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Océane au bord du divorce

Chapitre 3

Divers
Océane au bord du divorce 3Voilà un mois que je suis la maitresse d’Hubert, jusque-là rien d’étonnant, dès qu’il me fait l’amour, j’ai l’impression que c’est la première fois. Il improvise toujours de nouvelles choses. Le pipi dans ma minette est devenu classique, plus tard, il a inauguré mon minois et mon corps pour vider sa vessie après un rapport, j’adore ce qu’il nomme la douche dorée. Ce jet imposant qui me gicle sur les seins, la fente ouverte, visant mon clitoris, puis remontant à mes tétons, pour finir en fin de jet par quelques saccades sur mon visage. Je ferme les yeux et savoure les dernières gouttes s’écrasant sur ma frimousse. Avec lui rien ne me parait déplacé ou vulgaire, tout me séduit, je crois bien que je suis amoureuse d’Hubert. Le moment est venu où il m’a demandé de goûter son urine, un peu réticente au début, il m’a promis de boire la mienne à la source si je m’exécutais. L’envie de voir ça m’a incité à accepter. Je suis curieuse de tout ce qui change de la routine.
Après un rapport torride, il a fait son pipi dans une coupe de champagne et me l’a offerte à boire. Le coquin a rempli la coupe prête à déborder, il m’a arrosée avec le surplus de sa miction. Un peu hésitante, je porte la coupe à mes lèvres, lape un peu pour me faire une idée du goût, c’est une nouvelle saveur pour ma part, c’est chaud, un peu sucré, rien de transcendant, ni de désagréable. Sous son regard, j’en bois une lampée, puis me faisant à ce breuvage, je bois tout d’un trait. Je passe ma langue sur mes lèvres telle une jeune chatte avec son lait, j’attends les félicitations de mon maitre.
— Je suis fier de toi mon amour, comment as-tu trouvé ça, tu ne m’en veux pas de t’imposer mes envies ?
Reconnaissant que le goût n’a rien de repoussant, mais que le champagne est meilleur.Hubert rit et me dit que lorsque j’aurai une envie, il me boira jusqu’à la dernière goutte. Je lui signale que j’ai une grosse envie en attente de sa bouche. Hubert se met sur le dos et m’invite à m’accroupir au-dessus de sa bouche. En position de me faire brouter le minou, je me concentre en lui disant de surtout ne pas me toucher, car cela me bloquerait. Une giclée sort bue par Hubert, puis le flot se fait, une saccade, ensuite le flot s’écoule, il en avale autant qu’il peut, le reste gicle sur son visage, son torse, je l’inonde. Je colle ma minette à sa bouche pour évacuer les gouttes finales, sa langue lèche mon minou, les petites lèvres, les clitoris sont nettoyés, il en profite pour me titiller l’œillet avec la pointe de sa langue, Hummm c’est excellent. Sa queue se redresse lentement, elle se déroule pour atteindre sa taille maximale. Hubert me lèche toujours l’anus et me masturbe la minette. Je ne suis pas longue à avoir envie de m’empaler sur le mât de cocagne.
Sautillant jusqu’à me trouver la minette au-dessus de son sexe, et sans aucune gêne, je le fais absorber par ma chatte, son magnifique membre disparait dans ma moule. Position grenouille comme il m’a enseigné, je dois être ridicule dans cette position, pourtant très pratique pour m’enfiler sur sa queue, son gland frotte bien partout, point G compris, mes fesses cognent sur ses abdos. Le paradis sur Terre. Il profite de ce que je sois en position haute pour glisser un doigt dans ma rosace. Attendant qu’il ait bien mis le doigt, je m’enfonce, le délire, puis il me demande timidement.
— Tu n’as pas envie de mettre ton cul sur ma queue chérie, j’étais étonnée qu’il ne m’ait jamais réclamé de me sodomiser, le moment est venu.
Pour toute réponse, je me retire de son sexe, me déplace un peu et présente mon anus à son gland lubrifié par ma chatte. Le morceau semble être refusé par mon anus, Hubert me prend par les hanches et me tire sur sa queue. Je mets du cœur à l’ouvrage, je me laisse tomber de tout mon poids pour forcer mon cul à s’ouvrir. D’un coup, il se dilate et doucement, je m’enfonce jusqu’à ce que mes fesses touchent le bas ventre de mon merveilleux amant.
— Merci ma chérie de ce splendide cadeau, je sais que je ne suis pas le premier, ni le dernier à te le prendre, mais j’apprécie.
