! Bravant l’interdiction du vieil Alfred, qui avait interdit à Victor de me baiser hors de sa présence, je partis à la recherche du majordome et de son phallus de plus de vingt-huit centimètres en érection.
Je trouvai ce vieux vicieux de Victor dormant tout nu, dans mon lit. Son énorme queue, à moitié décalottée pendait flasque sur le côté, elle était impressionnante ! Mais Alfred avait choisi son domestique en fonction de cette particularité, car le vieux pervers aimait me voir baiser par des queues énormes et surtout si en plus elles étaient noires, et que l’homme était assez laid !! Victor n’était vraiment pas un apollon, il avait plus soixante dix ans sa peau était assez flasque sur son ventre, ses bras et ses jambes n’étaient pas musclés, ses mains commençaient à se rider, mais il avait une bite énorme et super efficace, des bourses assez conséquentes et surtout, il savait s’en servir et me faisait fortement jouir et ça compensait le reste.

Je me mis devant le pied du lit et commençai à me trémousser pour le réveiller, me caressant les seins et la chatte en l’appelant doucement. Victor ouvrit les yeux, je lui tournai le dos. En un rien de temps, il fut contre mon dos, ses lèvres se posèrent dans mon cou, mordillèrent le lobe de mes oreilles. Ses mains glissèrent, le long des lanières de mon porte-jarretelles effleurèrent ma chatte et
remontèrent le long de mes flancs pour enserrer mes seins et titiller mes mamelons.Sa main gauche se mit à me masturber doucement la fente et à m’exciter le clitoris tandis que sa langue se nouait à la mienne.Je montai devant lui à genoux sur le lit. Il baissa les bretelles de la nuisette, elle tomba sur le lit.
— Mais, mais Alfred ! Marmonna-t-il.— Oui, je sais ! Mais il y a longtemps, que je n’ai pas baisé, et ta grosse bite m’excite, et moi aussi, je t’excite, regarde ta queue, tu bandes ! Et buis le vieil Alfred dors !
Je lui caressai la verge, elle s’était tendue rigide en arc de cercle et elle remonta fièrement bien plus haut que son nombril fripé. Je frottai mes mamelons durcis contre sa poitrine parsemée de poils blancs, suçai ses tétons et ma bouche descendit pour se saisir du gland turgescent. Ma main caressa la hampe raide sur sa longueur, ma bouche aspira le gland, puis descendit le long du phallus. Ma langue lécha ses couilles l’une après l’autre.
Je savais que Victor adorait mes tétons, ils étaient durs et gonflés, je pris sa bite de, la frottai sur mes aréoles puis j’essayai de faire entrer les petits cônes bruns dans la fente de son méat. Il était aux anges.
Il me coucha sur le lit, il n’eut aucune peine à enfiler entièrement son énorme mandrin dans ma chatte qui ruisselante était grande ouverte. Il m’embrassa à pleine bouche, puis me mordilla le bout des seins.
Tout cela ne se fit pas sans gémissements et petits cris de plaisir de notre part...Au bout de cinq ou six minutes d’intenses pénétrations de cette grosse queue, Alfred m’appela, ses pas se dirigèrent vers ma chambre.
— Oh là là, s’il me trouve avec toi sans sa permission, il est capable de me renvoyer à la maison, en France, murmura Victor.
Je le poussai dans le placard servant de penderie, et me recouchai sur le lit.
— Oui Alfred, je suis là, sur mon lit.
Il entra dans la chambre, revêtu seulement d’un slip. Je n’étais pas tranquille, quelle serait sa réaction ? Il s’approcha du lit, je baissai son slip. Il s’allongea à coté de moi, et me caressa la chatte.
