Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 51 J'aime
  • 1 Commentaire

Nymphomane, moi ? Tome III

Chapitre 26

Une partie à trois

Avec plusieurs hommes
Cela faisait assez longtemps que je n’avais pas vu Louis, le marchand de légumes. Il était vieux, laid, rustre, mais j’avais une certaine affection pour lui, enfin pour son appendice sexuel hors norme.Sa bite devait mesurer près de vingt-huit centimètres pour un diamètre de six et malgré son grand âge, elle avait une vigueur exceptionnelle, et me faisait connaître des orgasmes époustouflants. Je lui passais donc un coup de téléphone, pour avoir des nouvelles.
— Allo, Louis, c’est Trixie.— Oui, bonjour jolie demoiselle.— Comment vas-tu, toujours en pleine forme ?— Je vais très bien, mais il y a longtemps, que je ne t’ai pas vu, et tu me manques ! Je me masturbe en pensant à toi, mais c’est loin d’être suffisant ! Mes couilles me font mal à force de stocker mon sperme !— Oui, je comprends, mais je n’ai pas pu me libérer ces derniers temps !— Et maintenant, serais-tu libre ?— Oui, demain après-midi, Alfred va à une conférence.— Eh bien, ce serait parfait, Ludo et sa mère doivent se rendre chez ma belle-sœur, je reste seul à la maison, tu pourrais venir me voir. J’ai mon copain Georges qui aimerait bien te connaître !— Oh, oh ! Que me réserves-tu ?— Viens, tu verras... tu ne seras pas déçue !— Bon, c’est d’accord, en début d’après-midi.— Oui, et tu viens directement à la maison.
Le lendemain, je revêtis une robe noire, moulante très courte qui me cachait tout juste la chatte. Elle comportait des lacets de chaque côté de mes cuisses et d’autres qui fermaient le décolleté sur mes seins, je les avais attaché lâchement et l’on pouvait apercevoir le brun d’une aréole. J’avais mis un porte-jarretelles soutenant des bas noirs.Je sonnai et entrai dans la cuisine. Louis était assis dans un fauteuil en cuir assez usé, son ami Georges était avachi sur un canapé en cuir assorti au fauteuil. Tous les deux étaient vêtus d’un marcel et portaient un caleçon.
— Ah voilà notre reine ! Entre, ma Chérie, voici Georges, il voulait te connaître à tout prix !
Me dit Louis en me désignant le vieux monsieur adipeux assis sur le divan. Il était aussi gros que Louis était maigre. Ses cuisses et ses bras étaient énormes, les bourrelets de son ventre se dessinaient sous le marcel à la propreté douteuse. Le tour de son crâne chauve était ceint d’une couronne de cheveux blancs hirsutes. Des sourcils broussailleux surplombaient un nez assez volumineux, et pour finir, on aurait dit qu’il avait un goitre sur le devant du cou, à moins que ce ne fut un triple menton. Il était encore plus laid que Louis !Je me figeai, surprise par tant de disgrâce, mais je ne pouvais plus reculer ! J’entrai d’une démarche chaloupée et me dirigeai vers les deux hommes.
— Alors Georges, n’est-elle pas splendide Trixie ? Dit Louis.
— Oh ouiiii, je ne m’attendais pas à une si merveilleuse apparition ! Vous... vous êtes d’une beauté extraordinaire Mademoiselle, dit le vieil homme en bégayant.— Trixie fait lui la bise, ordonna Louis.— Oh oui, Oh oui... gloussa son copain en se trémoussant.
Je me penchai en avant, pour lui déposer un baiser sur la joue.
— Oooooohhhhhh mais je vois que tu n’as pas mis de culotte petite coquine ! Dit Louis en soulevant ma robe, tu es un amour, et j’adore ton porte-jarretelles. Viens sur mes genoux.
