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Odeurs de famille

Chapitre 1

Premiers péchés

Inceste
Odeurs de famille
Je me présente. Je m’appelle Claire, j’ai 45 ans. Physiquement, je suis une belle rousse aux cheveux un peu frisés. Je n’ai que peu de taches de rousseur. Mes formes pourraient sûrement m’offrir une place dans la catégorie « MILF » : un beau 90E bien mis en valeur et un joli cul bombé, bref de quoi en faire bander plus d’un. Je suis mariée à un bel homme, qui me comble pleinement sexuellement, et m’a donné trois fils : Hugo, 20 ans et assez brillant, et Benjamin, 19 ans, passionné de musique, en BTS audiovisuel, et enfin Jean, 18 ans, vient de finir le lycée, intelligent, mais réservé, timide. J’ai aussi une fille, Jeanne, la jumelle de Jean. Ah, et chose qui a son importance, je suis une grosse salope. Voilà pourquoi il me faut souvent des nouvelles saveurs en termes de sexe. J’expérimente avec ou sans mon mari. Nous nous permettons quelques infidélités, car nous connaissons notre amour pour le sexe et comprenons le frisson de l’adultère.
Dans cette quête incessante du plaisir, au milieu d’une maison d’adolescents qui ne vivent que pour me mater dans la douche et se faire attraper volontairement en train de se branler, un sujet état destiné à naître : pourquoi ne pas me taper mes enfants ? Cette réflexion peu adaptée à la décence découlait d’un raisonnement : Puisque mes deux fils aînés étaient très confiants (j’excluais logiquement Jean du plan), attirants, avaient tous les deux déjà vu le loup et avaient toujours adoré regarder sous mes jupes et renifler mes culottes, nous serions trois à y gagner : ils réaliseraient en un coup deux fantasmes inavoués chez la plupart des jeunes : se taper une mature et se taper leur propre mère...
De mon côté, j’aurais à ma disposition deux jeunes hommes vigoureux, obéissants et, je l’espère, bien montés. De là, il me fallait un plan. De préférence, il fallait que leur père ne soit pas là (en tout cas au début), que Jean ne soit pas là (de toute façon, il est toujours enfermé dans sa chambre) et il fallait surtout qu’ils soient tous les deux dans la même pièce. L’occasion se présenta finalement toute seule à moi : alors qu’il était censé être en soirée administrative, mon chéri m’annonça qu’il ne reviendrait que vers midi le lendemain. Nul doute que la soirée n’avait rien d’administrative...
Enfin, demain matin, un samedi, je serais seule avec les deux garçons ! Le lendemain matin, prête à réaliser mon fantasme, je choisis de descendre avec ma nuisette rose transparente, sans sous-vêtements afin de laisser à mes fils le loisir de voir ma petite chatte. Quand je descends, ils sont tous les deux en bas, à prendre leur petit-déj sur le canapé.
— Bah maman, t’es bien jolie ce matin ! me lâcha Hugo.
Je pris une tasse de café et allais m’asseoir sur le canapé entre mes deux garçons.
— Ah oui tu trouves ?— Ah carrément ! Et toi Benjamin t’en penses quoi ?— J’aime bien, j’aime bien...— Bah les garçons, ça tombe bien que vous aimiez bien...
J’ai posé ma tasse et ai posé une main sur l’entrecuisse de chacun de mes enfants
— Oh maman... T’es sûre ? demanda Hugo, perspicace.
Il me suffit d’acquiescer pour que ce dernier glisse une main sous ma nuisette et commence à caresser l’entrée de mon minou d’amour. Benjamin, lui, se dépêcha d’enlever son pantalon et de placer son sexe dans ma main précautionneuse. Je commençais à le branler avec application alors que son frère me mettait un premier doigt, et que je commençais à bien aimer la situation. D’ailleurs, Benjamin était vraiment bien monté...
— Ben, on l’allonge ? Ce sera plus pratique.— Non non. Mets-la à quatre pattes.