— Dis donc tu es trempée, les draps sont aussi mouillés. C’est Victor qui te baisait ? Me demanda-t-il d’un air suspicieux.— Ben non, je rêvai que je me faisais baiser par un grand noir, ça m’a réveillé et je me suis masturbée..— Coquine, tu adores les noirs avec des grosses bites, et surtout celle de Gérald petite Salope, mais c’est bien ainsi, j’adore le voir te baiser !— Oui, Alfred j’adore me faire baiser par un noir, et surtout par Gérald et son énorme queue et je crois que je jouis deux fois plus si il y a un blanc qui le regarde éjaculer dans ma chatte.— Tu es vraiment une petite vicieuse, mais j’aime ça ! Et tu viens de me donner envie de te baiser !
En disant cela, il me souleva la jambe et enfila sa petite queue à l’endroit que le majordome venait de quitter, celle de son domestique était nettement plus grosse.La porte du placard s’entrebâilla et Victor, la bite bien dressée me montra qu’il se masturbait vigoureusement. Alfred ne mit pas trop longtemps à jouir. Victor, s’était approché à pas de loup dans le dos d’Alfred, tout en continuant à se branler.
— Je dormais, dit-il, mais vos ébats m’ont réveillé et cela fait un petit moment que vous regarde Mademoiselle et Monsieur et cela m’a excité. Monsieur, me permettrait-il d’éjaculer dans la bouche de Mademoiselle.— Je vous en prie Victor, mais vous voulez profiter de la chatte de Trixie, je vous donne la permission d’y déposer votre semence ! Je suis toujours admiratif de vous voir lui faire l’amour !— Oh merci Monsieur !
Le majordome fit rapidement le tour du lit, ça urgeait, il eut juste le temps d’enfiler son énorme bite dans ma chatte béante, gluante du sperme d’Alfred. Comme chaque fois que le domestique jouissait, il expulsait une grande quantité de liquide séminal. J’attendis que ses spasmes cessent, aspirai le bout de son gland, puis me tournant vers Alfred, je lui montrai en ouvrant la bouche le sperme visqueux blanc et tiède de Victor, puis je l’avalai par petites saccades, en regardant langoureusement le vieil Alfred.Le lendemain après midi, Victor arriva avec une robe bleu pâle sur le bras, il avait l’air un tant soit peu irrité.
— Monsieur demande à ce que tu le rejoignes au bord de la piscine, il voudrait te présenter les jardiniers qui s’occupent de la piscine. Il aimerait que tu passes cette robe. Et puis pourquoi ne portes-tu plus le collier de seins que je t’ai offert, il ne te plaît pas !
Il s’approcha, fit glisser les bretelles de la nuisette sur mes bras, elle tomba à mes pieds.
— Si, j’adore la sensation délicieuse que me procure le serrement de mes tétons par les petits rubans noirs. Cela les tient dans une érection quasi-permanente. Tu peux me le mettre, il est dans le petit écrin.
Victor ne put s’empêcher de faire rouler mes tétons entre son pouce et son index, avant de resserrer les nœuds coulants. Il se mit à genoux devant moi, en profita pour me faire un léger doigté. Après avoir dégrafé les attaches de mes bas, il les roula sensuellement le long de mes jambes, et sa langue envahi ma chatte, ses lèvres aspirèrent mon clitoris. Il dégrafa l’attache dorsale de mon porte-jarretelles.
— Trixie, je suis fou de toi, de ton corps, je crois que je suis amoureux de toi. Laisse-moi te pénétrer avant que le vieux grigou, ne te fasse baiser devant lui par les deux jeunots !— Ah, ce sont des jeunes ?— Oui, un blanc et un noir, mais laisse moi éjaculer dans ta chatte, cela me calmera un peu !— Tu sais Victor, j’adore ta grosse queue, mais ce n’est que physique. Mais cela te rend si malheureux qu’Alfred me fasse baiser par les deux garçons ! Alors, allez, vas-y, prends moi. Çà devrait être intéressant qu’ils éjaculent après toi, lui répondis-je en souriant.— Petite vicieuse !
