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Océane et les gitants

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Océane et les gitans 4Pilou se régale de mon cul offert, les coudes posés sur le matelas qui ressemble à une salle de don de sperme, les fesses en l’air bien cambrées, je subis les coups de boutoirs du vieux chef. Sa grosse queue glisse facilement en moi, l’anus ouvert et lubrifié par Sergio facilite l’intrusion de cette grosse verge. Je prends énormément de plaisir à sentir son dard se balader dans mon passage secret. Les grandes claques sur mes fesses n’enlèvent en rien le plaisir que je sens, ses grosses boules cognent ma fente, profitant de ce que mes seins sont contre mes mains, je me tords brutalement les mamelons. Pilou me caresse le ventre, me saisit le clitoris entre ses doigts calleux et le tortille. Il ne m’en faut pas plus pour hurler de joie, à ce moment-là, tout le camp pourrait me passer dessus que je n’émettrai aucune objection. Je lui fais savoir en lui disant.
— Vas-y, encule-moi, défonce-moi fort, remplis-moi de ton jus, vieux porc, tu prends ton pied de sodomiser une jeune femme vieux bouc ?
Pour confirmer, il m’envoie quelques rasades de sperme au plus profond de mes boyaux. Par ailleurs, je tortille un peu mes fesses afin d’essorer ce qu’il reste de sperme dans sa verge ramollissante, passe une main entre ses jambes dans le but de presser ses testicules rabougris. Enfin vide, sa queue sort de mon endroit le plus étroit et me décore de minces filets de sperme telle la bave d’un escargot. Pilou remet sa queue souillée dans son slip, remonte son pantalon, réajuste ses bretelles, puis il me remercie pour ce doux moment passé dans mon anus. Il me tend mes vêtements et m’affirme que si je viens au camp, je serai honorée comme je le mérite.
Sitôt rentrée, je n’ai même pas le temps de me doucher que je suis noyée de questions par mon mari. Je lui fais un bref résumé, finissant par la fin, Pilou me défonçant le cul et que j’ai adoré. Je l’informe aussi que je suis invitée à servir de salope avec les hommes du camp, mais que je n’irai sûrement pas. Il en est tout désolé, comme je me déshabille, il introduit les doigts dans ma chatte et mon cul, et joue avec le sperme encore présent dans mes orifices. Ainsi, il fait glisser les doigts sur ma bouche et me fait lécher. Cependant, je ne suis pas fan du sperme déjà refroidi, cela sent fort et a un goût altéré. Malgré tout, pour lui faire plaisir, je fais semblant de m’en repaître. Mais, le malin à force de faire de la récupération de sperme dans mon minou commence à m’exciter. J’écarte un peu les jambes pour faciliter son extraction de jus dans ma minette pour me donner la becquée.
Mon mari sent bien que l’envie remonte en moi, sans même me demander de me doucher, il sort son membre tout fier de sa dureté. Il me bascule sur la moquette et me prend à la hussarde, baignant son gland dans le jus de Sergio. Jambes repliées, je suis accessible dans tous mes trous et le coquin en profite, alternant de ma chatte à mon anus, virevoltant de l’un à l’autre avec aisance. Effectivement, ils sont encore bien dilatés et absorbent avec plaisir la multiplicité de ces pénétrations. Je regrette à ce moment-là que plusieurs hommes ne soient présents. Mon mari est un amant passionné et il est tout excité quand il nage dans le sperme des autres et ma cyprine. Un cri rauque et mon époux remplit sa femme, je n’ai pas eu le temps de jouir, juste un furtif plaisir inachevé. Devant mon mari, je me finis en branlant ardemment ma petite chatte remplie de son sperme, un bruit de gargouillis est produit par mes doigts qui pataugent dans sa semence.
Les yeux mi-clos, je vois son regard pervers qui m’observe me masturber, puis faisant fi de sa présence, je jouis intensément en hurlant.
— Sergio mon amour, jouis-moi dans la chatte, Pilou défonce-moi encore le cul.
Secouée de violents spasmes, je les imagine me prendre des deux côtés, accentuant un bel orgasme. De m’entendre implorer les deux gitans de me forcer les deux orifices, a un effet viagra sur mon mari, il rebande instantanément et s’assoit sur moi pour se masturber entre mes deux mamelles. Je comprime mes seins sur sa queue et le laisse aller et venir entre mes doudounes. Il ne faut pas longtemps pour atteindre le Nirvana, surtout que j’ai continué de débiter des tas de cochonneries concernant mes amants manouches. Mon mari en m’insultant libère de gros jets de sperme qui atteignent mon visage et s’écoulent dans mon cou, le reste se perdant entre mes seins. Couverte de jus matrimonial, je reste inerte sous le poids de son corps qui m’écrase.
