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Océane ou la découverte d'une femme

Chapitre 3

de femme libérée à femme dévergondée

Divers
-Ma belle, tu vas tout me dire ce que je ne suis pas censé savoir de toi.-Avec plaisir, monsieur Raymond. Bon, là, je suis en vacances durant encore deux semaines. Durant tout ce temps, maman voulait que je sois éduquée au sexe et soumise par vos soins. Puis, je devais reprendre mon travail et démissionner peu après pour…ben pour servir ma salope de mère. Mais si Monsieur Raymond exige que je démissionne, je le ferais sur le champ.-Oh que non, surtout pas, bien au contraire. Parce que tu vois, je veux que tu lises tous les livres coquins et libertins de ta bibliothèque. Je veux que tu sache dans quoi tu mets les pieds avec moi. Je veux que tu prennes ta décision en toute connaissance de cause. Alors, le tout premier ouvrage que tu liras sera l’histoire d’O, c’est clair ?-Oui monsieur Raymond, très clair. Je le lirais, croyez-moi. -Bien, très bien Océane. -Dis, elle en veut cette petite. Tu sais, ma petite, cet homme peut faire de toi sa maîtresse, son jouet sexuel ou son esclave comme le voulait ta mère. -Monsieur Raymond peut tout exiger de moi, il m’a ouvert les yeux et le corps au plaisir de la chair. -Alors restes bien près de lui car il te fera découvrir des choses dont tu ne soupçonnes même pas l’existence.-Il me l’a promis et je lui fais entièrement confiance. Gisèle et Océane s’embrasse sans autre forme de procès, un vrai baiser. Une fois vêtue en une superbe soubrette, je voulus qu’elle le soit en tenue de ville, même chose, distinguée et terriblement aguicheuse. Cette fois, plus question d’être à quatre pattes pour Océane. Elle obéit au doigt et à l’œil, je n’avais jamais vu ça chez une femme, du moins jamais aussi vite. Là, ma Gisèle en fait une femme bandante. Puis, après la tenue de ville, une tenue de soirée avec les mêmes critères. Je décidais qu’Océane porterait une tenue différente pour chaque occasion désormais.Après quelques courses, nous sommes rentrés, sa main dans la mienne. Dans ma cuisine, Océane s’occupe de tout, de même que dans tout mon vaste appartement. En soubrette, elle m’émoustille comme aucune autre femme n’y était parvenue. Parfois, je joue avec Océane et son corps. Elle sait se montrer coquine, provocatrice et j’adore quand, déraisonnable, elle se dévoile à moi avec ce brin de folie que j’adore.Passant l’aspirateur, elle baisse sa culotte sur ses chevilles de manière négligée. D’un peu de lubrifiant, je lui vole tendrement son dernier pucelage, son mignon petit trou du cul. Appuyée contre une commode, je la pénètre lentement, massant ses seins. Soubrette, elle m’excite. Soumise, elle est merveilleuse. Aguicheuse, c’est encore pire, je l’aime. Je la sodomise en prenant tout mon temps. Océane jouit à plusieurs reprise avant que je n’éjacule longuement en elle. Cela étant, quand elle veut remettre sa culotte, je refuse. Son sourire coquin, elle se baisse sur mon sexe pour me le lécher sans me montrer le moindre signe de dégout.-C’est très bien Océane, j’apprécie ce que tu fais. Une fois que mon sexe sera propre, je veux que tu continues le ménage comme jusqu’à présent mais sans ne plus porter de culotte autrement que sur tes chevilles. Je ne t’autorise à la porter que quand tu auras tes menstruations. Cela te plait-t-il ?-Oh oui, Monsieur Raymond, c’est même un plaisir que de vous obéir.-Allo, Isabelle, c’est Raymond…bien et toi…oui, j’imagine…pardon…non, je n’étais pas au courant, je dormais…oui, on a couché ensemble, c’est ce que tu voulais, il me semble…attends, ne crie pas comme une truie qu’on égorge. J’ai là, ta demande écrite, je te site : « Faire d’Océane une salope soumise et prête à tout pour me servir »…oui, et c’est ta signature…Non je te dis, je dormais. Hein ? non, elle t’a dit ça…ok, je vais la punir une fois qu’elle aura terminé le ménage. À plus ma belle. -Maman ?-Oui et pas contente de ton coup de téléphone. -Je m’en moque, c’est même bien fait pour sa pomme. -Seulement, je me dois de te punir, c’est dans l’accord entre ta mère et moi. -Je suis au courant Monsieur Raymond, je suis prête. Je ne l’ai pas punie comme le voulait sa mère, cruellement à coup de fouet. Je me montrais plus doux en ne menottant que ses poignets et la fessant comme je l’avais déjà fait quand Océane me l’avait si joliment demandé. Quand Océane hurla son plaisir, c’est que la punition avait magnifiquement fonctionné. Elle m’en remercia longuement en baisant mes pieds de partout et léchant chacun de mes orteils.En début de soirée, je lui demandais de mettre sa tenue de sortie, la coquine. Une fois prête, je l’emmenais au cinéma. Un de ces petits cinémas qui ne passent que des pornos en boucle. Celui que nous allions voir parlait d’un couple dont le monsieur, mécontent après un repas trop salé, fesse durement sa femme qui découvre un plaisir nouveau et n’a de cesse de réclamer à son mari de la soumettre, ce qu’il fait en l’obligeant sans cesse à plus de soumission, parfois, à coup de cravache. Océane ne perd pas une miette du film à très petit budget. Elle semble beaucoup apprécier quand l’homme fouette cruellement sa femme avec un gros martinet devant des hommes et des femmes qui se branlent. Surtout que juste après la punition, la femme est offerte aux vices de ces personnes prêtent à tout pour assouvir leurs plaisirs. La main d’Océane me branle quand l’épouse soumis branle deux hommes. Sur le pont de jouir, je force Océane à me sucer. Je n’ai pas posé ma main que sa nuque que son corps s’incline déjà, que sa bouche s’empare de ma queue, que sa langue s’entortille autour de ma bite. -En sortant du film, Océane me presse de question. Une seule me parait digne d’une réponse.-Monsieur Raymond, est-ce que je devrais me plier, moi aussi, à faire jouir autant de personne devant vous, comme dans le film ?-Un jour, oui, peut-être, mais tu verras, tu seras comme cette femme, folle de plaisir.
