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Océane au bord du divorce

Chapitre 2

Divers
Océane au bord du divorce 2Tout va pour le mieux depuis le départ de la petite peste de Samira, bien sûr mon mari est nostalgique quand il regarde des photos d’elle dans diverses positions qu’ils avaient faites lorsqu’ils se trouvaient seuls. Mais, je lui laisse ce plaisir, en photos, elle ne me dérange pas. Et, je reconnais que j’en ai plusieurs d’elle en petite tenue, ou nue sur mon iPhone que je n’ai pas effacées. Samira m’envoie des SMS auxquels je ne réponds pas, elle me demande de mes nouvelles, s’excuse de son comportement, jamais, elle n’évoque mon mari. Samira me dit aussi que ses cousins s’ennuient de mes fesses, et qu’ils aimeraient bien me revoir une fois. Méfiante, bien que cela me ferait plaisir de passer un peu de temps avec ces deux bâtards, je me raisonne, j’ai promis à mon mari de ne plus les revoir. Daniel, au courant de mon attirance pour les rebeus, fait un effort, il recherche des Arabes parfaits pour les inviter et me mater pendant qu’ils s’occupent de mes orifices.
Il opte pour des rebeus dans la cinquantaine, sûrement la peur de voir des jeunes m’envoyer en l’air et que j’apprécie de trop. Effectivement, depuis que Samira est partie, Daniel s’occupe un peu plus de moi. Ce n’est pas la grande chevauchée tous les soirs, mais bon depuis douze ans qu’il me voit nue et a fait le tour de mon corps, l’ardeur n’est plus la même. Il en est pareil personnellement, bien que Daniel tienne encore la route sexuellement, je reconnais que quand il me prend, je pense à d’autres et certainement que lui pense à sa petite rebeue, bien que mes formes soient plus généreuses. Toujours est-il que notre couple fonctionne à peu près. Ayant des courses à faire pour le repas des anciens du foot, je pars faire les courses, il faudra beaucoup d’alcool, les anciens ne courent plus, mais lève bien le coude. Surprise, Samira se tient devant le garage. Le plaisir d’admirer cette petite créature du diable, ne m’empêche pas de lui demander sèchement ce qu’elle fait là.
— Je ne suis en aucun cas là pour ma part, mes cousins m’ont chargée de te dire qu’ils veulent te voir, sinon ils viendront mettre le bazar chez toi.
Certes, les deux connards ne connaissaient pas mon adresse, mais à cause de Samira, c’est mort pour la discrétion. Je réfléchis un instant, je prends la décision d’accepter de les voir, toutefois dans un endroit neutre, un bar sur le port de Vannes, beaucoup de monde, donc pas de danger d’un piège.
— Ça ne te manque pas les parties de cul avec eux ? Pourtant, tu en redemandais, tu aimes le zob arabe dans ta chatte de salope.
Je ne réponds pas, effectivement, ça me manque de me faire prendre par ces deux salops et quelquefois leurs compères. Fini la bourgeoise entre les mains de ces brutes, juste une kahba avide de zobs. Par ailleurs, ils m’ont démontée plus d’une fois comme ils disent, chaque fois, je suis repartie épuisée, mais heureuse. Si mon mari avait prêté un peu plus d’attention, il se serait aperçu que mes sous-vêtements étaient souillés de sperme et de mouille, les rebeus essuyant leurs queues avec pour que je pense à eux une fois partie. Quelques marques sur mes cuisses et mes seins d’avoir été malaxée sans ménagement. Cependant, rien, fini le temps où mon mari me poursuivait dans la salle de bains, les WC, où tous lieux où il savait me trouver peu vêtue ou nue. Plus tard vint le moment de faire avec plusieurs partenaires, pour mettre du piment dans notre couple, mais sans jamais s’occuper de ce qui me plairait vraiment, comme coucher avec des Arabes.