Le temps passé avec sa queue dans mon endroit le plus secret me parait très court, il ne résiste pas aussi longtemps que lorsqu’il me prend la minette, son jus gicle dans mes entrailles, toujours aussi abondant et épais. Il honore sa première sodo avec moi par un bon pipi dans mon intestin, un vrai lavement urinaire. Quand je me retire, son ventre est submergé de sperme et d’urine. Son visage pour la première fois exprime du plaisir. Douche, un autre pipi d’Hubert sur ma croupe et champagne. Alors, nous nous quittons, j’ai le cœur serré, je souhaiterais vivre auprès de lui plus longtemps. La raison l’emporte, je ne peux pas laisser mon fils se faire élever par mes parents. J’arrive chez ma mère, mon fils n’est pas encore rentré du collège, j’en profite pour me confier à elle. C’est la seule personne à qui je raconte tout, même mes aventures avec les rebeus, jamais, elle ne me juge, certains conseils pour m’éviter les ennuis.
Pour tout dire, je lui explique les sentiments que j’éprouve pour Hubert, je lui montre une photo sur laquelle il est nu prise avec mon iPhone, cette coquine me dit.
— Tu devrais organiser une soirée avec nous deux ? Mère fille, les hommes en sont friands. Ma mère est une Vietnamienne libertine, avec mon père, ils ne se sont pas ennuyés, même avec moi, mon père en vieillissant s’est un peu détaché de tout ça, mais laisse ma mère libre de s’amuser. Ce qui n’empêche pas papa de me peloter encore les fesses et les seins. Fini le temps où il me prenait avec ses copains. Bien sûr, je suis mariée et il est respectueux envers mon mari. Maman absolument pas, elle est encore belle femme et demandeuse. Je lui raconte l’épisode uro, elle en salive la coquine.— Surtout, tu ne perds pas un homme tel que lui, même s’il te demande des choses peu ordinaires.
Par ailleurs, je lui avoue que je crois être amoureuse.
— Ma pauvre petite, tu vas souffrir, profite un maximum, ne te pose pas de questions, fonce.
Les vacances scolaires arrivent enfin, mes parents vont en Corse et emmènent mon fils avec eux. Il se réjouit, moi aussi, pas pour les mêmes raisons. Mon mari m’a prévenu qu’il part en déplacement pour une semaine en Allemagne pour faire signer un nouveau client. Le seul hic, sa secrétaire/ stagiaire lui est indispensable, et comme cette jeunette de dix-neuf ans est un petit canon roux, avec des yeux de biche verts, je devine la raison de ce voyage. Comme cela m’arrange, je fais l’autruche et souhaite un bon séjour chez les teutons à mon homme. Dès qu’il est parti, je téléphone pour annoncer à Hubert que s’il a envie d’abuser de mon corps une semaine, je suis à sa disposition.
— C’est super ma chérie, nous allons pouvoir explorer de nouvelles choses. Prépare tes magnifiques fesses à chauffer.
Sur ces bonnes paroles, je commence d’organiser un sac de voyages avec peu de sous-vêtements, comme je serai souvent nue. C’est le cœur léger que je me gare devant la longère d’Hubert, pour plaire à Hubert, je ne porte qu’une robe légère sans rien dessous. Mes seins ballotent bien sous le tissu ne laissant aucun doute sur leur liberté. J’aime sentir le tissu frotter sur mes tétons, cela les irrite et les fait s’ériger, un peu comme lorsque je mets un jeans sans culotte, la couture frottant sur mon clito et la fente, j’adore. Quand Hubert m’ouvre la porte, son regard est immédiatement attiré par mes pointes. Hubert m’embrasse et me fait entrer. À peine mon sac posé, il fait glisser la fermeture de ma robe qui glisse au sol, me laissant nue, exposée à mon amant.
— Tu n’as pas besoin de cacher un si beau corps ma chérie, ce sera plus commode pour te prendre quand j’aurai envie.
Je lui conseille d’ôter son boxer que nous soyons à égalité. Lui se régale de ma nudité, moi de la sienne, un homme a moins d’appâts qu’une femme, mais le sien est frappant.L’obélisque en pleine forme, je ne vais pas m’ennuyer cette semaine. Une main aux fesses en signe de bienvenue, je lui baisse le sexe et le relâche, il tape contre son ventre, puis reprend sa position, le gland en l’air dur comme du béton. Je l’adore son sexe, il est divin et sait donner beaucoup de plaisir à ma minette, ils s’entendent bien ces deux-là, ils sont faits l’un pour l’autre. Ma main sur son sexe, la sienne sur mes fesses, nous gagnons la chambre. Les préliminaires sont inutiles, je suis lubrifiée, lui bande, il se couche sur le dos et je viens directement m’empaler sur son pieu. Je fais le manège chevaux de bois, je monte/descend une main derrière moi pour stimuler les bourses.
