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Je m'occupe de ma nièce

Chapitre 4

Inceste
Cela fait maintenant 1 mois que je n’ai pas vu Lucie. Ayant dû effectuer pas mal de déplacements professionnels depuis notre dernier week-end, je n’ai pas pu profiter de ma nièce comme je l’aurais voulu. Nous nous sommes quittés la dernière fois sur une promesse de lui faire goûter mon jus dans de bonnes conditions. J’ai quand même pris, depuis, de ses nouvelles. Son état a considérablement évolué. Ma belle sœur Adeline m’a d’ailleurs passé un coup de fil ce matin, me demandant de passer la voir ce soir. Arrivé sur place, passé les politesses habituelles, Adeline me précise les raisons de son invitation.
— Merci d’être venu si rapidement. C’est un peu gênant, mais je dois de nouveau te demander un service, à propos de Lucie.— Bien sûr, lui répondis-je, qu’est-ce que je peux faire ?— Je dois aller voir mes parents ce week-end, ma mère est malade, et ton frère est en séminaire, il ne pourra pas être là. On aurait aimé que tu restes avec Lucie, si tu veux bien.— Evidemment, aucun problème, je n’ai rien de prévu.— Et puis, après son dernier séjour chez toi, son état s’est vraiment bien amélioré, elle n’est pas totalement guérie, il y a encore des contraintes, mais c’est un peu moins compliqué à gérer.— Tant mieux, je suis content de l’entendre. Pourtant je n’ai rien fait de spécial.— En fait si, tu as pu faire des choses qu’Alex n’a jamais voulu faire.— Euh, c’est-à-dire ?
D’un coup, je deviens rouge, pensant que ma belle-sœur m’en voudrait de ce qui s’est passé avec sa fille. Je ne sais pas à quel point elle est au courant de la situation. Elle me réponds :
— Tu sais bien, tout ce qui est inscrit dans le carnet est difficile à assumer quand on est parent, surtout pour le père. J’ai demandé à Lucie quels soins elle a reçus de ta part. Et j’ai compris que son état s’est amélioré grâce à ça. J’ai pourtant essayé avec son père, mais le concept même de pénétrer sa propre fille était déjà très compliqué, et le fait de devoir éjaculer en elle était insurmontable. Je sais que toi tu as pu faire le nécessaire.— Eh ben, ça me rassure un peu ce que tu me dis là, j’avais des scrupules après le week-end passé avec Lucie, c’est aussi pour ça je pense que je n’ai pas pris de nouvelles depuis plusieurs semaines.— Ne t’en fais pas. Je suis contente que tu aies pu soigner Lucie mieux que nous. C’est aussi pour ça que je t’ai appelé ce matin.— Tu peux m’en dire un peu plus sur son état ?— Oui, j’ai noté les informations complémentaires sur le carnet. En résumé, les crises sont moins subites, Lucie n’est pas bloquée instantanément. En revanche, son traitement a évolué, elle doit être traitée du côté anal. Le problème est qu’elle devient de plus en plus contractée à ce niveau là et qu’il faut préparer sensiblement le passage en amont.— Le passage de ... ?— Il va falloir que tu la pénètres de nouveau, et utiliser surtout une lubrification la plus naturelle possible.
De nouveau, je reçois un coup de massue sur la tête. Ma belle-sœur qui m’explique que je dois sodomiser sa fille afin de la soigner.
— Je t’ai noté la procédure la plus simple et efficace dans le carnet, tu auras le temps de lire. Il faudra que tu viennes samedi, je ne pourrais pas te déposer Lucie chez toi.
— Très bien, je viendrais samedi matin et je tâcherais de faire de mon mieux.— - - -
Samedi matin, j’arrive chez mon frère et ma belle-sœur, Adeline m’accueille rapidement.
— Lucie est pas encore réveillée, je t’embrasse, je dois filer.— OK pas de problème.
Une bonne heure après, je vois donc ma nièce se lever péniblement.
— Bonjour tonton, me fit-elle.— Bonjour ma puce, bien dormi ?— Ouais, le réveil est dur.— Tu as envie de faire quelque chose de spécial aujourd’hui ?— Oui, tu pourrais m’emmener faire du shopping ?— Bien sûr, tu te sens en état ?— Oui ça devrait le faire.
Revoir ma nièce dans un pyjama moulant me fait un petit effet, mais je dois reprendre mes esprits et revenir en mode sérieux.Après le petit-déj et la toilette, j’emmène donc ma nièce au centre commercial.