Un fantasme qui me poursuivait, jusqu’à ce qu’une auteure de ce site me fasse part du plaisir prit avec eux, elle avait raison, une fois avoir goûté dur de s’en passer. J’ai ainsi lié une liaison dangereuse avec les deux louches individus qui m’ont bien initiée à leurs coutumes sexuelles réservées au kahba, surtout françaises. Aucun regret, bien que cela m’ait apporté des ennuis avec Samira. Le lendemain quatorze heures, je suis au « Rallye » Petit bar sympathique, il fait chaud, je ne tiens pas à être provocante. J’ai mis une petite robe rose et blanche qui arrive aux genoux, j’ai mis aussi un soutien-gorge que mes tétons n’affolent pas ces vicieux. Par ailleurs, j’ai même enfilé une petite culotte rose toute sage. Arrivée la première, qu’ils soient à l’heure m’aurait étonnée. Ayant soif, je commande une Guinness, le serveur m’apporte un verre de cinquante centilitres, je lui explique que je ne voulais qu’une bière de vingt-cinq.
Il se confond en excuses et me dit que l’erreur sera pour la maison.Ainsi, je déguste tranquillement ma bière, un petit rot discret après les premières gorgées, je me détends le soleil sur le port, c’est vraiment un endroit merveilleux.Les deux ostrogoths arrivent, jeans déchirés, T-shirt aux couleurs de l’équipe d’Algérie, la classe. Je leur fais un signe du fond de la terrasse, ils s’expriment un peu fort, attirant les regards sur eux, donc sur moi. Les personnes doivent se demander comment une meuf classe peut avoir rendez-vous avec ça. Les frères Pétard me claque deux gros bisous sur les joues, Karim dévie sur ma bouche, j’esquive, il rigole.
— Salope, tu es devenue une mijaurée, un mois auparavant, on te bourrait le cul et toi tu nous mangeais le zob, et là, tu refuses des bisous sur la bouche, quelle morue.
Les personnes près de nous ont suivis la conversation, je suis honteuse. Je ne sais plus dans quel coin me mettre, je pensais être tranquille dans ce bar, mais avec des mecs comme eux, on est à l’abri nulle part. Pour lors, je leur fais signe de parler plus bas, ils comprennent ma gêne et en rajoute, Ahmed sort son mobile, retrouve une photo de moi qui suce les deux et la montre à un homme assis près de nous. L’homme, une quarantaine blanchissante, reste très classe et leur dit.
— Madame est superbe, et bien bonne de s’adonner à une fellation avec vous.
Puis, pour les calmer, il leur demande s’ils peuvent lui envoyer la photo par Bluetooth.Les deux abrutis se retrouvent tout bêtes de ne pas avoir obtenu l’effet escompté, que l’homme me traite de salope. Ahmed lui envoie quelques photos de moi. L’homme regarde et confirme que je suis une superbe femme. Poliment, il me demande.
— Puis-je garder ces photos pour les admirer en solitaire, belle créature des Îles ?
Devant sa galanterie, j’accepte. Pour clouer le bec de ces deux nases, je lui dis que s’il est demandeur, je poserai pour lui. Il me tend une carte de visite, me salue et s’en va. Les deux cow-boys des cités restent cois. Tandis qu’ils vont pour corriger l’homme, celui-ci sort un badge et leur agite sous le nez, les deux dealers s’excusent et se rassoient. L’homme est élégant, ses cheveux argentés lui donnent un côté noble, son costume de bonne coupe et ses chaussures cuir, montrent son bon goût. Une fois parti, les deux rebeus me proposent une chose, tu fais une dernière partie avec nous, on efface tout et l’on ne se connait plus. Ma confiance est très limitée, malgré tout c’est tentant.
— J’étudierai votre proposition, mais pas de chantage, mon mari est au courant pour vous, alors si je décide de coucher avec vous, ce sera juste pour m’amuser, pas la peur de votre chantage de petits glandeurs.
Vexés et ne pouvant pas faire grand-chose dans ce lieu public, ils me conseillent de vite réfléchir. Leur menace ne me fait ni chaud ni froid. Si jamais je retourne les voir, ce sera uniquement pour m’envoyer en l’air avec ces petits cons, qui je le reconnais m’ont toujours fait jouir au-delà de la normale. Mon envie de maghrébins n’ayant pas diminué à cause d’eux, bien au contraire. Une fois dans ma voiture, je consulte la carte que m’a remise l’homme du bar qui a pris ma défense. Hubert de la C..... Un noble, il ne m’a pas laissée indifférente, bel homme, la grande classe quand les deux lui ont montré des photos où je m’abaissais avec ces deux ploucs. Profession colonel dans la gendarmerie.
