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Océane et le Soutien aux personnes emprisonnées

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Océane et le soutien aux personnes emprisonnées 2
Cela fait maintenant un mois que Gérard et Fifi viennent ensemble ou séparément me rendre visite, par politesse, ou plutôt pour profiter de mes charmes. Un simple coup de téléphone pour savoir si je suis disponible et ils viennent, toujours, avec des fleurs et du champagne. La belle vie depuis leur libération. J’aime surtout quand Fifi vient seul, il est galant, plein d’humour, et je l’avoue un sexe redoutablement efficace, ma petite chatte ne s’en lasse pas. Sa soixantaine ne l’empêche pas d’être très endurant. Chacun de ses passages me comble. Quand le matin, il se réveille à mes côtés, il m’embrasse et explore mon corps de tous les côtés. Comme je ne suis pas insensible, je me mets en position soixante-neuf et mutuellement on se dévore nos sexes respectifs. La plupart du temps, il synchronise notre jouissance, sachant se retenir. Quand il me sent prête à jouir, il me mordille et aspire bien le clito, fouille ma chatte de sa langue, doigte délicatement, mon œillet.
Son sperme envahit ma bouche de violentes giclées de sperme chaud et épais, pendant que moi-même je lui inonde le visage de cyprine, après on s’embrasse mélangeant nos jus de bouche en bouche. Il me dit de ne pas répéter à Gérard que l’on a passé la nuit ensemble et Gérard fait de même quand il vient seul. Un petit manège qui m’amuse de plus, j’y trouve mon compte sexuellement. Un samedi comme les autres, je vaque à mes tâches ménagères, devant entretenir la maison de mes parents en bon état. C’est la seule condition que je doive tenir pour profiter de cette belle demeure, donnant sur la plage naturiste et un joli parc boisé de pins maritimes. Je fais le ménage, nue et le casque sur les oreilles pour écouter de bons vieux rocks et country musiques que mon père m’a fait découvrir, et que j’adore. Alors que je finis de passer l’aspirateur dans le salon, je manque m’évanouir. Un homme se tient devant moi dans l’entrée. Je ne fais même plus attention à ma nudité.
D’origine maghrébine, il doit avoir dans les cinquante/soixante, je saisis le tuyau de l’aspirateur pour me défendre. Prête à hurler, ce qui ne servirait à rien vu l’éloignement des demeures voisines, quand il me fait signe de me calmer et d’enlever mon casque. Il se présente Saïd, un ami de Gérard, qui lui a donné mon adresse pour le prévenir de sa sortie de prison.
— Je sonne depuis un quart d’heure pas de réponse, la porte étant ouverte, je suis rentré désolé de t’avoir fait peur ma jolie.
Soudain je m’aperçois que je suis nue devant un inconnu. Aussitôt je mets mes mains devant mes seins et ma foufoune, mais je n’ai aucun vêtement à portée de main.
— Tu sais plus la peine de te cacher, je me rince les yeux depuis dix minutes, tu tortilles bien ton joli cul en écoutant la musique. Je n’avais pas vu de femme à poil depuis cinq ans juste en poster sur le mur de ma cellule, alors devine, tu m’as filé une sacrée trique.
Plutôt direct le copain de mes amants. Par ailleurs, il est évident que ce n’est plus la peine de cacher mes trésors, j’ai réagi comme une femme pudique. Aussi, j’enlève mes mains et lui demande s’il veut prendre une boisson, il accepte, je me dirige vers le bar sentant son regard posé sur mes fesses. J’en profite pour prendre une nuisette sur le dossier de la chaise, puis l’enfile. Saïd refuse l’alcool étant musulman, donc un thé à la menthe. Alors, je m’assois en face de lui, et sans intention de m’exhiber, par habitude, je croise les jambes. Ainsi, il a eu le temps de mater ma minette. Saïd passe la main sur la bosse qui déforme son pantalon pour bien me faire voir que je lui fais de l’effet. Je fais semblant de ne rien voir, mais le volume de la proéminence ne me laisse pas indifférente. Alors, on parle de choses et d’autre, comment il a vécu sa détention. Saïd me fait le même aveu que Gérard, qu’il s’est fait sucer par des petits gitons.
