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Oedipia

Chapitre 6

Inceste
CHAPITRE 5

Karine resta un peu à bavarder avec Marie-Ange et Farah, le temps que leurs rejetons se remettent de leurs émotions. Audrey et Dorian étaient déjà remontés pour leur petit rituel intime. Tandis que Dorian admirait sa chatte, Audrey l’interrogea d’un air absent :
-« Tu as aimé que maman te branle ?— Oh oui, maman, c’était super ! Et toi… Tu… tu as aimé ?— Non… »
C’était certes la vérité, mais était-ce la bonne réponse ? Ne commettait-elle pas une maladresse dans l’éducation de son fils ? Mon Dieu, il devenait urgent qu’elle aille s’entretenir avec Gwen au plus vite, elle avait tant besoin de ses conseils !
Pour Rachel et Benoît, tout se passa comme dans un rêve, et leur première relation sexuelle découla logiquement de cette première branlette. Aucun des deux ne se posa de questions pour la suite. Ils se contentèrent d’adresser un petit signe cordial à l’assistance et montèrent dans leur chambre en se tenant par la taille. En chemin, ils s’échangèrent de fougueux baisers, pendant que Benoît, les mains sous la robe de sa mère, lui tripotait les fesses. Une fois dans la chambre, Rachel tenta toutefois de se dégager de l’étreinte.
-« Attends, chéri, je vais aller enlever mes bas…— Non, maman, garde-les…— Mais ils sont tout tâchés…— C’est rien en comparaison de ce que je vais te mettre dans la chatte, tu sais…— Petit cochon, va ! » ria-t-elle.
Ils s’embrassèrent de nouveau tout en se dirigeant vers l’un des deux lits. Rachel se laissa alors tomber sur le matelas, les cuisses grandes ouvertes. D’un geste sec, elle tira le tissu de sa culotte sur le côté, exposant son vagin qui bâillait d’envie. Le regard fiévreux, elle encouragea son fils à venir la rejoindre.
-« Viens, mon chéri… viens me faire l’amour, j’attends ça depuis tellement longtemps… ta belle queue… tu vas bien la baiser, ta maman, hein ? »
Elle écarta sa vulve de ses doigts et ouvrit encore ses jambes.
-« Regarde, elle est toute à toi… »
Benoît n’avait pas besoin de tants d’encouragements, mais ça l’excitait quand même furieusement. Voir cette femme qui le faisait bander depuis tellement de temps, enfin là, offerte, les pattes écartées et exhibant son trou tout en ondulant des hanches comme une chatte en chaleur, il crut qu’il allait venir dans son caleçon dont, dans son excitation, il ne parvint à s’en débarrasser qu’avec difficulté.
Le gland encore humide de sa précédente éjaculation, il se jeta un peu rudement entre les cuisses de sa mère. Savait-elle qu’il était encore puceau et qu’elle était sur le point de lui prendre sa virginité ? Si elle l’ignorait encore, elle le devinait maintenant sans mal, étant donné la maladresse dont il faisait preuve pour la pénétrer. Elle n’en fut que plus émue de l’instant.
-« attends, mon cœur, je vais t’aider… »
Rachel attrapa la verge de son fils qu’elle positionna à l’entrée de son orifice, puis saisit Benoît par la taille et l’attira en elle d’un coup sec. Une fois au fond, elle poussa un soupir d’aise. Elle avait enfin son fils au fond de la chatte, comme elle en rêvait depuis des mois. Quant à Benoît, il couvrait son visage de baisers, le lapant presque, comme un jeune chien fou. C’était excitant mais aussi terriblement émouvant. Très vite, Rachel sentit la bite palpiter contre les parois de son vagin. Son fils se crispa légèrement, Rachel lui murmura :
-« Te retiens pas, mon chéri, gicle tout dans maman… »
Elle a accompagna ses paroles d’un léger mouvement du bassin. La bite profondément enfoncée en elle commença aussitôt à déverser des torrents d’un sperme si brûlant que Rachel pouvait sentir chaque giclée lui fouetter le col de l’utérus. Ca semblait ne jamais vouloir s’arrêter, et Rachel se fit la réflexion qu’elle allait finir par déborder de la semence de son fils. Cette pensée déclencha en elle un orgasme foudroyant. Ses muscles vaginaux se contractèrent et firent ventouse autour de la queue comme pour mieux la traire. Le flot s’arrêta finalement, leurs cris de jouissance aussi. Ca avait été fantastique pour les deux amants. Rachel aurait voulu que cet instant se prolonge éternellement. Ses jambes gainées de nylon, enserrant la taille de son fils, empêchait celui-ci de se retirer de son antre d’où s’écoulait maintenant le foutre incestueux. Dans un état de bien-être total, Benoît s’endormit sans s’être retiré du con de sa mère. Elle l’imita.