Hummm me faire passer les menottes par ce type ne me déplairait pas. J’attends quelques jours avant de lui téléphoner, ne pas passer salope saute au paf. Trois jours plus tard, je l’appelle. Hubert est ravi de m’entendre, me fait part qu’il attendait mon appel avec impatience et commençait à ne plus y croire. Hubert me demande si nous pourrions prendre un verre dans l’après-midi au même endroit sans arrière-pensée.
Bien sûr que j’accepte, je l’ai appelé pour le revoir, mon oui est quand même un peu rapide, j’espère qu’il n’y a pas prêté garde. Nous devons nous retrouver vers treize heures. Les journées passées à la plage naturiste m’ont foncée la peau, je ne fais pas africaine, mais pas loin. Un crop top parme, une jupe blanche, et un tanga de même couleur que l’on ne le voit pas sous ma jupe. Un regard dans le miroir, je soulève un peu ma poitrine, la laisse retomber, juste un léger ballotement qui confirme la fermeté de mes seins. Mes mamelons pointent sous le tissu, n’est-ce pas trop provocant. Finalement, il m’a déjà vue nue sur les photos donc… J’arrive un peu en retard, pour me faire désirer, raisonnablement, un petit quart d’heure. Assis à la même table que lors de notre rencontre, il est chou, le teint hâlé fait ressortir l’argenté de sa chevelure, il est vêtu décontracté, une chemise bleu roi et jeans. Toute remuée de l’intérieur, rien à voir avec les deux rebeus, mais quel charme.
— Veuillez m’excuser pour l’attente, un imprévu de dernière minute.
Un sourire, et il me dit que d’attendre pour voir apparaitre une si charmante jeune femme valait le coup. Il se lève, recule le siège pour que je m’assoie, un gentleman.Lorsque je me pose sur le siège, je relève ma robe pour être les fesses en contact avec le cuir et ne pas la froisser, il a un aperçu de mon tanga. Ce n’est pas innocent de ma part. Très classe, il a vu, mais ne commente pas. Hubert, car il m’autorise à l’appeler par son prénom, me demande des nouvelles des deux hurluberlus, je mens un peu et lui affirme qu’ils sont effacés de ma mémoire. Il me flatte et me dit qu’une femme de ma classe ne peut que s’attirer des ennuis avec ce genre de personnes. Puis, il me dit qu’il a gardé mes photos et qu’au quotidien pose son regard dessus, non pour ma nudité, mais pour mon magnifique visage, et mon sourire. Quel flatteur, néanmoins j’adore ce ton pour rire, je lui demande s’il en veut d’autres toutefois plus soft ? Il accepte sur le champ. Vite, j’en choisis quelques-unes légèrement dénudé sans voir mon endroit le plus intime.
— Puis-je vous baiser la main pour ces merveilleuses photos, un signe de tête l’autorise, ses lèvres sur ma main me font frissonner malgré la chaleur. Hubert les laisse assez longuement, sans que j’aie envie de retirer la main. Il garde la main dans la sienne et la caresse, ce coup-là, je sens ma minette bâiller et s’humidifier. — Excusez mon audace, l’envie de caresser cette belle et douce peau me tente de trop.
Hubert est pardonné d’autant plus volontiers que j’adore. Par ailleurs, je devine qu’il aimerait savoir pourquoi j’ai couché avec les deux baltringues, sa correction l’en empêche. Je lui tends la perche et lui demande s’il n’a pas été surpris qu’une femme de mon niveau s’encanaille avec deux dealers rebeus. Hubert me rassure et me dit qu’il ne juge personne, que le plaisir entraine quelquefois à commettre des impairs. Ainsi, je devine qu’il aimerait connaitre quelques détails croustillants, c’est un gentleman, mais un homme malgré tout. Je lui raconte que je fantasmais de faire l’amour avec des Arabes, et que mon mari s’y opposant, j’avais un peu transgressé ma promesse de fidélité faite le jour du mariage. Puis ces deux jeunes m’avaient entrainée dans un cycle de dépravation qui m’avait séduite, et que cela devenait limite proxénétisme. Hubert m’explique.
— Je comprends ces jeunes hommes de vous avoir désirés, vous êtes tellement séduisante, que de vous posséder est un rêve, je regrette en cet instant de ne pas être. Arabe, me dit-il en souriant.