Et, contre quelques menus services leur a pris le cul au moins une fois par semaine puis va plus loin en me disant.
— C’est sûr que si j’avais eu une minette comme toi, je ne me serais pas vidé avec des hommes, tu aurais un sacré succès en prison, même dans une prison de femmes.
Saïd surprend mon regard sur son pantalon, et souriant me demande si j’ai envie de voir sa queue ? Je ne rougis pas mon teint ne me le permettant pas, mais je sens le sang affluer à mon visage. Alors, je bafouille que non toutefois il sent au son de ma voix que c’est plutôt oui.Sans autre forme, il fait glisser la fermeture de son pantalon, farfouille dans son boxer et arrive à dégager un pieu dressé, circoncis comme je les apprécie. Je ne peux détacher mon regard de cette splendide queue, imaginant les petits gitons qu’il enculait, ils devaient le sentir passer. Le service qu’il leur rendait devait être important pour prendre un morceau pareil dans les fesses. Saïd se met à branler doucement sa queue et me dit.
— Fais de même ma jolie, le premier qui jouit gagne.

Tentée par la chose, je passe ma nuisette par-dessus, ma tête. Complétement nue, je pose mes jambes sur chaque accoudoir du fauteuil, comme chez le gynéco, me salive sur les doigts, puis introduis mon majeur dans ma fente et avec mon pouce, je frotte mon clito à travers son capuchon. Je reste les yeux ouverts pour voir sa main glisser sur son membre dur, si je ne me retenais pas, j’irais m’empaler dessus. Le plaisir vient vite me secouer le ventre à l’instant, où je vais bientôt jouir, Saïd largue les amarres, de gros jets de jute, épaisses, blanchâtres, jaillissent et retombent en flaques sur le tapis. Finissant derrière lui, je ferme les yeux puis en gémissant, j’inonde le fauteuil de cyprine. Quand je rouvre les yeux, Saïd est debout devant moi, le sexe toujours dressé. Un filet de sperme, pend à son gland, s’écrase sur le sol, remplacé par une autre goutte qui se transforme en filet.
Ne voulant pas laisser mon tapis avoir encore de taches, je me dévoue, du bout de la langue, je lèche avec gourmandise le reste de son éjac. Saïd ne débande pas.
— J’ai gagné ma colombe, comme gage, je visiterai bien ta petite moule pour ne pas salir davantage ton tapis. Je n’y vois aucun inconvénient, je me lève, le prend par la queue, et le dirige dans l’escalier menant à ma chambre. Saïd me suit sans protester en me pelotant les fesses. Cela ne fait pas une heure que je le connais, pourtant Saïd va me tringler. Si cela continue, j’habiterai bientôt à la prison, je gagnerai du temps. Dans le fond, c’est de la faute à Gérard que je couche avec son copain. À peine dans la chambre, mon nouvel amant me pousse sur le lit puis sans attendre présente son gland à ma minette, enchantée de sa visite. Pas de fioriture avec Saïd, couché sur moi, il promène un peu son gland entre mes petites lèvres et d’un seul coup de rein fait de moi sa maitresse. Quel délice cette grosse bite bien raide et lubrifiée qui s’enfonce au plus profond de ma chatte. Saïd ne semble pas s’occuper de moi, il me laboure avec énergie, me tenant par les fesses, il me colle à lui à chaque pénétration. Cette fois, je suis prête à jouir la première, j’adore être prise avec un peu de brutalité. Sa virilité émerveille mon intimité, mon ventre se noue, mes muscles vaginaux se contractent sur sa bite, son gland est malaxé dans ma chatte, je jouis en l’encourageant à cracher tout son venin. Saïd pousse un grognement et se répand