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Océane

Chapitre 1

Divers
OCÉANE Mariés depuis 8 ans et nouvellement libertins, mon mari insistait pour me faire découvrir des plaisirs exotiques avec des hommes de couleur. Je n’étais pas très emballée à cette idée, non par racisme, étant moi même métisse, mais par leur réputation d’énormes sexes et de ne s’occuper que de leur plaisir. Son anniversaire approchant, déjà 55 ans, il me dit :
— Tu sais ce que j’aimerais comme cadeau ?— Non dis-moi chéri et promis que tu l’auras !— J’ai un collègue qui vient du Sénégal en stage et il ne sait pas où loger, donc j’ai pensé que de l’inviter chez nous une semaine serait sympa !— Et tu considères ça comme un cadeau ?— Le cadeau serait que tu sois très gentille avec lui, dit-il en bafouillant !
Le salaud m’avait piégée, ne voulant pas revenir sur ma promesse, je lui dis :
— Bon je vais faire un effort, mais si ça me déplaît on arrête tout !— Pas de soucis ma tendre, c’est toi qui décideras si tu laisses faire ou veux stopper !
Le soir tant attendu par mon mari était arrivé, moi plutôt tendue je me préparai. Un string rouge, cela ressortait mieux sur ma peau, je négligeai le soutien-gorge, mes seins me le permettant. Je les caressai doucement, malaxant les tétons qui durcissaient sous mes doigts. Mon mari était entré dans la chambre et je l’aperçus dans la glace, j’arrêtai aussitôt de me caresser.
— On dirait que la soirée t’excite déjà ?— Pas du tout, juste un inventaire de mes seins.
Il pouffa et sortit de la chambre. Je décidai de mettre quand même un soutien-gorge, ne pas être provocante, cela pourrait faire penser à notre invité que je n’attendais que ça. Je choisis une petite robe rouge assortie à mes dessous, décolletée et dos nu, je me trouvais pas mal, sans chercher à lui plaire, je tenais quand même à faire bonne impression.
Quand la sonnette de la porte retentit, mon cœur se mit à battre plus vite, je laissais mon mari aller ouvrir, je les entendis se dire bonsoir et papoter, je me décidai à descendre, me demandant comment il pouvait être. Mon mari me présenta.
— TIDIANE, je te présente ma charmante épouse Océane.— Bonsoir TIDIANE, ravie de vous accueillir.
— Dan ne m’avait pas menti sur votre beauté, j’espère ne pas trop vous déranger.— Pas du tout, la maison est grande et ce sera mieux pour vous que l’hôtel.
Il avait la cinquantaine, une moustache, un peu rond, mais assez grand, ce qui estompait un peu ses kilos en trop, il n’était pas déplaisant, ses cheveux argentés lui conféraient un certain charme. Le repas se déroula sans problème, mon mari fut étonné de me voir boire du vin, et en fin de repas accepter de prendre une coupe de champagne.
— Tu te mets en condition ma chérie.
Il me chuchota ça à l’oreille, je lui lançai un regard noir, il me sourit et commença à parler travail avec TIDIANE, puis la conversation devînt un peu plus coquine quand ils parlèrent du personnel féminin de l’entreprise, sur le physique des secrétaires, leurs formes. L’alcool avait un peu égayé leurs propos, au point que Dan passa derrière mon fauteuil et posant ses mains sur mes seins, dit :
— Tu vois TIDIANE, il n’y en a pas une qui me plaît autant que ma femme.
Et il continuait de me caresser la poitrine, je ne savais pas quelle attitude prendre, voyant que je ne réagissais pas, s’adressant à TIDIANE :
— Comment trouves-tu ses seins ?— Ils paraissent très beaux sous cette robe.— Viens toucher, tu pourras vérifier par toi même.
TIDIANE se leva et en me tutoyant, il me demanda s’il pouvait les toucher. Je fus étonnée de m’entendre lui répondre :
— Puisque mon mari vous autorise, faites donc.