Il me coucha sur le lit et me prit assez férocement, jusqu’à qu’il se vide de sa semence ! Puis à regret, il m’aida à passer la robe, on aurait dit une seconde peau. Le tissu était très mince, elle n’avait pas de bretelles, s’arrêtait dix centimètres au-dessous de mon entre-jambe. Victor tira un peu sur le bas pour mieux la faire épouser mon corps, il la lissa sur mon ventre, sa main descendit sur mon pubis.
— Parfait, Monsieur sera ravi., on voit presque les lèvres de ta chatte, c’est très sexy.
Je me regardai dans une glace, en effet, on eut dit que mes mamelons, emprisonnés par les boucles, désiraient transpercer le haut de la robe, mes aréoles se dessinaient parfaitement. La robe entrait dans la raie de mes fesses.Je me dirigeai vers la piscine rejoindre Alfred. La conversation roulait bon train avec les jardiniers, couchés à l’ombre sur des transats. Il était entre un grand noir avec une barbiche et de longues Dresdes noires, vêtu d’un short vert qui lui descendait à mi cuisse et un métis beaucoup plus costaud qui ne portait qu’un slip bleu foncé.
— Ah voilà notre beauté. Trixie je te présente Amosa en me désigna le grand et celui la c’est Badou. Ce sont nos jardiniers. Ils s’occupent de la piscine !
Ils ôtèrent leurs lunettes noires, et se redressèrent sur leurs sièges. Je savais pourquoi Alfred m’avait demandé de le rejoindre. Je passai entre lui et Amosa, me penchai pour lui déposer un baiser sur la joue du vieil Alfred, ce qui permit à son voisin de voir que j’étais nue sous ma robe. Je me tournai vers lui et lui serrai la main. J’allai ensuite saluer son copain faisant saillir ma poitrine pour qu’il puisse bien apercevoir mes tétons qui dardaient emprisonnés par les nœuds coulants sous le mince tissu. Je me reculai, et me caressai le corps à travers la robe, la relevant au ras de mon pubis. Je déchaussai mes talons hauts.
— Alfred, il fait vraiment chaud, puis-je me baigner ? Mais je n’ai pas de maillot !— Tu es en vacances, tu fais comme bon te semble !!— Mais il y a du monde !— Oh tu sais, je crois, que comme ils entretiennent des piscines, ils doivent avoir l’habitude de voir des jeunes femmes nues, me répondit-il en souriant.
J’étais à un mètre du grand noir, lentement, je découvris un sein, puis l’autre, on entendait les mouches voler. Je fis semblant d’arranger les clips de mes tétons. J’entrai dans l’eau et sur la première marche de l’escalier, je leur dévoilai langoureusement mon corps bronzé en faisant passer ma robe par-dessus ma tête. M’appuyant sur un rocher, je me caressai les fesses en cambrant les reins en direction d’Amosa, lui offrant la vue de ma chatte rasée.Il réagit sur-le-champ, il entra dans la piscine derrière moi, et m’arrosant les fesses il me caressa les jambes doucement effleurant mon entre jambes. Puis sa bouche se posa dans mon cou, ses mains prirent possession de mes seins, il me titilla les tétons tandis que sa langue envahit ma bouche.Ma main partit à la rencontre de sa queue, elle descendit jusqu’au gland qui affleurait le bas du short sur la cuisse.
— Eh bien Trixie, il ne faut pas faire de jaloux, viens faire plus ample connaissance avec Badou, me dit Alfred. Il est curieux de voir ton collier de seins de plus près !
Je me dirigeai vers lui, me penchai et plaquai mes lèvres sur les siennes, ma main descendit le long de ses pectoraux glabres, glissa sur son ventre et caressa sa bite à travers son slip. Amosa s’était collé contre mes fesses et frotta son énorme queue à travers son short le long de la raie offerte. Il commença à bander. Son collègue éternisa son baiser, sa langue entra et sortit de ma bouche.
— Tu sais Amosa, dis-je si ta queue est aussi habile que ta langue ça ne devrait pas être mal.— Oui dit, Alfred, attends Trixie mets ta jambe sur le transat, je me rapproche pour que je ne rate rien !