Sa queue semble se redévelopper plus, comme si cela était possible, ou est-ce ma minette qui rétrécit. Toujours est-il que nos sexes sont en osmose. D’abord, je gémis, il grogne, chacun s’occupe de son propre plaisir, ils sont synchronisés, chacun jouit simultanément, lui fusille mon utérus de jets de sperme, moi, je lui noie la queue de cyprine. J’attends plantée sur lui qu’il me distille son pipi dès qu’il débandera un peu. C’est un plaisir après avoir reçu l’éjaculation de mon amant, sentir les jets chauds de son urine envahir mon vagin bouillonner en lui est un régal. Comme un long ruissellement au fond de moi, je lui rends la pareille quand il a fini, les draps sont souillés de notre jouissance et nos urines. Nous nous roulons dedans en nous embrassant comme de fous. Rien ne nous semble tabou. Jusqu’à ce qu’Hubert me pose une question à laquelle je ne m’attendais pas de sa part.
— Tu as souvent fait l’amour avec plusieurs hommes, est-ce qu’avec moi, tu serais prête à renouveler cette expérience ?
Je suis un peu surprise, je sais que les hommes adorent trois choses, voire deux femmes faisant l’amour ensemble, se taper une mère et sa fille simultanément, et faire partouzer leur copine par leurs amis. Après enquête personnelle, c’est dans l’ordre. M’aime-t-il, et donc pourquoi m’échanger.
— Je croyais que tu m’appréciais, que t’apporterait le spectacle d’autres hommes en train de me prendre ?
Son visage s’éclaire, et en souriant, il me répond.
— Le plaisir de te voir jouir avec mes amis, voir comment tu es avec plusieurs hommes, en gros un plaisir égoïste de ma part, aussi pour ce qui risque de devenir de la routine entre nous. À moins que tu préfères amener des copines pour gouiner devant moi ?
Amener des copines, c’est un peu me faire hara-kiri, il y en a bien une qui va me piquer ce beau mâle. La décision est assez rapidement prise. Refusant de lui montrer mon intérêt pour la pluralité masculine, je lui fais part de mon approbation.
— D’accord, mais des hommes sains, et pas une équipe de rugby ensemble.
Hubert me promet que ce seront des hommes sûrs dont il répond, et jamais plus de deux. Rassurée, je me dis quand même que les hommes sont bizarres, si on les trompe, ils piquent une crise, sinon ils proposent de faire goûter leur femme à des amis. Ils ont tous un côté voyeurs. Est-ce pour dominer la femme, ou une perversité malsaine ? Cependant, avec plusieurs hommes, j’ai toujours pris beaucoup de plaisir, être dominée pendant les rapports me va très bien, car je sais qu’en réalité, je les mène par le bout de la queue, le gland en l’occurrence. Quand ils sont plusieurs, à chaque fois faire croire à chacun que c’est avec lui que j’ai eu le plus de plaisir, parce qu’ils me le demandent tous en cachette. Bien sûr, ils veulent aussi savoir si j’ai envie de les revoir en solo sans les autres. L’égo de l’homme est toujours plus grand que son sexe, le sexe pour eux quand ils sont en groupe devient une compétition, mon corps est le stade sur lequel ils s’affrontent.
Après avoir posé mes conditions à Hubert, celui-ci satisfait me refait l’amour avec passion. Mon consentement à ses désirs lui donne une nouvelle vigueur, mon petit cul en est témoin. Il me le prend deux fois de suite, avec son sperme et son pipi, c’est une vraie piscine. La question habituelle fuse.
— Dis-moi ma chérie, c’est mieux ou moins bien qu’avec ton mari ?
Hypocrite, je lui réponds pour le satisfaire.
— Jamais un homme ne m’a donné autant de plaisir que toi, j’espère que tes amis seront à la hauteur.
Ce serait un coq que sa crête se dresserait et qu’il entonnerait un chant.Pour me récompenser, il m’autorise à lui pratiquer une fellation pour le remettre au garde à vous. Son chibre a un goût de multiples sécrétions. Urine, sperme, et anal.Il faut lui reconnaitre qu’il est performant, sa queue ne tarde pas à retrouver une raideur intéressante, peut-être pas pour forcer mon œillet, mais suffisamment pour fouiller ma minette. Hubert ne se prive pas de me limer jusqu’à ce que je lui annonce la venue d’un orgasme en criant.
— Oh mon Dieu que c’est bon, vas-y chéri, jouis en moi, je serai une gentille salope pour tes copains, je ferai ce que vous voulez, mais défonce-moi.