Un peu plus tard ils se réveillèrent et firent de nouveau l’amour, en missionnaire, en savourant simplement le plaisir d’être emboité l’un dans l’autre, et Benoît put goûter encore une fois au bonheur de se vider dans la matrice qui l’avait mis au monde. Ils n’étaient pas pressés pour le moment d’explorer d’autres plaisirs, ils avaient le temps. Leur première nuit à « Oedipia » était déjà une telle réussite…
Marie-Ange aurait bien aimé elle aussi trouver en Cyril une oreille aussi attentive à ses désirs que l’avait été Benoît pour sa mère. Malheureusement pour elle, il n’en fut rien. Les couilles vides et provisoirement calmé, Cyril s’envoyait des bières en fumant des cigarettes pendant que sa mère discutait avec Farah. Il jetait dans le même temps des regards amicaux à Nojan, s’amusant de la situation si particulière dans laquelle ils se trouvaient. Celui-ci ne partageait manifestement pas sa bonne humeur, absorbé qu’il était par ses réflexions. Cette branlette l’avait laissé sur sa faim, et il en voulait plus. Mais comment faire ?
Le souci était très exactement identique chez Marie-Ange. Ne trouvant pas de solution dans l’immédiat, elle proposa à son fils de monter dans leur chambre en se disant qu’elle improviserait une fois en haut. Sa déception fut grande quand elle constata que Cyril ne daigna même pas se coucher avec elle, mais préféra plutôt s’installer devant l’ordinateur et traîner sur internet. Désemparée, Marie-Ange enfila sa fameuse nuisette et alla se coucher, sans toutefois parvenir à trouver le sommeil. Son désir pour son fils et ses pulsions inassouvies l’en empêchaient. Elle songea à aller le rejoindre dans le salon. Mais s’il la repoussait une nouvelle fois ? Elle n’était pas sûre de pouvoir le supporter. Et puis d’abord, dans quelle tenue ? Dans cette nuisette ? Pourquoi insister ? Après tout, n’avait-elle pas emmené toute une série de dessous affriolants ? Pourquoi pas des bas ? Elle en avait acheté une panoplie sur internet, en prévision de ce voyage. Elle avait forcément quelque chose qui convenait. Réconfortée par cette idée, elle fouilla rapidement dans ses tiroirs. Tiens, ceux-là par exemple ! Des noirs ! Un classique… Elle fouilla encore dans ses bagages pour y dénicher un porte-jarretelles à volants, ainsi qu’une paire d’escarpins vernis.
Elle alla s’habiller dans la salle de bain, se regarda dans la glace au passage et se trouva mauvaise mine. Un peu de maquillage ne serait pas de trop. Elle estima ensuite qu’il n’était pas assez appuyé, et en rajouta jusqu’à avoir l’allure d’une pute de bas étages. Néanmoins, elle fut satisfaite. Perchée sur ses hauts talons, elle pénétra timidement dans le petit salon. Elle eu un pincement au cœur quand elle constata que son fils, assis devant le bureau, matait des vidéos porno sur internet, mais fit comme si de rien n’était, et de sa voix la plus suave demanda :
-« Tu ne viens pas te coucher, mon chéri ? »
Cyril tourna la tête vers sa mère et marqua un temps d’arrêt.
-« Ah ! Tu tombes bien… approche… » lui répondit-il nonchalamment.
« Gagné ! » pensa Marie-Ange. En se forçant à être la plus chatte possible, elle s’approcha de son fils. Quand elle fut à portée de main, il se leva, lui saisit la nuque et lui plaqua la poitrine contre le bureau. Il donna ensuite un petit coup de pied sur l’intérieur de ses escarpins pour lui faire comprendre d’écarter les jambes, ce qu’elle fit. Après quoi il défit son ceinturon et commenta la vidéo :
-« Cette pute m’excite à mort, j’ai trop envie de juter ! »
Marie-Ange comprit avec l’instinct d’une professionnelle ce que son fils attendait d’elle. Qu’elle lui serve de sex-toy dans lequel on se branle sans passion, juste pour se soulager. Cette idée, loin de la l’attrister, l’enchanta, et un flot de mouille lui inonda le vagin. Elle ouvrit ses jambes un peu plus. Cyril l’agrippa par la taille, plaça son gland l’entrée de son vagin et commença à la pénétrer sans ménagement. Pourtant, sa queue progressait difficilement dans le conduit vaginal qu’elle devait dilater au fur et à mesure, et malgré la lubrification de sa chatte, Marie-Ange la sentait passer, c’était le cas de le dire !
