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Océane raconte son mari

Chapitre 1

Aventure amoureuse de mon époux

Erotique
Océane raconte son mariMon mari m’a raconté une aventure de jeunesse, qu’il m’a demandé de narrer, sûrement pour se rappeler les excellents moments passés avec une collègue de bureau. Mon mari se prénomme Daniel, donc j’emploierai son prénom, car il n’était pas mon mari à cette époque.
    ******Daniel, trente-et-un ans, est directeur dans une entreprise de BTP. Plutôt bel homme, d’allure sportive, cheveux bruns, yeux vert menthe, il ne laisse pas les secrétaires ou clientes insensibles à son charme. Toujours avenant, un mot gentil pour toutes et tous. Entouré de collaboratrices, collaborateurs sympathiques formant une équipe dynamique qui rend le travail intéressant dans une ambiance agréable. Le week-end arrive, à son grand regret, marié avec la mégère non apprivoisée, un enfant de huit ans, Daniel préfère passer sa journée dans son bureau d’études du BTP qu’un WE à la maison. Il redoute plus que tout ces deux jours, sachant l’ennui profond d’être avec sa famille qu’il considère plus comme une tribu hostile que comme un trio uni et indivisible. Sa femme, aussi belle que lorsqu’il l’a rencontré, elle venait juste d’avoir ses dix-huit ans. Depuis elle est devenue invivable, toujours à se plaindre.
Elle va passer son WE à lui raconter tous ses problèmes, magasins encombrés, embouteillage, la bonne qui a encore cassé de la vaisselle. Il reconnait, la bonne est mignonne, mais d’une extrême maladresse, ce qui amuse Daniel qui passe sur tout. Son fils qui végète en CE2, d’une paresse qui doit demander beaucoup d’effort pour atteindre un tel niveau. Daniel doit souvent se rendre aux convocations de la maitresse, sa femme ne supportant pas que l’on critique le fruit de ses entrailles. Seul moment agréable, madame G est une jolie femme de vingt-huit ans, rousse, et surtout qui se vêt assez court, ce qui rend moins pénible le temps passé à entendre toutes les bêtises de son rejeton pendant les cours. Tout le long de l’entretien, il lorgne sur les cuisses fuselées, bronzées qui se passent facilement de bas.
Le décolleté généreux qui laisse deviner une paire de seins fermes, qui doivent allégrement se passer de support, effectivement, avec une maitresse pareille, il n’aurait pas été très attentif aux cours. La jeune femme s’en aperçoit et cela l’amuse. En effet, elle ne cherche à aucun moment à tirer sur sa jupe, et de temps à autre, croise et décroise les jambes, laissant voir furtivement une petite culotte de couleur turquoise. Quand elle se penche pour ramasser son stylo tombé, Daniel manque de s’étouffer en découvrant les deux globes laiteux libres qui ballotent puis reprennent une position droite quand elle se relève. Le regard de Daniel sur ses seins ne lui a pas échappé. Elle attire de nouveau son attention en toussotant. Après quelques promesses de se tenir tranquille de son fils pour rassurer la maitresse, ils prennent congé.
Daniel retient un instant la main de la belle rousse dans la sienne, elle ne cherche pas à s’en dégager, et avec un sourire ravageur, découvrant de jolies dents d’une blancheur parfaite entre deux lèvres couleur coquelicot, lui dit.
— À la prochaine fois, monsieur P. Car je crois peu aux promesses de votre petit monstre, bon courage, ce sera toujours un plaisir de vous revoir. Avec un petit clin d’œil sans ambiguïté.
Daniel est assez bel homme, il est conscient de son charme naturel, mais bien que l’envie de voir cette jolie femme autrement que comme juge de son fils, il se méfie quand même. Si elle devenait sa maitresse au lieu de celle de son fils, en cas de rupture, son héritier en paierait les pots cassés. Il souhaiterait savoir si le jeu n’en vaudrait pas la chandelle. L’idée le fait sourire.
Les images de la petite culotte turquoise trottent dans sa tête, lui faisant oublier les jérémiades de son fils à l’arrière de la voiture qui parle de complot contre lui, car sa maitresse est une idiote et le déteste. Ensuite, au moment de passer au lit le soir, Jeanne sa femme avec qui il a de rares rapports, celle-ci, telle une péripatéticienne, négociant toujours ses charmes, contre une sortie, des vêtements, aller chez son horrible mère. Il est loin le temps où elle ôtait sa robe et ses sous-vêtements avant même qu’il ait baissé son pantalon. Pour ne pas obtenir une fin de non-recevoir ou négocier, il préfère se faire un plaisir solitaire sous la douche en pensant à la maitresse de son fils. Le lundi arrive enfin, rapidement Daniel avale son café, prend la peine de monter le petit déjeuner à sa femme encore couchée et réveille son fils qui a dû jouer à la console jusque très tard. Il saute dans sa BMW et enfin il se sent libre.