Je le rassure sans lui donner trop d’espoir, je n’ai pas eu que des amants arabes, des Européens aussi. Hubert saute sur l’occasion pour me demander.
— Donc tous les espoirs me sont permis, puis-je vous faire la cour afin d’obtenir vos faveurs ?
Hubert me reprend la main et la caresse un peu plus fermement que la fois précédente, avec le pouce, je lui rends une timide caresse sur le dos de la main. Il la reporte à ses lèvres et pose un baiser plus appuyé dessus. Un frémissement me parcourt de la nuque aux reins. Hubert doit voir mon émoi, car je me tortille un peu sur le cuir de la chaise qui me colle aux fesses. Mon prétendant me prend l’autre main et les embrasse tour à tour. Ses lèvres baisent mes poignets à un endroit très sensible.
— Arrêtez Hubert, vous me tentez, je ne suis pas de marbre, vous en avez eu un exemple sur les photos. Le bel homme s’enhardit et me répond.— Les photos ne sont pas aussi évocatrices que le réel, seriez-vous partante que l’on se revoit pour faire plus ample connaissance et pourquoi pas plus si affinités.
Il me donne vraiment envie le coquin, il me veut, et je ne suis pas contre, mon mari doit partir en déplacement pour son travail, donc j’ai du temps de libre et je réponds à ce charmant séducteur.
— Si votre emploi du temps vous le permet, pourquoi ne pas faire une connaissance plus profonde de suite. J’utilise le mot profond voir s’il réagit ou reste imperturbable. Juste ce sourire ultra brite. Ainsi, nous commandons un léger repas composé de fruit de mer, agrémenté d’un muscadet sur lie. La conversation sur notre vie se déroule entre deux caresses de main, lui me raconte son divorce à cause de son métier avec de nombreuses absences et d’affectation un peu dans tout le pays. Moi, ma vie maritale avec mes aventures dont il connait une partie. Ce qui semble le passionner. Le repas terminé, il règle refusant que je paie ma part. N’insistant pas, nous regagnons nos véhicules respectifs. Il me propose de le suivre au cas où j’aurais un contrôle alcoolémie, comme nous avons fait un sort à une seconde bouteille. Rassurée, je le suis, un petit quart d’heure et nous arrivons devant une superbe maison, une longère restaurée. Hubert vient m’ouvrir la portière, est-ce par galanterie où pour voir mon tanga, sûrement les deux. Je lui offre une vue panoramique en descendant sur mon entrecuisse, prenant bien mon temps pour qu’il apprécie. Son regard ne trompe pas, il aime. Me prenant par la main, il me mène devant une splendide porte en chêne. Ainsi, nous pénétrons dans un salon meublé de magnifiques meubles anciens Bretons. — Prenons une coupe de champagne avant que je te fasse visiter toutes les pièces.
Le Dom Pérignon est excellent, je commence d’être un peu éméchée, ce qui m’incite à devenir assez coquine. Je croise et décroise les jambes, lui faisant voir mon tanga à chaque fois, il me pose la question.
— Tanga ou string, je ne me rends pas bien compte.
Salope, je lui réponds.
— Un seul moyen que tu le saches, c’est de vérifier toi-même.
Pas intimidé, il s’approche, me prenant par la main, il me fait lever, et m’embrasse tendrement, une main passe sous ma jupe, me tâte les fesses et après palpation, déclare tanga.
— Tu me fais une fouille corporelle sans mandat colonel ?
Il me laisse retomber ma jupe et admet.
— Ce n’est pas réglementaire, mais certaines affaires nous permettent d’outrepasser les droits, j’ai même bien envie de te passer les menottes, tu es dangereuse avec un aussi beau fessier.
Mes mains dans le dos et j’attends qu’il mette sa menace à exécution. Il le fait, clic clac, je suis sans défense. Hub en profite pour me fouiller, palpation de mes seins assez longuement pour m’avouer qu’ils sont superbes et n’ont pas besoin de soutien-gorge.Les mains descendent, me caressent le ventre, s’attardent sur mon pubis, passent derrière pour reprendre possession de mes fesses. Il les malaxe et avoue qu’elles sont d’une réelle fermeté.
— Pour les orifices, j’attends un peu, il faudra que je le fasse avec professionnalisme.
