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Océane au club échangiste

Chapitre 2

Le gang bang

Avec plusieurs hommes
Océane et l’après club échangisteUne fois rhabillée, je passe devant mon mari et ses acolytes sans un regard ni un mot pour eux et je rejoins le black pour finir la soirée chez son ami Mohamed. Mon mari insiste pour que je n’y aille pas, mais je refuse de céder à ses injonctions. Si j’avais deviné la suite je l’aurais écouté. Le black, Gaye possède une Porsche 911 carrera, je suis étonnée qu’il ait une si belle voiture, car son apparence ne montre pas la richesse. Nu, il présente bien vu la chose qui se balance entre ses jambes, habillé, c’est moins fringant. Un maillot de foot du pays, un jeans troué, pas par mode, plutôt de l’usure. J’imagine que c’est par goût vestimentaire qu’il arbore une tenue négligée. Faisant fi de ces considérations, il m’ouvre la portière, lorsque je m’assois, il doit avoir une vue directe sur ma petite culotte vu la position du siège. Avant de refermer la portière sur moi, il se rince l’œil, bien qu’il m’ait vue nue, le côté habillé excite plus.
J’en ai eu l’expérience avec plusieurs hommes, qui étaient plus excités en me déshabillant que si j’étais entièrement nue lors de leur arrivée. Donc Gaye profite de ma position dans la voiture pour mater le rebond de mon abricot sous le léger voile de ma petite culotte, puis vient se mettre au volant. Le joli bruit du moteur qui vrombit, vraiment de la belle mécanique. Le vent s’engouffre dans mes cheveux, la vitesse me grise. Nous nous retrouvons vite dans la campagne, la main de Gaye quitte le levier de vitesse et se pose sur ma cuisse. N’ayant rien, contre, je le laisse rapidement progresser à la lisière de ma culotte. Gaye marque un temps d’arrêt, s’aperçoit que je n’oppose aucune objection. Gaye arrête la voiture sur le bas-côté. Il se tourne vers moi, m’embrasse, sa main s’insérant sous le tissu rentre en contact avec ma peau. Mes cuisses s’ouvrent, facilitant l’accès à ma fente qu’il s’empresse de caresser. Une partie de jambes en l’air dans la nature m’émoustille.
Alors, je lève mes fesses afin de pouvoir descendre le petit bout de tissu gênant l’exploration de ma minette. Le coquin me masturbe brutalement, ce n’est pas désagréable, un peu de virilité me convient parfaitement. Surtout Que les rapports au club ont fait plus que me chauffer, plus je fais l’amour plus mon besoin de sexe devient grand. Gaye ne s’y trompe pas et m’invite à sortir du véhicule peu pratique pour ce genre d’ébats. Il m’aide à descendre ma petite culotte aux genoux, elle n’est plus un obstacle. Après quelques baisers et pelotage de mes seins, ma robe se retrouve sur le capot de la voiture, Gaye me retourne, me faisant mettre la poitrine sur le capot et les fesses bien offertes. Gaye a baissé son jeans, car son gland tiède vient se promener entre mes fesses, il navigue dans la raie, puis se fixe sur mes petites lèvres, en trouve l’entrée et s’enfile d’un seul coup de rein.
Ce salop me prend comme une chienne sans s’occuper si je prends du plaisir, il me tient fermement par les hanches et se défoule dans mon minou dilaté par sa grosse queue. Il n’est pas avare d’efforts, heureusement il n’est pas éjaculateur précoce. Le barattage de son vit dans mon vagin trempé finit par produire le miracle de l’orgasme. C’est sauvage, bestial comme copulation et j’apprécie le résultat, il m’ordonne de me mettre à genoux, à peine la bouche devant sa queue, il m’inonde le visage, le gosier, et même les seins. Une vraie source de sperme ce garçon. Le rapport a été sans tendresse, j’adore être prise ainsi, comme un sac à sperme. Pas un mot, que des actes. Il sort un rouleau de sopalin de la boite à gants et me le jette pour que je m’essuie. Le genre plutôt animal ce type, mais, je ne l’ai pas suivi pour refaire son éducation. Cette fois, il ne me tient pas la porte pour remonter dans sa voiture, d’un ton sec, il me dit.