-« Ecarte bien les cuisses, salope ! Tu vois pas que je galère pour t’enfiler ?— Pardon… pardon, chéri… » pleurnicha Marie-Ange tout en obéissant.
Son gland continua de s’enfoncer dans le sexe de sa mère, qui miaulait littéralement de bonheur. Une fois dans le fond, Cyril éructa :
-« Putain de salope ! Ce qu’elle est bonne ta chatte ! »
Presque sans s’en apercevoir, Marie-Ange commença à se caresser le clito en même temps que son fils amorçait des mouvements de va-et-vient. Elle était heureuse de lui servir de vaginette, et espérait qu’il y prendrait le plus de plaisir possible. Et effectivement, il ne se préoccupait que du sien. Ainsi, quand il arrêta subitement de bouger, ce n’était évidemment pas dans le but d’attendre sa mère. Simplement, sa séance de porno l’avait déjà bien excité, et la chatte qui lui serrait la queue était un tel délice qu’il désirait prolonger le plus longtemps possible et ne pas jouir trop tôt. Mais Marie-Ange ne l’entendit pas de cette oreille. Elle voulait son foutre tout de suite, maintenant. Quand Cyril s’immobilisa, elle prit aussitôt le relais en s’empalant elle-même sur la verge bandée qu’elle continua d’astiquer. Une claque sonore s’abattit sur sa fesse droite.
-« Arrête de me traire la queue comme ça, traînée ! T’inquiète, tu vas l’avoir mon foutre…— C’est vrai ? Ooooh ! J’ai tellement envie que tu me remplisses… Je suis ton petit crachoir à foutre, tu le sais ça, hein ? »
Pour toute réponse, Cyril enfonça son pouce dans l’anus de sa mère, lui arrachant au passage un nouveau miaulement, avant de recommencer à la pilonner. Gwen devait avoir raison, son fils serait certainement très heureux qu’elle lui offre son cul. Mais l’idée la fit tellement frémir qu’elle la chassa aussitôt. Il était si gros, et ce n’était pas avec les parties de jambes en l’air très conventionnelles dont l’avait gratifié son époux durant leurs 20 années de mariage qu’elle avait eu l’occasion d’habituer son petit trou à ce genre d’intromissions. Ses dernières sodomies remontaient à lorsqu’elle était encore étudiante. Presque un quart de siècle… Elle en avait tellement marre de cette vie sexuelle monotone. Quand, par hasard, elle avait vu son fils nu, elle entreprit de changer tout ça.
Son amant incestueux avait sensiblement augmenté la cadence des coups de piston qu’il donnait dans sa chatte. Il se branlait littéralement dedans, sans se soucier aucunement de son plaisir. Cela rendait Marie-Ange dingue d’excitation, à tel point que son orgasme vint rapidement, avant même celui de son fils qui ne fut pourtant pas long, par rapport à d’habitude, à lui expédier son foutre au fond de la chatte. Dans une dernière poussée, Cyril s’immobilisa, sa bite gonfla légèrement et libéra sa semence.
— Haaan ! Tiens, prends-ça salope ! Oooh… ce que c’est bon de se vider dans son sac-à-jus ! T’aimes ça toi aussi, hein ? — Oui, chéri, ouiii ! Continue ! Inonde mon ventre ! Remplis-moi ! »
L’espace d’un instant, elle crut s’évanouir d’extase. Son fils se vidait dans ses chairs, il la possédait complètement, et cela la rendait folle de bonheur. Elle repensa à ce qu’elle lui avait dit quelques minutes auparavant : oui, elle était son crachoir à sperme, son kleenex ambulant, et son souhait le plus cher était que Cyril le reconnaisse et la traite comme telle.
Quand il se retira, mais Marie-Ange ne bougea pas. Elle désirait prolonger la douce sensation du sperme de son fils baignant son vagin le plus longtemps possible. C’était un plaisir beaucoup trop rare à son goût pour ne pas en profiter un maximum. Au bout d’un moment toutefois, le jus se mit à suinter hors de son trou. Sans réfléchir, elle porta sa main à son entrejambe pour recueillir ce qui s’écoulait d’elle et la lécha avec gourmandise, de la même façon qu’elle l’avait fait lors de la soirée consacrée à la branlette de ces messieurs.