Il se leva, vint se poster devant moi, me prit les mains et me fit lever. J’étais tétanisée et excitée en même temps, un brouillard dû à l’alcool et à la situation m’empêchait de réagir, en avais-je envie ? Je me retrouvai debout contre lui, son visage s’approcha du mien et ses lèvres se posèrent sur les miennes, il avait des lèvres épaisses qui couvrirent les miennes, sa langue pénétra ma bouche et s’enroula autour de la mienne. Je n’opposai pas la moindre résistance, sa main s’empara de mon sein et se mit à le pétrir, je sentis l’envie de m’emparer de son sexe, ce que je faisais dès qu’un homme me tripotait, mais je me retins, il me caressa les deux seins tout en continuant de m’embrasser. Puis il s’écarta et confirma à mon mari :
— C’est vrai qu’ils sont parfaits, je te félicite Dan, ta femme a vraiment une belle poitrine.
Ensuite, Dan mit de la musique et TIDIANE me proposa de danser, un slow d’Elvis PRESLEY "Are you lonesome tonight". J’adorais cette voix qui me faisait frissonner, et les mains de TIDIANE qui me caressaient le dos puis les fesses amplifiaient mon frisson, il se colla un peu plus à moi et je sentis son sexe durcir contre mon ventre. Dan regardait en buvant son whisky, TIDIANE m’embrassa de nouveau, cette fois, je lui rendis son baiser avec fougue, l’envie me gagnait. Je sentis mon sexe s’humidifier, j’eus soudain très envie de faire l’amour avec lui. Je ne sus plus ce que je voulais, qu’il me bascula sur la banquette et me prit sans s’occuper de Dan ou qu’il arrêta. Dan lui dit :
— Je te l’avais dit, une femme parfaite, je vais vous laisser, je dois aller acheter des cigarettes, montre-lui sa chambre chérie, je reviens vite.
Le pire, Dan ne fumait pas, je compris qu’il allait me laisser seule avec TIDIANE, je ne voulus pas gâcher cette soirée d’anniversaire et je répondis :
— Prends ton temps, ne roule pas trop vite, je m’occupe d’installer TIDIANE dans sa chambre.
Il me posa un baiser sur la bouche et murmura :
— J’ai l’impression que tu en meurs d’envie ma petite salope adorée.
J’invitai TIDIANE à monter à l’étage pour aller préparer sa chambre. Je passai devant lui et je sus qu’il pouvait facilement voir mes fesses sous ma robe courte. Je ne me retournai pas, sentant son regard mater mes fesses. Pour monter les douze marches, je tortillai un peu, il dut avoir le spectacle de mon string rouge fendant mes fesses, soudain je me bloquai, une de ses mains était passée sous ma robe et m’avait attrapé une fesse. Au lieu de protester, je lui dis :
— Fais attention, c’est dangereux dans l’escalier.— Ne t’inquiète pas, je te tiens.
Et pour me le prouver, ses deux mains se plaquèrent sur mes fesses et me pelotèrent le cul avec force. Je tendis un peu mes fesses en arrière, j’eus envie de lui et il le savait. Il me lâcha et me dit :
— Allons préparer le lit.
Arrivés à la chambre, il me reprit dans ses bras et m’embrassa de nouveau, il embrassait très bien, sa salive se mélangea à la mienne, je passai mes bras autour de son cou, m’abandonnant complètement à lui, ses mains parcoururent mon corps, mes seins, mes fesses, furent explorés par ses grosses mains, puis une passa sous ma robe et me saisit la chatte à travers l’étoffe de mon string.
— Attends, Dan va revenir, il voudra être là.— Non Océane, il m’a dit qu’il nous laisserait seuls pour ne pas nous gêner.
Là, je paniquai un peu, je ne sus plus quoi faire, mais je n’eus pas à réfléchir longtemps, TIDIANE me fit basculer sur le lit, ma robe se retroussa, découvrant mon abricot à peine caché par mon string, sa main écarta le petit cache-sexe rouge et s’insinua dans ma fente déjà très humide.
— Tu es déjà trempée petite garce, dès que je t’ai vue, j’ai su que tu aimais la queue, Dan me l’a dit.