Daniel passe prendre au passage la nouvelle stagiaire, Josette, une jeune femme fraîche et enjouée avec beaucoup d’humour, et acceptant les blagues grivoises des collègues sans s’offusquer. Mariée depuis deux ans, cette belle femme aux cheveux auburn, yeux noisette, petite poitrine, de jolies fesses qui donnent le tournis quand elle passe dans les couloirs. Telle la houle provoquant le mal de mer. Pas naïve, elle devine les regards posés sur son adorable fessier et en joue en tortillant un peu plus. Daniel la trouve charmante, son côté joyeux égaie sa journée. Il l’appelle afin de lui demander un renseignement sur un dossier dont elle a la charge, mais surtout une envie de l’avoir un instant dans son bureau. La belle pénètre dans le bureau et referme la porte derrière elle, chose inhabituelle. Josette lui passe le dossier, en le saisissant leurs mains se touchent, Daniel ressent comme une décharge électrique dans le corps.
Un peu sans exagérer comme dans le film, le gendarme se marie DE FUNÉS. Leurs mains restent plus que nécessaire en contact. Daniel prend l’initiative de cesser et prend le dossier. Josette porte une petite robe assez courte à fleurs, elle ne semble pas porter de soutien-gorge, les pointes qui soulèvent le tissu ne laissent guère de doutes. Ils restent un instant les yeux dans les yeux, une envie folle de la prendre dans ses bras le parcours. Daniel se réfrène, Josette laisse tomber un autre dossier et se baisse pour le ramasser, sa courte robe découvre de jolies cuisses jusqu’à la lisière de la culotte. En porte-t-elle, Daniel se pose la question, ce qui fait naître une belle érection, heureusement son bureau empêche de voir la bosse qui distend son pantalon. Il ne regrette pas d’avoir refusé le bureau en verre. Josette met assez longtemps à reprendre le dossier tomber pour ne pas faire exprès de montrer ses cuisses à son directeur.
Daniel lui demande de le laisser et dès que la mignonne a quitté le bureau, il va aux WC pour calmer son érection intempestive. Le fantasme de Josette et de la maitresse de son fils ont vite raison de lui et la cuvette des toilettes accueille de belles giclées de semence. Daniel se sent plus tranquille, au bout d’une heure l’envie de revoir Josette le tenaille, a-t-elle ou non un soutien-gorge, rien que cette question fait renaitre un semblant d’érection. La rappeler aussi vite sans un prétexte valable, l’heure du repas arrive, il prend son courage à deux mains et la mande à son bureau. Lorsqu’elle rentre dans le bureau, c’est un bouquet de fleurs printanières qui franchit la porte, son parfum embaume les narines de Daniel.
— Dites-moi Josette, cela fait six mois que vous travaillez pour la société, à part vous conduire le matin puis vous déposez le soir en voiture. Je ne connais pas grand-chose de vous, accepteriez-vous de déjeuner avec moi ce midi, sans voir malice de ma part.
Sans hésiter, la jeune femme accepte. Daniel l’amène dans un restaurant loin du bureau. « Le mur du Roy ». Un homme marié prend des précautions, Daniel ne tient pas à alimenter les commérages de bureau, bien que sa réputation de son intérêt pour les jolies jeunes femmes ne soit pas un mystère. Le mur du Roy est un joli petit restaurant bord d’océan, où il a ses habitudes. La serveuse le mène à sa table habituelle, sous la véranda, pleine vue sur l’océan, marée haute, le ressac des vagues produit une douce musique en fond sonore. Le romantisme de l’endroit est propice à l’amour. Plusieurs fois durant le repas, leurs mains se touchent, en prenant le pain dans la panière, le sel ou le poivre. À aucun moment, elles ne s’écartent rapidement. Le vin blanc accompagnant les fruits de mer rend l’ambiance plus intime. Le frôlement se répète.
Daniel apprend que le mari de Josette est banal, porté surtout sur les matchs du FC Lorient, et les matchs de son équipe tous les dimanches, ainsi que l’entrainement le mercredi soir. Un peu de tristesse passe dans les beaux yeux noisette, en évoquant leur passe-temps, avec son mari. Rien de très passionnant pour une jeunette, sans compter les soirées copains, chez elle, bière pizza lors des rencontres à la télé, où elle semble transparente pour tous. Elle se ressaisit vite, et quand Daniel lui prend la main, elle le laisse faire. Leurs yeux se plantent les uns dans les autres, comme pour s’interroger sur la suite. Daniel caresse doucement la paume de Josette, celle-ci pose son pouce sur la main de Daniel pour qu’il ne l’enlève pas. Le repas se termine avec nostalgie, ils reprennent le chemin du bureau. Soudain Daniel arrête la voiture et propose à la jeune femme d’aller se promener dans les dunes, jouxtant la plage.
