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Océane ou la découverte d'une femme

Chapitre 2

de femme cachée à femme libérée

Divers
— Je veux juste que la femme séduisante qui vit cachée en toi remplace celle qui est arrivée chez moi, ma douce Océane. Pire que tout, c’est à toi de décider si elle peut sortir, se montrer et faire tourner les têtes. Tu es entièrement libre, je ne t’oblige à rien. Je te le répète, si tu le désires, tu peux même aller retrouver ta mère. Ici, ce n’est pas une prison, je ne t’oblige en rien.
— Je vois monsieur. Mais si…disons que…si j’ai envie de rester et que je désire…que vous fassiez de moi celle que je désire être ?— Dans ce cas, tout change, tu iras dire adieu à ta mère si pesante sur ta vie. Je ferais de toi une femme, une princesse, une femme aimant tous les plaisirs de la chair. Je ferais de toi la femme qui bouleverse l’esprit des hommes et des femmes que tu croiseras. Je t’apprendrai à aimer les hommes comme les femmes et en jouir, avoir des orgasmes démentiels. Je voudrais tellement que tu jouisses de la vie comme j’en jouis. Je ne veux pas de toi en salope, en pute, non, je te veux en tant que femme désirable, amoureuse des plaisirs de la vie. — Monsieur Raymond, faites de moi cette femme qui fera tourner la tête des hommes. — En es-tu certaine ?— Oui, plus que jamais, vous avez su me convaincre de changer, de ne plus dépendre de ma mère. — Ok, veux-tu me faire plaisir. Tout à l’heure, une amie va venir te coiffer, mais aussi épiler ton corps tout entier. Seulement, elle a un faible pour les femmes. Je voudrais que tu t’abandonnes entre ses mains.— Quoi, me faire toucher par une femme ?— Oui, tu verras, dans le pire des cas, tu en éprouveras un immense plaisir. Après je ferais de toi la femme que tu rêves d’être, celle que je voudrais que tu sois. Mais pour cela, il te faudra m’obéir. — Vous voulez me faire l’amour avec elle ?— Ça, seulement si tu en éprouve l’envie, ma chérie. Seulement, avant, il te faudra te laisser épiler par cette amie. — Parce que vous lui faites l’amour, à elle aussi ?— Oui, elle aime homme et femme. — Je vois. Mais, si je ne veux pas ?— Tu es tout à fait libre de refuser ses avances. Je veux que tu essaies avant de dire non. Tu ne dois pas avoir peur du plaisir que tu pourrais éprouver. Je ne te promets pas que tu aimes pourtant, quelque chose me dit que tu vas jouir et découvrir quelque chose qui t’est encore inconnu. Crois-moi, cela m’étonnerait pas que tu veuilles recommencer aussitôt, tu vois.Je la sais inquiète, je fais tout ce qu’il faut pour la détendre. Quand Martine arrive, Océane se serait cachée dans un trou de souris si elle en avait eu l’occasion. J’ai décidé de passer la seconde, peut-être était-ce trop vite, je vais très vite être fixé de toute manière.— Martine, voici la demoiselle dont je t’ai longuement parlé au téléphone. Je te demande d’y aller tout en douceur, elle ne connait encore rien aux jeux de l’amour. Je désire que tu en fasses une femme plus que désirable, mais pas une pute et encore moins une salope. Imagine un bloc de pierre brut, on doit dégager, tailler, façonner pour en faire ressortir tout ce qu’il y a de sublime en cette jeune femme.— Je vois, pas de problème. Océane, c’est ça. Je te trouve superbement belle. Je suis enchantée de faire ta connaissance. Raymond est un excellent guide pour ce qui est des jeux de l’amour, tu peux lui faire confiance. Tu as de la chance, en plus c’est un excellent amant au lit. Bon, sinon, je me mets où ?