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L'objet familial humain

Chapitre 6

SM / Fétichisme
..Parfois, mes parents me prêtent à un couple d’amis d’âge mûr, le temps d’un week-end. Le mari est un vieux pervers dépravé de 65 ans, très autoritaire et cruel qui est très fier de la vigueur de sa queue de taureau et soucieux, à chaque fois, de faire plaisir à son chien. Je suis monté, griffé, par le gros Médor et sailli par le cul, à quatre pattes dans le jardin ou en sous-bois en présence de voyeurs. Son épouse prend des photos sous tous les angles. Je suis livré, les poignets ligotés dans le dos, le cul zébré de coups de cravache, à des mains baladeuses et indélicates, sous les insultes et la brutalité collective, à des types pressés de se faire sucer sans préservatifs et que je fais dégorger à la chaîne derrière les buissons. Mon record: 15 types en manque en moins d’une demi-heure et sans discontinuer! J’avais, ce jour-là, les mâchoires en marmelade et une indigestion de jus de couilles, mais je me suis bien gardé de m’en plaindre. D’autant plus qu’il me faut raconter, au téléphone et en détail, à mes parents, le soir, ce que j’endure de mes journées passées hors du foyer familial.
  Papa se fait pomper par sa femme en écoutant, avec intérêt, mes comptes rendus téléphoniques dont les photos confirment toujours mes dires. Ce n’est pas, en matière de vice, qu’il manque d’imagination, mais il se plaît beaucoup à s’exciter en découvrant, curieux et amusé, ce dont les autres sont capables de réaliser. Des situations vexantes et très humiliantes auxquelles il avoue ne pas avoir songé et qui le plongent dans un état de contentement jouissif qu’il tient à me faire savoir en me posant toujours plus de questions honteuses;
_Tu sais que tu me fais triquer à mort, fils !? (...)
  Nul doute que ses longs interrogatoires poussés lui procurent des plaisirs particuliers auxquels il tient par dessus tout pour contenter sa forte libido. Maman aussi ne perd rien de mes confidences les plus pénibles puisque l’interphone est, à cette occasion, toujours branché. Et, bien que n’intervenant jamais lors de ces conversations faussement privées que j’ai avec mon père, je la devine plus troublée encore que lui à l’écoute des traitements avilissants que l’on me fait subir. Il n’est même pas rare que je l’entente jouir au cours de tels échanges très salaces. Une fois même, j’ai dû converser avec eux au téléphone pendant que j’étais grimpé par le chien. Cette fois là, ma mère a eu un orgasme presque instantanément, en entendant, très distinctement, les gémissements baveux du toutou qui s’en donnait à coeur joie, derrière moi.
  Lors de la dernière virée avec ce couple, le vieux m’a fait recracher le produit juteux de toutes mes fellations du week-end dans une bouteille en plastique. Un liquide gluant, épais et opaque remplissait la moitié de celle-ci. L’équivalent, peut-être, de plus d’une soixantaine d’éjaculations glanées en sous-bois et au sex-shop...J’avais pour consigne de la montrer à mes parents et de la boire devant eux, une fois rentré à la maison. Papa, avant de me regarder faire, a tenu à y ajouter également sa touche personnelle en urinant dedans. Maman a touillé le mélange avec une longue queue de cuillère en bois, et j’ai dû déglutir ce liquide laiteux et très amer à petites gorgées jusqu’à la dernière goutte, à table, un énorme et douloureux pick-anus au cul.

A suivre.
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