Main dans la main comme deux jeunes amoureux, ils s’éloignent vers un endroit désert vers le château de "Suscinio", personne en vue, la semaine très peu de personnes, quelques joggeurs, vététistes. Daniel se permet de prendre Josette par la taille, elle se colle contre lui, il la fait pivoter et l’embrasse à pleines lèvres. Josette lui rend son baiser, collant sa poitrine contre le torse de Daniel. Celui-ci en est maintenant convaincu, elle ne porte pas de soutien-gorge. Les mamelons érigés veulent traverser le tissu de la robe et la chemise de Daniel. Pour bien confirmer son impression, Daniel lui attrape un sein, Josette ne se dérobe pas, lui autorisant le pelotage de sa poitrine, à peine le sein en main, l’érection se produit, Josette sent le membre se dresser contre son ventre. Au lieu de s’écarter, elle se serre contre lui, augmentant la pression du sexe contre elle.
Daniel fait glisser une des bretelles de la petite robe pour déposer de petits baisers sur la peau au parfum enivrant de la jeune femme. Elle lâche le cou de Daniel, regarde à droite à gauche, ne voyant personne, elle passe les mains dans son dos et descend la fermeture de sa robe jusqu’à la taille. La seconde bretelle tombe, laissant apparaitre la jeune et fière poitrine libre de tout sous-vêtement. Les pointes de couleur rose saumon pointent vers le ciel. Daniel se penche et en mordille un avec précaution, la main s’empare de l’autre et roule le mamelon durci. La jeune femme rejette sa tête en arrière et gémit sous les caresses de son directeur. La main de Daniel quitte le sein pour aller remonter le bas de la robe puis jouer avec l’élastique de la petite culotte, s’agaçant de ne pas réussir à la descendre. Il se contente alors de passer le doigt entre le bas de la culotte ainsi que la peau tiède de la jeune femme, et l’insinue jusqu’à la fente humide. Là, Josette refuse.
— Ne sois pas si pressé, on aura le temps pour s’aimer, viens avec moi.
Josette le prend par la main puis l’entraine dans les hautes herbes. Une fois hors de vue du chemin sableux, elle se met à genoux, ouvre la braguette avec difficulté, à cause du sexe durement bandé, après moult manipulations, elle arrive à le faire sortir du boxer. Elle avance ses jolies lèvres en forme de cœur, et du bout pointu de sa langue, elle donne de petits coups sur le gland dégoulinant de gouttes pré-séminales. Josette les lèche avec gourmandise, lui montrant bien les filets qui se forment sur sa langue ainsi que son menton. La jeune vorace engloutit le gland puis une main sous les testicules, se met à pomper royalement le chibre comme un petit veau tête sa mère. Daniel, les mains posées dans les cheveux auburn, caresse cette tête qui lui fait tant de bien. Sans avoir à sucer longtemps, Josette entend Daniel la prévenir qu’il va jouir en galant homme qu’il est. Josette ne semble pas gênée par cette nouvelle et enfonce encore plus la queue dans sa gorge.
Malaxant la grosse paire de boules rasée de son amant, Daniel ne peut plus tenir et déflagre au fond de son gosier. Josette à peine surprise par l’abondance de jute en avale avec des gloups bruyants. Daniel lui tient la tête jusqu’à la dernière coulée de sperme. La jeune femme le garde en bouche jusqu’à complète débandaison. Daniel la fait se relever, les seins toujours découverts et l’embrasse tendrement, profitant du goût de sa semence encore présent sur la langue de son amante. Quand Josette rouvre les yeux après un long baiser, ses yeux sont embués de larmes. Daniel l’interroge, inquiet, Josette le rassure, ce n’est pas sa faute. C’est la première fois qu’elle trompe son mari. C’est même l’unique fois qu’elle embrasse et suce un autre homme, son époux ayant été le seul de son début de vie amoureuse, celui qui a cueilli sa petite fleur. Ils n’échangent plus un mot le temps du retour au bureau, arrivé dans le parking, Daniel lui pose une question.
— As-tu envie que l’on aille plus loin, que ça devienne sérieux, ou que l’on oublie tout, et que les choses redeviennent comme avant ?
Josette le regarde, indécise, puis lui répond par un long baiser, la langue qui lui a donné un grand plaisir avant fouille sa bouche, s’enroule autour de la sienne. Elle lui pose un doigt sur la bouche qu’il ne parle pas, relève sa robe, ôte en se redressant sa petite culotte et lui glisse dans la poche.
— Voilà ma réponse, interprète-la comme tu le veux.
Daniel essaie de la prendre dans ses bras, mais, elle descend de la voiture, lui envoie un baiser du bout des doigts et s’éclipse vers l’ascenseur. Daniel prend le petit bout d’étoffe humide, le porte à son nez, hume le doux parfum de la petite chatte enfermée dans celui-ci. La fin de journée va être dure, de voir passer et repasser Josette devant son bureau, la sachant sans petite culotte, il ne peut pas s’empêcher de renifler une fois encore, ce merveilleux cadeau.
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