Dopé par mes propos, il se met mode galop et me chevauche jusqu’à la félicité. Je suis comblée, la jouissance à ce niveau ressemble à de la drogue. Anéantie, flottant dans un semi-coma, je le sens me faire un petit pipi dans le vagin. Avec lui, je suis devenue adepte de l’uro, c’est un complément de l’éjaculation comme la cerise sur le gâteau. Un peu de repos s’impose. Quand je me réveille, je m’étire comme une chatte, faisant gonfler ma poitrine. Je dois aller prendre une douche, car comme d’habitude, j’ai gardé en moi le jus de notre amour. De plus, nous aimons Hubert et moi conserver l’odeur entêtante et le goût de notre jouissance un moment, se laver immédiatement, c’est comme vouloir faire disparaitre les traces du plaisir, effacer l’empreinte de la volupté. Comme si cela était une honte d’avoir joui. Hubert est levé, il vient s’assoir sur le lit et me montre une dizaine de photos d’hommes. Il les pose sur les draps et me questionne.
— Océane lesquels aimerais-tu pour commencer à te prendre ?
Que des photos de cinquantenaires, physiquement neutres ! Aucun ne me plait ou déplait, je dis à Hubert de choisir lui-même ou d’en tirer deux au sort. Hubert tente un coup, en me demandant, pas trois ? Je le fustige.
— On s’est mis d’accord pour deux pour te faire plaisir alors n’abuse pas.
Être ferme, sinon cela devient vite un lupanar dont je serai l’unique prostituée. De plus, j’adore Hubert au point de ne pas passer pour une simple salope, mais juste une femme qui tient à lui faire plaisir. Hubert retourne les photos pendant que je ferme les yeux, puis il me dit d’en tirer deux au hasard. Je fais comme lorsque que j’étais jeune et que je jouais à cache-cache avec les garçons, avec comme gage celui qui me trouverait pourrait me caresser les seins déjà bien formés. Pic et pic et colegram. Une au milieu et une au bout. Alors, je retourne et admire mes futurs amants. Un grand mince, lèvres fines à peine dessinées, un corps sec limite anorexique. L’autre, plus bonhomme, grassouillet, chauve, genre bon époux, bon père de famille. L’impression que je ferai bientôt l’amour avec Laurel et Hardy. Le sort en est jeté, Hubert me rassure.
— Si tu prends du plaisir, tu les essaieras tous, ainsi, tu pourras mettre des notes.
Mon cher Hubert a des projets pour ma minette à ce que j’entends. Bien que les deux hommes ne soient pas des tops modèles, je suis curieuse de connaitre les relations de mon amant, souvent, on peut en savoir plus sur une personne que l’on fréquente en voyant son entourage. Hubert s’empresse d’appeler ses amis pour leur faire part de mon accord pour coucher avec eux, à son sourire, je devine les propos graveleux de ses acolytes. Il ne leur répond que par des borborygmes. Hubert s’éloigne, mais j’ai de bonnes oreilles et j’entends mon amour d’Hubert dire.
— Elle possède des seins magnifiques, son cul, c’est Sodome, et sa chatte du velours.
Heureuse de la description qu’il fait de mon corps, la pub est de qualité. Après ça, je pourrai m’inscrire dans une agence d’escorte girls, pour les Sugar Daddy, je suis un peu âgée. Hubert m’annonce que tout est réglé et que le jeudi, si cela me convient, nous passerions sûrement à l’étape « pussy open for all ». Je m’amuse de cette situation, mon mari se divertit avec sa jeune secrétaire, et moi mon amant me propose à d’autres. Tout est parfait dans le meilleur des mondes.
Un peu plus anxieuse le jour J. Pas spécialement de coucher avec deux inconnus, mais de ce que pensera Hubert ensuite, serai-je la salope, ou sa maitresse qui a voulu lui faire plaisir ? Je n’ai pas à me poser longtemps la question, le carillon de l’entrée annonce l’arrivée de mes deux prétendants. Hubert me dit d’aller les accueillir, je vais sans me précipiter, ouvrir la porte, comme je le craignais, ils sont bien pareils que sur les photos, je pense même que sur les photos, ils semblaient plus jeunes. Le grand maigre me fait un baisemain, suivi par le petit gros. Rassurée sur leur comportement, je les guide au salon où Hubert débouche le champagne. Je passe à côté de lui pour m’assoir dans un fauteuil et il me claque les fesses en disant à ses amis.
— Je ne vous avais pas menti, son cul, c’est un chef-d’œuvre, et en me soupesant un sein. Que du naturel les garçons, pas un gramme de silicone !
