Océane racontée par son mari 4Soirée racontée par Océane, vue de son côté.J’ai mis une robe rouge courte qui ne cachait rien de mes cuisses, un soutien-gorge noir, un string et des bas noirs. La sonnette de l’entrée retentit. Je suis mon mari et je suis agréablement surprise de voir Marc, il m’a toujours plu, mais comme il est l’associé de mon époux. Je me suis abstenue de toute relation avec lui, même si celui-ci me faisait des avances lorsque mon mari était absent. La surprise est un jeune homme noir, je n’ai jamais couché avec une personne de cette ethnie, probablement une idée de mon conjoint qui en rêve. L’autre est un homme corpulent et chauve, qui n’a pas l’air très attrayant, mais je dois accepter les trois. C’est un client de l’entreprise où travaille mon mari, j’espère juste que mon corps ne sera pas utilisé pour sceller une transaction. La soirée commence de façon agréable, je sers l’apéritif en mettant en valeur la lisière de mes bas, et certainement la naissance de mes fesses. Je sens les regards des hommes sur mes fesses et cela m’excite. Cependant, je suis anxieuse quant au déroulement de la soirée, je bois donc un peu plus que d’habitude, ce qui a pour effet de me détendre complètement. Après avoir savouré un bon repas et plusieurs verres de vin, j’ai hâte que mon mari donne son accord pour que les festivités commencent. Finalement, il se décide, passe derrière moi, me caresse les seins à travers ma robe et mon soutien-gorge, je suis très sensible des tétons. J’ignore s’il leur a fait signe ou s’ils avaient envie, ils se sont approchés, le black, Salif m’a embrassé et les autres m’ont touché, j’étais très excitée. Ma robe et mon soutien ont vite rejoint le sol, ils m’ont laissé mes bas. Des bouches sur mes seins, Salif qui m’avait déjà un peu peloté les cuisses pendant le repas, je pense que mon mari l’a vu, me touche le minou. Je suis disposée à accomplir tout ce qu’ils me demanderont, même les choses les plus cochonnes. Une fois en sous-vêtement, je demande à mon mari d’aller seule avec eux dans la chambre pour commencer en sachant parfaitement qu’il viendra mater dès le départ. Je suis touchée aux fesses pendant que je monte les escaliers, j’ai fait exprès de m’arrêter et de me pencher pour que ces mains baladeuses puissent me caresser un peu plus les rotondités. Une fois dans la chambre, je ne pense plus à mon mari, je suis excitée à l’idée qu’il me mate. J’avais envie de changement, c’est bien tombé qu’il a eu cette idée. Ainsi, j’arrive dans la chambre, et l’on m’embrasse partout sur les seins. Cependant, j’ignore qui me retire mon string. Des doigts jouent avec ma fente bien lubrifiée. Les yeux fermés, je me laisse porter par les événements. Un visage s’enfouit entre mes cuisses et me dévore le minou tout lisse, un autre me mord les seins. Alors, je sens mon chat couler. Par ailleurs, je suppose que c’est le gros qui me lèche. Son crâne chauve le trahit, mais il se débrouille fort bien avec sa langue qui passe de mon clito à l’intérieur de mes petites lèvres. Une queue se pose sur ma bouche, je souhaite savoir, j’ouvre les yeux et pour la première fois un sexe noir se faufile dans ma bouche, bien dur et épais. Salif est circoncis une première pour moi. Le gland est énorme par rapport à la hampe. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour le faire jouir, quelques coups de langue, un peu de tourner manège sur le gland et il explose. Hummm quel délice, c’est comme si j’avais fait un régime et que l’on me servait un copieux repas. Ainsi, je déguste son jus jusqu’à la dernière goutte, me léchant les babines pour récupérer ce qui a échappé à ma langue. Marc, étant à bout de patience, se couche sur moi après avoir écarté le gros. Paul vient se faire sucer sans être jaloux. Il a une petite queue épaisse. Ainsi, je n’ai aucune difficulté pour le prendre entier dans ma bouche. Marc a un beau sexe bien dur, il le plante en moi sans difficulté, vu mon vagin trempé. Marc avait manifesté de l’intérêt à mon égard depuis longtemps, il me prend avec force comme pour se venger de mon refus passé. Donnant de bons coups de bassin, je subis son assaut avec un réel plaisir, moi aussi, j’avais envie de lui. Marc grogne, je gémis, nous jouissons de concert. Son sperme abondant se répand en moi. Le gros jouit, son sperme, de petits filets me coulent dans la gorge. Marc et ses deux amis se sont repus de mon corps, je me relève et vois mon mari, le sexe sorti, se masturber, il s’avance, me fait recoucher et s’enfile dans ma chatte dans le sperme de Marc. Un réel plaisir de sentir son sexe qui nage dans le jus de mon amant. Mon mari me défonce de manière sauvage. J’adore sa brutalité soudaine. Quand il me remplit, je suis en plein orgasme. Je délire et crie comme une bête prise au piège. Cette soirée démarre de façon incroyablement jouissive. Salif qui rebande, me demande de me mettre en levrette, il s’amuse à cracher sur mon œillet, y introduit deux doigts, les fait tourner, élargissant ma petite entrée. Son gros gland remplace les doigts et force mon anneau. Mon mari et les deux autres observent ce jeune homme noir qui semble sur le point de me faire subir le viol de mon cul sans que je proteste. Le malin pousse fort, mon anus se rend sans combattre le lâche, le long membre pénètre dans mes intestins pour s’y loger. Il apprécie la chaleur de mon petit fourreau, car il reste un moment sans bouger, le temps que la petite douleur de mon anus se passe. Puis il s’ébranle sans jeu de mots, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Paul est repoussant, mais avec de l’expérience, il sait comment utiliser ses mains, les glissant entre mes cuisses et jouant avec mon bouton. Mon clitoris devient un sexe minuscule qui se laisse facilement manipuler. Salif qui me sodomise, Paul qui me masturbe, mon mari qui me voit jouir comme jamais, il semble heureux d’assister à la prise de sa femme par d’autres. La nuit se passe superbement, chacun a eu le droit de me visiter de fond en comble et de remplir tous mes orifices. Je suis poisseuse de tout le sperme qui a coulé sur moi. Tous sont ravis, et moi la première, mon mari n’a montré aucune jalousie, et les invite même à se resservir comme si j’étais un menu de Flunch. Tard dans la nuit, ou tôt le matin, ils ont tiré au sort pour savoir avec lequel je dormirai dans une chambre d’amis. Je n’ai jamais de chance au jeu, Paul m’a gagné. Mon mari a vu que j’étais déçue, que j’aurais préféré Salif. Mon mari dans la salle de bains l’a compris et me dit. — Tu aurais préféré celui qui te caressait pendant le repas, ne t’en fait pas, je t’autorise à le faire revenir seul le week-end prochain. Il est super mon gentil mari. Mais, nous avons mis le doigt dans l’engrenage. Salif est ravi quand je lui dis que je souhaite faire l’amour avec lui plus tard en tête-à-tête.