Il m’attrapa par un bras et le positionna entre ses cuisses. Sa main droite défit entièrement les lacets qui fermaient mon décolleté, tandis que la gauche tirait vers le haut le bas de ma robe, découvrant les attaches de mon porte-jarretelles. Il me sortit un sein, et me pinça le téton, ses lèvres se posèrent sur les miennes et nos langues se nouèrent. Après un baiser passionné, il me fit légèrement tourner vers Georges et me fit écarter les cuisses, il releva ma robe, découvrit entièrement ma chatte. Son index et son majeur se glissèrent dans ma fente.
— Tu as vu ses jambes, mises en valeur par les bas et le porte-jarretelles ! Regarde, mon ami as-tu vu une minette aussi parfaite, elle est entièrement rasée. Il écarta mes lèvres pour découvrir mon conduit vaginal. Tu sais, ma bite et tu en connais la longueur et la grosseur, entre entièrement dans sa chatte, et tu sais quoi, tiens toi bien, cette petite salope s’est faite baiser par mon poney ! Regarde elle démarre au quart de tour et il lui montra ses deux doigts couverts de ma mouille. Que dis tu de son clito ?— Non, c’est pas possible, elle a baisé avec ton poney ! Répondit Georges !— Si, si c’est vrai et elle a aimé, je l’adore ! Dit Louis en m’embrassant à nouveau.— Je pourrai y assister, putain que j’aimerais voir ça, éructa Georges qui ne tenait plus en place.— Demande-lui !— C’est vrai Trixie, que le poney de Louis t’a baisée ?— Euh oui... répondis-je en rougissant.— Et tu as aimé ?— C’était très particulier...— Dis, est-ce que tu pourrais recommencer devant moi ? Ce doit être fantastique ! Dit le gros home en se tortillant à cette idée.— Je crois qu’il serait temps que tu ailles voir Gorges, dit Louis, sinon il va nous faire une apoplexie !
Je remis mon sein en place, me levai et me dirigeai vers le vieil adipeux. Il me prit par la main me fit asseoir sur ses genoux et aussitôt sa main partit dans l’échancrure de ma robe et mon sein droit se retrouva à l’air.
— Putain, tu as des seins merveilleux, tes mamelons sont parfaits, je n’en n’ai jamais vu d’aussi longs, tu aimes qu’on te les tripote ! Tu aimes quand je te les pince ! Embrasse-moi, embrasse moi...
Je suçai la langue qu’il tirait, puis il aspira mienne, sa salive coula dans ma bouche tandis que sa main gauche remontait doucement le long de la lanière de mon porte-jarretelles caressant mas peau nue, puis deux gros doigts boudinés se faufilèrent dans ma chatte. Je sentis sous mes fesses la dureté de la colossale grosseur de sa bite, qui bandait énormément.Louis était en train de déplier un matelas sur le sol.
— Voilà, c’est prêt, quand vous voulez !
Le vieux Georges se leva et m’entraîna par la main vers la couche improvisée. Je regardai Louis avec des yeux de velours, l’invitant à venir se joindre à nous. Puis pour le rendre un peu jaloux, j’embrassai à nouveau son copain avec ferveur, il se colla dans mon dos son immense bite dressée.
— Attendez, je quitte ma robe, et vous déshabillez-vous.
Une fois nu, tous les trois, je pus m’apercevoir que le phallus de Georges ne devait rien à celui de Louis, il me semblait même un peu plus large. Louis dut apercevoir l’étincelle de convoitise qui traversa mes yeux en regardant le sexe de son ami, car il se planta devant moi, me saisit aux hanches, son sexe plaqué contre mes lèvres vaginales.
— Dis donc Salope, tu as l’air d’avoir envie de la grosse bite de mon pote ! Je veux bien qu’il te baise, mais il faut pas que tu y prennes trop de plaisir !
Georges passa derrière moi, il me malaxa les seins et son énorme bite commença à pénétrer ma vulve, il entra son gland dans mon vagin. Il me lécha et me bécota le dos tendrement.