Les deux zozos demandent à voir, Hubert sans me consulter les autorise à tâter. Sans timidité aucune, les deux hommes viennent me soupeser les seins et évaluer la fermeté de mes fesses. Cela dure cinq bonnes minutes, plus qu’il n’en faut pour s’apercevoir de la véracité de ce qu’Hubert leur a affirmé, ce n’est plus de la vérification, mais du pelotage. Les bras ballants, je les laisse examiner la bête, ils ne vont pas jusqu’à m’examiner les dents comme cela se fait au marché aux bestiaux, à Questembert. Hubert siffle la fin de la récré en faisant sauter le bouchon de champagne par la fenêtre dans le jardin. Je bois modérément, ne pas m’enivrer avec des hommes que je ne connais pas. Quand je suis en confiance, être grise ne me dérange pas, au contraire, je suis encore plus salope. Là, je reste méfiante, malgré la présence d’Hubert. L’ambiance est convenable, quelques grivoiseries sur moi, rien de méchant, plutôt de la stimulation mentale avant de passer à l’action.
Ma robe sans que j’y prenne garde est remontée au point de découvrir la lisière de mes bas. Les bas blancs et la couleur de ma peau un peu plus haut semblent les intéresser, pour voir leur réaction, je redescends ma robe. Un Oh unanime de désappointement, je souris. Pour faire plaisir ainsi que mon côté exhibe, je remonte ma robe, cette fois plus haut à la limite de mon string. Applaudissements, le public est bon aujourd’hui, je fais un malheur. Je continue mon numéro de charme, excitée par la situation. Ma robe remontée jusqu’au nombril, je tourne sur moi-même pour leur faire apprécier ce qu’ils ont peloté un peu plus tôt. Les mains s’avancent, je me recule, le jeu commence. Un petit signe du doigt à Hubert pour qu’il s’approche, et je lui murmure.
— Tu es sûr que tu veux me donner à tes copains, dans pas longtemps, ils vont me baiser, après pas de regret, ce sera trop tard mon chéri ?
Pour toute réponse, je sens sa queue durcir contre mes fesses, j’ai compris, il en meurt d’envie.
— Dans ce cas, enlève-moi ma robe et jette-moi en pâture à tes deux salops.
Hubert me fait mettre face à eux, ils en bavent, le petit gros a sa langue de sortie. Hubert descend lentement la fermeture de ma robe, dénude les épaules, les couvre de baisers, puis mon soutien-gorge est en vue, de dentelle rouge, mes tétons sont érigés et bien visibles. La descente de mon rempart de tissu tombe au sol, plus que mon string et mon soutien-gorge qui me garantissent encore un minimum de pudeur. Hubert me pousse vers eux et leur dit.
— Messieurs, je vous avais promis un cadeau, le voilà, vous pouvez en disposer comme bon vous semble, ma chère Océane vous appartient pour la nuit.
La chasse est ouverte pour les affoler, je passe par la fenêtre et me sauve dans le jardin, les deux ne sont pas des sportifs, ils passent par la porte perdant du temps. Hubert a un immense terrain boisé, je n’ai aucun mal à m’échapper, cachée, je les vois tourner en rond, puis se séparer pour se donner plus de chance de me trouver. Ils m’appellent.
— Viens là salope, inévitablement, tu vas y passer. Pute, tu ne vas pas nous faire courir longtemps.
Effectivement, si je n’y mets pas du mien, ils ne sont pas près de me baiser. Le gros est le plus près, je fais craquer une branche pour le guider. Il est à bout de souffle, mais a l’ouïe fine, il se retourne vers moi et s’exclame.
— Tu es là salope, si je t’attrape, tu vas déguster de ma grosse pine.
Si je ne l’aide pas, il repartira la queue entre les jambes. je pousse un petit cri et fais semblant de m’être tordu la cheville. Un sourire vainqueur éclaire son visage dégoulinant de sueur, il prend son temps pour m’approcher, comme un chat avec sa proie, sûr de me dévorer.
— Petite chipie, c’est bien la première fois qu’une femme me fait courir ainsi, mais ton cul en vaut la peine. À ma surprise, il n’appelle pas l’autre, ce salop n’a pas l’esprit d’équipe, il compte bien s’occuper de moi en solo. Penché au-dessus de moi, sa sueur coule sur mon visage et mon corps, ses glandes sudoripares travaillent bien. Son souffle est rapide, je viens de lui faire pratiquer un peu de sport. Il s’agenouille près de moi, je le supplie de me laisser que j’ai mal à la cheville.— Ne t’inquiète pas, ce n’est pas la cheville que j’enfile, tu ne possèdes pas d’entorse là où je mettrai bientôt ma bite.
