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Océane et Saïd

Chapitre 1

Le frère de ma copine Samira

Divers
Océane et Saïd
La luxure, un des sept péchés capitaux. Bien que fervente catholique, je baigne dans ce péché avec délice, gourmandise. Mon esprit me dit que c’est mal, mais mon corps l’emporte toujours sur la raison. Ce besoin de jouir de tout, avec n’importe qui, m’entraine à me complaire dans la débauche, l’humiliation, la souillure. Comme je suis curieuse de tout je multiplie les expériences les plus diverses. Hors ces moments d’abandon, je suis sérieuse, pas égoïste, travailleuse. Quoique mon directeur soit mon amant et que cette situation m’offre quelques avantages, bien que ce soit uniquement pour le sexe et non par intérêt de ma part. Hormis ces petites choses, je me laisse souvent emporter par mon énorme besoin de sexe. De nombreuses aventures avec toutes sortes de personnes, de toutes conditions, aux physiques parfois ingrats, mais de redoutables amants.
Qui sont sublimés de compter une jeune femme bien faite, qui leur accorde tous les endroits de son corps même les plus intimes, m’ajoutant à leur pauvre tableau de chasse. Je n’ai aucun critère d’hommes ou de femmes, je me fie au feeling, devinant le potentiel de chacune s, chacun s. Un sixième sens. La situation aussi est importante, ainsi l’imprévu apporte du piment. J’ai maintenant vingt-deux ans et déjà de multiples aventures sexuelles. Je dois les attirer, est-ce mon physique, mon métissage, où les personnes devinent-elles mon attirance pour le sexe ? Peut-être l’ensemble.
Par conséquent, dans les transports en commun, souvent je prends des mains aux fesses, des frôlements de mes seins appuyés sur la barre d’appui. Au lieu de hurler au viol, ou de gifler les insolents, je prends cela comme un geste d’admirateur, et je ne cherche nullement à m’opposer à leurs indélicatesses. Quelques fois cela provoque même en moi une soudaine envie d’aller plus loin. J’habite dans la maison de mes parents près de la plage. Cependant, j’aime bien aller à Vannes, me balader dans les quartiers un peu chauds en tenue légère voir l’effet que je fais. Toutefois, je crains pour ma voiture neuve, je prends donc les transports en commun. Ce jour-là, un Maghrébin qui se tient derrière moi, tâte ma croupe sans gêne, il peut constater que je ne porte pas de petite culotte. Je donne un petit coup de cul pour le dissuader mollement d’arrêter, ce qu’il prend pour un encouragement de ma part.
Ses mains se font plus pressantes, il malaxe franchement mes fesses, constate leur fermeté, et me fait comprendre l’émoi que je lui provoque, en collant son ventre contre mon cul. Le chibani est bien pourvu et en forme, à travers le léger tissu de ma robe, je sens bien sa grosse queue dressée. Pour le provoquer, je colle encore plus mes fesses contre son membre et tortille un peu de la croupe. Voyant que je suis assez consentante, il reprend son tripotage et entame un lever de rideau avec le bas de ma robe que je sens remonter doucement. Il n’a pas beaucoup à faire vu la courtesse de ma robe. Le chibani doit avoir vu sur ma croupe et en apprécier, les globes bien ronds séparés par un joli sillon, souvent labouré. L’arrêt auquel je dois descendre arrive, je rebaisse ma robe, et en même temps je vois celui qui me pelote. Il sourit et me chuchote à l’oreille.
— Pas envie de baiser mademoiselle ?
Pour toute réponse, je mets mon majeur sur mes lèvres et le dresse vers lui, il rigole et descend derrière moi. Le chibani habite certainement dans le quartier, qui sait un jour, je le recroiserai peut-être, ce vieux cochon m’a excité. Je me dirige vers la piscine, j’ai une amie beurette qui habite dans ce quartier, une jolie coquine avec qui j’entretiens des relations intimes. À peine arrivée dans le bas de son immeuble, où se trouvent quelques groupes de jeunes désœuvrés qui tiennent les murs. Quelques coups de sifflets et de remarques graveleuses m’accompagnent jusqu’à la porte de mon amie. Plusieurs me demandent si je n’ai pas envie d’une queue d’arabe dans le cul, de les sucer, la grande classe. Le mieux ne pas leur répondre. Arrivée au quatrième par l’escalier, car évidemment l’ascenseur est en panne, je sonne à la porte de Samira. C’est son jeune frère Saïd qui m’ouvre. Il a dix-huit ans et ne perd pas une occasion de me draguer et mater mes cuisses quand je suis assise.