— Petite trainée, tu vas me faire le plaisir d’aller te faire bourrer de tous les côtés par ces voleurs de poules, tu y passes le week-end s’il le faut, mais tu les vides tous, c’est un ordre.
Heureusement, je ne lui obéis pas toujours, sinon je ne travaillerais plus dans un beau bureau, mais sur le trottoir. Le fait de me savoir être l’objet de fantasmes sexuels pour d’autres hommes semble énormément l’exciter, je ne l’ai jamais vu aussi pervers, même quand il me prêtait à ses amis. Pour le calmer, je lui promets d’y réfléchir, bien que je sois tentée, la prudence me recommande de m’abstenir. Quelques jours plus tard, Diego me téléphone, j’ignore comment il a obtenu mon numéro de mobile. Il me demande si l’on pourrait se voir pour une petite partie de jambes en l’air dans la forêt ou à l’hôtel. J’ai encore en mémoire sa large queue qui m’a fouillée la chatte et mon petit trou, aussitôt une bouffée de chaleur me chauffe le visage et mon entrejambe s’humidifie rapidement. Mon ventre se noue, je ne résiste pas longtemps pour accepter un rendez-vous à l’hôtel Ibis à Vannes, près de la gare. Il me demande si je serai d’accord pour qu’il soit accompagné d’un ami.
Alors, je proteste en lui faisant savoir que le rôle de salope à sa disposition n’est absolument pas à envisager, même si je raffole du sexe. Par conséquent, il insiste, me promet que son ami me plaira, qu’il n’a jamais fait l’amour avec une métisse et que cela est un fantasme pour lui, et surtout qu’il a une queue hors concours. Diego me sent sensible à ses arguments, comme je n’ai pas coupé la communication, il commence à connaitre mon intérêt pour les beaux sexes. Il me promet que si le copain ne me plait pas, on arrête de suite. Je n’ai absolument pas confiance en lui, mais je finis par accepter. Au moins je verrai cette queue dont il me vante la taille. Alors, j’annonce cette nouvelle à mon mari qui pour fêter ça fait sauter le bouchon de champagne et m’honore plusieurs fois dans la soirée de différentes positions.
Il semble que si je souhaite avoir des relations sexuelles fréquentes avec mon mari, je dois fréquemment le tromper, un grand nombre de femmes seraient ravies de se trouver dans une telle situation. Rassurée par mon conjoint, je commence d’organiser notre rendez-vous pour le jeudi suivant en réservant une chambre à l’hôtel pour deux personnes, puis je communique les détails et l’heure à Diego pour qu’il puisse s’y rendre. Le jeudi arrive, troublée et excitée, mais aussi craintive, j’arrive la première à l’hôtel, la chambre est fonctionnelle, décor simple, le lit est assez confortable. Je risque d’avoir des courbatures à la fin de la journée, mais ce ne sera pas un problème de dos. Je profite d’être seule pour me prodiguer une toilette intime, question de me rafraichir le minou et le cul qui vont sûrement chauffer plus tard.
Par ailleurs, j’espère que ma lingerie sera à leur goût, un soutien-gorge balconnet qui met mes seins en valeur, un tanga fuchsia assorti, et des bas blancs qui contrastent avec ma peau caramel. Un quart d’heure plus tard, un léger grattement à la porte me signale que mes salops sont arrivés, je vais leur ouvrir en peignoir, évitant de les voir se jeter sur moi à peine entrés. Diego m’embrasse immédiatement sur la bouche, ne voyant personne avec lui, je l’interroge, et il s’écarte, laissant apparaitre une personne de petite taille. Un mètre trente peut-être, je cache ma surprise de peur de vexer ce petit homme. Comme je ne bouge pas de devant la porte, Diego me pousse gentiment et les deux hommes pénètrent dans la chambre. Le petit homme qui se prénomme Tom pouce, sûrement un surnom dû à sa taille, me donne une claque sur les fesses en insistant bien sur le sillon avec son pouce.
Il parait à l’aise le petit, comme je n’ai aucune réaction, car surprise, il me complimente sur la fermeté de mon cul. Diego me dit de ne pas m’inquiéter que Tom est un bout en train, j’ignore comment interpréter sa phrase, n’est-ce pas plutôt un bout dans le train ?
J’attends la suite des événements en leur proposant de prendre un verre, car j’ai payé la chambre, mais également la délicatesse d’amener du champagne millésimé. Les deux lascars acceptent sans hésiter, ils s’assoient et comme je fais le service, Tom en profite pour me passer la main sous le peignoir. Cette fois, il est au contact de ma peau, sa petite main boudinée se promène sur mes fesses, s’insinue dans la raie, je lui mets une petite tape sur la main et m’éloigne de cet homme très entreprenant. J’ignore si j’ai eu raison d’accepter l’invitation de Diego, surtout après qu’il m’a promis une chose dont je doute de la taille. Tom voyant mon scepticisme alors que je déguste ma coupe pose son verre et commence à baisser son pantalon. Un caleçon avec des cœurs rouges manque de me faire éclater de rire, c’est Bozo le clown ce type, il ne lui manque que le nez rouge. Toutefois, quand il déballe la chose en question, je rigole moins.