Pauvre biche aux abois que je suis, je le laisse m’embrasser, pendant qu’une main s’active sur mes seins, l’autre cherchant à dégrafer mon soutien-gorge, il est assez habile, un claquement de doigts et ma dentelle chute sur l’herbe, libérant mes doudounes. Sans attendre, il me tète les tétouilles comme un nourrisson affamé. Le salop me les mord, les dents plantées dans la chair tendre, il est solidement accroché, sa main s’égare entre mes cuisses, que j’oublie de refermer, son majeur lance une offensive sur mon string, la dentelle est trop fine pour résister, je sens le tissu se déchirer et le vent caresser ma minette. Il jette le string en l’air qui atterrit sur une branche. Sans douceur, il s’empare de mon clito humide et le frotte avec les doigts.
— Tu mouilles déjà salope, écarte tes cuisses que je te baise. Il s’agenouille, se débraguette et je vois son dard hyper large lorgner de son œil de cyclope sur mon minou, de tout son poids, il m’écrase et son outil cherche l’entrée du bonheur. Il ne lui faut pas longtemps pour trouver la source, mes petites lèvres sont trempées, il se lubrifie bien, et s’enfonce d’un coup, Ouille le chien, pas longue, mais bien épaisse, il distend mes chairs d’une seule poussée, ce n’est pas désagréable de subir un viol consentit dans la nature. Il polit son gland dans mon vagin dilaté en me traitant de tous les noms. Comment un homme qui paraissait si bien éduqué, peut-il se transformer en soudard une fois entré dans la minette d’une femme, sûrement qu’à ce moment-là, il suppose être le propriétaire des lieux. Faisant fi de ces considérations, je prends plaisir à sa chevauchée brutale, sa queue va et vient en moi à toute vitesse, il est pressé de se soulager. Je le tempère.— Prends ton temps, je ne vais pas m’envoler avec toi sur moi, je prends ses grosses fesses flasques et l’oblige à rester un instant dans mon minou. Il passe les mains sous mon fessier, l’empoigne fermement et se remet à me bourrer sauvagement.— Ce n’est pas toi qui décides, tu es une simple salope, Hubert nous a fait cadeau de ton cul, donc je fais ce que je souhaite de toi, comme je le veux.
Il ôte sa chemise, se colle à moi, et se déchaîne dans ma minette, ses mains pétrissent mes fesses à m’en faire mal, il grogne, vitupère, sa grosse bedaine graisseuse cogne mon ventre. Il ahane me bave dessus, son corps couvert de sueur glisse sur le mien, je finis par perdre les pédales et me laisse glisser dans le plaisir qui envahit mon corps. Ce gros cochon avec sa large queue me fait jouir. Il s’en aperçoit sûrement aux contractions de ma chatte, car il se met à gicler dans mon vagin de courts jets, mais nombreux. Une voix se fait entendre.
— Espèce de salop, tu ne m’as pas averti que tu l’avais trouvé, tu la baises en égoïste. Pousse-toi que je me serve.
Le maigrichon pousse mon gros cochon du pied et baisse son pantalon, Whaou le morceau qu’il a entre les jambes, il n’est pas anorexique. À la foire au saucisson, il aurait un premier prix. Je le félicite sur son sexe et tout fier, il se la secoue et me demande si je souhaite la goûter, et l’avance vers mon visage. Pourquoi jouer la femme prude, j’ouvre grandement la bouche et absorbe ce que je peux.
— Hubert n’a pas menti, tu es une folle de bites, il ne doit pas s’ennuyer avec toi salope. Il parait que ton cul, c’est un vrai parking à zobs.
je ne m’occupe pas de ces considérations sur ma morphologie. Je pompe alors ardemment l’excroissance de plus de vingt-cinq centimètres donnés par dame nature, sûrement pour atténuer son physique ingrat. Ce n’est pas le genre d’homme qui commande son éjaculation, il a tôt fait de me remplir la bouche et inonder le visage et les seins d’un beau sperme blanc et épais, dommage un éjaculateur précoce, je reporte donc mon intérêt pour mon gros cochon. Ils me prennent par la main et nous retournons à la maison, je vois qu’Hubert a tout observé à la jumelle qu’il possède encore autour du cou.
— Alors ma chérie, mes invités, ont-ils été corrects avec toi, je vois qu’ils ont honoré ton beau corps, cela coule entre tes cuisses et ta bouche.
Effectivement, je n’ai pas eu le temps de m’essuyer, et le jus du gros dans ma minette et celui du maigrichon à la grosse queue dans ma bouche et sur mes seins se voient. Je joue la victime et dis à Hubert qu’ils ont abusé de ma faiblesse. Ils éclatent tous de rire, le gros me met une grosse claque sur les fesses en me promettant que ce n’est qu’un début. Ils se rafraichissent au champagne ce qui les rend encore plus pervers. le gros qui rebande exprime une demande à Hubert.