Pour ça je lui fais entièrement confiance. Hub relève mon crop découvrant ma poitrine, il la trouve encore plus belle qu’en photos, surtout plus souple et chaude. Le roulement de mes mamelons me fait gémir, le coquin devine mes points sensibles, les zones érogènes ne manquent pas chez moi.
— J’examine ton tanga, voir si les coutures ne cachent rien.
Sur ce, il passe les mains sous ma jupe et descend mon tanga avec un sourire que je qualifierais de pervers. Lentement, le morceau de tissu se décolle de ma fente qui l’a incrusté, la raie de mes fesses et doucement arrive sur mes pieds que je soulève pour qu’il l’ôte complètement. Il le hume se le passe sur le visage, et comme il est un peu mouillé en lèche le fond. La première fois qu’un colonel mange mon tanga, et cela m’excite.
— je dois te fouiller plus profondément petite gourgandine, racolage sur la voie publique c’est au moins six mois de cachot à moins que…
Je lui demande comment je pourrai me faire pardonner.Hubert fait semblant de réfléchir puis il me dit.
— Que tu sois ma soumise les six mois qui viennent à la place de la prison, es-tu d’accord ? Surtout pas de promesses non tenues, je ferais de toi ce que j’ai envie. Le pervers qui sommeille dans le colonel fait jour.
Même s’il ne le pense pas, il en a envie, et j’avoue moi aussi, le rôle de soumise est un de ceux qui m’excitent le plus. Il me fait pencher en avant et me demande de tousser, ses doigts examinent consciencieusement mon anus, rien ne peut lui échapper.
— Parfait rien dans le cul, on va examiner le vagin, mets-toi accroupie, fais la grenouille.
Obéissante, je m’accroupis, ce qui expose bien l’ouverture de ma fente, il y passe deux doigts, et me masturbe un peu, il constate que je suis mouillée et me fait nettoyer les doigts en me les faisant sucer.
— Parfait Océane, pas d’objets illicites, avant que les gardiens ne viennent te chercher, je vais me faire du bien avec ton adorable corps. Tu seras calme si je t’ôte les menottes ?
Vraiment, je suis prête à tous les compromis pour qu’Hubert abuse de moi comme il l’entend. Cet homme est superbe dans ce rôle, son jeans est bien gonflé, la bosse est prometteuse. Hubert me détache et me demande si cela m’excite, pour toute réponse, je lui donne la bouche à fouiller par sa langue. Ses mains parcourent mon corps sous toutes les coutures, un doigt s’attarde dans ma fente, décapuchonne mon clitoris et le frotte d’un mouvement circulaire. Je n’en peux plus, je lui explose dans la main, inondant la manche de sa chemise. Hubert lèche ma cyprine sur le tissu et trouve le goût délicieux. Le jus me coule le long des cuisses, un orgasme bref, qui m’a fait gicler, même son jeans a pris.
— Petite cochonne, je comprends que tes amis rebeus refusaient te laisser tomber, tu as un sacré tempérament. Viens, nous allons visiter la chambre, on verra le reste de la maison plus tard. Toujours galant, hors de sa méthode de tortionnaire, il passe devant moi, comme je suis nue, aucune importance. Arrivée dans une grande chambre avec des poutres apparentes, je suis agréablement surprise du décor. Un lit qui pourrait accueillir trois couples, recouvert de velours cramoisi, meubles anciens comme dans le bas, un goût pour l’ancien qui ne me déplait aucunement. Il arrête mon observation, pour me faire allonger sur le lit. — Tu as un lit pour plusieurs personnes, tu invites des amis pour faire des partouzes ?
Hubert me regarde dans les yeux et me répond.
— Tu le découvriras durant les six mois que tu m’appartiens. Cela te fait peur.
Pour toute réponse, je m’allonge bras en croix et cuisses ouvertes.
— J’ai promis, fait de moi ce qui te fera plaisir, je suis certaine que cela me plaira aussi.
J’ai quitté les deux voyous pour me mettre entre les mains d’un adorable pervers. De sa langue agile, il séduit mon clito, glisse sur mes petites lèvres, ses mains malaxent mes seins, pincent mes tétons, il rythme ses caresses à l’évolution de ma jouissance naissante. C’est un habile amant, il sait pratiquement m’inciter à jouir puis s’arrête, je le supplie de continuer, mais il mène la danse. Au moins cinq fois, je suis prête à jouir, j’en pleure tellement j’ai envie qu’il m’achève. Dominateur, il me pose une question.