Le noir laissa Alfred changer de place, et tandis que Badou me suçait le bout des seins, malaxant mes globes bronzés, la bouche de son copain vint se plaquer sur ma chatte déjà moite. Sa langue titilla et lécha mon clitoris, elle s’insinua ensuite dans mon conduit vaginal le pénétrant rapidement, ses lèvres aspirèrent mon foutre. Il décapuchonna mon clitoris et le fit rouler en le pinçant entre ses deux doigts, je gémis de volupté.
— Putain, Monsieur regardez, vous avez vu son clitoris, c’est la première blanche que je baise qui en a un comme ça ! Elle est merveilleuse, cette fille, vous avez de la chance !
Sa langue s’insinua de partout, allant de mon petit bouton à mon orifice vaginal où elle s’enfonça au plus profond, léchant sous mes lèvres, je me tortillai dans tous les sens. Ce fut son index qui prit la place de la langue rose, rejoint bientôt par trois autres longs doigts noirs qui entamèrent un rapide ballet dans ma vulve poisseuse. Il alterna les succions de sa bouche, la pénétration de ses doigts. Je crois que c’était le meilleur cunnilingus que l’on ait pu me faire.J’avais sorti de sa prison de tissu la bite de Badou. Elle était aussi assez conséquente, moins longue que celle de son pote environ une vingtaine de centimètres, mais ma main n’en faisait pas le tour. Elle avait la peau tirée et luisante, sa couleur tirait sur le rose foncé. Ma bouche engloutit le gland et je m’appliquai à le téter sans descendre ma bouche le long de la bite arquée.Le membre tendu d’Amosa effleura mon conduit vaginal.
— Mets toi à genoux sur le transat et tu écartes les jambes, me dit Alfred, cela me permettra d’avoir une meilleure vue sur ta chatte !
Le grand noir barbu, s’empara de mes seins, et les triturant, pinçant les pointes, il enfila lentement sa grande queue noire dans ma vulve.
— Vas doucement dit Alfred à Amosa. J’adore voir ton énorme bite noire pénétrer Trixie, et toi ma chérie, tu aimes aussi ?— Putain oui, elle n’est pas aussi grosse que celle de Gérald. Mais j’en raffole Alfred ! C’est bon. C’est bon. Accélère, accélère.
Celui-ci s’était mis juste derrière le grand noir, il voyait les bourses noires rebondir à chaque pénétration. La queue de Badou disparaissait maintenant presque toute entière dans ma gorge, il tressautait sur place. Il demanda alors à son copain de bien vouloir changer de place.Il me mit de dos contre lui, jambes bien écartées de chaque côté du transat.
— Regardez, Monsieur comme elle aime se faire baiser !
D’un coup m’appuyant sur les hanches, il m’empala. Je hurlai de contentement.
— Tu aimes, salope.Tu aimes les grosses queues noires, dit le au vieux monsieur.— Oui, oui Alfred j’adore les bites noire, mais tu le sais. Encore, encore plus vite, fait la rentrer au fond.
Émoustillé par mes paroles, il accéléra la cadence pendant ce temps Amousa me tripota les seins, me caressait le ventre, me titilla le clitoris, il me présenta son gland décalotté pour que je le suce. La cadence de pénétration de Badou était démentielle.
— Putain, je n’ai jamais baisé une femme blanche, comme toi, blonde et aux yeux bleu-vert, à la chatte aussi douce et aussi profonde.
Cela dura largement plus de dix minutes, il se cambra d’un seul coup, enfonçant sa bite au fond de moi et éjacula dans un hurlement.
— Tiens Salope, tiens, tiens, prends le sperme du gros noir, tiens, putain ce que j’ai joui.
J’étais moi aussi au bord de l’explosion, mais Amousa me fit mettre debout, fit dégager son copain.Je me retrouvai à genoux sur le transat, jambes largement ouvertes, du sperme gluant dégoulinant de ma chatte.