en moi. De longues giclées s’écrasent au fond de ma minette. Je lui enserre la taille de mes jambes, lui saisis les fesses pour qu’il me déverse tout son jus. Heureuse, comblée, je reste accrochée à lui un bon moment. Saïd me bécote, caresse mes seins gonflés de plaisir, il roule mes tétons entre ses doigts. Inerte, je me décroche enfin de lui comme une moule de son rocher. Il retire sa queue encore bien raide de mon vagin, laissant se répandre une abondante coulée de sperme et de cyprine. Cela glisse dans la raie de mes fesses pour s’étaler sur mes draps. Saïd avance son sexe vers ma bouche afin que je le fasse rebander et lui nettoyer avec ma langue. Cet homme est incroyable, bien qu’il se soit masturbé, m’ait baisé, il rebande déjà. Je suis encore remplie de son sperme que déjà il veut encore me baiser, une vraie sexe-machine cet homme-là, le retard accumulé pendant cinq ans, c’est sur moi qu’il souhaite les rattraper. Saïd me demande de me retourner et de tendre mon cul vers lui, je sens une envie de sodo poindre, il compte rééditer avec mes fesses ce qu’il faisait subir à ses compagnons de cellule. Une bonne sodo je n’ai rien contre bien au contraire, mais là le calibre de monsieur est quand même du lourd pour mon anus. Il insiste, je renaude par principe, lui assurant que je n’aime pas me faire enculer. Saïd éclate de rire.— Gérard et Fifi m’ont tout raconté ma petite salope, alors arrête de la jouer chochotte et donne ton cul. Les salops lui ont tout raconté de nos parties de jambes en l’air, je suis furieuse. Moi qui avais confiance en eux. Je demande à Saïd.— Tes salops de copains ont prévu de me faire sauter par toutes leurs relations de prison ? Autant me le dire tout de suite, sinon tu dégages.
Saïd tout penaud s’assoit à mes côtés, m’enlace et me couvrant de petits baisers sur les joues et dans le cou m’avoue tout.
— Tu sais ma chérie la prison ce n’est pas drôle, même si nous l’avons mérité, nous nous sommes soutenus tout le temps de notre détention, on a tout partagé, le meilleur comme le mauvais. On s’est fait la promesse en sortant de mettre en commun, argent, femmes et tout le reste. Cependant, je comprends que ça puisse te choquer, mais une promesse, c’est une promesse. Gérard ainsi que Fifi se tapent ma nièce. Qui est aussi ma maitresse pour compenser, ils ont pensé que je pourrai te baiser. J’ai vu une photo de toi à poil depuis je n’ai fait que bander en pensant quand je t’enfilerai. Alors, je vais te laisser si tu le désires ?
Devant ses aveux, sa voix triste, ses beaux yeux sombres embués, je suis attendrie et je craque. Donc, je prends son visage entre mes mains et l’embrasse tendrement sur les lèvres. Sa langue se mêle à la mienne, ses mains triturent mes seins, une quitte mon sein gauche pour se glisser entre mes cuisses qui s’ouvrent pour faciliter son accession à mon minou trempé. Conscient que je lui pardonne, Saïd, qui en a très envie, me redemande de lui donner mon adorable cul. Il est tout doucereux, mais ferme, il me retourne sur le ventre et entreprend de me dévorer la rosace. Ses doigts fouillent ma grotte d’amour pendant que sa langue pointée cherche à s’insinuer entre les plis de mon anus. Mon adorable maghrébin me titille le clito du bout des doigts, puis s’aidant de son autre main écarte bien mes globes fessiers pour aider sa langue à s’introduire plus en avant dans mon rectum. Sous cette double caresse, je lui offre ma croupe en soulevant mes fesses vers lui.