— Qu’est-ce que tu dois acheter ? lui demandais-je. Aujourd’hui, c’est moi qui offre.— Oh c’est gentil tonton, merci.— Pas de quoi, j’ai quelques anniversaires en retard, alors on va à quelle boutique ?— On va à la lingerie, j’ai rien à me mettre à ce niveau là.— Ah bon ?— Ben oui, avec la maladie, j’ai jamais eu l’occasion d’acheter des trucs sympas, alors maintenant que je vais un peu mieux, j’ai envie de profiter.— Tu as bien raison ?
On se dirige alors vers une boutique de lingerie. Il y a tellement de choix ! Lucie fait son petit tour dans les rayons et me demande mon avis de temps à autre sur des articles. Des strings, des tangas, des ensembles sexy...J’avoue ne plus savoir où me mettre quand elle me montre des culottes transparentes. Je fais semblant d’être stoïque afin de ne pas montrer mon excitation. Mais imaginer ma petite nièce dans ces sous-vêtements ne me laisse pas de marbre.Lucie prend plusieurs pièces et se dirige vers les cabines d’essayage.
— Tu viens tonton, tu vas m’aider à choisir.— Euh oui d’accord.
Je deviens de plus en plus gêné de la situation, d’autant plus qu’elle m’appelait tonton devant les autres clients et le personnel, quel embarras. Mais ça n’avait pas l’air de perturber Lucie plus que ça.La séance d’essayage débute avec un premier ensemble blanc, sexy, mais relativement soft. Un soutien-gorge enveloppant et une culotte peu échancrée
— Alors qu’en dis-tu ?— C’est pas mal, c’est gentil. Il te va bien.— Mouais, comme tu dis, c’est gentil, c’est pas ce que je cherche non plus. Ca me plaît pas trop finalement, j’essaie autre chose.
2 minutes plus tard, Lucie rouvre le rideau avec sur elle un ensemble rouge en dentelle. Un soutien-gorge qui en montre un peu plus que le précédent et surtout une culotte légèrement transparente qui découvrait une partie de ses fesses.
— Alors c’est mieux, non ?— Euh oui c’est un peu plus ... coquin.— J’ai bien le haut, qu’est-ce que tu penses de la culotte ?— Elle est jolie aussi.— J’aime bien le devant, un peu transparent.
Cette transparence me permet d’envisager que Lucie a rasé son pubis, mais je n’en suis pas sûr. Je ne me voie pas approcher mon visage plus près de son corps pour vérifier.Puis vient le 3ème ensemble. Beaucoup plus sexy, bleu clair turquoise. Un soutif transparent au niveau des tétons et surtout un string échancré encore plus transparent ne laissant aucun doute sur la pilosité de Lucie à cet endroit. Lucie s’approche de moi :
— Alors, qu’est-ce que tu en penses ?— Il est... très perturbant.— Il est méga chaud ouais, t’as vu devant, on voit tout.
Elle se tourne vers moi pour que je puisse constater qu’effectivement, le haut de sa vulve était bien visible à travers le string. Je commence à être un peu serré dans mon pantalon. Même après lui avoir procuré des soins ‘’spéciaux’’, voir ma nièce dans ces conditions commence à m’exciter sérieusement.
— Effectivement, il ne cache pas grand-chose. Je vois que tu as continué de te raser.— Oui t’as remarqué, par contre, j’arrive pas à aller partout, faudra que tu m’aides après. Bon alors, il te plaît tonton ? On prend celui-là ?— Euh... oui si tu veux.
Je suis subjugué de l’aplomb qu’elle a, ce n’est plus la Lucie d’il y a un mois.
— Tonton ?!— Oui ma chérie.— Je crois que je vais avoir une crise.— Maintenant là ?!— Oui, mais t’inquiète pas, ça va aller, il faut juste m’aider à me rhabiller. Par contre, je peux pas enlever l’ensemble, tu peux aller voir à la caisse pour payer stp ?— Oui bien sûr.
Je prend l’étiquette de l’ensemble et va expliquer la situation à la caissière. Je retourne à la cabine d’essayage et aide Lucie à remettre son haut et sa jupe.Elle a du mal à se déplacer, mais peut bouger les jambes un petit peu. Je la soutiens pour l’accompagner jusqu’à la voiture.Arrivés à la maison, nous nous dirigeons vers sa chambre.
