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Océane racontée par son mari

Chapitre 1

Erotique
Le mari d’OcéaneJe me présente, Daniel, le conjoint d’Océane. Certains affirment même qu’il est le chanceux mari d’Océane. J’ai fait la connaissance d’Océane lors d’une réunion professionnelle, je suis le directeur d’une entreprise de bâtiment et de travaux publics, elle est secrétaire dans une imprimerie. Nous cherchions mon ex-ami et associé des conseils en matière de publicité sur support papier, comme des affiches ou des flyers. Océane est éblouissante dans sa courte robe noire qui met en valeur toutes ses courbes. Des seins généreux, sans aucune contrainte vestimentaire, vu les mamelons qui veulent percer l’étoffe. Sa croupe est si magnifique qu’elle aurait pu faire jurer tous les Saints, son visage angélique, son regard, de beaux grands yeux noirs ornés de longs cils. Ses lèvres bien ourlées, admirablement dessinées par un gloss couleur taupe, qui me font avoir une pensée que vous devinez. Comment ne pas tomber sous son charme dès que je l’ai rencontrée ?
En discutant avec des invités qui la connaissent, j’apprends qu’elle a vingt ans, moi quarante-deux. J’aurais pu être son père si j’avais eu des origines noires, car cette beauté est métisse, ce qui ajoute à son charme, cette peau couleur pain d’épices. Je tente d’établir un rapport avec elle en lui proposant une coupe de champagne, et en lui demandant de me fournir des renseignements sur les divers moyens de valoriser mon entreprise par la publicité papier. Après avoir pris une gorgée du liquide ambré et pétillant, elle me répond, ouverte et charmante. Son sourire découvre deux belles rangées de dents ultra brite. Ses yeux sont rieurs, comme si elle se moquait un peu de moi tout en me répondant sérieusement. Océane est sûre de son charme, et elle a deviné que plus que des renseignements, j’admire ses charmes. Océane est volubile, n’a rien de farouche, lorsque je lui demande si elle a un mari ou un ami, elle me montre la main gauche, la bouge en me disant solennellement.
— J’attends le prince charmant qui me passera l’anneau au doigt.
Je lui dis que vu son physique et l’esprit qu’elle possède, je m’étonne que ce ne soit déjà fait et je pose ma candidature pour postuler. Elle rit et me tend son verre vide en me demandant de faire déjà le chevalier servant avant d’être élu prince. Je ne la quitte pas de la soirée, attaché à elle comme un poisson pilote sur un prédateur. Océane a soudainement plongé son regard dans le mien vers deux heures du matin et m’a demandé.
— Pourriez-vous m’accompagner ? J’ai consommé de l’alcool et ne souhaite pas prendre le volant.
N’en croyant pas les oreilles, j’accepte vite avant qu’elle ne change d’avis. Océane met sa main dans la mienne, ce qui me fait frissonner de partout, et me tire vers la sortie. Océane habite à Plœmel, un petit village vers Carnac. Mon fantasme possède une maison que ses parents lui ont laissée pour partir au soleil dans le Midi. Assise avec décence dans ma Mercedes, sa robe est remontée jusqu’à ce que seule son intimité soit couverte. Océane remarque que je fixe ses cuisses, me sourit, mais ne fait rien pour remettre sa robe en place. Gêné, je me concentre sur la route. En arrivant devant chez elle, cette magnifique femme, sans que j’aie demandé, me propose un dernier verre. Je suis aussitôt hors de la voiture pour lui prendre une nouvelle fois la main et la suivre. Aussitôt que la porte se referme derrière nous, elle se colle à moi et me fait découvrir la saveur de ses lèvres. Sa langue habile fouille ma bouche, un vrai petit serpent, elle dirige.