— Si je te demandais de te donner à des hommes, le ferais-tu, même s’ils ne te plaisent pas ?
À ce moment-là, il pourrait me donner à un chien, un cheval, j’accepterai de me faire prendre par n’importe quoi pour enfin jouir. je lui réponds par l’affirmative, mais l’implore de me faire enfin jouir. Hubert s’exécute, il mène le bal, cette fois, il ne s’arrête pas et m’envoie dans les étoiles. Je pleure, secouée d’énormes secousses, j’ai l’impression d’un tremblement de terre dans tout mon être. Mon ventre me fait mal à force d’envoyer de longs jets de cyprine, comme un gros pipi, son visage est inondé de mon jus, mais il lèche toujours. Il ne s’arrête que lorsque je tourne de l’œil ivre de plaisir. Lorsque je reviens sur terre, il est nu contre moi, quel corps my God. Des pectoraux bien dessinés, ses abdos montrent qu’il pratique régulièrement du sport. Je ne peux pas m’empêcher de caresser cette sculpture grecque. ma main s’égare plus bas, je sens un mandrin de taille bien supérieure à la moyenne. Dur comme de l’acier, mais bien plus chaud que le métal.
Je sens cette chose palpiter dans ma paume, s’ériger davantage et laisser perler sur ma main les gouttes translucides. je porte la main à la bouche pour goûter ce merveilleux élixir. Un parfum de mâle en rut, suave, odorant. J’ai le coup de foudre pour cet homme, je sors d’une histoire pour me jeter pieds et poings liés dans une autre. Inutile de penser, mon corps domine mon esprit. Il lit dans mes pensées, et avoue qu’il était sûr de moi. Pendant qu’il me parle, je le masturbe, je tâte des bourses lisses et bien gonflées. Je lui réclame de me prendre, en avançant mon ventre vers son gland, je suis de côté, je lève une jambe afin de présenter ma chatounette à son vit dressé. Face à face, je dirige sa queue vers ma fente trempée, je pose la jambe sur sa hanche lui laissant libre accès à ma féminité. Il tient son sexe d’une main, le frotte pour l’enduire de cyprine, un morceau pareil, il vaut mieux qu’il soit bien lubrifié.
Le gland frappe à la porte de mon vagin, qui lui dit d’entrer, ce qu’il fait de douces manières, une lente et longue pénétration. je discerne le gland qui écarte mes chairs vaginales, sans les meurtrir, malgré la taille de son chibre, nulle douleur que du plaisir de le sentir s’enfoncer en moi. je me fais empaler par le pieu de mon nouvel amant. Hubert m’embrasse tendrement, pendant que son ventre se colle au mien. Sa longue bite est entièrement en moi, Mon utérus ressent le gland se coller au col. Il reste ainsi profitant de la profondeur de ma chatte. Son sexe tressaute, il ne va pas jouir de suite ? Non, il le fait bouger avec des contractions. Enfin, il se met en branle sans jeux de mots. Mon minou s’adapte à la grosseur de son membre.
Sur le côté face à face, je l’observe, j’aime parfois ne pas fermer les yeux et voir le visage de mon amant, certains grimacent en jouissant, ils en deviennent laids, d’autres ont des yeux de déments en voyant une belle jeune femme leur donner son corps (je me trouve assez mignonne), bien qu’ils ne soient pas de beaux physiques. Hubert lui semble indifférent, comme s’il prenait le thé, si je ne sentais pas sa grosse queue glisser dans mon minou, je penserais ce type ne ressent rien, mais la dureté de son sexe me prouve le contraire. Je finis par fermer les yeux et m’abandonne au mat qui s’enfonce toujours profondément en moi. Mon gentleman cambrioleur de minou me prend par les fesses et me colle contre lui, comme s’il voulait aller encore plus loin dans ma minette. Une main sur mes seins, une sur mes fesses, son sexe dans le mien, je suis sa chose.