Par ailleurs, il est mignon, de beaux yeux sombres ornés de longs cils presque féminins, une coiffure à la M. Jackson. De plus sportif, bien musclé pour son âge. Saïd m’annonce que Samira a dû se rendre au chevet d’une tante à l’hôpital. Il me propose un thé à la menthe, je préfèrerai une boisson plus forte, mais religion oblige, pas d’alcool chez eux. Par contre, il roule un joint et commence de le fumer. Saïd en tire quelques bouffées et me le passe. Par ailleurs, je fume rarement ce genre de chose, ne voulant pas le vexer, je prends et fais de même. Après plusieurs tours le joint est fini et je me sens détendue. Saïd me complimente sur ma robe, vu qu’assise, elle m’arrive au ras de la minette, et comme je n’ai pas mis de culotte, il doit avoir accès à ma fente. Ce malin s’étant mis sur un pouf par terre. Je m’en amuse, aussi je ne tire pas sur ma robe, je croise les jambes, ainsi il a le temps d’apercevoir mon minou un bref instant. Son jogging est tendu, il bande comme un âne.
— Tu penses à ta copine pour bander comme ça ?
Saïd voit que je mate son pantalon, baisse instinctivement les yeux dessus, s’aperçoit que ça se voit.Pour sauver la face, il me répond.
— Depuis vingt minutes que tu me montres ta chatte, comment veux-tu que je ne bande pas ?
Je joue la femme surprise, et je tire très légèrement sur le bas de ma robe.
— Ça ne me dérange pas, Océane ne change rien, tu es une super meuf, tu gouines avec ma sœur, ne t’inquiètes pas, il n’y a que moi qui le sais. De plus, je vous ai maté une fois, j’avais deviné, je me suis branlé trois fois de suite, si cela n’avait pas été avec ma sœur je vous aurais sauté toutes les deux.
Le petit salop, nous a vu, nous lécher, nous caresser, aussi, je me doute dans l’état qu’il devait être, sa sœur est une jolie beurette de mon âge, absolument pas à cheval sur les traditions. Un peu gênée, je ne sais quelle attitude adopter. Je décide de le mettre dans ma poche qu’il reste discret. Alors, je décroise mes jambes et lui dis.
— Rince-toi l’œil petit vicieux ensuite surtout garde ce que tu as vu secret.
Ensuite, j’écarte les cuisses, là il peut admirer mon petit minou tout lisse, un coquillage rose dans un écrin noir. Il se met à genoux puis vient devant moi, comme pour l’admirer de plus près. Mes effluves odorantes le mettent en rut. Le fait de m’être fait sa sœur me donne l’envie de me faire le frère aussi, cette idée humidifie ma tirelire. Le tripotage du chibani dans le bus m’a excité un peu. Ainsi, je mets mes jambes sur les accoudoirs, comme chez le gynéco, et m’offre à son museau. Saïd plonge le visage entre mes cuisses et se met à me brouter le coquillage maladroitement. Il bave sur ma fente, essaie d’y glisser sa langue, je suis obligée d’écarter moi-même mes petites lèvres pour qu’il puisse accéder à mon clito. Ses mains partent à l’assaut de mes seins, les tordent plus qu’il ne les caresse, malgré sa maladresse, il arrive à bien m’exciter. Mes mamelons me font mal tant ils sont érigés, je fais glisser les bretelles de ma robe pour les dégager.
Je lui tends mes doigts pour qu’il salive dessus. Ensuite je roule mes tétons durcit entre mes doigts, Saïd m’écarte les mains pour mettre les siennes. Beaucoup plus brut que moi, il écrase mes pauvres petits bourgeons de chair. Sa langue devient plus habile, elle va et vient dans ma fente, tourne autour de mon clito, le mordille puis il délaisse mes seins, il m’enfile deux doigts dans la moniche. Sa langue ainsi que ses dents sur mon clito, il farfouille dans mon vagin trempé, il devient un peu plus habile, son excitation étant dominée. Je m’abandonne entièrement à lui, oubliant son âge et qu’il est le frère de ma chérie. Aussi quand il se relève, me prend par la main et me propose d’aller dans sa chambre, je ne fais aucune objection. Ma robe choit sur le sol, c’est donc complètement nue que je rejoins sa couche. Je m’allonge sur ses draps douteux, quelques taches de sperme séchées les décore. À mon avis, la branlette doit marcher à fond.
