Tout commença le jour de ma naissance...dis-je soudain en prenant place sur le lit. Pour ce premier chapitre j’aimerais introduire l’histoire. L’histoire est basée sur le film «Nymphomaniac » de Lars von Trier véritable génie moderne du cinéma européen. L’histoire originale lui appartient et je n’en ai fait qu’un crossover au sujet d’un homme mais contrairement au personnage du film lui ne saute pas sur tout ce qui a une bite en profitant de ses charmes mais qui est plutôt un grand séducteur qui a vite compris comment mettre une femme en accord avec lui. Alors le chapitre suivant se focalisera directement sur l’histoire proprement dite alors mon introduction dérivée de celle du film. Madame Sulimon une quinquagénaire vivant au Danemark se promenait d’un pas calme presque invisible dans la rue avec son panier de courses rapides. Elle entre chez l’épicier qui lui sert sa commande une bouteille de lait et du pain. En sortant de l’épicerie elle passe devant l’entrée de la petite ruelle adjacente à l’épicerie. Un détail qu’elle avait manqué attire son attention. Un homme dans la trentaine était allongé au sol immobile et blessé. Elle s’approcha de lui à pas de loup puis elle lui dit : Monsieur ! En lui donnant un léger coup de pied dans les côtes. Il s’éveilla de sa torpeur et Madame Sulimon lui demanda si elle devait appeler une ambulance il répondit non presque spontanément en lui lançant un regard implorant. Madame Sulimon le regarda avec plus d’attention. Il était noir, avait la voix très grave maïs semblait carrément plus jeune que son âge on ne lui donnerait pas 19 ans pourtant son regard évoquait bien la trentaine. Il avait un joli visage inspirant confiance et un regard détaché presque rêveur. Avez-vous finit de me regarder ? Madame Sulimon était honteuse d’avoir été prise en train de regarder avec des idées assez coquines ce beau trentenaire mais la vie d’une femme célibataire était assez dure surtout quand le désir montait. Si vous ne voulez pas des secours que puis-je faire pour vous ? Demanda Mme Sulimon Il jeta un regard au panier de courses. Je voudrais bien d’un thé au lait. Venez alors je doute que je puisse le servir dans la rue ! Dit-elle gentiment Mais j’aurai besoin de votre aide. Lançât-il d’un ton doux Elle lui tendit sa main qu’il saisit mais quand elle tira elle ne pu supporter son poids et tomba sur lui. Dans cette position elle avait de plus en plus le rouge aux joues tellement elle était excité et en manque. Oups je suis désolée. Murmurât-elle avec empressementAinsi nous sommes encore plus embêté ! Dis l’inconnu avec un grand sourire découvrant ses dents magnifiques parfaitement dessinées et d’une blancheur qui rappelle la brique de lait de Mme Sulimon. Elle observait bien ses dents quand tout à coup il pris la situation en main. Il pris appui sur le sol d’une main et de l’autre il entoura Mme Sulimon de manière à la soutenir. Exerçant une grande pression sur le sol il se releva avec Mme Sulimon toujours aussi près de lui. Elle se retourne brusquement puis dis merci de manière à ne pas montrer son trouble visible à des kilomètres sur son visage. Lors du parcours vers la maison de Mme Sulimon il régnait un silence pesant... Si il n’y avait pas la douce voix de l’inconnu qui visiblement sait aussi chanter en plus de toutes ses qualités. Arrivé chez Mme Sulimon il lui ôta son manteau comme un gentleman. Il la devança et alluma les lumières du salon. À son comportement et à son indifférence face à la grandeur de cette maison et à la porsche 911 garée dans l’allée,le grand jardin. Elle mit de l’eau à chauffer pour le thé il lui demanda où se trouve les toilettes. Elle compris qu’il voulait nettoyer ses blessures seul. Elle lui dit de s’asseoir et de l’attendre pour ça il refusa disant qu’il risque de salir son beau mobilier. Elle comprit qu’il avait été drôlement été bien éduqué presque bourgeoisement. Alors elle laissa l’eau sur le feu puis l’entraina au toilettes. Où sentez vous de la douleur ? S’enquit-elleAlors il lui désigna quelques blessures au visage et à l’avant- bras gauche visiblement il s’est défendu avec cette partie elle lui nettoya deux coupures et lui passa de l’alcool assez fort et s’étonna de son indifférence à la brûlure de l’alcool. Il lui dit ensuite qu’il avait des blessures à l’abdomen mais qu’il s’en occupe. Elle insista pour lui prodiguer ses soins. Aller arrêtez vos manières et enlevez ce tee-shirt. Tonnât-elle gentiment Il l’enleva mais là elle eu un temps d’hésitation préférant admirer le beau torse musclé et bien dessiné de l’inconnu. Je ne sais toujours