— Pose vite ton cul, on a encore un peu de route à faire. Le ton a changé depuis notre départ, je commence à regretter de ne pas avoir écouté mon mari. Encore une trentaine de kilomètres, et nous pénétrons dans une propriété, sur laquelle se dresse une ancienne bâtisse, sûrement une ferme retapée. Les graviers crissent sous les roues, au pas la voiture se gare devant une grange. Gaye me dit de descendre. Il me fait signe de le suivre, avec mes talons, je me tords les pieds sur les gravillons, j’ôte mes chaussures et le suis. Ça me fait un peu mal à la plante des pieds, mais c’est mieux qu’une entorse. Gaye m’attend pour frapper à la porte, un huis s’ouvre et la porte s’ouvre immédiatement. Gaye entre dans une vaste pièce ou je le suis. Beaucoup de fumée, presque tous hommes et femmes fument, et à l’odeur entêtante ce n’est pas de l’Amsterdamer. Quatre femmes, une dizaine d’hommes, tous d’origine maghrébine. Les hommes semblent ivres et les femmes guère mieux, sûrement le mélange alcool, herbe. Toutes et tous sont à moitié dévêtus. Les quatre femmes ont les seins sortis, petites et grosses paires de seins, de quoi satisfaire tout le monde. Gaye me présente.— J’ai invité cette jolie black à la soirée, j’espère que cela ne vous dérange pas ? En plus, elle n’est pas farouche, je l’ai essayé en venant, sa moule est divine.
J’ai l’air d’intéresser ces messieurs, peut-être parce que je suis la seule femme de couleur ? Dans les hommes, il y a de tous les âges, physiques différents, du gros poilu au sportif lisse. Par malchance un petit gros qui parait être le propriétaire s’avance jusqu’à moi et me prend par la main. Il se présente, c’est Mohamed, celui qui organise la soirée.
— Tu es charmante Océane, Gaye a bien choisi.
Ensuite, sa main quitte la mienne pour se poser sur mon arrière-train, il s’assure de la fermeté de mes fesses sans la moindre gêne. Moh me palpe avec conviction. Étant là pour une soirée coquine, je ne dis rien, et puis, je ne déteste pas que l’on me pelote les fesses, dans les transports, c’est souvent le cas, jamais je ne fais de scandale. Je prends cela comme flatteur que mon cul attire les mains comme un aimant le fer. Ce dernier explore bien le terrain, mes globes et ma raie n’ont plus de secret pour lui. Le tissu de ma robe est enfoncé dans le sillon de mon cul. Pour m’aider, Moh me prend dans ses bras, et comme il est petit, je dois me pencher pour accepter son baiser baveur. Sa langue fouille bien la bouche, un autre s’approche par-derrière moi, et soulève le bas de ma robe. Deux mains prennent délicatement l’élastique de ma petite culotte et la descendent jusqu’à mes genoux, offrant la vue de ma croupe à tous.
Nullement contrariée, je ne m’occupe que du baiser de mon hôte, allant à mon tour avec ma langue explorer la bouche, pleine de salive. La chaleur d’une queue vient réchauffer mes fesses dénudées. Le serpent de chair se développe dans mon vallon. Je tends un peu mon cul contre cette chose qui durcit à grande vitesse. Comme je suis sage, d’autres s’approchent, délaissant leurs compagnes, pour tâter mes charmes. Mes seins sont pétris, mon mistigri accueille quelques doigts fureteurs qui n’ont pas besoin de GPS pour trouver ma fente. Ma minette n’émet aucune difficulté pour éclore sous les caresses de plus en plus hardies, bien que je me sois bien essuyée du sperme de Gaye, il en reste un peu de quoi être encore bien lubrifiée. Les hommes ne s’y trompent pas et leurs doigts s’enfoncent toujours plus profond. Je résiste peu et dans un gémissement, je leur inonde les doigts. Des commentaires accompagnent ma rapide jouissance, je ne les comprends pas, car ils sont en arabes.
Mon hôte me les traduit.
— Mes amis disent que tu as l’air d’être une sacrée kahba, que tu es une gourmande, tu as de la chance, les femmes présentes partent, tu nous auras que pour toi.
Là, je panique un peu, deux trois hommes, j’ai connu, mais une dizaine, ma figue n’a jamais risqué à cette performance. Pourtant, le défi me convient, savoir à combien d’hommes mes orifices peuvent résister. Je me laisse conduire à demi-nue vers une chambre, à moitié portée, mes pieds touchant à peine le sol. Pour lors, je suis jetée plus que poussée sur un lit immense. Au moins deux mètres sur trois. Une autoroute sexuelle. En réalité, je compte onze hommes, les mâles commencent à retirer le peu de vêtements les couvrants encore. Je suis troublée de voir toutes ces queues, certaines à demi-bandées, d’autres bien dressées et menaçantes pour ma foufoune. Une première vague d’hommes se jette sur moi, ma petite robe, mon soutien-gorge et ma petite culotte ne sont plus qu’un souvenir, disparus de mon regard. Une nuée de mains s’empare de mes appâts, cette fois les doigts vont assez profondément dans ma chatte, je suis masturbée plusieurs fois. Je m’épanche sur les draps.