Cuisses ouvertes, j’attends l’assaut du jeune mâle. Saïd baisse son jogging, son boxer n’est pas nickel non plus, rien à voir avec l’hygiène de sa sœur. Mais, à son crédit, une queue courbée comme un cimeterre, dressée vers le plafond. En voyant son service trois pièces au gland circoncis, j’imagine que j’aurai dû m’intéresser à son cas plus tôt.
Il s’avère super bien monté le jeune salop. Un petit trio avec sa sœur me conviendrait bien. Comment puis-je le convaincre de la chose ? Son sexe se balance menaçant ma minette de la fourrer dans peu de temps. Mouillée comme je suis, son mandrin ne m’impressionne pas. Pour l’exciter un peu plus, bien que ce soit dur, je me caresse doucement la fente, passant mon majeur sur mon clito, écartant les lèvres avec deux autres doigts. Une invitation qui ne se refuse pas. Saïd s’allonge sur moi écrasant mes seins, sa bouche pour la première fois prend possession de la mienne, sa langue a le goût de ma cyprine. Je me délecte de son baiser enfantin, sa langue tourne à une vitesse grand V. Je ne préoccupe pas de ça. Saisissant sa queue, je la frotte sur ma fente, m’attarde à promener son gland sur mon clito, l’enduisant de ma mouille. Avec ma main serrée sur sa queue, je le retiens un peu, car le coquin cherche à m’enfiler tel un chien en chaleur.
Il s’excite, tentant de me pénétrer par des coups de rein dans le vide. Enfin je lui lâche le Priape, qui instantanément s’enfonce dans mon vagin bien huilé. Cependant, je suis obligée de le calmer, sinon à la vitesse ou il me lime, il ne mettra pas longtemps pour me cracher son venin au fond de mon abricot. Prenant ses fesses à pleines mains, d’ailleurs craquantes, je le plaque contre moi l’empêchant de continuer sa charge de la brigade légère. Saïd essaie tant bien que mal de vouloir me baiser, je le tempère en l’embrassant langoureusement, lui léchant les tétons, osant même lui glisser une main entre les cuisses pour chatouiller son anus. Saïd a l’air d’aimer ça, il écarte un peu plus ses cuisses pour que j’accentue cette caresse anale. Il s’est immobilisé et me laisse lui doigter la pastille en gémissant doucement. Ce jeune salop semble être sensible du cul, je le note.
Ainsi, je lui conseille de sortir son marteau à boules de ma craquette, que je vais lui faire quelque chose qu’il ne connaît sûrement pas. Saïd obéit à contre-cœur, il sort son engin surdimensionné de ma vulve, et sur mes conseils se met sur le dos. Je lui fais replier les jambes, afin d’avoir accès à son joli cul lisse, comme une boule de billard. Alors, je salive sur mon majeur puis lui enfile lentement dans l’anus en le tournant de droite à gauche. Saïd se cabre un peu, mais ne se dérobe pas. Ma première phalange est engagée dans son fondement, ensuite de mon autre main, je prends son manche le happe goulument avec ma bouche. Avec application, je lèche son gland, descends sur ses grosses boules, tout en lui masturbant le cul. Il me saisit par les cheveux, et me les tire, excité par ma double caresse anale et buccale. Alors, je sens sa verge gonfler dans ma bouche, les gouttes pré-séminales se collent à ma langue. Saïd se tortille de plus en plus.