— Suce-moi les seins, mords moi mes tétons, susurrai-je à Louis, qui s’exécuta aussitôt.— Salope ! Il te pénètre ! Dit-il en s’apercevant que Georges avait entré son gland en moi, allons sur le matelas !
Je me retrouvai couchée entre les deux vieux, chacun me suçant un sein tandis que je branlais leurs deux énormes bites, Louis me mordilla le lobe de mon oreille gauche et me murmura.
— Allez petite Salope, si tu me suces la bite, je veux bien laisser ce vieux grigou de Georges te baiser en premier ! Je sais que tu en as envie !
Comme par magie, sa queue se retrouva dans ma bouche, celle de Georges écarta mes lèvres, son gros gland entra doucement, le corps du cylindre adipeux glissa ensuite lentement dans ma chatte bien lubrifiée. Il la rentra et la ressortit, frotta plusieurs fois la tête de son gland contre mon clitoris. Puis d’un long coup rein, l’énorme cylindre glissa en moi.
— Oh putain que c’est bon, tu as raison Louis, ma bite est entrée entièrement, et écoute comme elle ronronne cette Salope elle aime ça !
Au bout de cinq minutes, Louis lui demanda de lui laisser la place, il se coucha sur le dos et me fit m’empaler sur son sexe turgescent. La cavalcade dura aussi cinq minutes, puis je ne sais pas comment ils se débrouillèrent, mais ils alternèrent chacun leur tour, ils me pénétraient puis cédaient la place. Au bout de ce qui me sembla, une éternité Georges hurla.
— Laisse-moi la place, vite, vite, je crois que je vais éjaculer !
J’étais à quatre pattes, Louis me prenait en levrette, il se retira, et aussitôt, l’énorme mandrin de Georges emplit mon vagin, il me besogna à grand coup de rein, il me plaqua sur le matelas m’écrasa de son poids, je sentis les tressautements de sa queue et une quantité phénoménale de sperme gicla en saccade dans les profondeurs de ma chatte, accompagnée d’un feulement rauque.
— Putain la Salope, elle m’a complètement vidé les couilles !— Bon, à mon tour maintenant dit Louis, lève tes fesses Trixie, tu aimes bien la sodomie, alors allons-y.
Mon ampoule rectale ne résista pas longtemps sous les poussées de la bite du vieux Louis, sa verge glissa entre mes sphincters, d’un seul coup. Il me besogna assez longtemps, faisant croître mon désir, Son phallus s’infiltra ensuite dans mon vagin.
— Putain, ta chatte coule du sperme de Georges, t’as joui petite Salope ? Non ! Attends-je vais te faire jouir, je crois que tu n’en ai pas loin, ouuuuiiii, je sens les contractions de ta chatte sur ma grosse queue, tiens, tiens salope, tiens le sperme du vieux Louis, Ouiiiii, c’est bon vas-y jouit, joui, j’aime t’entendre crier ton plaisir.
Ce fut à ce moment-là que la porte s’ouvrit
.— C’est quoi ce tohu-bohu, on entend des râles de plaisir depuis dehors ! Dit le nouvel arrivant d’une voix de stentor.
— Ah, c’est toi, Paul, je te présente Trixie dit Louis en me relevant.
Les déjections séminales des deux vieillards s’échappèrent de ma chatte et coulèrent sur mes cuisses le long des lanières du porte-jarretelles. Les yeux de Paul parcoururent lentement mon corps.
— Elle est vraiment jolie, ta copine Louis, une vraie beauté... Mais je vois qu’elle a pris une sacrée giclée, c’est ton sperme ou celui de Georges qui coule de sa chatte ?— Les deux, répondit Louis en souriant.— Bon, je vois que j’arrive à point nommé, aurais-je droit a une petite gâterie moi aussi ? Une petite fellation ?— Trixie, es-tu d’accord pour satisfaire la demande de Paul ? Pendant ce temps, je vais chercher à boire.
