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Océane devient chienne

Chapitre 2

La grande saillie

Zoophilie
Océane devient chienne 2Le comte me raccompagne toute dégoulinante du jus canin et de leur urine. Je regagne entièrement nue le salon, suivie de ma petite cour. Victor me conseille de prendre une douche, Manuel, va me montrer où se trouve ma chambre. Le valet se révèle entreprenant, et me pelote les fesses avec insistance tout le temps que nous montons à l’étage. Je suis souillée, mais cela ne l’empêche pas de me caresser en étalant un peu plus le sperme et l’urine sur tout mon corps. Ce vieux salop commence à m’exciter, bien que je préfèrerai être caressée par Victor. Manuel me montre la douche, et comme il est nu aussi, se glisse près de moi sous le jet brûlant. Le sexe érigé, il vient se coller contre mes fesses, il le promène dans le sillon de mon postérieur en appuyant pour l’insinuer entre mes globes. Tout en m’embrassant dans le cou, il me susurre.
— Tu as bien joui avec les chiens. Tu veux encore envie de servir de petite chienne ?
Je recule mes fesses plus en arrière, afin que son vit vienne se coller à ma pastille et je lui réponds par l’affirmative, en lui déclarant que cela, c’est arrêté trop vite.
— Ne t’inquiète pas demain tous vont défiler dans ta chatte et ton cul, ce soir, tu es réservée pour tous les hommes, monsieur le comte s’occupe des autres femmes. Tu as bien assuré, si les hommes sont contents de toi, et les chiens aussi, tu feras partie du groupe. Son gland se fait plus insistant sur ma rondelle, il me saisit les seins et roule mes mamelons assez fort entre ses doigts boudinés. Comme je suis très sensible des seins, je me cambre sous la douce torture de mes tétons. Mon cul sent la queue dressée dans ma raie qui cherche à forcer mon petit trou. Je me dégage de son étreinte et m’essuie, il m’observe les yeux brillants de lubricité, tout en masturbant sa belle queue bien raide. M’approchant de lui, je l’essuie, insistant sur son membre difforme, son gland est un gros champignon violacé, presque noir, son sexe forme une courbe, non vers le haut, mais sur le côté. Cela doit racler dans les coins des chattes. Je m’en amuse, bien qu’intéressée par ce défaut de la nature. Manuel voit l’intérêt que je porte à sa queue, il me prend les fesses à pleines mains et me colle contre lui, me dévorant la bouche brutalement. Ses dents mordent mes lèvres, sa langue fouille ma bouche, sa salive coule sur mon menton, il est du genre à baver. Pendant que je le masturbe, ses mains parcourent tout mon corps et semblent l’apprécier. Puis il me dit d’une façon, plus un ordre qu’un désir.— J’ai envie de ton cul Océane, fous-toi en levrette que je le défonce.
J’ai envie de le tempérer, mais je pense aussitôt que pour faire partie de leur groupe, je dois tout accepter. Alors, je me dirige vers le large lit et m’exécute. Tête dans mes bras croisés, fesses en hauteur, Manuel lorgne ma petite rosace plissée en faisant durcir sa queue au maximum, qu’il soit bien dur au moment de l’exécution de ma rondelle. Il crache plusieurs fois dessus, introduit sa salive avec son doigt en le tournant, me masturbe le cul un bref instant et pose son cyclope sur mon innocent petit trou. Cependant, je tiens trop à réussir les épreuves pour refuser une sodomie, je ne suis plus à une près. Me saisissant les hanches, Manuel commence à forcer ma pastille qui lui résiste un peu. Mon anus assez souple de caractère, se détend et subit l’introduction du gros champignon avec délice. Sans brutalité, il s’enfonce en moi lentement sans une pause, sa queue écarte mes chairs jusqu’à ce que son ventre poilu vienne chatouiller mes fesses.
— Qu’il est bon ton cul, ma salope, bien chaud et serré, les chiens vont se régaler demain.
Et, sur ce, il commence un lent va-et-vient dans mon endroit le plus intime. Chaque fois que son gland replonge en moi, je ne peux m’empêcher de gémir, je ne sais pas si la courbure de sa queue y est pour quelque-chose, mais, le salop régale mon étroit conduit. Je sens bien son gland, explorer chaque centimètre de mes intestins, la jouissance nait, Manuel s’en aperçoit aux mouvements de godille que je fais avec mon cul, il accélère la cadence. C’est moi désormais qui m’empale sur sa grosse tige, l’encourageant à me défoncer plus fort. Manuel sous mes invectives ne prend plus de précaution et sort de mon trou pour s’y replonger brutalement. Puis il se colle à mes fesses et restant ainsi, il m’inonde les boyaux de jets épais et chauds, sa queue frétillant dans mon anus au gré de sa grosse éjaculation. Manuel reste au fond de moi, jusqu’au tarissement de sa source de sperme. Je suis divinement anéantie par cette magnifique sodomie.