— Vous permettez que je la sodomise ?— Oui, oui répondit Alfred, je crois que je vais jouir. Allez-y mon garçon, je vais essayer de me retenir, j’adore moi aussi lorsqu’elle jouit en recevant le sperme de noirs. J’adore l’entendre crier de jouissance.— Alors attendez, vous allez être servi.
Il se coucha sur le transat, me fit mettre face à Alfred. Il se masturba d’une main entretenant son énorme érection. Il frotta son gland le long de la fente de ma chatte, mouillant sa verge avec le sperme de son copain. Puis il la présenta à l’entrée de mon anus. Je la saisi d’une main pour bien la maintenir droite et fléchit les jambes, pour faire pénétrer le gros gland bistre. Le monstrueux rouleau noir s’enfonça dans mes entrailles. Il disparu entièrement, je commençai des rotations du bassin me levant et m’asseyant sur les cuisses d’Amoussa.
— Regarde, Alfred, regarde elle est au tréfonds de moi, c’est merveilleux. Cette sensation, j’aime, j’aime. Les grosses queues noires ! Regarde mon clitoris, regarde ma chatte comme elle mouille.
J’écartai mes lèvres vaginales, pour bien lui permettre de voir, me masturbai le clitoris râlant de bonheur. Je mis mes pieds sur les cuisses du noir mes genoux grands ouverts. Alfred m’encouragea à descendre plus bas, beaucoup plus bas, il fallait que toute la bite entre en moi.
Le noir me coucha, il écarta largement mes jambes et appuya derrière mes genoux, Alfred ne pouvait rien rater ! Le phallus du barbu, envahit à nouveau mon conduit anal. Il me besogna assez violemment, avec cette position, il me sembla que sa queue était plus longue. Mes parois annales se resserrèrent autour du boa noir et j’explosai de jouissance.
D’un seul coup, il enserra la base de sa bite et éjacula avec un cri que Victor dut entendre de la villa. Il continua ses pénétrations jusqu’à ce qu’il débande complètement.Je regardai Alfred, qui essayait de retenir son éjaculation, enfin la place fut libre, il se précipita. Il ne put entrer que son gland dans mon anus et je sentis les jets chauds et visqueux de sa laitance s’écouler en moi.
— Tiens, Salope, tiens, prends le sperme du vieux croûton, il se mélangera.
Il enfila vivement sa bite entièrement pour déverser le reste de sa semence. Les deux noirs, repus de sexe retournèrent au boulot.
— Tiens, c’est bizarre dit Alfred, on n’a pas vu Victor ! D’habitude, il est là pour réclamer sa part du joli gâteau que tu es !
Le lendemain, je me baignai dans la piscine, j’étais nue. Victor se prélassait sur un transat. Quand j’entendis des sons de voix qui ne m’étaient pas inconnues. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Maxime et Gérald étaient arrivés.
— Bonjour jolie poupée blonde dit Gérald.— Nous ne t’avons pas trop manqué ? Prépare tes fesses, dit Maxime en riant.
Ils quittèrent leur maillot de bain, plongèrent dans la piscine nus. Ce fut la course pour savoir qui m’embrasserait le premier. Content de se retrouver, ce ne fut que caresses et baisers entre nous pendant un bon moment, Victor faisait grise mine.
J’avais envie de faire l’amour avec eux, je les entraînai sur un grand matelas hors de la piscine. Chacun d’un côté de moi, ils me caressèrent le corps, les seins, les jambes, me faisant des bisous de partout.
Gérald se mit à genoux, et renversa la tête sur sa cuisse droite, il me présenta sa queue d’un noir brillant au soleil. Je mis le gland dans ma bouche et le tétai. Ses grandes mains malaxèrent mon sein droit, puis mon sein gauche, il fit rouler mes tétons entre ses doigts, les faisant s’ériger en deux pointes brunes et dures. Maxime pendant ce temps, se mit à plat ventre et sa langue me fouilla la chatte, mordillant mon clitoris. Ces doux attouchements me firent énormément mouiller et me tirèrent de petits cris de plaisir.