Je tombais à genoux devant Paul, je défis son pantalon extirpai sa bite et commençai à la lécher. La décalottai et enfournai le gland dans ma bouche, la verge se raidit d’un seul coup, mes lèvres absorbèrent petit à petit le mandrin strié de grosses veines, tandis que mes mains caressaient les bourses velues. Je lui aspirai le gland et masturbai avec vigueur le corps de la verge.Louis revint avec une bouteille et verres qu’il déposa sur la table. Il s’assit sur le canapé à coté de Georges.
— Viens sur moi, Trixie, je vais finir de te sodomiser, je sais que tu adores ma grosse bite dans ton cul, Paul pourra te baiser en même temps !
Je me retrouvai empalée dans mon trou intime par l’énorme queue de Louis, et Paul tout émoustillé, car c’était la première fois qu’il faisait cela, enfonça sa bite dans ma chatte ruisselante.
— Branle-moi Trixie, branle moi, ordonna Georges assis à côté de nous, ma main s’empara du phallus adipeux et je le masturbai tandis qu’il me suçait le bout des seins.
Ils éjaculèrent les uns après les autres, ce fut l’éjaculation de Louis qui me fit jouir.
— Bon, maintenant que nous avons tous bien pris notre pied, nous allons boire un bon coup de gnôle de prune, et fumer un bon joint ! Les deux sont de mes cultures, c’est du bio dit-il en riant.
Il nous tendit à chacun une cigarette roulée, et emplit les verres à ras bord d’une liqueur blanchâtre.On alluma les pétards, plusieurs verres se succédèrent. Le cannabis commençait à m’étourdir.
— Au fait Paul, sais-tu ce que m’a dit Louis tout à l’heure ? Eh bien que Trixie s’était fait baiser par son poney !— Non, ce n’est pas possible ! Hein Trixie que ce n’est pas vrai !— Heu.... dis-je en rougissant.— Si, si c’est vrai, répondit Louis.— Je ne te crois pas ! Peux-tu nous le prouver ?— Eh oui, je peux ! Alfred, son patron, a fait une vidéo et m’en a donné une copie, je peux vous la faire visionner ! Trixie, es-tu d’accord ? Bien sûr, je ne vois pas pourquoi je te le demande !— Euh... Oui, dis-je plus rouge qu’une écrevisse cuite au court-bouillon.
Louis alluma la télé et enclencha la vidéo. Ce jour-là, il faisait un temps magnifique, les images étaient d’une netteté parfaite. Alfred avait acheté du matériel haut de gamme, il voulait des films parfaits pour satisfaire son candaulisme.
Louis s’approcha de moi, lentement me quitta mon chemisier, mon soutien-gorge, ma jupe, mon string, me laissant porte-jarretelles bas et talons hauts. La table recouverte d’une couverture était à côté du cheval.
— Allez, allonge toi ma chérie, écarte les jambes que j’enduise ta chatte avec de l’eau saline, il faut qu’elle mouille beaucoup avant la pénétration ! Dit-il en s’adressant à Alfred.
La camera zooma sur les doigts qui s’activaient dans ma chatte.
— Voilà, c’est parfait, le cheval va se régaler ! On va lui badigeonner les seins.
Il approcha le poney, les naseaux du cheval reniflèrent ma poitrine, et il commença à lécher, un sein après l’autre, mes tétons durcirent sous la caresse. La langue descendit le long de mon ventre, le museau de l’équidé se promena sur mon mont de Vénus bien rasé, ses lèvres frémirent, Il souffla, la lèvre supérieure se retroussa dévoilant ses dents jaunes. Il avait du sentir mon foutre, cela avait dû lui plaire hier, sa langue commença à me lécher, je me tortillai dans tous les sens sous ses attouchements, Louis approcha et décapsula mon clitoris, il laissa longtemps le poney brouter mon petit bouton gorgé de sang, cela me tirait des soupirs d’extase et des petits couinements.