De plus, son éjaculation se précise. Donc je ralentis ma fellation, je me concentre plus sur son cul, j’y glisse un autre doigt, sa pastille accepte fort bien cette intrusion. Il s’écarte même davantage. Ainsi je l’ai bien deviné, il adore se faire tripoter le cul. Lui branlant franchement l’anus, je reprends ma pipe, pas besoin de pratiquer longtemps, je sors sa bite de ma bouche et une puissante giclée de foutre chaud et épais jaillit tel un geyser. Ça me retombe sur le nez, je m’empresse de remettre ma bouche sur son gland sautillant sous les giclées suivantes. Son sperme a un excellent goût, j’avale ses longues giclées jusqu’au tarissement de sa fontaine à jute. Sa queue se ramollit légèrement. Bien qu’il ne bande plus à fond elle est encore suffisamment raide pour me l’introduire dans ma grotte affamée. Je le chevauche, afin que ma chatte absorbe son membre ramolli, et le fasse durcir à nouveau. Saïd est encore amorphe, ébahi par ce que je viens de lui prodiguer.
Alors, il me murmure tout penaud.
— Tu ne répèteras à personne, surtout pas à ma sœur que tu m’as fait jouir du cul.
Je le rassure à condition qu’il fasse de même pour mes relations lesbiennes avec Samira. Cependant, je suis plus sûre qu’il tiendra sa promesse que moi, étant quand même un peu bavarde. Le drapeau de Saïd commence à flotter de nouveau en moi, se redressant doucement, mais sûrement. C’est avec plaisir que je sens son mât de cocagne se développer dans mon vagin. Je me suis passée de sa queue pour le faire jouir, maintenant, c’est mon tour de connaître le plaisir. Le baromètre de Saïd est de nouveau au beau fixe, il est bien dur, ferme et conquérant. Ce jeune homme a du potentiel, bien que je l’aie dédaigné un moment, je me promets de rattraper le temps perdu avec lui. L’idée d’une partie avec Samira et son frère me retraverse l’esprit, ce qui a le don de faire suer encore plus mes parois vaginales. Le roseau bandant de Saïd apprécie l’arrosage et pousse à vue de chatte. Je me sens bien remplie, mon con est occupé sur la largeur et longueur.
Alors je peux commencer à me mouvoir sur son pieu de chair, Saïd me prend les fesses à pleines mains, et m’aide à remonter et descendre pour m’empaler sur sa biroute. Le pré-orgasme commence à me tordre le ventre, le plaisir qui sourd en moi me provoque autant de douleur que de jouissance. Cela bouillonne dans mon cerveau, Saïd me tord les seins, la douleur n’est plus que volupté. Soudain, le bonheur est trop fort et je l’inonde d’un flot de cyprine, en même temps que son foutre jailli au fond de mon vagin. C’est exceptionnel, je m’écroule sur sa poitrine et pleure de joie. En hoquetant, je lui avoue qu’il m’a fait superbement jouir. Saïd est tout fier de lui, bien que j’aie tout dirigé. Il joue les hommes et me dit.
— Alors petite salope, tu l’as aimé ma queue, depuis le temps que je me branle en pensant à toi, c’est enfin arrivé.
Ne voulant pas le contrarier, car j’ai encore envie de baiser, je lui réponds qu’il est un des meilleurs coups que j’ai connus, il bombe le torse tout comme un coq qui vient d’honorer la basse-cour. Il me plait bien ce jeunot, je vais à coup sûr arriver à mes fins avec lui et sa sœur. Après avoir bu une tasse de thé, ma nudité fait redresser la barre de Saïd. Une main exploratrice vient me peloter les fesses pendant que je débarrasse les tasses. Ne m’en n’offusquant pas, bien au contraire, je reste penchée qu’il puisse pleinement profiter de mes courbes fessières. Puis sa main s’égare dans ma raie, son doigt fait un petit aller-retour sur ma rosace plissée. Saïd, voyant ma non-réaction, écarte mes fesses, me crache sur mon petit trou et enfile son doigt dans mon étroit refuge. Hum j’avais peur qu’il oublie de jouer avec mon cul. À quatre pattes, je me prête à son envie.