Ils me firent asseoir, Maxime me prit sous les bras, Gérald souleva mes fesses. Et me posa les cuisses sur ses épaules, Maxime me soutint le dos. La bouche de Gérald se plaqua sur mon sexe, sa grosse langue envahie ma cavité vaginale, pénétrant le plus profondément possible, il aspira mon clitoris, pendant ce temps Maxime suça et mordilla le bout de mes seins, c’était divin. La grande langue de Gérald parcourut rapidement la totalité de ma fente glabre, pour lécher le foutre qui ruisselait de ma chatte. Je gigotai de plaisir en hoquetant, au risque de tomber des larges épaules de Gérald.
Ils me descendirent et à genoux, je me mis à sucer leurs bites avec application à tour de rôle. Ma fellation dura une bonne dizaine de minutes. Je me mis sur le dos, Gérald à genoux me pénétra très lentement, il savait que j’appréciais la lente pénétration de son immense phallus noir. Au début il emplit ma chatte avec des mouvements amples et lents, puis il se mit à plat ventre et comme s’il faisait des pompes, il enfonça son pieu rapidement, ces pénétrations me tirèrent des cris de plaisir.
Maxime s’occupa tendrement de mes seins, les malaxant, triturant mes tétons, il me présenta sa bite que je suçai avidement, puis il m’embrassa goulûment.De cette façon, Gérald put investir ma chatte jusqu’au fond et entrer entièrement son gigantesque pénis noir. C’était tellement bon que je haletai, le souffle rapide, des cris de plaisir sortant de mon gosier.
— Hé Gérald, tu m’en laisses un petit morceau ?— Trixie met toi à quatre pattes.
J’obéis, le grand noir passa devant moi, je saisis d’une main son énorme verge tendue, luisant de mon foutre et l’enfournai dans ma bouche. Maxime, frotta sa queue le long de ma fente, et délicatement pénétra mon orifice vaginal. Il fit quelques allers et retours, puis le délaissant, me saisissant aux hanches entra son phallus dans mon anus, bien arc-bouté sur ses pieds, il me laboura à grands coups de rein.
— Espèce de Salope éructa Victor, d’une voix sonore.
Qui, les mains sur les hanches, nous regardait en hochant la tête, puis il tourna les talons avec un geste d’impuissance.
— Il fait la gueule, on dirait s’exclama Maxime !— Pas grave, lui répondis-je entre deux succions du gland de Gérald.— Tu veux bien qu’on te prenne ensemble, demanda celui-ci.— Oh oui, oh oui, ça va être super ! M’extasiai-je.— Eh les enfants on dirait que quelqu’un nous observe !— Où ?— Là bas derrière les buissons !— Oh sûrement Victor, il est jaloux, laisse tomber !
Il y avait en effet une silhouette sombre tapie dans les buissons. Gérald se coucha sur le dos, mettant mes deux cuisses de chaque côté de son bassin, je m’empalai sur son gros rouleau de chair noire, il poussa jusqu’à ce qu’il soit complètement entré dans ma chatte. Maxime se mit à genoux entre ses jambes, il me courba le buste sur le ventre de Gérald pour bien faire saillir mes fesses. Puis sa bite qui força mon ampoule rectale, qui s’ouvrit comme la corolle d’une fleur, pour permettre à sa verge de pénétrer l’intérieur de mes parois anales. Ils accordèrent leur cadence de pénétration, me tirant des râles d’extase, me faisant crier de volupté.Alfred devait entendre mes cris de bonheur depuis la maison, il n’allait sûrement pas tarder à arriver pour profiter du spectacle. Gérald accéléra sa cadence.
— Putain, putain. Il y a longtemps, que j’en avais envie, il y a longtemps que je ne t’ai pas baisée. Putain, je vais jouir. Aaaaaaahhhhh, hurla Gérald.