Benjamin me prit gaillardement par les cuisses, me jeta sur le ventre comme un objet et me plaça en levrette. Ils me manipulaient comme une chienne, augmentant sérieusement mon excitation. Ben se plaça derrière moi.
— Vas-y Hugo, fais-toi plaisir dans sa bouche et moi je la travaille.— OK !
Ils avaient inversé les rôles en passant à la vitesse supérieure : derrière moi, Benjamin venait de se mettre à me lécher, alors que son frère, au passage tout aussi bien monté, venait pour se faire sucer. Je lui faisais goûter à mes talents de suceuse. Une main sur ses couilles, j’allais et venais profondément sur son sexe, lui arrachant des soupirs de satisfaction alors que Benjamin s’agitait sur mon clito tout en me doigtant vigoureusement. Il s’arrêta quelques secondes le temps d’enlever son T-shirt. Pendant ce temps, je fis une belle gorge profonde à Hugo, avalant presque entièrement son sexe de 17 centimètres peut-être.
— Wah regarde-moi ça ! Elle suce trop bien ! Papa doit pas s’ennuyer hein.— C’est sûr. Tiens, enlève-lui sa nuisette qu’on profite encore plus.
Hugo me retira ce dernier tissu, m’offrant nue à leurs yeux.
— Alors maman, tu la veux ma queue, hein ? demanda frénétiquement Benjamin en frottant son gland contre l’entrée de ma chatte. Je jouais le jeu.— Oh oui je la veux !
Ben enfonça sa queue en moi sans plus attendre, et commença à faire des aller-retour.
— Vas-y, mets-la-moi plus profond, encore plus, vas-y !
Il me donna une fessée résonante.
— Pas d’ordre ici !
Ses couilles tapaient maintenant contre ma chatte à chaque coup de boutoir, poussant encore plus profondément la bite d’Hugo dans ma bouche.Le plaisir courrait en moi, et je sentais déjà la réussite cinglante de mon petit plan à travers les bites qui me trouaient de chaque côté.Hugo réclama :
— Ben, tu me la laisses ?— OK !
Ils inversèrent les rôles, Hugo s’occupant maintenant dans ma chatte toute dilatée, et Benjamin me baisant la bouche sans précaution aucune. Je sentais que mes deux mâles étaient au bord de la rupture, mais, et c’était là le plus excitant, je ne savais pas ce qu’ils allaient faire de leurs orgasmes, et ne semblait d’ailleurs avoir aucune autorité là dessus. Ils savent que je prends la pilule, alors ils pourraient très bien jouir en moi... D’ailleurs, j’étais peut-être encore plus proche de l’orgasme qu’eux. Je sentis le plaisir monter. Ça y est. Mon corps entier trembla alors que je lâchais la bite de Benjamin pour mieux crier de plaisir. Après quelques secondes, il me la refourgua dans la gorge.
— Je sens que je vais bientôt jouir moi aussi ! — T’inquiète, je suis pas loin non plus. Viens.
Hugo sortit de ma chatte, et vint se planter face à ma bouche, avec Benjamin.Ils me mirent leurs deux bites dans leur bouche, allant et venant quelques secondes, avant de jouir de longs jets de sperme. La bouche ouverte, je m’appliquais à faire couler ce foutre le long de ma bouche, laissant une traînée se perdre entre mes seins. « Wah. Génial. » Benjamin s’extasiait de mon jeu cochon. « Allez avale maintenant coquine. », m’ordonna Hugo avec une claque sur les fesses. Je m’exécutais devant leurs yeux, m’essuyais et m’allongeais, nue, sur ce canapé. Mes deux garçons, redevenus calmes, s’assirent à côté, me caressant tendrement jambes et seins.
— Pas un mot à votre père, les gars. — Ouais, bien sûr.
Il était onze heures. J’avais du temps avant que mon chéri ne revienne. Et puis, pas sûr qu’il le prenne mal non plus, au fond. Je décidais d’aller faire une sieste, avant le retour de mon mari. Mes fesses nues se balançant à leurs yeux, je quittais mes fils comblés d’avoir baisé la chatte qui les avait mis au monde.
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