Cyril la regarda faire. Mine de rien, c’était une sacrée salope, il devait bien l’admettre. Un peu âgée, certes, mais une chienne docile au physique impeccable, avec de gros seins qui le rendaient fou, une femme qui - enfin - ne faisait pas de chichis pour se faire baiser, et qui d’ailleurs ne réclamait que ça. Que pouvait-on souhaiter de mieux ? Peut-être même y avait-il moyen, à terme, de l’enculer ; le pouce dans son cul n’avait pas eu l’air de lui déplaire… Bref, il connaissait parfaitement les intentions de sa mère à son sujet, et pour la première fois, il se prit à envisager sérieusement d’aller dans son sens, et de faire d’elle sa maîtresse attitrée. Au moins pour cet été…
Marie-Ange ne le savait pas encore, mais cette baise lui avait permis de franchir un pas décisif dans la réalisation de l’objectif qu’elle s’était fixée. Pourtant, quand bien même elle l’aurait su, elle s’en serait éperdument fichue. Pour le moment, seule lui importait la joie de s’endormir avec le goût de la semence de son fils dans la bouche.
Farah et son fils, toujours empêtrés dans leurs doutes et leur autocensure, en dépit de cette première expérience sexuelle, firent avant de se coucher une ballade sur la plage, au clair de lune, en se tenant par la main. C’était romantique, et pourtant chacun individuellement enrageait de la mièvrerie de la situation. Ce n’était absolument pas ce qu’ils attendaient l’un de l’autre, mais ne se le dirent pas. Aussi, la ballade ne s’éternisa pas. Ils allèrent se coucher dans les bras l’un de l’autre. Nojan s’endormit avec son érection, et Farah avec sa chatte poisseuse.
En revenant dans la chambre, Karine était également dans un état d’excitation indescriptible. Le début de pipe qu’elle avait pratiquée sur son fils une demi-heure auparavant avait décuplé ses ardeurs, et elle voulait sa part de plaisir. Malheureusement, Alexandre ne l’entendait pas de cette oreille. Après la nuit qu’il avait passé, cette dernière éjaculation avait provisoirement eu raison de sa virilité.
A propos de cette dernière nuit d’ailleurs, celle de leur première relation sexuelle, il n’y avait pas grand chose à raconter. Karine avait questionné son fils pour savoir s’il avait aimé la pipe de la veille. A sa réponse affirmative, voire enthousiaste, Karine s’était contentée de lui proposer d’essayer un autre trou. 30 secondes plus tard, il était au chaud dans le vagin de sa mère, et il y resta jusqu’au petit matin, celle-ci se chargeant de le faire rebander avec sa bouche entre chaque éjaculation.
Karine avait donc allongé Alexandre sur le lit et avait entrepris de redonner de la vigueur à son membre fatigué en le suçant gloutonnement. Mais même la bouche de sa mère n’y put rien : sa verge resta flasque.
Au bout de quelques minutes, Karine se résigna à abandonner la partie.
-« Je suis vraiment désolé, maman… Je…— Chuut ! C’est rien… On va attendre un petit peu…— Tu vas me tuer ! Dis maman… C’est… C’est vraiment ça que tu veux ?— Te tuer ?— Non ! Je veux dire, ça...— Quoi « ça » ?— Ben nous… le fait qu’on couche ensemble… C’est ça que tu veux ?— Gros nigaud ! Bien sûr que oui ! Ca me paraît évident, non ? A quel moment n’ai-je pas été assez claire ? T’as pas remarqué non plus que ça fait des mois que je t’allume comme une salope ?— Putain ! Un peu que j’ai remarqué… mais je veux dire, une fois qu’on sera à la maison, comment on fera avec papa, et puis Paul ?— Paul ? C’est une plaisanterie ? Ca ne t’a pas sauté aux yeux qu’il partage mon lit depuis bientôt 2 ans ? Tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez, mon pauvre chéri ! »
Puis elle ajouta, en gloussant :
-« Ton père, à lui, ça ne lui a pas échappé, je t’assure !— Quoi ?! Il le sait ?— S’il l’ignore, c’est qu’il est sourd ! » ricana-t-elle encore.
Alexandre fit une pause pour assimiler toutes les informations qu’il venait de recevoir avant de reprendre :
-« Si je comprends bien, je devrais te partager avec Paul ?— Et lui avec toi…— Ca ne va pas poser des problèmes ?— Quel genre ? Avec moi ? Tu me connais mal ! Je peux aisément mettre deux jeunes mâles au tapis, et tous les jours, si je veux !— J’arrive à peine à le croire… comment peux-tu être aussi salope ?— T’as encore rien vu, mon chéri, et tu es loin de tout savoir aussi…— Comme quoi, par exemple ?— Je ne sais pas moi… Tiens, par exemple, tu veux savoir qui m’a dépucelée ?— Vas-y…— Papy !— Hein ?! Quoi ? Papy… papy qui ? Papy Daniel ? Ton père ?!— Oui, mon chéri ! Tu veux que je te raconte ? Ca te permettra de comprendre en partie comment je suis devenue ce que je suis… et de reprendre des forces ! »
Sans attendre la réponse de son fils, Karine prit une pose plus confortable et commença son histoire.
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