Je prends de nouveau l’initiative, je conseille à Saïd de s’allonger, plaçant ma chatte au-dessus de sa bouche, je commence à lui pratiquer une fellation, en lui doigtant le cul et lui marmonne la bouche remplie d’en faire autant. Deux doigts plus tard dans son anus, je le sodomise fermement en lui dévorant le chibre. Saïd fait pareil, il me masturbe le cul, sa salive l’ayant lubrifié, cela glisse assez bien. Avec joie, je lui lèche le gland, les couilles, son petit trou en enfilant ma langue bien pointée dedans. Saïd se met à gémir et largue les amarres dans ma gorge, il ne résiste pas beaucoup quand je m’occupe de son cul. Je reste de nouveau sur ma faim. Alors, je continue de le sucer pour faire revivre son sexe qui bat de l’œil. Après un petit quart d’heure de bouche à bite, sa queue revient à la vie. Ouf, je me remets à quatre pattes, lui laissant le choix du trou à boucher.
Sans aucune surprise, ma rosace semble l’intéresser, vu que son champignon se pose sur mon œillet et commence à le forcer. Heureusement qu’il m’a préparée avec ses doigts, mon rectum lui demande de rentrer avec précaution, vu le diamètre de l’engin. C’est peine perdue, ce jeune salop est trop excité par le spectacle de mes fesses offertes à son dard pour patienter. Me prenant par les hanches, il rentre d’une seule traite dans mon étroit couloir. Mon cri ne le ralentit pas et ses bourses viennent cogner mon abricot. Parvenu à ses fins, il reste un instant au fond de mon fessier pour en sentir l’étroitesse et la chaleur, puis se met à me baratter furieusement le fion. Je passe une main entre mes cuisses et me caresse le clito pour me faire oublier la douleur de sa violente intrusion. Par ailleurs, j’en profite pour lui effleurer les boules chaque fois qu’il replonge dans mon abysse anal.
Alors, je l’arrête et lui dis de se tourner sans ressortir pour se trouver face à moi, j’adore la sodo de face. Voir le visage de l’homme qui se meut dans mon cul m’excite. Après un peu de gymnastique, nous parvenons à nos fins. Sa queue dans mon cul, sa bouche sur la mienne, ses mains qui palpent mes seins. C’est le top, toutes mes zones érogènes sont occupées, vu qu’il me frotte le clito avec son pouce. Il amorce un semblant de maturité, notre relation va uniquement mieux s’en porter. Saïd est super beau dans l’effort, sa transpiration goutte sur mon visage, un goût salé se répand sur mes lèvres, je passe ma langue pour m’en délecter. Son rouleau de chair pistonne mon rectum pour mon plus grand bonheur, comme j’aimerais lécher la chatte de Samira en même temps qu’il me bourre les fesses. Ce fantasme commence vraiment à m’obséder. Cela décuple ma jouissance. Ce beau pur sang arabe me saille comme une pouliche en chaleur.
Sa biroute impose à mon cul une possession virile, je ne suis plus la dominatrice, mais la dominée. Saïd s’aperçoit du pouvoir de sa queue qui me fouille au plus profond de mon couloir intime. Il prend de l’assurance en m’insultant.
— Petite pouffiasse, tu fais moins la fière maintenant, tu l’aimes ma queue dans ton joli cul de salope, supplie-moi de te finir ou je m’arrête de bourrer ton cul de pute.
Le supplier ne me pose aucun problème, n’ayant aucune fierté quand je me fais sauter. Je suis sa pute, s’il voulait, il ferait ce qu’il souhaite de moi. Je suis prête à tout pour qu’il continue, heureusement il ne devine pas que dans ces moments, je suis soumise à tout. Conquérant, Saïd domine son sujet, comment un homme qui met sa queue dans une chatte désirée, il se prend soudain le maitre du monde. Je le laisse croire que je suis sa chose et profite du bien que son sexe procure à mon fondement. Sa grosse queue, me laboure les intestins, il accélère, mon cerveau s’embrume, mon ventre se noue. Mes sphincters compriment son gland, l’étranglent, malgré tout son champignon gonfle et libère un flot de foutre dans mes boyaux par de violentes giclées. Je lui arrache le dos tant mon orgasme est grand. La douleur le fait se planter encore plus fort au fond de mon anus. Ses dents mordent mes lèvres au sang. Nos salives se teintent de rouges au goût âcre.
Telles deux bêtes, nous nous enfonçons dans un plaisir rarement atteint. Soudain une voix nous sort de notre semi-inconscience.
— Alors salope, je tourne le dos et tu te tapes mon frère ?
Samira vient de rentrer.Suite peut être si vous aimez.
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