Mon salaud de mari savait que j’avais du mal à résister au sexe une fois que l’envie me gagnait. TIDIANE se recula et commença à se dévêtir. Il avait un peu de ventre, son torse recouvert de poils frisés était bien musclé, puis il baissa son boxer, et là je ne pus m’empêcher de m’exclamer.
— Elle est trop grosse, jamais je ne pourrai prendre une queue pareille dans ma chatte.
Sa queue dressée était impressionnante, le gland violacé énorme, jamais je n’avais vu un tel engin.
— Déshabille-toi chérie, enlève tout.
Je me levai, et balançai ma robe sur le sol, mon soutif et mon string pareil, je fus vite nue, il me fit asseoir sur le lit et avança son sexe vers ma bouche, le gland circoncis me faisait face, son sil de cyclope me narguait, il me prit par les cheveux et attira doucement ma tête jusqu’à ce que ma bouche colle à son sexe.
— Suce, tu en as envie, ouvre bien ta bouche.
J’obéis, j’ouvrai grand mes lèvres et commençais à lécher son gland, pas besoin de décalotter, je passai une main sous ses couilles et tout en le suçant, je lui malaxai, elles étaient grosses et velues, l’épilation, il ne connaissait pas. Je pointai ma langue et en enfilai le bout dans son méat qui gouttait de perles transparentes, il rugit littéralement de plaisir.
— Salope, je vois que tu as l’habitude de faire des pipes, une vraie bouffeuse de bites.
Sa vulgarité ne me dérangeait pas du tout, j’avais l’habitude avec mon mari et mes divers amants, je dirai même que cela m’excita. Il me prit la tête à pleine main et essaya de m’enfiler sa bite entière dans la bouche, je faillis m’étouffer, mais il insista, sa bite touchait mes amygdales et je faillis vomir, ma salive dégoulina sur mes seins, il grogna et me baisa la bouche, allant et venant comme s’il était dans ma chatte. Heureusement, ça ne dura pas longtemps, je sentis son sexe vibrer, il resta au fond de ma gorge, me collant le visage contre son ventre velu.
— Prends ça salope, avale tout.
Une énorme giclée de semence me jaillit au fond de la gorge, suivie de nombreux autres jets tous aussi puissants et abondants. J’essayai d’en avaler un maximum, mais tellement abondant, la moitié me ressortit de la bouche pour s’écouler sur mes seins, mes cuisses, de grosses coulées blanches s’étalèrent sur ma peau caramel. Il resta dans ma bouche jusqu’à ce qu’il débande, même ramollie, sa queue restait impressionnante.
— Alors chérie tu as aimé ? Moi j’ai pris un super pied, on dirait pas à voir ton visage d’ange que tu es aussi pute.
Je me levai pour aller me rincer la bouche, mais il me colla à lui et m’embrassa sauvagement, mêlant nos salives et son sperme d’une bouche à l’autre. Il pratiqua ce petit jeu un moment, puis je sentis son membre se redresser contre mon ventre, il rebandait déjà, je fus surprise et heureuse de cette rapidité, car je restai sur ma faim, j’eus une envie folle de le sentir en moi.
— Tu as envie de la prendre dans ta chatte.— Oh oui baise-moi.
Je m’allongeai sur le dos, écartant les cuisses sans aucune pudeur, offrant la vue de mon sexe lisse et ouvert à son regard, ma chatte dégoulinante de cyprine était prête. L’appréhension de son énorme bite ne m’effleura même plus l’esprit, je fus prête à tout même à souffrir pour le sentir au fond de moi. Il s’agenouilla et commença à me lécher la chatte, le contact de sa moustache fut plaisant, je lui appuyai sur la tête afin qu’il me pénétra encore plus profondément avec sa langue. Il m’enfonça son pouce dans la rosace et me mordilla mon petit bouton bien dilaté, je râlai doucement sous cette sublime caresse, le râle se transforma vite en cris, l’insultant, le suppliant de faire encore plus fort. Un doigt dans l’anus, deux dans la chatte, ses dents et sa langue me travaillant le clitoris, je ne tins pas longtemps.
— Baise-moi salaud, enfile ma chatte, défonce-moi.