De ce fait, je suis ouverte, trempée avec une envie ardente de les sentir s’enfoncer dans mon vagin et se déverser au plus profond de moi. Oublié mon mari, mes amants d’un soir au club échangiste, seuls tous ces mâles en rut me donnent envie de me faire traiter en prostituée à leur entière initiative. Les préliminaires ne sont pas leur fort. Un jeune beur musclé comme un Dieu grec se couche sur moi, et d’un coup sec s’enfonce en moi. Je reçois son sexe épais avec délectation, mon gémissement de plaisir ne laisse aucun doute sur le bonheur de le sentir emplir mon vagin de sa queue dure comme de l’acier, mais bien plus chaude que le métal. Celui-ci ne finasse pas, d’un rythme égal telle une machine, il me laboure. En friche, désormais je suis un champ bien sillonné, les coups de rein s’accélèrent, mon amant sent que je ne vais pas tarder à jouir. Il exhale un soupir et simultanément sa sève envahit mon vagin comme au printemps, elle se répand dans les arbres.
Ses jets saccadés giclent jusqu’à mon utérus. C’est puissant, chaud, abondant. Moi, ne suis plus qu’une poupée désarticulée sous le merveilleux corps qui me recouvre. Le jeune homme reste collé à moi le temps d’expulser ses derniers spermatozoïdes à l’assaut de mes ovaires. Les autres se sont masturbés en nous regardant, lorsque mon bel amant se retire de moi, tous se mettent au-dessus de mon corps, et se vident, certains ensembles, d’autres après sur mon corps, mon visage. Une douche de sperme s’abat sur moi, je reçois avec une grande jubilation ce liquide de vie qui pleut sur ma personne, bouche entrouverte, j’en bois. Les yeux fermés, je sens cet excellent liquide couler sur mes paupières, mes seins, mon ventre, ma fente ouverte sont oints de semence bien épaisse. C’est la première fois que tant d’hommes me bénissent de leur phallus. Ceux qui n’ont pas éjaculé, me retourne sur le ventre, me placent à genoux, fesses en l’air.
Des doigts fouillent mon petit trou qui ne reste pas exigu longtemps, sous les multiples intrusions, il s’élargit, se dilate offrant la possibilité aux hommes de me sodomiser. Ce qui arrive vite, Mohamed se place contre mes fesses, me prend par les hanches, son gland se pose sur ma rondelle et bandant solidement, aucun besoin de la tenir pour forcer mon orifice le plus intime. Il force peu pour s’introduire dans mon anus peu réticent à la sodomie. Le plaisir de le sentir me travailler mon étroit corridor ne tarde pas à faire renaitre l’exaltation dans mon corps. Comme mon précédent amant, il me lime sans douceur, son gros ventre claque contre mes fesses, les faisant trembler. Son acolyte vient devant mon visage et m’ordonne de le sucer. Le cyclope m’intimide, aussi je le fais disparaitre au fond de ma gorge, arrachant un grognement de satisfaction à son propriétaire. Ainsi embrochée de deux côtés, je m’applique à bien lécher le gros mandrin qui réside dans ma bouche.
Petits coups de langue, descente aux bourses pleines, remontée au méat avec la pointe de ma langue qui s’insinue dedans le faisant se tendre vers moi, je lui pratique une fellation princière. Il apprécie ainsi que mon sodomiseur. Les claques sur mes fesses montrent le degré de bonheur que mon cul procure à la queue qui le farfouille. De mon côté, je mouille bien, ma cyprine chaude me coule le long des cuisses. Les deux salops coulissent bien dans mes orifices soumis à leur tige. Mon amant à qui je fais une fellation, me prend la tête et me force à une gorge profonde qui lorsque son gland touche les amygdales manque me faire vomir. Je résiste à l’envie de répandre du vomi sur sa queue et m’adapte à l’objet au fond de mon gosier. L’homme reste plusieurs bonnes minutes au fond de ma gorge et à mon grand soulagement reprend la baise de ma bouche.
Le locataire de mon cul entame une danse rapide dans mon séant, annonçant la prochaine éjaculation qu’il me tarde de sentir gicler dans mon intestin. Votre narratrice quant à elle prend son pied, je ne regrette pas d’avoir suivi Gaye sur un coup de rage, comme quoi la colère peut-être parfois bonne conseillère. À ce moment-là, elle se réjouit. Mes deux profanateurs d’orifices vont de plus en plus vite, le gagnant est le fellationné. Il m’envoie tout son nectar au fond de la gorge en geignant. C’est un goût âcre qui jaillit dans ma bouche, son sperme est désagréable, malgré tout je m’emploie à l’avaler. Jouissant sous les coups furieux dans mon croupion, l’éjaculation me remplit les intestins, ses doigts s’enfoncent dans mes fesses les meurtrissant, la douleur, n’est rien à côté de l’excitation qu’il m’apporte à m’inonder pleinement le cul. La sonorité qui se produit quand il se retire fait penser à une bouteille que l’on débouche.