-Avec vous, je n’en doute pas. Seulement, il est dommage que vous ayez demandé à Mademoiselle Gisèle de ne pas être des nôtres demain.-Oh toi, tu veux aller plus vite que la musique. Alors viens, on retourne au cinéma, le second film devrait aussi te plaire. C’était un classique du SM. Cela étant, dans ce film, connaissant celle qui en était la réalisatrice, je savais qu’absolument rien n’était truqué. Je crois bon d’en avertir Océane. Le film retrace la vie de deux couples soi-disant mariés. Si dans le premier c’est monsieur qui domine, dans l’autre, c’est madame qui fustige son mari, un mec tout maigrelet. Durant tout le film, autant l’un que l’autre des soumis sont copieusement malmenés, humiliés en place public. Vers la fin du film, les deux couples se rencontrent dans un club fétichiste. Pendant que l’homme punit sa femme pour ses maladresses de la semaine, près de lui, l’épouse de l’autre couple fait de même sur son époux et c’est le coup de foudre entre eux. Du coup, dans une somptueuse maison, les deux couples se retrouvent. Les deux dominants divorcent pour se remarier entre dominants et les deux soumis sont leurs dévoués esclaves. La toute dernière scène montre les deux soumis en train de se faire percer les tétons pour se les faires annelés. Là, quand l’aiguille traverse les tétons de la femme, qu’elle hurle sa douleur, Océane se blottit tout contre moi sans pour autant détourner son regarde de la scène. -Voilà, ce que tu viens de voir c’est l’ultime étape d’une soumission. Je ne te cache pas qu’il y a pire.-Monsieur voudrait me faire anneler mes seins ?-Pas dans l’immédiat. Du reste, seulement si tu m’en fais l’exprès demande. -Si monsieur me le demande un jour, je voudrais qu’il me fasse anneler mon nez, aussi. Pourquoi ça, ça défigurerait ton si joli visage. -Pour faire comme cet homme, promener sa soumise en laisse. Oui, dans le film, il l’a promène avec une laisse accrochée aux seins quand il l’oblige à pisser dehors, sous la pluie. -Et tu imagines te voir à sa place, à la place de cette femme ou de cet homme soumis ?-Si vous l’exigez, oui. Et puis, ça fait tellement mouiller ma petite chatte, Monsieur Raymond. -Je crois que j’avais été trop vite en besogne. Je m’en voulais de lui avoir montré ce genre de film. Cependant, elle devra patienter, je veux qu’elle lise l’Histoire d’O avant qu’elle ne se décide à aller plus avant. Pendant le reste du contrat qui me lie à la mère d’Océane, cette petite joue son rôle à la perfection. Comme moi, elle y trouve son plaisir même si parfois, une fessée, peut-être un peu plus forte que les précédentes, la fait jouir avec encore plus de puissance. Océane est maintenant libre d’agir comme elle le désire. Cela étant, elle a décidé de rester auprès de moi, de jouir en ma compagnie. Parfois ensemble, parfois à trois, Océane perd peu à peu ses toutes dernières angoisses. Elle a lu le livre que je lui imposais. Elle en a même lu bien d’autres, tous sur le même sujet, la soumission, dédaignant tous les autres. Jour après jour, elle prend un gout certain à vivre entant que ma soumise. Et moi, je résume mon amour pour elle par cette simple maxime : « plus qu’hier, mais moins que demain ! »Six mois plus tard, je repris mon activité de gigolo. Parfois, Océane prenait part à nos soirées délurées. Punie, elle restait enfermée dans sa chambre ou elle devenait la docile soubrette utilisée par mes clientes. Dites que je suis la pute de ces dames et je sors de votre écran pour vous mettre mon pied là où cela fait mal. Si des hommes comme moi existent, c’est que vous avez un souci avec votre sexualité, pas moi. Toutes ces femmes, quand elles viennent chez moi, je les aime comme si chacune était ma femme, mon épouse. Il en est une qui sait de quoi je parle, elle est même la première à bénéficier de mon corps, c’est Océane. Ça s’est fait, passons à la suite !Il est vrai qu’Océane représente bien plus pour moi. Pour tout dire, je peux affirmer que c’est la toute première fois que je suis autant amoureux d’une femme. Qui plus est, d’une femme qui accepte ma vie de libertin débauché. Seulement, elle, Océane, c’est aussi ma soumise, une soumise qui ne bénéficie pas de ce traitement cruel que certain inflige à leur soumis. Pourtant, un jour, en plein repas, elle me fixe. -Monsieur, je crois qu’il serait temps que je connaisse la douleur d’une véritable punition.