— Où tu veux, même au salon. — Va pour le salon. Tu me file un coup de main pour ma table ?En quelques minutes, une table de massage pliante est installée. Océane en a profité pour remettre sa robe. Cette fois, devant Martine, c’est moi qui la lui retire, déposant mes lèvres ici ou là sur la peau blanche de ses épaules à sa nuque. Océane frissonne délicieusement. Je devine les effets de mes baisers sur sa chair si pâle, toute tremblante. Je devine aussi un plaisir naissant dans son corps encore vierge de tout et si joliment apeuré. Je la guide vers la table, la soulève délicatement et la couche tout aussi délicatement sur cette table. Je laisse le soin à Martine de lui retirer sa culotte pendant que je lui tiens la main et l’embrasse tendrement. Martine se montre particulièrement douce et avenante avec Océane. Elle ne cesse de lui parler, de la complimenter sur son corps, de la détendre. Quand elle pose sa main sur le minou encore très velu d’Océane, sa main qui est dans la mienne se serre brutalement. Je rassure Océane. Je vois son corps se détendre très lentement, petit à petit. Martine sait se montrer très douce, prévenante. Une fois la mousse à raser sur son pubis, Océane relève sa tête pour regarder Martine opérer. Je place mon autre main sous sa nuque pour qu’elle ne manque rien de ses poils qui s’en vont par petites poignées.Océane sent vite les effets bénéfiques de cette lame qui lui retire ses poils. Martine est une femme très agile, un rasoir à la main. C’est même elle qui me rase entièrement toutes deux les semaines. Quand elle replie les jolies jambes d’Océane, Martine glisse un doigt entre les nymphes d’Océane qui se cramponne à ma main comme à une bouée de secoure. — Abandonne-toi, ma belle, on ne te veut aucun mal, bien au contraire. Laisse aller ton corps, ne cherche pas à combattre ce plaisir que je sais naissant.— Je sais, monsieur, je sais, mais ça me fait tout drôle, j’ai des picotements pleins mon ventre.
Je dépose mes lèvres sur les siennes sans chercher à aller plus loin. Ce premier bisou déclenche un tout premier et violent orgasme chez Océane, le tout premier de sa vie à l’entendre proclamer combien c’est bon. Il n’en fallait pas davantage pour qu’elle s’abandonne entièrement entre les mains de Martine. Une fois le sexe d’Océane glabre, doux comme la peau de ses fesses, je fais un signe à Martine qui plonge délicatement sa bouche sur ce sexe tout lisse. Très vite, Océane est gagnée, submergée par un nouvel orgasme encore plus puissant que le premier. Cette fois, je pose mes lèvres sur les siennes, sa bouche s’ouvre lentement, c’est là, je le présume, son tout premier vrai baiser. Elle jouit une troisième fois, avant que je ne lui demande si elle ne veut pas gouter sexe de Martine. Elle se fait timide devant Martine qui retire rapidement ses habits. Nue devant Océane, je les invite à se mettre sur le canapé en les approchant l’une contre l’autre. Ses premiers baisers sur le minou de Martine sont timides, terriblement touchant, l’aidant de ma main, elle comprend vite comment si prendre. Puis vient le gout de la cyprine de Martine qui exacerbe ses sens. Une fois sa bouche bien imbibée, je l’embrasse, partageant ce gout avec Océane.— Tu vois, belle Océane, tu vois combien c’est bon. Ce n’est là qu’un début. Je promets de te guider dans des plaisirs dont tu n’as même pas idée. Je vais te faire découvrir des choses, des plaisirs dont tu ne soupçonne même pas l’existence. Maintenant, je veux que tu profites pleinement de tout ce que nous t’offrons.Après quelques minutes, les deux femmes jouissent de concert, un moment merveilleux à en croire Océane et Martine. Martine, fidèle à elle-même, épile encore les jambes et les aisselles d’Océane, léchant et suçant partout où passe la lame de son