Le sperme ressort de mes fesses, coulant sur ma fente encore ouverte pour s’égoutter sur les draps de soie. Je recrache le sexe ramolli qui occupe encore la bouche et m’effondre les bras en croix sur les draps. Recouvrant lentement mes esprits, je m’aperçois que la soirée est loin d’être finie, la dizaine de garçons qui m’ont éjaculé dessus bandent de nouveau. Moi, ne suis pas tout à fait prête à reprendre la bataille, mais comment résister à tous ces mâles qui me désirent. La seule solution, me remettre sur le dos pour éviter que tous me sodomisent sur le champ, et leur offrir ma petite chatte lubrifiée favorable à une féroce compétition. Pas d’armistice, je suis enfilée par un vieil homme viril à qui je ne pourrai donner d’âge, toujours est-il que sa queue elle est vaillante. Avec bonheur mon minou trempé l’accueil avec délice.
Cet homme nu, décharné ressemblant plus à un squelette qu’à un être vivant se meut dans ma minette avec entrain, assurément, il pourrait être mon grand-père, et pourtant sa queue m’offre un plaisir assez intense. Quand il me sourit, je vois uniquement qu’il lui manque des dents, celles encore plantées, noires de caries À ce moment-là je me dis Océane, tu deviens perverse, comment peux-tu jouir avec ce zombi ? Ce côté dégradant, au lieu de me répugner, m’excite. Quand il colle la bouche à la mienne, je mets ma langue dans sa bouche à l’odeur fétide. Son sexe devient encore plus dur dans ma minette, je l’enlace de mes jambes qu’il reste en moi. Je lui roule le patin du siècle, mon avilissement est un stimulant, je suis ouverte à toutes les débauches, même les plus outrageantes, je viens de franchir le cap avec lequel l’abject devient drogue sexuelle. Jusqu’où suis-je capable d’aller pour savourer le plaisir ? La question est à présent sans réponse.
Je le découvrirai durant mon évolution sexuelle. Si mon mari voyait ce vieillard fourrer sa femme, et qu’en plus elle s’en repait, il deviendrait fou. Faisant fi de toutes ces pensées, je me donne entièrement à cet ancêtre qui me pilonne le vagin avec force coups de rein. Mon baiser doit l’exciter, car il ne décolle plus la bouche de la mienne. C’est ainsi qu’unis par les lèvres et les sexes, nous nous envolons vers le nirvana. Le vieux salop a une abondante semence à m’injecter dans mon antre, cela gicle dans mon four à bébé. À peine s’est-il enlever de mon intimité qu’un autre d’une cinquantaine d’années lui succède dans mon frifri. Le bruit de sa queue dans ma chatte fait une sonorité qui ressemble à une personne qui patauge dans une flaque d’eau. Nageant dans le sperme de son ami, mon conjoint d’un instant monte une mayonnaise dans ma chatte. C’est excellent ce chibre qui nage dans le jus et glisse énergiquement, j’adore.
Il met peu de temps pour vider son sperme, mélangeant sa semence à celle de son ami et ma cyprine. Hummm c’est trop bon cette sensation de remplissage. Ainsi sans que je bouge une dizaine d’hommes se soulage dans mon minou, certains se retirent pour m’éjaculer sur le ventre, les seins, et parfois s’avancer jusqu’à ma bouche pour me nourrir de leur nectar. Sans même me laisser un peu de repos, je suis de nouveau mise sur le ventre et la sodomie infernale reprend. J’ignore combien profitent de mes fesses, mais mon cul est suffisamment ouvert pour tous les accueillir et en jouir plusieurs fois. Comme un rôti au four, je suis de nombreuses fois retournée et consommée dans mes deux orifices trois si je compte les fellations. Inerte, je ne ressens plus rien sauf les poids des divers corps qui m’écrasent et les éjaculations qui semblent ne pas se tarir. Un corps de chiffon qui subit toutes les outrances possibles.
Six heures du matin, enfin ils s’endorment, je sommeille un peu, file prendre une douche pour ôter tout le sperme qui me recouvre, même dans les cheveux. La douche chaude et régénérante me fait un bien fou. Je reprends mes vêtements, me rhabille en silence et m’avance vers la porte, le vieillard apparait devant moi, me faisant sursauter. Alors, il m’embrasse, malgré son haleine toujours horrible, je me laisse faire et sans un mot. L’ancêtre me glisse un papier avec un numéro de mobile écrit, et me dit, appelle-moi jolie demoiselle, tu seras surprise. Dubitative, je le salue et m’échappe avant que mes amants se réveillent.
Une suite est envisagée, indiquez-moi si vous le désirez
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