Ses grosses couilles noires se contractèrent, il trembla, son bassin se souleva, son corps se tendit en arc de cercle, son sperme gicla dans ma chatte. Il éjacula longtemps. Maxime avait stoppé ses pénétrations anales, pour bien laisser son copain jouir.
— A moi maintenant dit-il !
Il se coucha à son tour sur le dos.
— Viens ici ma chérie, met toi de dos, écarte bien les jambes, oui ainsi.Non, ne mets pas ma bite dans ta chatte, je veux continuer à te sodomiser, Ouuuuiiii, là, c’est bien.— Je soulevai mon bassin pour lui permettre de bien enfiler sa queue au fond de mes entrailles.
Sa main se plaqua sur ma chatte, ses doigts entrèrent dans ma vulve du sperme de Gérald coula et se répandit sur la bite de Maxime, jouant un rôle de lubrifiant.
— Putain je vais jouir, je vais jouir...— Moi aus..... Oooooohhhhhh, putain que c’est …
Nos cris de plaisir se mêlèrent, aux cris des oiseaux, le brise marine les emporta au loin.La nuit tombe vite sous les tropiques, après un bon apéro, Alfred nous fit partager un repas succulent servi par Victor. Nous étions tout à la joie de nos retrouvailles, et des prochaines vacances que nous allions passer ensemble. Les garçons un peu fatigués par le voyage et le léger décalage horaire, ne voulurent pas veiller trop tard.
— Bonsoir mon oncle, bonsoir Trixie dit Maxime, tu es toujours croquante vêtue ainsi ! Dis donc vieux pervers, même ici, tu veux que Trixie, te montre en permanence ses trésors ! Mais tu as raison, habillée ainsi avec sa nuisette qui laisse sortir ses mamelons, ses bas et son porte-jarretelles et surtout avec sa chatte offerte aux regards, elle fait tourner la tête de n’importe quel mâle !
Moi aussi, j’étais un peu lasse, fatiguée, je me dirigeai vers ma chambre. Je voulus aller refermer la grande baie vitrée qui donnait sur le jardin, mais la tête me tournait et je m’écroulai sur le lit.
Il me sembla, que dans une sorte de brouillard irréel, je voyageai, que l’on me déplaçait. Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais étendue sur une table de pierre dans une clairière entourée de plantes luxuriantes, une multitude de torches l’éclairaient comme en plein jour. J’étais habillée de ma nuisette, de mes bas et de mon porte-jarretelles, et mes talons aiguilles.
Je soulevai ma tête et poussai un cri. Entre mes cuisses, il y avait une tête hideuse. Noire, les yeux injectés de sang, une moustache noire, de longs cheveux filasse et ce qui était étonnant deux petites cornes de chaque côté du front.
Il se mit à parler dans un dialecte que je ne compris pas, les seuls mots que je réussis à assimiler, furent que la luxure devait être combattue par la luxure. C’était très étrange, je ressentis toutes les sensations, la crainte, la peur, mon pouvoir de réflexion était intact, je pus bouger, mais mon esprit ne pouvait pas se soustraire à une force qui annihila toute volonté de résistance, j’étais soumise au bon vouloir de l’être qui était devant moi, et cela commençait à me plaire... Un frisson délicieux parcourut mon corps, j’allai sûrement connaître une expérience sexuelle hors nomes. Avec cet espèce de monstre.
Il me quitta mes chaussures et me mit les talons sur la table, malgré moi mes cuisses s’ouvrirent, avec un rictus de triomphe, il se pencha sur ma chatte rasée. La pointe de sa langue pénétra légèrement mes petites lèvres, puis elle s’insinua dans mon conduit vaginal, le fouillant doucement.Je commençai à haleter doucement. Ma chatte s’humidifia, son appendice buccal se promena sur toute la longueur de ma fente, léchant le foutre qui s’écoulaitIl passa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles et écarta largement mes cuisses, ouvrant ma chatte en grand. Sa bouche s’y plaqua dessus, sa langue entra et sortit à toute vitesse de mon méat, puis il alterna en y faisant pénétrer d’abord un doigt, je hurlai d’extase, puis deux, puis trois longs doigts.
