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L'oasis des plaisirs

Chapitre 1

Hétéro
    La chaleur de l’été revient enfin. Dans mes campagnes, il n’y a pas beaucoup d’endroits où se cacher de ce soleil accablant. Heureusement, mon grand-père, qui est un ancien agriculteur, a un étang où l’on pouvait profiter de l’ombre des arbres et de la fraîcheur de l’eau. Certes, elle n’était pas turquoise, mais ça suffisait.J’invitai une ex-petite amie à m’accompagner jusqu’à cet étang, avec une idée derrière la tête évidemment. Sa réponse ne se fit pas prier, elle accepta avec joie et dix minutes plus tard, on était en route, direction cette oasis de plaisir. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder pendant que je conduisais. Les cheveux brun foncé, elle avait accentué ses yeux bleus d’un léger coup de crayon. Elle ne portait qu’une robe d’été claire par-dessus son maillot de bain. Sa poitrine, assez imposante, ressortait à merveille et le fin tissu laissait voir ses longues et fines jambes. Moi, j’étais simplement habillé d’un short de bain et d’un t-shirt blanc en lin.    Quand je coupai le moteur, elle fut stupéfaite par la beauté du paysage. Elle avait un sourire éclatant sur son beau visage. On étala la nappe sur le sol puis voyant que la chaleur était devenue insupportable, on décida de se baigner tout de suite. Je ne pus m’empêcher de la contempler quand elle retira sa robe. Ses courbes fines, ses fesses rebondies, sa poitrine attirante, ses mains parfaites. En me voyant ainsi elle rigola et se jeta à l’eau, vite rejointe par moi-même pour éviter que mon début d’érection ne se voit. On se chamailla pendant quelques minutes, toutes les raisons étaient bonnes pour toucher son corps.
    D’un coup, elle cria et se jeta sur moi en fixant l’eau d’un air suspicieux. Par réflexe, quand elle m’a sauté dessus, je l’attrapai par les fesses. Il me fallut une seconde pour réagir, elle semblait trop préoccupée par l’eau pour se rendre compte de cet attouchement involontaire :
— Que ce passe-t-il, lui demandais je sans oser bouger.
- Quelque chose m’a effleuré le mollet.
- Il y a des poissons autour de nous, on vient parfois pêcher ici.
- Beurk, je n’aime pas les poissons.
    Elle tourna la tête pour me regardais et se rendis compte que l’on était proche. Peut-être a-t-elle compris ou mes mains étaient placées, car elle m’embrassa sans prévenir, avec passion et ardeur. Je lui rendis se baiser, dans ce lieu magique à nous.
    - Ramène-moi sur la nappe, me susurra-t-elle à l’oreille.
    Je m‘exécutai, trop heureux pour répondre quoi que ce soit. Mais, au lieu de la déposer sur la nappe, je l’amenai vers la douche que l’on avait installée quelques années auparavant. Je dus courir pour aller récupérer les savons dans mon sac et me dépêcha la rejoindre. Le temps de mon absence avait suffi pour qu’elle enlève son maillot de bain. Sous le choc en découvrant ce corps sublime, je fis tomber les tubes au sol. Innocemment, elle se retourna et se baissa pour les ramasser, me dévoilant sa magnifique vulve et son anus tout rose. Elle s’était entièrement épilée.
    Impossible de cacher mon érection, elle mit un peu de savon sur sa main et me lava le corps en me murmurant des mots coquins. Je me laissai aller à ce joyeux manège, une douce chaleur dans mon bassin. Elle se faufila derrière moi et se colla à mon dos. Je sentais sa poitrine se serrer contre moi, ses mains passèrent sur mon torse, puis descendirent doucement, avant de faire le tour ma verge sans jamais la toucher. Enfin, après un long moment, elle l’empoigna et commença à me masturber doucement, avec délicatesse. Rejetant la tête en arrière, je passai mes mains ou je pouvais, sur ses fesses, mais elle me fit comprendre que pour l’instant, c’était elle qui avait les commandes et pas l’inverse.