— Ah enfin ! fit-elle avec un soupir de soulagement. J’en pouvais plus.— Ca va quand même ?— Là je suis bien bloquée, il va falloir m’aider, t’as pu relire un peu le carnet de maman ?— Oui, je vais essayer de faire de mon mieux. Je vais déjà t’installer.
Je mets Lucie sur le côté, les jambes repliées. J’ai une vue exceptionnelle sur son cul et son entrejambe, avec son nouvel ensemble, c’était magnifique. Je constate par contre que niveau rasage, Lucie n’était pas allée jusque-là. Elle met d’ailleurs sa main devant pour essayer de cacher sa pilosité.
— Regarde pas trop, j’ai pas réussi à amener le rasoir derrière, je suis sûr que c’est pas beau.— T’inquiète pas ma chérie, tu m’a demandé de l’aide tout à l’heure, je vais regarder ça.
Je retire lentement le string. Au fur et à mesure que la dentelle s’enlève de la raie des fesses, je sent mon sexe se tendre encore de plus en plus. Et de penser que je vais pouvoir l’introduire dans l’intimité de Lucie ne fait qu’amplifier les sensations. Une fois complètement enlevé, j’écarte délicatement une fesse et rassure Lucie.
— Et ben, c’est pas si terrible. Si tu veux, je t’enlève le reste de poils et ensuite je m’occupe de tes soins.— C’est vrai, tu peux faire ça ?— Bien sûr, je vais aller chercher ce qu’il faut.
Je ramène le nécessaire de la salle de bain et commence le travail. Quel plaisir d’étaler la crème entre ses fesses et de pouvoir caresser son petit trou ! J’écarte ses fesses afin de faire passer le rasoir le plus doucement possible. Petit à petit, j’enlève la totalité de la pilosité de Lucie jusqu’au périnée. Je prend une lingette humide pour nettoyer la crème de rasage restante et profite un maximum de la situation.
— Tu es toute belle ma chérie. Ca va mieux ?— Oui tonton, je me sens un peu plus fraîche.— Il va falloir que je débute tes soins maintenant.— D’accord, tu vas faire quoi ?— Tu vas te détendre, je vais commencer par te caresser un peu devant, là où tu aimes bien, ça va permettre d’avoir un peu de cyprine pour lubrifier ensuite derrière.— OK.
J’humidifie un doigt et commence à le glisser le long de sa vulve. Lucie est toujours en position fœtale, j’ai donc toujours une vue sur ses fesses ouvertes et sur son petit trou, tout propre et lisse. Je sens que petit à petit Lucie apprécie mes gestes. Elle ferme les yeux et profite du moment. Son vagin commence à se détendre et s’humidifier. De mon côté, je ne tiens plus et décide d’enlever mon pantalon.
— Ca ne te dérange pas que j’enlève mon pantalon Lucie ?— Tu peux tout enlever si tu veux tonton ?
Je décide de retirer également mon caleçon, et reviens glisser mes doigts entre les cuisses de ma nièce. La vue de son anus me fait craquer, je finis par plonger ma tête entre ses fesses et commence à lécher son petit trou.
— Mmm tonton, mais qu’est-ce que tu fais ?— C’est pour bien te préparer ma puce.— C’est agréable, continue.
Mes doigts glissent maintenant au fond de sa chatte qui mouille terriblement et ma langue cherche en vain à s’insérer dans son derrière tout serré. Après quelques va-et-vient dans son vagin, je me redresse.
— Ca va toujours Lucie ? — Ca va, tu me fais du bien.— Je crois que tu as bien mouillé, je vais maintenant essayer d’assouplir un peu ton anus avec mon doigt.
Je retire mon doigt de son vagin et étale le plus de cyprine possible autour de son anus. Doucement, je presse l’entrée pour introduire une première phalange. Lucie gémit de suite, elle est réellement serrée à cet endroit. Je reprend un peu de mouille et réintroduis mon index de manière plus appuyée. Lucie pousse de nouveau un petit cri.
— Chhhut, ne t’inquiète pas, ça va bien se passer.
Je fais de légers allers-retours avec mon doigt et tente de m’enfoncer un peu plus à chaque fois. A force, j’arrive à mettre mon doigt tout au fond, les gémissements de Lucie sont plus prononcés, elle arrive à prendre du plaisir malgré l’introduction un peu douloureuse.Pour ma part, ma queue est raide et du liquide commençait à sortir de mon gland, mais je sais que je ne vais pas pouvoir me soulager tout de suite.