Saïd comprend que mon cul est à lui quand il va le décider. Il crache plusieurs fois sur ma pastille et en enduit mon petit trou qui s’ouvre sous la poussée de deux doigts explorateurs. Alors, je mets ma tête entre mes bras croisés et soulève franchement mon cul pour qu’il m’encule. Totalement offerte, j’attends le moment suprême où il va planter son énorme pieu entre mes fesses. Son gland toque à la porte de mon entrée de service, mon œillet lui dit d’entrer. Oh, le morceau, mon anneau anal résiste sous la poussée lente, mais décidée de mon amant. La résistance a ses limites, mon anus se dilate et accepte l’envahissement de ce corps étranger dans le tréfonds où il peut se rendre. Une légère douleur accompagne la progression du gland au fur à mesure de sa progression en moi. Je me détends le plus possible, sa queue me parait interminable, il n’en finit plus de rentrer. Enfin son ventre se colle à mes fesses, ses gros testicules battent sur mon abricot.
Commence-le va-et-vient dans mon intime fourreau, bien détendue, j’apprécie cette grosse masse de chair qui me fouille, me distend les chairs, je glisse ma main entre mes cuisses et me masturbe. Je sens le gland de Saïd, à travers mon périnée, le gros champignon me laboure mon étroit fourreau, avec ma masturbation ajoutée, le plaisir envahit mon ventre, mes boyaux se tordent, mon cerveau s’embrume d’un nuage d’endorphines. Mon cul me chauffe sous les claques de Saïd sur mes fesses. Que c’est bon de se faire enculer par cette grosse bite. Je n’en veux plus vraiment à mes deux repris de justice de me l’avoir envoyé, ils savent que je ne résiste pas à une belle bite. Saïd se crispe sur mes fesses les malaxent, je vais avoir des bleus tellement il les triture. Puis me saisissant par les hanches, il se met à me défoncer le cul, comme un malade. De grands coups de rein, son ventre cogne furieusement contre mes fesses, s’il ne me tenait pas fermement je me retrouverai la tête collée au mur.
Je me masturbe plus vite de façon à jouir en même temps que lui. Les soubresauts de sa queue me font deviner qu’il ne va pas tarder à me larguer son jus de couille au plus profond de mes intestins. L’orgasme me secoue, comme une tempête dans tout le corps, je me sens emportée dans un tourbillon de plaisir, au bord de l’évanouissement, je sens de violentes giclées jaillir dans mes boyaux. Saïd s’exprime en arabe, à part le mot kahba je ne comprends rien excepté qu’il jouit à fond dans mon cul et y prend un énorme plaisir. Saoulée de plaisir, je me délecte de cette énorme jouissance, pendant que Saïd continue de vitupérer en se vidant allégrement. Il s’abat sur moi, sa queue frétille encore dans mon anus. C’est le top ce mature, à croire que la prison lui a donné une seconde jeunesse. Lentement, sa bite se rétracte et sort de mon cul, libérant un flot de jus, il en prend sur ses doigts et me barbouille le visage avec.
Je suis trop heureuse pour protester, je le laisse refaire mon maquillage avec son doux sperme. Le téléphone sonne, je le cherche à tâtons, décroche le combiné et reconnais la voix de Gérard.
— Alors Océane, tu t’es bien régalée avec notre copain ?
Donc, je lui balance un flot d’injures bien senties, il me laisse déblatérer tout ce que je pense d’eux et comme je suis à court d’injure. Je me tais et écoute la suite.
— Dis-moi chérie ne me dis pas que tu n’as pas aimé sa queue ?
Du tac au tac je lui réponds que s’il veut me faire sauter par tous ses copains qui sortent de prison, il n’a qu’à les amener tous en même temps et que l’on gagnera du temps. Puis, le salop me dit.
— J’y pensais mon amour, mais je n’osais pas te le demander, tu aimerais ?
À suivre si vous le souhaitez.
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