rasoir. Enfin, il est presque minuit quand on plie la table de Martine. Ses affaires dans son sac, Martine nous quitte non sans avoir partagé un long baiser avec Océane libérée ou presque. Nue devant moi, elle se fait prude, je la prends sur mes cuisses, l’embrasse pendant que ma main caresse tendrement son sexe. Telle une enfant à éduquer, je dois la modeler en prenant mon temps. Encore un peu naïve, il m’est impossible de lui en tenir rigueur de ses gaucheries. Je ne veux surtout pas la bousculer, j’en ai déjà trop fait avec l’aide de Martine. Je la fais jouir sur mes cuisses, elle ne cesse de m’embrasser. Puis, c’est Océane qui semble vouloir prendre les commandes. Je la laisse faire, voulant savoir jusqu’où elle veut aller. Quand elle veut défaire le nœud de ma robe de chambre, je pose ma main sur la sienne. Immédiatement ses doigts se croisent avec les miens. — Jusqu’où veux-tu aller Océane ?— Avec vous, jusqu’au bout du bout, désormais !— Tu sais que je pourrais t’emmener dans des chemins terriblement tortueux, voire douloureux, parfois ? — Si c’est avec vous, après ce que je viens de vivre, je ne crois plus avoir envie de rentrer chez ma mère.— C’est bien, ma chérie, j’apprécie tout ce que tu viens de me dire. Là, il est plus de minuit, tu ne veux pas aller te coucher, en garder pour demain ?— Je n’ai pas sommeil, juste un peu faim. — Oh punaise, c’est vrai ça, moi aussi. Aller, on se fait une tranche avec un verre de vin et au dodo.Dans la cuisine, je sors deux belles tranches de viande. Océane me bouscule pour les apprêter elle-même. Je lui cède volontiers la place pour admirer sa plastique. Elle a un corps de rêve, plus je la regarde, plus mon cœur reconnait cette femme comme un amour naissant en mon cœur. Ses tranches judicieusement apprêtées se révèlent un délice. Pendant ce léger repas, je lui demande qu’elles sont ses aspirations désormais. Si je connais déjà sa réponse, je veux juste en être certain. Quand elle me dit ne plus vouloir me quitter, j’y vois deux choses, elle ne veut plus se retrouver toute seule face à sa mère et en second, elle est tombée amoureuse de moi et moi, je commence à découvrir que je peux aussi tomber amoureux.Après le repas, je lui montre une petite chambre coquète pour qu’elle puisse se reposer. Elle semble déçue de ne pouvoir dormir avec moi. J’ai pensé qu’il valait mieux, je ne veux pas précipiter plus les choses qu’elles ne l’avaient déjà été. Dans mon lit, j’ai bien de la peine à trouver le sommeil. Les images d’Océane jouissant avec Martine hantent encore mon cerveau. Ouvrant les yeux après avoir entendu un bruit, Océane est là, assise sur le rebord de mon lit, nue, belle. Je l’attire près de moi, je lui fais l’amour sans encore la pénétrer. Son corps est un régal quand il se tortille de bonheur. Ses longs soupirs d’extase sont un délice pour mes oreilles. Ses suppliques pour que je la déflore se déposent dans mes oreilles comme autant de baiser. Je finis par lui donner ce qu’elle désire en prenant tout mon temps. Je crois n’avoir jamais consacré autant de temps à préparer une femme comme je l’ai fait, cette première nuit, avec Océane.Une fois mon sexe en son corps, elle jouit rapidement. Je sens son corps remplit d’allégresse, son visage irradiant de bonheur. Ne pouvant plus bander au petit jour, je claque ses fesses d’une bonne grosse claque pas bien méchante. Elle ne crie pas, c’est tout juste si elle pousse un long soupir de bonheur. Allongée contre moi, sa main sur mon sexe tout mou, elle s’est enfin endormie paisiblement. J’en ai fait tout autant, je suis mort après cette nuit de débauche avec cette superbe jouvencelle.Tard