Les fesses débordantes de sperme, je laisse la queue de Manuel débander et sortir de mon anus pour rouvrir les yeux, et me remettre sur le dos, j’aperçois alors tous les hôtes du comte qui nous matent en silence. Avec enthousiasme, ils se mettent à applaudir et entonnent, en chantant," la chienne aux chiens, la chienne aux chiens" en tapant dans leurs mains. Le comte arrive attiré par ce charivari. Accompagné par Anne et ses deux amies, toutes trois sont nues et ont encore le sperme du comte qui goutte de leurs orifices. Victor a le sexe en berne, surement épuisé par ces trois catins. Je le trouve attendrissant, les cheveux décoiffés, des cernes sous ses beaux yeux et sa queue pendante qui est quand même de fort belle épaisseur.
— Océane chérie, nos amis vous réclament auprès des chiens, vous ne voulez certainement pas les décevoir ? N’attendons pas demain, allons-y.
Malicieusement, il me met devant le fait accompli, comment refuser sans perdre tout le chemin déjà parcouru. Je me saisis d’une nuisette pour me vêtir, mais le comte m’en dissuade.
— Les chiens te déchireront ta dentelle, viens comme tu es, tu es superbe dans ta nudité.
Pareil à quelques heures plus tôt nous nous dirigeons toutes et tous vers la grange. Les chiens sentent notre arrivée, les aboiements retentissent. Manuel allume la lumière blafarde qui éclaire les cages dans lesquelles les chiens s’agitent en aboyants de plus en plus fort. Manuel me glisse à l’oreille.

— Prête pour te faire saillir par la meute ma jolie ?
J’acquiesce en hochant la tête. Le comte ainsi que ses invités se mettent en retrait dans une petite loge au fond de la grange. Manuel s’avance vers les cages et les ouvre l’une après l’autre. Effrayée, je vois la dizaine de chiens se précipiter sur moi. Instinctivement, je lève les bras pour me protéger bien inutilement. Plusieurs me mordillent les jambes, puis un plus hardi pose ses pattes sur mes seins et me fait tomber sur le sol. Ils sont tous à me renifler, me lécher, tout le corps. Des langues rapeuses et chaudes parcourent mon corps s’attardant plus sur mes orifices, surement les effluves de ma jouissance précédente. Alors, ils commencent à se battre, Manuel munit d’un fouet le fait claquer dans le vide pour les calmer. Les chiens lui obéissent. Ils se couchent en émettant des jappements plaintifs.
— Océane, mets-toi en position de chienne.
Apeurée, j’obtempère, Manuel ordonne sèchement en allemand. Un des chiens se lève et passe derrière moi, il me lèche l’entre-cuisses, sa langue se fait plus précise sur ma minette, il me grimpe sur les dos, me griffant. Le comte exige que tout se passe naturellement, et ne veut aucune protection pour les griffes du chien. Ça fait mal, car il n’a pas un bon équilibre et se rétablit en me lacérant les dos. Je grimace et me mords les lèvres pour ne pas crier, de peur d’affoler mon agresseur canin. Après deux tentatives, il parvient à assurer son assise et je sens sa queue pointue frôler ma fente. Satan frotte essayant de la rentrer, après plusieurs tentatives infructueuses, son bout s’insère bien entre mes petites lèvres, et d’un seul coup s’enfile entièrement dans mon puits d’amour trempé. Satan me lime furieusement puis s’interrompt un instant, je sais pourquoi depuis ma première relation canine.
Il commence à se verrouiller, le salop me distend le vagin, la douleur est intenable, un court instant, j’imagine que ma chatte va éclater. La nature étant bien faite, mon abricot s’adapte et seule la chaleur de sa queue dans mon minou, me fait ressentir un plaisir naissant. De nouveau il s’agite dans mon intimité en déchargeant continuellement des jets de foutre. C’est chaud, intense, enfin vidé, il essaie de se dégager, me faisant de nouveau souffrir, il se retourne et fesses contre fesses. J’attends qu’il se libère enfin. Dix bonnes minutes plus tard il s’extrait de ma chatte libérant un flot de jute qui me coule le long des cuisses. N’ayant pas joui, je trouve ça quand même très agréable. À peine le temps de reprendre un peu mes esprits, Manuel ordonne d’un ton bref et trois chiens se précipitent sur moi. Les trois assaillants canins ne me veulent que du bien, de gros bisous de leur langue rapeuse et baveuse, je suis toute gluante de leur bave.
Un me lèche le visage et je me hasarde à mêler ma langue à la sienne, les deux autres me léchouillent, les seins, la minette. Pendant que je continue de rouler une pelle à mon adorable toutou. Sa langue tiède happe la mienne, nos salives se mélangent, j’adore cette découverte. Les bisous des autres commencent à me chauffer, je n’aurai rien contre qu’un me pénètre. Je m’écarte à l’équerre, offrant ma fente suintante du jus de Satan à celui qui la voudra. Saxo est le premier à comprendre mon envie d’être sa chienne, il me polit la foufoune de sa bonne langue et en me griffant le ventre se place en position humaine de face. Haletant, sa salive coule de sa langue pendante sur mes seins, les gouttes chaudes s’écoulent sur moi. Un court instant, je regrette, que les hommes ne me bavent pas dessus.