— Elle aime ça, cette coquine, sa chatte est trempée ! Descends de la table et accroupis-toi, prend lui la bite et suce le un peu, me dit-il, mets son gland dans ta bouche. Très bien, il bande, regarde comme sa bite est dure et longue ! Encore un peu et puis on y va ! Vous voulez approcher, messieurs ! Oui, c’est bien, lève-toi maintenant et penche toi en avant.
Il saisit la hampe rigide, et dirigea le gland qui avait pris la forme du chapeau d’un champignon vers mon orifice vaginal. Il frotta plusieurs fois, la corolle du gland entre les grandes lèvres de ma chatte.
— Je vais essayer de te pénétrer, décontracte toi, écarte bien les jambes, voilà, je suis au bord, sépare tes lèvres avec tes doigts, allez, je pousse.— Noonnn, c’est trop gros ! Doucement, doucement,— Attends, je vais mettre du lubrifiant, je recommence, voilà ça rentre !— Nonnnnnn, aie, aie !— Décontracte-toi, ça glisse, le gland est à moitié entré... Ça va ! Respire doucement, essaye de faire jouer tes muscles vaginaux, oui, c’est ça !— Aie, je sens qu’il rentre doucement, hou lala que c’est gros, continue, mais doucement, doucement, aiiieeee !— Çà y est le gland est entré, ça va glisser en douceur maintenant.— Noonnn on arrête, aie.— On y est presque !
Le cheval donna un léger coup de rein, faisant entrer six centimètres de son gros phallus. Je le retirai d’un main.
— Ohhhhh putain qu’elle est grosse ! Hurlai-je.— Il saisit fermement la grosse hampe. Vous voyez ce bourrelet après la partie rose, dit Louis, il ne faut pas qu’il enfonce sa queue plus loin, car avec un coup de rein violent, il pourrait déchirer Trixie ! Il va falloir procéder autrement ! Nous allons le mettre dans la position laquelle il a l’habitude de saillir. Allez, ma chérie allonge toi sur la table. Très bien, viens ici toi, dit-il au cheval en le positionnant au-dessus de moi. Ta chatte est béante, il ne devrait pas y avoir de problème pour une nouvelle insertion, je mets son gland, je pousse, je pousse, làààààààààà, ça entre doucement dans ta vulve. Voilà, c’est bon, tu la sens bien en toi ? Veux tu que je fasse des vas et viens ? Écarte.
bien les jambes en grand qu’Alfred puisse bien regarder sa magnifique blonde se faire baiser par un cheval ! Et Victor filmer en gros plan !
— Non, c’est moi qui vais les faire, dis-je en attrapant l’énorme sexe et en le faisant coulisser entre mes lèvres vaginales.
Les deux spectateurs se trémoussaient sur le canapé, un cri fusa.
— Putain, c’est pas possible ! Cette petite Salope a réussi à s’enfiler la bite du cheval ! Hurla George. Je ne le croyais pas, mais... Putain ce qu ça m’excite, pas toi Paul ?
Paul ne répondit pas les yeux fixés sur l’écran, ou l’on voyait que le cheval avait l’air d’avoir compris. Hier, il avait déversé sa semence. Je m’enhardis à accélérer la cadence, mon sexe commença à s’échauffer, mon ventre palpita, le plaisir montait, je gémis de contentement. Je haletai de satisfaction, la croupe de l’équidé entra doucement en action. Louis faisait attention que l’insertion ne soit pas trop profonde, il bloquait le phallus au bourrelet du fourreau. Dans la délicieuse torpeur procure par le cannabis et l’alcool bu, je me remémorai que lors de la pénétration, la corolle du gland s’aplatissait, lors de la rétractation, elle s’épanouissait et frottait délicieusement mes parois vaginales bien lubrifiées, c’était plus que divin ! Mon cœur se mit à nouveau à battre la chamade.