— Ça ne te dérange pas si j’emmène Océane dans une chambre pour me la taper en solo comme deux amoureux ?
Hubert n’a aucune objection, il me demande mon accord, que je n’ose refuser. Le maigre dit que lui aussi aimerait me baiser en tête-à-tête, Hubert lui dit que dès que le gros a fini, il pourra prendre la suite. je me sens vraiment prostituée qui attend les clients. Hubert perd un point dans mon estime.Nue, je monte l’escalier, suivie par mon prince charmant quarante ans plus tard qui a pris des kilos. je ne risque pas de tomber, comme ses mains ne quittent pas mes fesses. Arrivée dans la chambre, je lui dis que je prends une douche. Il est trop pressé, il me pousse sur le lit, me retourne afin d’avoir mes fesses en vue, me met un oreiller sous le ventre pour les avoir bien offertes. Je comprends donc que la sodomie n’est pas si lointaine que ça. J’ai vu juste.
— Tu as vraiment un trop beau cul salope, ne pas t’enculer serait un affront fait à tes fesses.
j’apprécie le compliment, et ne m’oppose pas à cette pratique qui me convient, bien que le diamètre de sa queue soit un peu large pour entrer facilement dans ma rosace, les plis vont en prendre un coup. Je me mets à genoux pour bien lui montrer la frontière du plaisir de Sodome. Il plonge son visage entre mes fesses et me dévore littéralement l’anus. sa langue, un vrai petit serpent arrive à m’ouvrir légèrement, je sens ses jets de salive s’infiltrer dans mon petit trou, ses doigts remplacent sa langue afin de me préparer à l’effraction de mon intime couloir. D’un mouvement circulaire, il agrandit mon orifice afin d’enfouir son sexe dedans. trouvant son ouvrage parfait, il se met à genoux derrière moi et promène son gland de ma fente à mon œillet. Il hésite où mettre sa queue, les deux orifices le tentent, mais il n’a qu’un sexe, aussi opte-t-il pour mon petit cul. Le gros champignon se pose sur ma rondelle et entreprend de la forcer.
Il m’ouvre sans s’occuper si je souffre un animal, entre deux cris. Je lui demande de prendre son temps, mais il n’en tient pas compte et se loge entièrement dans mon étroit corridor. Quand sa grosse bedaine se colle à mes fesses, je remercie la nature qu’il n’en ait pas une plus longue. Mon anus est dilaté à l’extrême, c’est un plaisir de posséder mon cul.
— Ben, sacré salope, je n’aurais jamais pensé me faire une aussi belle femme avec un si beau cul, Hubert nous a gâtés, une divine pétasse comme toi, je m’en souviendrai longtemps.
Pendant qu’il me complimente, il me bourre l’arrière-train avec ardeur, ses grosses baloches tapent sur mon abricot, il s’en donne à cœur joie le salop. ce n’est pas de la sodomie, mais de l’enculage à la sauvage, il me défonce le trou de balle avec entrain. je ne peux que subir cette queue qui plonge et replonge en moi, il m’administre une fessée qui me chauffe le cul. Au fur à mesure que son plaisir monte, les insultes fusent.
— La première fois que j’encule un cul de salope black, en plus, tu adores ça, esclave, tu as un cul d’enfer. Je vais te remplir de sperme et te faire nettoyer ma queue.
le voilà qu’il me renvoie à mes origines ancestrales, le fait de sodomiser une noire le fait délirer. Il s’active de plus en plus vite, la douleur s’estompe remplacée par le plaisir. Ce gros porc commence à me faire jouir. Je me surprends même à donner des coups de reins pour le sentir venir plus profond.
— Je savais que tu aimes te faire enculer salope de black, avec un cul pareil, tu as dû en prendre des coups de bites dans ce cul de putain.
Je ne réponds pas, mais effectivement, sans être le Louvre, il fut souvent visité. je m’accommode de ses commentaires, et prends un énorme plaisir quand il se vide dans mes entrailles, c’est divin les jets chauds et épais qui m’envahissent, je ne peux me retenir de gémir, confirmant à ce salop qu’il m’a bien fait jouir. Il se retire, laissant échapper son sperme de mon anus qui en se rétractant en laisse couler dans ma fente, il glisse un doigt dans mon cul, le ressort et me le fait lécher, il recommence plusieurs fois son geste.
— Ça te plait le goût de ton cul et de mon sperme pute black ?