    Me rinçant le corps, elle se replaça devant moi et m’embrassa. Je sentis son désir, son excitation. Puis ses lèvres descendirent sur mon cou, mes pecs, mon ventre, pour finir par un baiser sur mon sexe tendu. 
    Elle le caressa du bout des doigts, me faisant saliver d’impatience, puis le pris enfin en bouche. C’était exquis, sa langue passant et repassant sur mon gland, allant de plus en plus loin, ses mains me malaxant les testicules, c’était trop bon. Elle poursuivit sa fellation pendant plusieurs minutes, variant la vitesse et la profondeur, essayant de me faire jouir, mais je me contrôlais pour ne pas finir maintenant.
    La relevant, je pris à mon tour du savon et commençai à la laver, sensuellement. Le dos, le ventre, remontant sur ses seins, elle gémit quand je lui pinçais, puis allant vers son bas-ventre. Je passai ma main et lui massai le clito. Je sentis qu’elle se contractait et, à voir ses yeux rouler, elle adorait. J’allai un peu plus loin pour masser son petit trou, instinctivement, elle écarta les jambes. Je fis mine de forcer pour rentrer, mais enleva ma main. Elle me regarda avec un air de reproche très vite oublier quand je lui enfonçai deux doigts dans le vagin. Elle passa ses bras autour de mon cou et se serra contre moi. Je continuai à la doigter le temps que l’eau la rince entièrement. Puis je lui pris la main pour rejoindre notre nappe, futur cocon de nos ébats.
    L’allongeant sur le dos, je me mis par-dessus elle pour l’embrasser passionnément. Elle m’entoura le bassin avec ses jambes pour rapprocher son vagin de ma verge, apparemment impatiente. Alors, je la pénétrai doucement jusqu’à ce que mon bassin tape ses cuisses. Sa respiration se bloqua pendant une seconde, puis reprit. Les yeux au ciel, elle ondula son bassin pour que je continue mes vas et vient. Mais j’attendis quelques secondes. Elle me regarda, au bord du supplice, et je finis par lui donner ce qu’elle voulait. Je lui fis l’amour, accélérant, enfonçant d’un coup mon pieu en elle, puis plus sensuellement. Je savais qu’elle adorait cette position et je fis tous pour qu’elle prenne son pied. D’un coup, je sentis ses jambes se contracter autour de moi, ses yeux se fermèrent et elle jouit dans un cri de plaisir. Attendant quelques secondes, elle me dévora du regard une nouvelle fois et se tourna, à quatre pattes, le visage contre le sol. Je savais ce qu’elle voulait, parce que c’était moi qui l’avais initiée. 
    Sortant un tube de lubrifiant de mon sac, j’en mis un peu sur mes doigts. Mais avant de l’appliquer, je dirigeai ma bouche sur son vagin et son petit trou. Mille et une saveur m’explosèrent en bouche, le goût de son excitation, du savon, de mon sexe. Je lui léchais tous les orifices, sans oublier son clito. Elle gémit et mouilla de nouveau. Je lui appliquai le lubrifiant sur l’anus et le massai. Tortillant ses adorables petites fesses, je lui enfonçai doucement un doigt, puis deux. Je fis de lent vas et vient le temps que son anus se dilate un peu. Puis je me positionnai derrière elle, mon pénis toujours gorgé de sang. J’enfonçai doucement mon gland, et d’elle-même, elle plaqua ses fesses contre mon bassin pour l’avoir en entière en elle. Elle se cambra sous la faible douleur, mais gémi par le plaisir. Je commençai donc à la sodomiser, chaque coup de reins la faisant rentrer en entière en elle. Nos respirations s’accélèrent, elle gémit de plus en plus fort, mes doigts titillant son clito. Après plusieurs minutes ainsi, je jouis en elle de longs jets. On s’écroula sur la nappe, haletant, regardant les premières étoiles, dans les bras l’un de l’autre.
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