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Oedipia

Chapitre 7

Trash
CHAPITRE 6

-« A l’époque, j’avais 16 ans. Ca faisait longtemps que je pensais aux garçons, mais après quelques mois au lycée, j’avais franchi une étape, je voulais vraiment les connaître d’un peu plus près, si tu vois ce que je veux dire… Je jouais les salopes avec eux en permanence, passant mon temps à les provoquer. C’est comme ça qu’un jour, connement, j’ai lancé à des gars avec qui je plaisantais qu’ils n’étaient pas chiches de me montrer leur bite dans les toilettes. Mal m’en a pris, parce que c’étaient un peu les gros durs du lycée, et qu’ils ne se sont pas dégonflés, histoire ne pas se taper la honte devant leurs potes. Bref, je les ai accompagnés, et ils m’ont effectivement sorti leur queue. Ca a duré quelques instants puis un des types m’a dit « suce-moi ». Sans réfléchir, je me suis mise à genoux et j’ai obéi. Du coup, ses potes sont restés et ont attendu leur tour, t’imagines bien. Tu sais comment ça se passe dans une cours de lycée ? Ben c’était pareil dans les années 90 : en une semaine, ma réputation de salope était faite. Ca m’a un peu emmerdée au début, parce que toutes mes copines m’ont lâchée, mais j’y ai vite trouvé des compensations. Des gars un peu plus courageux que les autres ont fini par m’aborder, pour me demander si des fois je ne voudrais refaire ce que j’avais fait à la bande de… de… zut ! J’ai oublié son nom… Bref, j’ai accepté, et vu que j’avais accepté pour les premiers, d’autres un peu moins courageux sont aussi venus, puis d’autres encore… Rapidement je me suis vite retrouvée avec la moitié des garçons du lycée candidats pour une pipe, et je me suis fait un devoir d’honorer chaque demande.
Forcément, dans le bahut, tout le monde ne parlait que de ça, à tel point que c’est arrivé aux oreilles des profs, et surtout des surveillants. Une salope de ma classe m’a balancée sur les heures où « j’officiais », et j’ai été surprise en pleine action. Hop ! Convocation chez le directeur. A un moment, j’ai pensé qu’il allait peut-être me demander pour lui aussi… En fait, pas du tout, il m’a dit qu’il était très embêté, qu’il ne savait pas quoi faire étant donné les circonstances, et blablabla et blablabla… Je suis ressortie de son bureau avec un simple rappel à l’ordre, en promettant de ne pas recommencer. Il était convenu que vu la nature un peu spéciale de mon infraction, il ne dirait rien à mes parents, à la seule condition que de mon côté je tienne ma promesse. Je crois qu’en fait il ne voulait pas non plus que l’histoire s’ébruite : dans un lycée catholique, ça fait un peu tâche, tu ne crois pas ?
Soulagée, je me suis bien promis de ne pas recommencer. Bon, j’ai tenu une semaine… C’était devenu un peu comme une drogue, de voir toutes ses bites qui se dressaient et giclaient rien que pour moi, je ne pouvais plus m’en passer. J’ai bien essayé à la sortie du lycée, mais je suis passée à deux doigts de me faire coffrer par les flics pour outrage aux bonnes mœurs... cette trouille ! Du coup, j’ai recommencé dans les toilettes, et ça n’a pas été long avant qu’une de mes nombreuses ennemies ne me balance une nouvelle fois.
Cette fois, le directeur était franchement furax. Ni une ni deux, il décrocha le téléphone pour joindre ma mère. Elle devait être à une de ses actions paroissiales, et ne répondit pas. Ce fut donc, pour mon malheur pensais-je sur le moment, mon père que le dirlo eut au bout du fil. Il demanda à le voir de toute urgence. Une demi-heure plus tard, il rappliquait dans le bureau où j’étais toujours présente, morte de honte. Le directeur expliqua tout à mon père, dans des termes choisis, certes, mais qui ne laissaient aucune place au doute. Une nonne aurait compris… Histoire d’en rajouter, il précisa que ce n’était pas la première fois que je me faisais prendre… Papy est resté aussi stoïque que muet durant tout l’entretien. A la fin, il a simplement remercié le directeur, et a dit « je la ramène ! ».