Il me recolle une grande claque sur les fesses et tout fort s’exclame « Au suivant ».Le suivant est proche, dans l’entrebâillement de la porte, il matait tout. Il a la queue tendue et demandeuse d’un orifice pour y assouvir une forte envie de baiser. Lequel va-t-il choisir, je me remets sur le dos croyant échapper à une seconde sodomie, bien que moins large, son sexe soit bien plus long. Mais, le sort en est jeté, il me demande de bien mettre les jambes en l’air, livrant mon abricot, mais également mon anus dégoulinant, donc bien lubrifié et encore ouvert. Il me replie à l’équerre et sans aucune permission s’introduit dans mon petit orifice qui vient de subir les assauts du gros. Pour le diamètre, c’est parfait, néanmoins sa queue va bien plus loin, donc ouvre d’autres horizons inexplorés. Quand ses boules se collent à mes fesses, j’ai l’impression qu’il est dans mon gros colon, bien que ce soit impossible. Un véritable ramonage s’ensuit, de face, il peut observer mes réactions, savoir si j’aime ou si je n’aime pas.
Il m’embrasse, me mord les seins tout en me matraquant le fondement. Le gros profite pour venir mettre sa queue ramollie dans ma bouche en me conseillant de le faire rebander. Je le suce, mais sans y prêter d’attention, je suis plus concernée par la perceuse qui se meut dans mon rectum. je sens quand même le bâton du gros grossir dans ma bouche, le coquin met peu de temps pour confirmer son diamètre important dans mon gosier. Laurel et Hardy profitent de mes orifices pour se faire du bien. Je serai menteuse de dire que je n’éprouve pas un certain plaisir aussi de les sentir s’activer sur moi.
— Hummm, salope, il t’a bien ouvert le cul, ma queue glisse toute seule dans ton cul, je crois que je ne vais plus que me taper des peaux foncées. Elles sont chaudes du cul.
Décidément, mon teint foncé plait beaucoup à ces blancs-becs, souvent, c’est ma couleur qui excite beaucoup d’hommes, pourtant blanche ou noire, nous possédons le même corps. peut-être la chute de rein plus cambrée, ou ils croient que l’on sait faire des choses plus cochonnes, un mythe. Moi, quand un homme me fait bien l’amour, je ne me pose pas la question sur sa couleur, ses origines, sa religion, je profite du bon moment pour m’envoyer en l’air. Je ne suis pas une femme compliquée avec des critères. Pour le moment une longue queue qui ramone mon boyau, une autre qui me bâillonne la bouche suffit à mon bonheur. Limez-moi messieurs, je suis votre obligée.Ils ne s’en privent pas, le gros me baise la bouche, le maigre m’explore profondément le trou de balle. Entre mes yeux mi-clos, j’aperçois Hubert qui se masturbe en me regardant me consacrer à ses deux amis. Il s’approche, me caresse les seins, de savoir qu’il est présent augmente ma libido.
— Je suis fier de toi mon amour, tu es aussi salope que je le pensais, vraiment la femme parfaite que je ne croyais jamais rencontrer.
Sur ce, il avance vers moi, pose sa queue sur mes seins et éjacule longuement, recouvrant ma poitrine de son beau liquide blanc que j’étale avec mes doigts. le gros se croit obliger de l’imiter, il sort son sexe de ma bouche et m’asperge tout le visage et les seins, puis le renfile dans ma gorge pour se terminer complètement. Couverte de sperme, il n’y a plus que le maigre qui se promène dans mon cul, il me fornique allégrement en commentant ce qu’il ressent dans mon anus.
— Qu’il est bon ton cul salope, j’y passerai ma vie, tu la sens bien ma queue dans ton cul de pute ? Tu es trop bonne ma noirpiotte, je vais te remplir le cul.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il m’explose dans les entrailles. C’est fou la quantité qui se déverse dans mes boyaux, me tenant par les hanches, il donne de grands coups de reins comme pour expulser tout son liquide séminal. Tout le haut de mon corps est enduit de jute, quant à mon derrière, c’est l’inondation. Il se retire de mon anus avec un floc qui libère le jus qu’il m’a envoyé, une partie en ressort, l’autre reste au fond de moi. Anéantie, les trois homes regardent leur œuvre en se félicitant.
— Salope, qu’est-ce qu’on t’a mis, tu vas marcher en canard un moment, putain ça fait du bien à la bite de bourrer un morceau pareil. On va boire un coup et l’on s’occupe de toi avant que ton cul refroidisse.
Seul Hubert reste digne et ne se joint pas à leurs commentaires graveleux. Il m’aide à me relever, ce qui fait dégouliner la semence du maigre le long de mes suisses et goutte sur le tapis. Je file à la douche, le gros veut m’accompagner, mais Hubert le dissuade, en lui disant de me laisser un peu d’intimité, et qu’il m’avait à sa disposition toute la nuit.
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