J’étais aux anges, comme sut l’écran où je cherchai l’air, ma tête roulait de droite à gauche, mes parois vaginales se contractaient et se relâchaient autour du phallus monstrueux, Alfred se pencha sur moi.
— Eh bien, dis donc, il te fait de l’effet ton étalon, je n’ai jamais vu tes nichons aussi durs et le bout de tes tétons aussi érigés !
Il se mit à me caresser les seins, tirant sur mes mamelons, les pinçant, griffant mes aréoles, suçant les bouts turgescents. Je lui fus grès de me prodiguer ces attouchements.
— Tu vois, petite Salope, dit-il, je savais que ça te plairait, tu es en train de prendre ton pied, pour moi, c’est un spectacle magnifique, je te suis reconnaissant de m’avoir fait partager cela. La vidéo va être super !— Suce-moi dit Louis en se positionnant devant ma tête, sa queue énorme tendue vers le ciel, il l’abaissa vers ma bouche, tu es merveilleuse, je savais que tu aimerais la bite de mon poney. Vous allez voir Alfred, elle va le faire éjaculer ! J’espère qu’il va la faire jouir.
Je continuai à faire aller et venir le monstrueux phallus dans ma chatte, ou il glissait sans heurt maintenant, faisant monter crescendo mon plaisir, la jouissance n’allait pas tarder à transpercer mon corps. je pris appui sur mes talons et projetai mon bassin en avant, la colonne rose s’enfonça plus profondément en moi, l’équidé donna un coup de rein en hennissant, heureusement que Louis tenait sa bite, son mouvement l’enfonça plus avant. Me tirant un hoquet de surprise.
— Oooooohhhh, doucement, hurla Louis au cheval ! Il s’est enfoncé jusqu’au bourrelet ! Mais elle a l’air d’apprécier cette petite salope, ça va, Trixie ?— Ouiiiiiii, je je jouiiiiiiiiii !!!! Hurlai-je en serrant fortement la bite qui tressautait. En plantant mes ongles dans la chair ferme. Mon énorme cri de jouissance monta dans l’air surchauffé.
Ma chatte reçut alors un flot de sperme d’une force inouïe, cela me fit crier encore plus fort mon plaisir. Louis sortit alors le membre tressautant, il dirigea le jet de sperme sur mon ventre, il monta jusqu’à mes seins, éclaboussa ma figure. Son éjaculation semblait ne jamais tarir, le sperme tiède coula sur mon corps, cela fit redoubler mon orgasme, je tremblai de la tête aux pieds.
— Putain, dit Alfred complètement nu, tenant son petit appendice raide, d’une main. Je crois que tu.
n’as jamais joui comme ça ! Louis, voulez bien ôter le poney, il faut que moi aussi, je vide ma semence dans sa chatte ! Tu ne vas pas sentir ma petite bite, mais ça urge vraiment !
Il se coucha sur mon ventre couvert de sperme gluant. Du liquide séminal du poney coulait encore de ma chatte.
— Tiens, voilà ma queue est en toi ! Oh, putain, je ne pouvais plus tenir ! J’éjacule, c’est bon, c’est bon ! Tu es une merveilleuse petite Salope ! Je n’ai moi non plus jamais connu une telle jouissance en te regardant baiser avec une bite aussi grosse et te voir jouir comme ça ! Ooooooohhhhh putain, Victor, j’espère que vous avez tout filmé !
Puis l’écran redevint noir, j’entendis les respirations saccadées des deux vieux, avachis sur le canapé, ils étaient rouges comme des coquelicots, ils masturbaient vigoureusement leurs bites droites et énormes qui semblaient vouloir éclater. La consommation d’alcool, le joint fumé m’avaient embué l’esprit,
— Oh putain, Oh putain c’est pas vrai ! C’est pas vrai !— C’est pas possible qu’une aussi jolie fille se fasse baiser par un poney ! C’est irréel, on a rêvé...— Eh non, répondit Louis, c’est du cinéma-vérité !