Dans la voiture, mon père ne disait toujours pas un mot. J’appréhendais ce qui allait m’arriver, les punitions qui m’attendaient, et tout… Je pensais aussi à la honte que mon père devait ressentir à l’idée de qu’avait fait sa petite fille chérie. Je me trompais. D’un coup, il s’arrête sur le bas côté de la nationale, trifouille sa braguette quelques instants et en fait sortir une bite pas très longue, mais bien épaisse. Je n’ai pas pu admirer le spectacle très longtemps, mon père m’a attrapée par la nuque en me disant « si c’est de la bite que tu veux, espèce de petite salope, je vais t’en donner ! Allez, au boulot ! ». Je ne me suis pas faite prier… Au début, il me tenait fermement la tête, mais il s’est vite rendu compte que c’était inutile, vu que j’essayais de prendre sa bite plus loin dans ma gorge qu’il n’essayait lui-même de me l’enfoncer. Libre de mes mouvements, j’ai pu me concentrer pour mettre en pratique tout ce que j’avais déjà appris des bites et de leur fonctionnement, si je puis dire, et lui faire ce que j’espérais être ma plus belle pipe. Ca avait l’air de lui plaire, parce que lui qui était d’habitude si convenable me traitait à présent de « pompe-à-foutre », de « sac-à-jus », de « sale petite bouffeuse de queues », et d’autres trucs de ce style. Moi, je prenais ça pour des compliments et ça m’encourageait à être encore plus câline avec sa bite ! Au moment de jouir, il m’a saisi par la nuque en me criant « Tiens ! Prends aussi ma jute, traînée ! ». Je n’ai pas eu d’autre choix que d’avaler. Ce fut la première fois. Avec les autres garçons, je ne le faisais jamais. Ce n’était pas l’envie qui me manquait, mais je pensais que ça faisait moins salope comme ça. T’y crois à ça ? »
Karine s’interrompit un instant pour rire de sa propre bêtise.
-« Et alors ? » questionna impatiemment Alexandre.
-« Bah quand il a eu fini de vider, je me suis retirée, et c’est là qu’il m’a dit un truc du genre : « ne crois pas que j’en ai fini avec toi… ma parole ! Tu m’as pompée comme une vraie pro ! T’es née pour sucer des queues, tu le sais ça ? Je vais m’occuper de ton cas, salope ! Prépare-toi à en avaler des litres, de mon foutre, parce que je vais faire de toi un vrai vide-couilles sur pattes… » Moi, comme une conne, j’ai failli le remercier ! Mon père a rangé sa queue et a repris son air respectable. Je ne voyais pas trop ce qu’il voulait dire par vide-couilles, mais j’ai vite compris. Je crois que par la suite, il n’a jamais laissé filer une seule occasion de se faire sucer, et pour ça il prenait tous les risques. Je le suçais dans le salon pendant que maman faisait la cuisine, dans le garage le week-end quand soi-disant il bricolait, il m’emmenait avec lui dans les W.C. ou me faisait des visites surprise quand j’étais sous la douche, ou dans ma chambre, le soir (mais pas trop souvent pour éviter d’attirer l’attention de ma mère). Bref, je le suçais tout le temps et partout, parfois 4 ou 5 fois dans la même journée. Il m’a même fait le sucer pendant que ma mère conduisait !— Non ?!— Je te jure ! On revenait d’une réunion de famille et on ramenait ma tante…— Qui ça ?— Tante Babeth, une sœur de mamie… tu ne le la connais pas… J’en étais où ? Ah oui ! Donc vu que c’était sa voiture, c’est maman qui conduisait. Mon père avait laissé sa place à l’avant à sa belle-sœur en lui disant que ce serait plus confortable pour elle. Je me suis donc retrouvée sur la banquette arrière avec lui. Dès que nous sommes arrivés sur l’autoroute, il a dit tout fort « ma pauvre chérie, il est tard pour toi, tu veux t’allonger un peu ? » et m’a regardée d’un air complice. Je ne me doutais de rien, mais quand j’ai posé ma tête sur ses genoux, j’ai eu le choc de ma vie. J’aurais jamais pensé qu’il oserait. Je me suis retrouvée nez à nez avec sa bite sortie de sa braguette, et qui bandait à mort. Son audace m’a excitée comme une folle, je crois que j’avais jamais autant mouillé de ma vie. J’ai embouché sa bite le plus discrètement possible, et comme je ne pouvais pas bouger la tête, pour ne pas que les passagers à l’avant s’aperçoivent ce que j’étais en train de faire, je me suis contentée de la téter comme un biberon durant tout le trajet de Senlis jusqu’à Paris. J’ai réussi à la faire gicler deux fois, pendant que son propriétaire tentait de discuter avec ma mère et ma tante !