— Ca va mieux tonton, j’aime bien ce que tu me fais.— Tant mieux. Je crois que ton anus est prêt pour l’étape suivante.
L’étape suivante est l’introduction d’une espèce de suppositoire, plus gros et plus dur que la normale. Cela va permettre au rectum de se dilater encore plus et ainsi d’être suffisamment souple pour accueillir une verge. Je commence à introduire le médicament, il est vraiment imposant et je vois que Lucie n’apprécie pas trop. Je la bascule sur le dos et lui ramène les genoux contre la poitrine.
— Je vais te caresser un peu, ça va te détendre.— Je veux bien.
Je fais glisser mes doigts à l’intérieur de ses lèvres et joue avec son clitoris, Lucie reprend du plaisir. De l’autre côté, je maintiens la pression du suppositoire à l’entrée de son trou, celui s’enfonce petit à petit. Alors j’insiste sur la masturbation et continue mes caresses sur son petit bouton. Sa chatte est maintenant bien ouverte et je vois son jus couler le long de son périnée.
— Mmm tonton, c’est trop bon, j’adore ça, continue ...
Il ne reste qu’un petit centimètre au suppo pour rentrer entièrement en elle. Lucie est à deux doigts de jouir, j’appuie encore, le médicament est maintenant totalement rentré, j’insiste sur le clito, ce qui amène ma nièce à atteindre finalement l’orgasme. J’en profite pour pousser le suppositoire tout au fond en introduisant mon doigt dans son anus.
— Haaaann... ouiiiii... Mmmmmmm... Haaaann, haaan !
Je repose alors les jambes de Lucie pour la soulager, mon doigt toujours emprisonné entre ses fesses. Je le ressors lentement et je vois ma nièce pousser un dernier gémissement en reprenant son souffle.
— Ca va Lucie ?— Oui tonton ça va. Ca faisait mal au début, mais ensuite tu m’as fait mouiller, j’étais totalement excitée et ça m’a aidée à accepter le médicament.— Allez, repose-toi un peu, le temps que ça fasse de l’effet.
Le suppositoire met une quinzaine de minutes à agir, on en profite pour discuter un peu, j’en profite pour laisser se détendre ma queue, raide depuis un bon moment.
— Et avec tes parents, ça se passe un peu mieux ? C’était un peu tendu à une époque. — Bof. Avec maman, ça va, mais c’est plus compliqué avec papa, j’aurais aimé qu’il me soigne un peu plus comme toi tu l’as fait.— C’est compliqué de se dire qu’il faut pénétrer sa propre fille, surtout qu’il faut une partie d’excitation et de plaisir pour pouvoir aller jusqu’au bout.— Maman aurait bien aimé aussi, mais bon...— Il n’a jamais essayé ?— En fait, si, une fois, quand maman était partie, elle n’a jamais été au courant.— Ah bon et comment ça s’est passé ?— J’ai insisté pendant une crise, il a craqué et il m’a installée dans mon lit sur le ventre, pour ne pas voir mon visage, ensuite il a mis un drap sur le haut de mon corps, je n’avais que le bas de découvert. Il m’a écarté les jambes et s’est placé derrière moi. Je l’entendais se masturber, de temps en temps il caressait mes fesses et les écartait, je pense pour voir ma chatte. Il glissait son doigt entre mes lèvres vaginales pour bander un peu plus vite. Moi, la situation m’excitait beaucoup, alors j’ai mouillé assez rapidement. Puis il s’est arrêté et je le sentis s’approcher. Son gland s’est posé contre ma vulve et après un moment d’hésitation, il s’est introduit en moi. Je n’avais jamais eu la chatte aussi trempée, sa verge s’est glissée dans mon intimité très facilement. Savoir mon propre père en train de m’enfoncer me mettait dans un état pas possible. J’aurais souhaité que ça dure plus longtemps, mais papa faisait le nécessaire pour écourter la séance. Après avoir fait quelques va-et-vient, il a rapidement accéléré son mouvement jusqu’à jouir à l’intérieur de mon vagin.
Je n’ai pas eu le temps d’avoir le moindre petit orgasme. Il s’est retiré, m’a installé sur le dos et remis le drap sur moi, il est ensuite sorti de la chambre sans dire un mot.
— Eh bien... Je ne pensais pas qu’il l’aurait finalement fait avec toi.— Juste une fois, j’aurais souhaité qu’il le fasse plus souvent. Enfin, c’est pas grave. Passons. Je crois que le médicament fait son effet, on va pouvoir continuer.— Tu crois ? Euh... d’accord.