Il se mit sur moi, et commença à mettre son gland entre les lèvres de mon sexe, j’eus la force de lui dire :
— Tu as des capotes dans le chevet.— Non, trop envie de t’inonder ta chatte de pute, t’ensemencer, te mettre un petit noir dans le ventre.
Il est vrai que nous n’avions pas d’enfants depuis notre mariage et ce n’était pourtant pas faute d’avoir essayé, mais je ne tenais pas à en avoir avec d’autres que mon mari. J’insistai, mais il n’en tint pas compte, j’eus trop envie de le sentir en moi pour insister, l’envie de sexe fut plus fort que ma raison. Il me releva, les jambes bien en l’air, je sentis son gland aller venir entre les lèvres de ma chatte, insistant sur le clitoris, je le suppliai de me prendre.
— Enfile-moi salaud, arrête de me faire languir, je suis toute à toi, jouis-moi dans la chatte si tu veux, mais prends-moi.
Je ne tins plus, je tendis mon ventre vers sa bite comme pour la faire pénétrer dans ma chatte en feu. Il posa son gland sur l’entrée de ma moule qui était inondée, et d’un coup de reins me l’enfila entièrement. Je ne pus retenir un hurlement, j’eus l’impression d’être déchirée, comme un second dépucelage brutal. Jamais une si grosse queue ne m’avait pénétrée, la douleur était intense. Il resta au fond de moi, son corps m’écrasant, il était lourd, j’adorai être recouverte comme ça. La douleur s’estompa doucement, laissant place à un doux plaisir. Me voyant ainsi, il commença à aller et venir en moi, butant le fond de ma chatte, il ressortit sa bite entière pour la replonger en moi jusqu’aux couilles qui me battaient les fesses. Je devenais amoureuse de ce plaisir que sa queue me procurait.
— Vas-y mon amour, continue, je t’aime.— Dis que tu es ma salope, que tu adores sentir ma queue noire dans ta chatte de pute.— Oh oui que je l’aime, je suis ta petite pute, fais-moi ce que tu veux, je suis à toi entièrement.
Je ne pensai plus un seul instant à mon mari, seule cette queue au plus profond de moi m’importait. TIDIANE chaque fois que j’allais jouir s’arrêtait de me pilonner, il transpirait abondement, sa sueur coulait sur moi, un doux parfum sauvage et boisé, la sueur de son visage plut sur le mien, j’eus des gouttes qui glissèrent dans ma bouche, un léger goût salé que j’avalai avec plaisir. Dès que je me réclamai un peu, il recommença à me baiser, tantôt doucement puis brutalement, cette alternance me rendit folle.
Il dominait mon corps, j’étais devenue son esclave, puis d’un coup, il accéléra, son ventre tapant le mien avec force, son souffle devenant plus court. Je fus prise d’une vague de plaisir qui me submergea. Je n’avais jamais connu ça. Le plaisir me fit du mal et du bien en même temps. Je me sentis chavirer, ma tête allait exploser ainsi que mon ventre, il poussa un grand cri et inonda mon vagin, je sentis les jets chauds et puissants me remplir, je débordai, son sperme ressortit de ma chatte pleine. Je me sentis défaillir, comme évanouie. Je sentis son corps écraser le mien, je n’eus même pas la force ni l’envie qu’il s’enleva. Il resta dans ma moule de temps en temps quelques soubresauts de sa queue envoyèrent le reste de son sperme au fond de moi.
Je ne sais plus le temps que nous sommes restés ainsi. Il commença de bouger, nos corps trempés et collants de sueur se séparèrent, il se laissa glisser à mes côtés et comme la plupart des hommes me demanda.
— Tu as aimé ça ma chérie ?— Je n’ai jamais joui comme ça avec un homme, sincèrement, je t’adore.
Le sperme continuait de ressortir de ma chatte coulant entre mes fesses, j’en pris du bout des doigts, et sous ses yeux, je le dégustai, un goût salé, je pris tout ce que je pus récupérer dans ma chatte et léchai tout. Il me regarda faire, appuyé sur un coude, il m’aida à recueillir le maximum de son jus afin de me le mettre dans la bouche.
— Dan ne rentrera que demain, on a toute la nuit à nous ma jolie salope des Îles.
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