Le visionnage de la vidéo ne m’avait pas laissé indifférente, je m’étais surprise à me caresser et ma chatte était moite, je du m ’avouer que cela m’avait pas mal excitée moi aussi.
— Dis Louis, tu l’as encore ton poney ?— Ben oui, pourquoi ?— Ce serait super si Trixie pouvait nous faire une démonstration de ses talents d’écuyère ! La réalité dépasse souvent la fiction !— Ce n’est pas à moi à qui il faut le demander, dit Louis en s’asseyant à mes côtés. Mais je vois que tes tétons sont en érection, ce qui, chez toi est signe d’une certaine excitation !
Sa main se glissa entre mes cuisses, son index et son majeur se faufilèrent dans ma chatte.
— Oh oui ! Tu mouilles, je savais que la vidéo t’exciterait, tu avais joui comme une petite folle ce jour-là ! Tu as aimé la bite du poney... Que penses-tu de la proposition de Georges, de remettre ça ?
Surtout que j’ai lavé la bite du poney, a tout hasard, dit-il en riant.
— Oui, je mentirais si je disais que je n’ai pas pris du plaisir en baisant avec ton poney. Mais je me suis fait une promesse... la zoophilie, c’est terminé !— Tu en es bien sûre dit Georges en se penchant pour m’embrasser et en glissant à son tour deux doigts boudinés dans ma chatte pour vérifier les dires de Louis ! C’est vrai que tu mouilles beaucoup. c’est bien le film que nous venons de voir qui te fait cet effet ! Paul fais passer le joint que viens d’allumer ! Allez, Trixie tire une taffe !
J’étais trop bien, la tête encore dans les brumes de mes précédents excès, je capitulai et acceptai la cigarette.
— Trixie, fais plaisir à Paul et à Georges, donne leur ce plaisir, ils sont vieux !— Oui, tu as déjà été super gentille de baiser avec nous, c’est la première fois que nous faisons l’amour avec une fille aussi jolie que toi, et nous n’en revenons pas, notre rêve serait comblé si tu accédais à notre souhait ! Argumenta Paul.— Noooonnnn, je l’ai fait une foi, mais c’est un acte zoophile !— Tu sais dit Georges, j’ai lu que le site internet zoophile de l’association ZETA (Zoophiles for Ethical Treatment of Animals) décrit la zoophilie comme « une autre manière de considérer les.
animaux, (…) ce qu’une partie de la société n’est pas prête à accepter ». Alors ce n’est pas un crime ! Tu ne lui fais pas de mal au contraire !
— Pour abonder dans le sens de Georges dit Louis, certaines personnalités, par exemple le philosophe et auteur Peter Singer, qui milite dans les mouvements pour les droits des animaux, affirment que le sexe homme-animal n’est pas intrinsèquement immoral. Alors pourquoi ne pas accepter ?— Oui, et on pu constater que ça t’a plu !Allez fais nous plaisir dis oui ! Regarde nos bites sont prêtes à éclater !
Ils étaient tous les trois autour de moi, à me caresser, presque me supplier, la drogue emplissait mes poumons et obscurcissait mon cerveau, ma volonté commençait à vaciller. Oui, j’avais pris du plaisir, cela m’avait excité à nouveau en regardant la vidéo... Alors... je tirai une bouffée plus importante sur le joint... J’étais consciente dans les parcelles de lucidité qui me restaient qu’ils me harcelaient pour que je cède. Je m’entendis leur dire.
— Allez pourquoi pas !— OUUUUAAAAIIII... SUPER !! Les entendis-je hurler tous les trois.
Seulement vêtue de mon porte-jarretelles, mes bas et mes talons haut, suivie des trois vieux nus comme des vers, les bites en érection, je me dirigeai vers le box du poney de Louis.
A suivre
Diffuse en direct !
Regarder son live