Impossible, il est croisé avec un éléphant, c’est mister Babar en personne, ce n’est pas une bite, mais une trompe. Mes connaissances en queue me font estimer celle-ci à pas loin de trente centimètres, et l’épaisseur n’a rien à envier à la longueur. Debout, il fait balancer la chose, c’est impressionnant, heureusement, elle ne semble pas grandir plus en durcissant. Il se plie en deux et arrive à mettre sa queue à sa bouche, Tom se fait une fellation, découvrant de grosses boules assorties à la taille de son pénis. Je reste coite devant le spectacle style Barnum.
— Alors ma poupée pain d’épices, je ne t’ai pas menti, avec un braquemart de cette taille, tu ne vas pas regretter d’être venue, m’assure Diego.
Je n’arrive pas à détacher les yeux de Tom en train de s’autosucer, sa queue à présent est droite comme un i le gland est un vrai champignon tout violacé, et ce à quoi je m’attendais se concrétise. Tom arrête de se sucer, son gland est luisant de salive, il me demande.
— Tu continues le travail ma belle, je sens que ta magnifique bouche sur ma queue va me faire jouir plus vite.
Sans même protester comme une automate, je m’avance vers lui. M’agenouillant, je me trouve en face du totem de Tom, il me tapote le visage avec sa matraque, elle est dure comme du bois, il me la pose sur le nez et la descend jusqu’à mes lèvres. J’ouvre grand la bouche et peux à peine avaler son gland, il force pour m’en enfiler plus, mais seuls une dizaine de centimètres rentrent, comme sa queue devient plus grosse en avançant vers la base. J’arrive à tourner ma langue autour de son gland lui arrachant des grognements de satisfaction. Diego passe derrière moi et ôte mon peignoir. En petite tenue, leur désir monte d’un cran. Les doigts de Diego s’excitent sur l’agrafe de mon soutien-gorge, énervé, il l’arrache me faisant mal en tirant les bretelles. Pour s’amuser, il le pose en bonnet sur la tête de Tom, qui lui s’escrime à me bâillonner avec son gros nœud. Mon tanga est projeté à travers la pièce, toutefois mes bas restent en place.
Tom sort de ma bouche et prend les choses en main, il se masturbe fermement et me demande de rester bouche ouverte et langue tirée. Obéissante, je ferme quand même à demi les yeux pour éviter les jets qui s’annoncent. Il remet son gland entre mes lèvres et se met à me déverser de gros jets de sperme au fond de la gorge, j’essaie de me reculer, mais il me tient fortement la tête. Je tousse, m’étouffe, pourtant j’en avale une énorme quantité. Je me dégage un peu et me fais inonder le visage de semence épaisse, un vrai masque de sperme me recouvre la face. Son éjaculation est à la taille de son pénis. Alors, je me laisse recouvrir de jus, cela coule de mon nez et mes joues sur mes seins. Diego sort son mobile et immortalise cet instant. Mon repos est de courte durée, Diego me pousse dans le dos pour me mettre à quatre pattes et le sexe fier m’enfile le minou d’une seule poussée.
Tom assis dans le fauteuil, le sexe pendant lui dit de me conduire jusqu’à lui. À grands coups de rein, Diego me fait avancer sur les genoux jusqu’à ce que mon visage soit au contact de la queue débandée, mais imposante. Sans attendre un ordre, je donne de petits coups de langue sur ce gros champignon, devinant que lorsqu’il va rebander va me détruire la chatte. J’ai peur de ce qui va se passer, mais par ailleurs, j’ai envie de savoir, me demandant si je ressentirai de la joie ou si je serai juste blessée. Je dois être maso pour accepter de me faire pénétrer par un engin pareil. En attendant, je prends mon pied avec la queue de Diego qui me pilonne la chatte. Je me nourris avidement du sexe de Tom qui a retrouvé toute sa vigueur et me nargue de nouveau, son regard de cyclope me défie. Des gouttes de liquide transparent glissent sur sa hampe goutte à goutte, je les récupère avec ma langue et les savoure.
— Diego, je t’en prie, hâte-toi. Trop pressé de fourrer cette magnifique dinde trop cuite. Enduis-la bien de graisse afin que je ne l’abîme pas comme la précédente. Tom éclate de rire.