Mon sexe était revenu dans son état normal, mais l’histoire de Lucie l’a fait durcir, elle ne manque pas de le remarquer :
— Je vois que mon histoire t’a plu, mais ça ne sera pas suffisant pour me soigner.— Effectivement, c’est un peu juste.— A mon tour de te préparer alors.
Lucie attrapa ma queue délicatement et entama de langoureuses caresses. Quel plaisir ! Ma nièce se débrouillait super bien, je fermais les yeux pour profiter un maximum.
— Ca te plaît tonton ? Je fais pas ça souvent, tu sais.— C’est très bon ma puce, ne t’arrête pas, tu fais ça très bien.— Elle est bien dure là, mais c’est pas encore suffisant, il faut la lubrifier avant de l’insérer dans mon cul.
Ses paroles m’excitent à mort. Lucie approche son visage de ma verge et lèche mon gland. Puis elle met ma queue dans sa bouche pour me sucer tout doucement. C’est trop bon, je ne pense pas avoir de meilleures sensations.
— Mmm, elle est bonne ta queue tonton. Mais il faut penser à moi aussi.
Lucie pivote et passe sa jambe par-dessus mon visage pour se placer en position 69 toujours mon sexe en bouche. J’ai maintenant une vue en gros plan de sa chatte grande ouverte et mouillée. Elle sent bon. Lucie continue de me sucer et approche son bassin contre mon visage, je me mis donc à lécher son minou sans relâche. Nous sommes en train de nous donner mutuellement du plaisir avec ma nièce. Alors je me redresse pour lécher son petit trou dilaté. Au bout de quelques minutes, je coupe la séance de plaisir partagé.
— Mmmm ma chérie, c’est trop bon ce que tu me fais, mais il faut arrêter sinon je vais jouir dans ta bouche. Il faut que je garde mon jus pour te soigner.— Mmmm d’accord.
Lucie se retourne et se met au dessus de moi.
— Comme on a dit, il faut bien lubrifier.
Sur ces mots, je vous ma nièce s’empaler le vagin sur mon sexe raide et commence la lubrification de l’engin.Après quelques minutes, elle se retire et met ma queue à l’entrée de son anus. Je vois mon sexe lentement s’insérer à l’intérieur du cul de ma petite nièce. Quelques grimaces apparaissent sur son visage tout le long de la pénétration, jusqu’à que ça arrive au fond.
Au vu de l’effort, je consents à prendre la suite des opérations. Je prend Lucie dans mes bras et l’allonge sur le dos, toujours ma bite en elle. Je met ses jambes autour de ma taille et me blottis tout contre elle. Je commence à bouger doucement mon bassin, et vois Lucie prendre du plaisir petit à petit.
Puis je décide de la placer en position de levrette. Les fesses écartées, je replonge ma langue dans sa raie pour de nouveau goûter à ce petit cul appétissant avant de remettre mon gland en position de pénétration. De nouveau, je m’enfonce à l’intérieur, mais quelques aller-retour à glisser dans cet antre chaud et agréable ont vite raison de moi.
— Oh ma chérie, c’est trop bon, je vais craquer.— Oui vas-y tonton, mets tout ton jus dans mon cul, j’adore ça !— Oh..... Hannnn, Lucie... mmmm... haaahaaaannnnnn !
Je me décharge dans ses entrailles sans vergogne. Epuisé, je m’écroule littéralement sur ma nièce, toujours ma queue tendue à l’intérieur de ses fesses, chaudes et accueillantes. Ce n’est qu’après avoir repris mes esprits que je me retire délicatement de son corps, avant de m’étaler sur le lit.
— Merci tonton de m’avoir soignée.— De rien ma puce, tout le plaisir...était pour moi. — Ca t’a fait du bien à ce que je vois?  T ’as pas arrêté de bander de toute l’après-midi.— Ah parce que tu l’avais remarqué ?— Je me suis mis en petite tenue dans le magasin, je t’ai raconté le moment où mon père m’a fait l’amour pour me soigner, j’ai pas arrêté de t’exciter, c’est normal. Moi j’ai aimé.— Eh bien, ma chère nièce, je ne t’aurais pas cru comme ça.— Par contre, il y a toujours quelque chose qui me manque.— Ah bon, quoi ?— J’ai toujours pas pu goûter à ton sperme.— Promis ma chérie, la prochaine fois, je me viderais dans ta bouche.— Mmm, j’ai hâte !
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