Sa bouche ne quitta pas mon sexe, ses mains partirent à l’exploration de ma poitrine, il fit sortir mes deux seins par les fentes de la nuisette et les malaxa sans ménagement, pinçant, tirant, griffant mes tétons et mes aréoles. Mes cris de plaisir eurent l’air de déchaîner encore plus sa libido.
— Prends-moi ! Prends-moi ! Hurlai-je, baise moi !
Seul un ricanement me répondit. D’un seul coup, il me rapprocha les fesses du bord de la table, il m’attrapa les mollets et me rabattit les jambes sur le ventre. Sa bouche repartit à l’assaut de ma chatte, je hurlai de plaisir. Il écarta avec ses mains mes grandes lèvres, sa langue plongea, il aspira les petites lèvres, ses dents les mordillèrent, les tirèrent, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, qui lui aussi subit les assauts de ses incisives. Je vis ses deux petites cornes danser entre mes cuisses. Il continua ainsi pendant presque un quart d’heure. Il me semblait que je devenais folle de plaisir, une boule de lave brûlante me tordit les entrailles, mon plaisir montait crescendo. Mais on aurait dit qu’il y avait une barrière qui m’empêchait de jouir et j’en avais une immense envie., le désir me tenaillait le corps mais la jouissance n’arrivait pas !
Il se leva passa à coté de moi. Il était immense, une longue chevelure lui descendait jusqu’aux reins.Sa main me caressa les seins et il me présenta, une volumineuse bite noire, je l’attrapai et la mis dans ma bouche et la suçai avec application.Sa main gauche pétrit fermement mon sein gauche, les doigts de sa main droite entrèrent tous dans ma chatte. Ma bouche fit des merveilles sur son énorme bite noire, elle était dure, gonflée, elle tressautait, j’entendis des grognements de plaisir. Il se saisit de mon téton droit et le pinça avec une telle force que je criai de douleur. Je le vis se raidir, je levai les yeux, une fumée bleue s’exhalait de sa bouche, il était en complète euphorie.
Il repassa entre mes cuisses, son gros mandrin noir et dur comme de l’ébène, me pénétra, je hoquetai de plaisir. Il l’enfonça entièrement, puis stoppa, il me regarda jusqu’à ce que mes yeux le supplient de recommencer ses pénétrations. Il le sortit et de la pointe de son gland me titilla le clitoris, me faisant hurler mon bonheur dans la nuit tropicale. Il me besogna m’amenant au bord de l’extase, mais je n’arrivai pas à sauter le pas, à sombrer dans la jouissance. Il me semblait que cela faisait plusieurs heures qu’il me baisait, il avait au moins joui trois ou quatre fois peu-être plus, son sperme tiède et visqueux coulait de ma chatte ! C’était un recommencement sans fin ! Puis ses paroles me revinrent :
— La luxure doit être combattue par la luxure ! Je crois que je venais de comprendre ! Ce devait être un rite vaudou ! Nous étions au pays de la magie noire ! On doit vouloir me désenvoûter ! Mais qui, et pourquoi ?
Et, vaincue, par la fatigue, et le désir que je ne pus pas atteindre, je sombrai dans l’inconscience.
Le chant des oiseaux et la lumière du jour me réveillèrent. Sept heures, il était tôt. J’étais allongée sur mon lit comme la veille, je crus avoir rêvé, mais des courbatures, une tâche sur le drap et le sperme qui s’écoulait de ma chatte me prouvèrent que non !Au cours de la journée, je fis part à mes amis de l’expérience vécue pendant la nuit. Aucun d’eux ne put apporter un semblant d’explication. Mais j’avais ma petite idée ! Victor devait être derrière tout cela, sa jalousie. Mais, pensai-je, je te ferai avouer tôt ou tard !
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