pas comment vous vous appelez. Quelle est votre nom ? Julius répondit-il Bon bah sur le torse j’en ai ici et là dit-il en désignant son pectoral gauche et une petite entaille dans l’épaule droite.Elle prit un morceau de tissu et le lui applique sur l’abdomen profitant pour appuyer et vérifier la solidité du pectoral. Après ces soins et une tasse de thé au lait Julius se retrouva dans une des chambres d’amis. Sulimon lui souhaite une bonne nuit et s’en alla se coucher. Arrivée dans son lit elle remarque à qu’elle point elle avait été excitée...sa chatte libérait littéralement une vague de cyprine et un fumet profond de cyprine s’envola dès qu’elle ôtât son slip rose à dentelles blanches. Elle ne pu réfréner l’envie de s’aider de la main. Après quelques minutes de masturbation elle jouit intensément avec un sourire béat. Elle alla dans la chambre de Julius voir si il dormais. Il ne dormait pas ne trouvant pas le sommeil. Elle s’assit sur une chaise près de son lit en le regardant posément. Il se leva et enleva doucement son pantalon comme pendant un strip-tease. Son slip suivi et maintenant il avait son sexe en main il n’était pas d’une taille monstrueuse comme le veut la légende mais de taille moyenne environ 16,5 cm. Par contre il avait une grosseur immense environ 5 cm. Sulimon compris qu’elle en avait terriblement envie alors elle le pris en bouche lui léchant la tige et lui faisant des gorges profondes. Julius la pris par les dessous-de-bras la souleva et la mit sur le lit puis il écarta les pans de sa nuisette lui mit les mains sous les fesses et attira sa vulve vers lui et entreprit ce qui était le meilleur cunilingus de sa vie ! Quelle jouissance inouïe ! Il savait passer sa langue dans les recoins préférés de Sulimon comme s’il faisait l’amour avec elle tout les soirs de manière à connaître ce qu’elle aimait. Elle eu un orgasme libérateur cela faisait deux ans qu’elle n’avait pas eu d’orgasme et elle n’avait jamais joui comme ça auparavant elle s’est effondré littéralement la bouche ouverte et les yeux dans le vague, elle était prise de spasmes. À son réveil elle était sur Julius. Elle regarda son sexe non elle n’était pas empalée sur lui mais elle sentait sa bite car ils étaient nus tout les deux. Il lui caressa les cheveux. Elle l’embrassa puis elle se mit à gigoter et l’introduit en elle puis elle se mit à bouger doucement puis avec fureur,Julius la regardait faire et il prenait son pied tout en lui malaxant les seins et en les mordillant elle eu un autre orgasme mais elle résista aux spasmes et continua à rebondir sur Julius qui lui fournit un deuxième orgasme. Elle lui demanda pourquoi il n’avait pas encore jouit il lui dit que c’est parce qu’elle n’avait pas encore atteint son chiffre fétiche d’orgasmes :4 Il lui demanda est-ce qu’elle avait déjà été prise par derrière. Elle répondu oui , par un ancien copain qui a insisté qu’après la deuxième fois c’était mon douloureux. Julius la pris et la mis à quatre pattes. Elle se mit à parler sans arrêt lui expliquant que comme tout le reste elle ne l’avait pas fait depuis longtemps. Il se mit derrière elle et lui léchait la chatte pour la détendre complètement. Elle poussait même son bassin vers lui qui n’arrêtait pas ses coups de langues énergiques sur sa chatte et son cul elle jouissait tellement qu’elle ne remarqua même pas comment deux doigts lui pénétraient l’anus puis trois puis tout à coup elle jouit profondément en respirant difficilement. Julius se leva puis pendant la transe de Sulimon pris sa queue et la lui mit profondément dans son anus tout doucement puis s’arrêta au fond sans bouger puis elle se remis de son orgasme avant de remarquer qu’il avait sa queue fiché dans son anus. Elle lui demanda de commencer le coït. Il se mit à bouger d’abord lentement puis rapidement en la baisant très vite mais toujours avec des pénétrations longues et profondes elle gémissait et criait son bonheur sans pareil. Après 15 minutes de ce traitement étonnant elle jouit longuement puis dans de derniers coups de reins profonds il éjacule et hurle son plaisir dément. Sulimon lui demanda pourquoi elle ne sent pas de sperme. Il lui fit comprendre qu’il s’était passé une capote quand elle était en transe entre le cunilingus et le réveil sur lui. Elle s’affala sur le lit et s’endormit dans ses bras alors qu’il retire sa capote et la dépose dans la poubelle près du lit et lui aussi s’endormit paisiblement. La suite dans le chapitre 2 notamment : le réveil de Julius et Sulimon, le récit de la vie de Julius et plus sur le passé de Sulimon Amoureusement,le Dr.Love