Je caresse la poitrine de la belle, et je constate qu’elle ne possède pas de soutien-gorge, les mamelons sont dressés et durs. Mon autre main explore la fermeté de sa croupe sans un geste de recul de sa part. Ses mouvements sensuels contre moi me provoquent une érection. Elle se colle à moi en ondulant son bassin, ce qui provoque une excitation non négligeable de ma part. Océane en souriant me fait assoir dans un fauteuil, retire ses talons et pieds nus se dirige vers la cuisine, chercher de quoi rafraîchir ma glotte contractée. Océane revient avec deux coupes et une bouteille de champagne, j’en déduis qu’elle adore cette boisson. Le liquide mousse dans nos coupes, elle s’assoit face à moi et la coquine croise les jambes assez lentement pour que j’aperçoive son string noir. Elle parcourt le bord de sa coupe avec une petite langue pointue en me fixant. Cette beauté m’enflamme, elle sait jouer de ses charmes, elle recommence plusieurs fois le mouvement de ses jambes en souriant.
Je me retiens de lui sauter dessus avant de tacher mon boxer. Alors, elle pose sa coupe et me demande.
— Il fait chaud, est-ce que cela vous gêne que je me mette à l’aise ?
Bien sûr que ça ne me dérange pas, je ne souhaite que cela. Elle vient à côté de moi et me demande d’ouvrir la fermeture de sa robe. Ainsi, je fais glisser la fermeture, elle se relève me tournant toujours le dos, dégage la robe de ses épaules et la laisse glisser en corole à ses pieds. Ses fesses dans un tanga et non un string comme je l’avais cru, sont admirables comme dessinées au compas. Océane se retourne, les mains sur les seins, et en riant me dit.
— Envie de voir, depuis que tu les regardes ? Et, elle pose les mains sur les hanches, découvrant une poitrine arrogante, avec de belles aréoles brun violacé, des tétons qui regardent le plafond.
Je note le tutoiement. Ainsi, je me lève et la prend dans mes bras, l’embrasse et l’écarte un peu pour lui caresser les nichons, je mets une main sur ses fesses et descends son tanga. La douceur de ses fesses est comparable à celle de ses lèvres. Océane se dégage de mes bras et ôte complétement son tanga, et me le jette au visage en souriant. Son parfum suave et une légère moiteur me font exploser. Je me jette sur elle et la couche sur le tapis, ses cuisses restent ouvertes, je plonge mon visage entre ses jambes et lui mange goulument son minou lisse comme une boule de billard. Son clitoris est tendu, je le mordille tout en introduisant un doigt entre ses lèvres intimes et mouillées. J’aspire sa boule de chair, la mord, et continue de la masturber avec deux doigts. Océane est tellement excitée qu’elle se contorsionne en se portant la main à la bouche pour ne pas crier, je dévore, me goinfre de son bijou ouvert, découvrant un corail rose dans son écrin noir.
Océane se relève à demi et me déboutonne ma braguette, elle me sort le sexe, le gland humide et m’intime de la prendre.
— Prends-moi fort, je suis vraiment excitée que nous pourrions directement passer aux choses sérieuses et éviter les préliminaires.
Je ne discute même pas pressé de sentir son magnifique sexe absorber le mien. Alors, je m’enfonce en elle d’une traite, elle est terriblement humide, ma queue rentre facilement, de plus, j’ai une taille standard. Océane me plante ses ongles dans les fesses comme pour m’éperonner, ses jambes se nouent sur moi. Elle crie son plaisir, une furie, quand l’orgasme l’envahit, ses yeux se révulsent, elle m’insulte me traitant de salop, et d’un coup son corps se relâche, elle pleure, et me murmure.
— J’avais très envie de toi, et quand j’ai envie, je me sers, tu dois me prendre pour une salope.
Je la rassure en lui avouant que je la désire, et je me sens amoureux, sans en dire plus.La nuit fut longue et merveilleuse, Océane bien que n’ayant que vingt ans est une maitresse hors pair, elle me racontera plus tard ses aventures amoureuses. J’ai compris à ce moment-là qu’il serait difficile de la combler. J’en dirai davantage si vous le souhaitez.
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