-Oui, peut-être que tu as raison. Cependant, c’est à moi d’en décider désormais. Je ne suis pas ta mère. Elle, elle voulait juste que tu sois sa servante, son jouet, son défouloir. Moi, je veux plus pour toi, je veux que tu éprouves du plaisir dans ce que je t’impose. Pourtant, si tu n’as pas tort, je ne pense pas encore t’imposer les douleurs subies par ces acteurs dans ces films, un jour peut-être. -Pardonnez mon impatience, Monsieur Raymond. -Demain, tu iras travailler avec une culotte un peu spéciale. Tu verras que de me subir n’est pas toujours rose ni très agréable. De retour, c’est dans mon lit que je prends ce corps si sensible à mes attouchements. Je la baise une bonne partie de la nuit, ses orgasmes se succèdent avec une puissance qui me rend heureux de jouir dans son corps. Dès l’aube, je lui donne la fameuse culotte. Munie de deux godes, l’un est large et long destiné au vagin, l’autre, plus fin, moins long est pour son anus. Une fois équipée, je la lui programme sur le mode aléatoire et la verrouille. Très vite, Océane comprend que sa journée risque d’être infernale, du plaisir à tout instant, du plaisir qui ne lui laissera que peu de répit, pratiquement un enfer. Je ne lui autorise de la retirer uniquement pour se soulager, rien d’autre. Je sais qu’elle m’obéira à la lettre, c’est écrit dans ses gènes. Je sais aussi qu’elle veut connaitre les effets d’une cruelle punition. Cela étant, je vais tout faire pour la repousser aussi loin que possible. Du moins, si elle ne me fait une grosse bêtise entre deux. Je la regarde partir. Je sais qu’elle va avoir des orgasmes merveilleux. Je sais aussi qu’elle va souffrir l’enfer à force de jouir durant toute la journée. Mais là, il est temps de me préparer, ma cliente ne devrait plus tarder. C’est la mère d’Océane, Isabelle et quelque chose me dit que cette femme va subir ce que je pense faire subir un jour à Océane. Océane ignore tout de la visite de sa mère.-Entre et vas retirer tes fringues dans la petite chambre. -Mais…-Tu veux savoir ce que je fais à ta fille oui ou non ?-Oui, mais…-C’est un ordre, obéis. Pour ta gouverne, tu vas vivre la journée type de ta fille. Je vais même en faire davantage, histoire que tu voies comment je vais augmenter mon emprise sur elle.Elle n’ose refuser, dans ma main, une longue cravache est prête à lui cingler son corps. Dès qu’elle est nue, je lui menotte ses chevilles. La mère peut être jalouse de sa fille, son désir irrépressible de faire d’Océane sa chienne lui a défiguré son corps. Je conduis Isabelle devant l’armoire où se trouvent tous les produits d’entretien pour mon appartement. -Tu as toute la journée pour me faire à fond toutes les chambres, la salle de bain, les WC et ma cuisine. Si tu as encore un peu de temps, il te restera la cuisine. Si tu ouvres ta bouche, j’ai un très bon adhésif pour te rendre muette et cette cravache pour te le faire comprendre. -Bien Raymond AIIIIIE ! Merci Monsieur Raymond !-Je préfère Monsieur ou même Maître si tu te sens l’âme d’une chienne docile. Là, je crois qu’elle a compris. Si ses débuts sont très timides, la cravache, qui frappe son cul ou toutes autres parties de son corps, me la ramène à de meilleurs sentiments et une plus grande efficacité. Pendant qu’elle fait le ménage en lieu et place de sa divine fille, je lui raconte comment je pratique avec sa fille. Seulement, j’enjolive mon récit. Je lui conte la jouisseuse que sa fille est quand elle fait l’amour avec les personnes que je lui désigne. Je lui raconte comment elle me sert, moi et mes invitées. Comment je la fesse et comment elle jouit. Je sens monter la colère dans le corps d’Isabelle. Je rêve de la voir exploser, d’avoir la rage. Cela me permettait de lui faire connaitre ce que je peux lui faire subir quand je passe du gigolo attentionné à bourreau pervers et un brin sadique.
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