Je continue d’embrasser mon chéri canin, je le vois se reculer, puis venir placer son sexe sortit de son fourreau au-dessus de ma bouche, je comprends que ces chiens ont l’habitude de forniquer avec des femmes. Celui, qui est sur mon ventre, abaisse son train pour coller sa queue juteuse sur mon abricot. Je soulève un peu mes fesses pour lui faciliter l’accès de ma matrice à son membre reproducteur. Pour aider ma manœuvre, Manuel vient mettre de la paille sous mes reins. Cela pique mes fesses, mais m’offre bien à Saxo. Par ailleurs, je suis suffisamment ouverte et juteuse pour recevoir sa queue bien sortie et rougeoyante, dans la chatte. Un chien qui se fait une chatte, c’est rigolo quand on y pense. Comme quoi chat et chien s’accordent bien. Avec délectation, je sens sa queue brûlante s’enfoncer en moi. Une enivrante enfilade, je regrette de ne pas m’être donnée plus tôt à des animaux. Cette fois, je suis prête à subir le verrouillage de Saxo.
La queue coulante de Summum coule sur mes lèvres avant que je l’aspire avec gourmandise. L’odeur fauve de sa queue me ravit. Je le suce avec application, tout en le masturbant sentant la douceur du court poil de ses testicules dans ma main. Pendant que Saxo fait de moi sa chienne en se bloquant cette fois sans pratiquement de douleur de mon vagin. L’autre Sigmund tourne autour d’eux en léchant mes seins au passage, l’air de leur dire, « dépêchez-vous j’attends pour la baiser ». Summum ne met pas beaucoup de temps pour m’inonder les amygdales, je tousse son sperme jaillit sur mon visage, ma gorge, des jets puissants et liquide au goût âcre. L’odeur forte de son jus me rappelle mon aventure avec des SDF. Je le savoure jusqu’à la dernière goutte. Saxo bloqué en moi me déverse des flots de sperme au fond de mon vagin, de quoi faire des tonnes de chiots. Sigmund, impatient, lève la patte et m’envoie des jets d’urine sur les seins et le visage. C’est chaud, odorant.
Ainsi, j’entends les spectateurs admirer mes ébats avec mes toutous. Saxo parvient à se sortir de mon piège à queues et laisse la place à celui qui vient de marquer son territoire sur mes seins. Il n’a aucun mal à me prendre après avoir nettoyé ma fente de sa langue. Là, je jouis instantanément, à l’entrée de sa bite dans ma craquette. Le blocage me fait inonder son gland de cyprine, cela doit le stimuler, car aussitôt il se répand abondamment au fond de ma chatte, mon utérus accueillant ces jets de foutre. Il s’ensuit un viol canin en règle, je suis prise par le reste de la meute, chacun leur tour, ils me saillent dans le but de me féconder. Manuel, me retourne afin de leur offrir mon cul, il guide les chiens pour me sodomiser, mes intestins sont bientôt inondés de sperme. Ivre de bonheur de sentir tous ces chiens se précipiter dans ma moule, mon cul, se nouer dedans, se vider, me fait délirer.
Un immense orgasme me fait vibrer de la tête aux pieds, comme si je venais de prendre une décharge de taser. Je suis au bord de l’évanouissement tant le plaisir est monumental. Les chiens tous repus de mon corps repartent dans leur cage, non sans m’avoir uriné dessus, cela ne me gêne même pas. Je crois que c’est fini lorsque les hommes, s’avancent sur moi et avant même que je me relève, m’enfilent dans toutes mes entrées. Soulevée puis redescendue sur un sexe ferme qui s’engage dans mon anus bien huilé par le sperme des chiens. Un autre se couche sur moi et fait patauger sa bite dans le sperme des chiens qui a rempli ma minette, alors qu’un troisième me fait gober un court sexe, épais et poilu. Envahie de bites, je prends celles qui se collent à mes mains et les masturbe mécaniquement. Jamais je n’ai connu un tel déferlement sur moi, j’apprécie chaque secousse provoquée par les coups de boutoir.
Je hurle mon plaisir malgré le bâillon fait par plusieurs queues qui se succèdent dans ma bouche. Le plaisir à son plus haut niveau, les queues coulissent l’une après l’autre dans mon cul, ma chatte, ma bouche. Je ne sais même plus qui me jouit dedans, je sais juste que je suis remplie de sperme, animal, humain. Pantelante, je subis les derniers outrages avec volupté. Dans un brouillard, j’entends le comte me dire.
— Alors Océane chérie comblée ?
Comment ne pas l’être après ces pénétrations multiples et variées. Je bafouille la bouche remplie de sperme que je n’ai pu avaler vu la quantité, et qui coule de mon menton à mes seins qu’une douche plus un peu de repos seraient les bienvenus. Souillée sur tout le corps, ils m’aident à me relever et me soutiennent pour regagner la bâtisse. Leurs mains glissent sur mes bras, je suis enduite de jus et d’urine. Je ne sais même pas si c’est uniquement l’urine des chiens qui se trouve sur moi.
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