Ce n’est pas fait pour me rassurer. Diego accélère le gland dans la bouche, la queue qui me perfore, je ne tiens plus et explose de joie, inondant la queue bienfaitrice qui coulisse dans mon vagin. Sans doute vexée, celle-ci me répond en giclant copieusement sur mon utérus, nos liquides séminaux se mélangent. Diego me donne les derniers coups de rein pour se vider, puis reste en moi le temps de débander. Tom attend que Diego se retire, me fait mettre dégoulinante à genoux sur le fauteuil et vient titiller ma chatte ouverte de son gland. Il se tient droit, à la hauteur de mon minou, ce qui me rend nerveuse et n’améliore pas ma situation. Le gland se pose entre mes petites lèvres, se frotte sur mon clito, puis commence le supplice du pal. Comme on le disait à l’époque à propos des homosexuels, la torture au pal est quelque chose qui commence bien, mais qui finit mal. Le gland me fait mal au moment où il s’insère dans le vagin. Tom me rassure.
— Ne t’inquiète pas, ma chérie, l’accouplement ne sera qu’une période difficile à traverser, et après, tu en redemanderas.
Je n’en suis pas si sûre, pourtant cette énorme chose progresse en moi, délicatement centimètre après centimètre, il m’envahit la foufoune. Je souffre, je me détends au maximum, me demandant s’il va arriver à tout entrer. Tom n’est pas encore entièrement en moi et toutefois son gland touche mon col. J’ai l’impression que c’est le contraire d’un accouchement, au lieu de faire sortir quelque chose de mon corps, cela rentre. Tom plante ses ongles dans la chair de mes fesses, son sexe comprimé dans ma minette convulse. Pour tout entrer, Tom doit sûrement le plier dans ma chatte, je suis remplie plus que de raison. Ainsi, j’ouvre les yeux et aperçois Diego qui photographie à tout-va. Certainement pour pouvoir garder des souvenirs par cette magnifique série de photos d’une femme métisse qui se fait enfiler par éléphant man. C’est horrible cette douleur qui me transperce le ventre, mais Tom n’en a cure et commence la canonnade de mon petit minou.
Les premiers coups de rein me font hurler, Diego prend mon tanga et me l’enfile dans la bouche pour atténuer mes cris. Le morceau d’étoffe dans la bouche, je subis les violents coups de boutoir de Tom. Puis, d’un coup, mon vagin s’adapte à ce bélier et commence même à apprécier ce monument qui m’ouvre en deux. Tom le devine, car je participe à mon empalement en tortillant du croupion.
— Je savais que tu aimerais ça ma grosse bite dans ta moule salope, aller supplie-moi de continuer à te matraquer le cul morue.
J’ôte mon tanga de ma bouche, et j’ai honte de le dire, mais je l’encourage en lui disant que je souhaite qu’il me ravage le vagin. Je délire complétement, Diego qui se masturbe approche sa queue de mon visage et en remet une couche en me jouissant sur la gueule. Ma chatte a dû prendre au moins trois fois sa capacité d’absorption. Le nain me fornique avec aisance, quant à moi, je continue de l’inciter à me ruiner la chatte, je ne réagis même pas quand Diego s’adresse à son compère.
— Tu vas lui prendre son cul après, voir si ça rentre aussi bien que dans sa moule ? Mais, je lui prendrai son cul auparavant, je ne tiens pas à tomber dans le trou que tu lui feras, et il éclate de rire de sa bêtise.
Je suis toute à mon plaisir d’abord que ma chatte se soit montrée à la hauteur, et de sentir ce menhir de chair me baratter. Lorsque je suis dans cet état, je ne me préoccupe plus de ce que les autres peuvent faire, je suis comme ivre ou droguée, je ne contrôle plus rien. La queue de Tom a réussi à s’insérer entièrement en moi, la base de son sexe est vraiment épaisse, cette sensation est la même que lorsque j’ai été verrouillé par un doberman. Gémissante, j’insiste pour qu’il continue de me bombarder la moule. Je suis au bord de l’orgasme, cela me fait mal tellement la jouissance est grandiose, je le supplie de mettre fin à ce supplice et de me finir. Tom bon prince accélère la cadence, sort sa queue entière et la replonge en moi. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement de ma chatte, j’explose, je hurle, un véritable hymne à la joie. L’impression des chutes du Niagara se déversant dans mon ventre est monumentale, ce n’est pas un homme, mais un robinet à sperme.
Je ne me rappelle pas avoir été remplie à ce point, le trop-plein me coule le long des cuisses pour finir sur la moquette, et quand il se retire, me laissant la chatte béante, un flot de jus s’échappe de mon minou. Tom ravit de son exploit vient me mettre sa queue luisante et souillée de sperme devant le visage et me fait comprendre de lui nettoyer. Comme une bonne esclave sexuelle, je lèche avec avidité cet obélisque qui vient de m’ouvrir la chatte comme elle ne l’a jamais été, c’est comme un second dépucelage.
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