dans la journée, je suis réveillé par des éclats de voix. Je n’ai pas entendu le début de l’appel téléphonique, seulement ce qui suit :— Écoute maman, j’en ai marre que tu me dises ce que je dois et ne dois pas faire. J’en ai ma claque tu me dises ce que je peux porter ou pas. J’en ai ras le bol que tu guide ma vie. Je ne supporte plus l’idée que tu veuilles faire de moi, ton esclave. L’homme avec qui j’ai couché, s’est montré merveilleux, bien au-delà que ce que j’étais capable d’imaginer… Non, tu te tais et tu m’écoutes, c’est clair ! Bon, alors écoute bien la suite. J’ai fait l’amour avec une femme très belle et très douce. Et ben, tu sais quoi, j’ai pris mon pied. Ensuite, Monsieur Raymond m’a faite jouir sur ses genoux, sans me baiser, uniquement en me caressant. C’est bien plus tard qu’il m’a fait l’amour comme seul un dieu est capable de le faire. Je suis libre, il m’a libéré de toi, maman, de ton emprise, de tes désirs sordides de faire de moi ta putain. Je ne suis plus sous ta coupe. Lui, il peut tout exiger de moi, s’il le désire, toi plus rien. S’il veut faire de moi sa petite pute, sache que je ne lui dirai pas non, c’est compris ? Adieu maman, je t’aime et vive le sexe.— Eh bien, ma grande, comme tu me l’as mouchée ta mère. Toutes mes félicitations !— Hein ? Oh, merci Monsieur Raymond.Elle s’avance alors vers moi sur la pointe de ses petits pieds, le regard vicieux posé sur ma queue encore pendante. D’une douce main, tout en m’embrassant avec bonheur, elle se met à me la caresser doucement. Plus je bande, plus elle caresse. Quand je pose une main sur sa frêle épaule, elle s’agenouille, docile, désireuse de tout connaitre. Timidement, elle embrasse mon gland puis, c’est sa langue qui commence tout aussi timidement à lécher mon sexe. Enfin, elle l’embrasse sur toute sa longueur en intercalant de merveilleux coups de langue. — Essaie de la mettre dans ta bouche. Cependant, ne le touche pas avec tes dents, s’il te plait, juste tes lèvres et ta langue. Elle se montre bien plus à la hauteur que je ne pouvais l’ambitionner. Sa bouche fait merveille. Quand je suis sur le point de jouir, je lui recommande vivement de poser mon gland sur ses lèvres et de diriger mon sperme sur son palais, ce qu’elle fait en me fixant de ses yeux brillant de bonheur. — Tu aimes le gout ?— Oui monsieur, beaucoup, même si c’est un peu salé. — Oui, je sais, je n’ai malheureusement aucune autre arôme à te proposer. Si tu y arrives, avales à petite gorgée. Et là, c’est meilleur ?— Oui et de beaucoup, monsieur Raymond. J’en voudrai bien chaque matin pour mon déjeuner. — Cela ne tient qu’à toi, ma chérie. Je ne pensais sincèrement pas que tu fasses tant de progrès en si peu de temps. — Moi non plus, monsieur Raymond, c’est grâce à vos explications.— Tu sais te montrer adorable et tu l’es, à tous les coups.— Merci Monsieur Raymond. Je peux vous demander quelque chose ?— Tout ce que tu veux.— Pourriez-vous me fesser ?Je me penche sur son visage, embrasse sa bouche qui me répond sans attendre. Ce faisant, je la relève pour mieux l’enlacer. Puis, je lui demande ce qu’elle désire faire après. Elle me répond qu’elle souhaite trouver la bonne tenue en continuant à me faire une défiler de mode rien que pour moi. Je la fesse comme elle me l’avait demandé, sans forcer, sans aucune violence. Une alternance de petites claques érotiques et de douces caresses intimes. Elle jouit merveilleusement en se libérant davantage encore. Cette fois, ce n’est pas qu’un long soupir de bonheur, mais un magnifique hurlement qui sait se faire entendre loin à la ronde.
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