Il entre et sort lentement dans ma minette, ce mouvement me fait profiter du frottement de son gland de mon clitoris à mon utérus, c’est génial. Bien sûr que j’aimerais qu’il me baise plus vite, là, il m’apprend la patience, le plaisir qui m’envahit progressivement, cela me fait mal tellement je suis en attente de le sentir aller plus vite et me faire jouir. Je ne sais plus combien de temps, il est resté dans ma chatte. Au moins une heure, on dirait une machine réglée sur slow. je suis complétement hystérique, j’essaie de le faire aller plus vite en essayant de me limer plus rapidement. Cependant, il me maitrise, je suis son esclave et décide de le laisser mener les débats. Il est douloureux de sentir le plaisir prêt à éclater, et de ne pas aboutir à l’orgasme. S’il me le demandait à ce moment-là, je ferai n’importe quoi pour qu’il éjacule en moi. Ce qu’il fait au bout d’un moment, ma minette est noyée de sperme, de longs jets chauds et puissants.
Je suis déçue, mais, miracle, il ne débande pas d’un millimètre et continue de fouiller ma chatte avec un bruit de succion dû à ma cyprine et son sperme. Encore un long barattage de mon minou, je deviens folle, le plaisir est là au bord des lèvres de ma minette. Il s’adresse à moi pour me demander.
— As-tu envie de jouir maintenant ma chérie ou veux-tu attendre encore un peu ?
Vous devinez ma réponse mesdames ?
— Défonce-moi, fais-moi jouir salop, plus vite, plus fort.
Il me retourne sur le dos et se met à me matraquer la chatte, plus de douceur, à la sauvage, il me viole littéralement. Que c’est bon, j’ai noué les jambes autour de sa taille, il ne risque pas de se sauver ! Je tiens fermement ses fesses musclées et l’oblige à taper plus fort. J’ai l’impression de décoller, cette fois, c’est l’énorme orgasme, celui rarissime qui vous donne l’impression que le corps explose. Pour la deuxième fois, il éjacule au fond de ma minette, il est incroyable, jouir deux fois de suite sans débander. je suis aux anges, je ne me souviens plus d’avoir autant joui, malgré mes nombreux orgasmes d’en avoir connu d’aussi forts. Il reste couché sur moi, me bisouillant le visage, le cou, les lèvres, que de la douceur après cet orage qui m’a anéantie. Hubert s’étire sans sortir de ma chatte, son sexe ramolli est encore assez conséquent pour ne pas sortir de mon minou.
Sa queue vibre, se durcit un peu et soudain, je perçois un liquide chaud jaillir, il me fait pipi dans le minou, ce que je ressens ? Un immense bien-être, comme une éjaculation sans fin, son urine et le restant de sperme remplissent ma chatte, débordent sur les draps de soie. Le contenu de sa vessie rempli ma foune, c’est puissant, brûlant, en un mot divin. Le jet doré s’épuise, quelques soubresauts et s’arrête. Cette fois son sexe sort de ma minette, ma chatte s’égoutte sur les draps. Hubert approche sa queue de mon visage et me regarde, je comprends ce qu’il désire, j’avale sa queue molle et lui nettoie avec ma langue des bourses au gland, le goût de pipi, sperme, cyprine est sympathique, ce ne sont pas des fraises tagada de chez Haribo, mais j’aime bien, je lui rends le sexe propre.
— Tu n’es pas choquée que je t’ai uriné dans ta foune chérie ?
je lui dis que c’était même plutôt agréable, et qu’il ne se gêne pas pour le refaire. Toute souillée, je vais me doucher avec lui, chacun lavant l’autre, bien sûr de tripoter nos sexes respectifs nous remettent en forme. Je le suce un peu sous la pluie de la douche. Puis une fois le sexe redevenu imposant, je me colle les mains sur le mur, lui tend ma croupe et sans préliminaires, il me bourre la chatte façon coup tiré à l’improviste, cela ne dure pas très longtemps, nous jouissons à l’unisson, et pour la seconde fois, il se sert de mon minou pour vidanger sa vessie. Je commence d’apprécier cette pratique. Nous finissons le champagne, je suis un peu grisée, Hubert me conseille de dormir chez lui. je préviens le papy et la mamie de s’occuper de mon fils, que je suis retenue par un client, que je rentrerai le lendemain matin. Ma mère finaude me demande sans être entendue de mon père.
— C’est un bon coup ma fille, il est mignon ?
je confirme à ma mère que je viens de passer un après-midi de rêve, que je lui raconterai tout.
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