A la sortie de la voiture, papa m’a attrapé à l’écart pour me dire à l’oreille « tu sais tout-à-l’heure, quand tu me faisais rebander avec ta petite langue de pute, après que tu m’aies tiré mon jus une première fois, j’ai vraiment eu envie de pisser, et j’ai presque failli le faire dans ta bouche. Je suis sûr que t’aurais adoré ça, hein, salope ? » Quand je lui ai dit avec un sourire que oui, sans doute, il m’a juste dit « Bonne chienne ! J’en étais sûr ! Mais on verra ça plus tard… » Il m’a donné une petite tape sur les fesses, et on a rejoint ma mère qui râlait, comme d’habitude…— Et il l’a fait ?
— Bien sûr ! De très nombreuses fois ! Pourquoi ? Tu es intéressé, petit coquin ?— Maman !!— Quoi ? Ton frère adore ça, lui…— Paul ?!— T’as qu’un frère, que je sache… ça aurait pu être différent, je te l’accorde, mais vu que je me suis faite avorter lors de mes deux premières grossesses… tu devines de qui ils étaient d’ailleurs…— De…de papy ?— Tout juste !— Vas-y, raconte…— Attends, j’y arrive… Donc, entretemps, j’avais bien entendu perdu ma virginité. C’était un dimanche matin, alors que ma maman était à la messe. D’habitude, il l’accompagnait mais là, il avait prétexté un mal de tête où je ne sais quoi, et comme j’étais sortie la veille au soir chez des copains, je m’en étais auto-dispensée également. Je pensais pouvoir faire la grasse matinée, mais tu parles ! Ma mère n’avait pas franchi la grille du portail que j’avais déjà sa pine enfoncée au fond de la gorge ! Juste le temps de le faire bander, puis il s’est retiré en m’ordonnant de me mettre à quatre pattes sur le lit et d’écarter les cuisses « C’est une bonne occasion de goûter à ta petite chatte, tu ne crois pas ? Depuis le temps que j’en ai envie… », et sans autre commentaire il s’est enfoncé en moi et a joui presque aussitôt. Dans un premier temps, on n’a pas recommencé ça souvent. Avec maman qui ne travaillait pas et qui était donc souvent dans les parages, les pipes étaient plus pratiques... Ce n’est que quand elle est tombée malade et qu’elle a dû être hospitalisée que papy a vraiment pris en main mon éducation de salope.— Elle avait quoi au fait, mamie ?— Un cancer du sein, je crois… ou un truc dans le genre… je ne sais plus… tu sais, je passais le plus clair de mon temps à me faire remplir la bouche et la chatte par mon père, ce qui fait que je ne suis pas allée la voir souvent… et lui non plus du coup ! En tout cas, j’ai pris sa place dans le lit conjugal dès le premier soir ! Papa m’a vraiment traitée comme sa pute, cette nuit-là, et j’ai adoré. Lui aussi a été très content de moi, et dès le lendemain, pour me récompenser a-t-il dit, il m’a offert mes premiers porte-jarretelles, mes premiers bas et mes premiers talons aiguille. Dès que j’étais à la maison, je n’avais le droit de porter que ça. J’étais son petit sac-à-foutre toujours disponible. Il m’a appris à lui lécher les couilles, le cul aussi, il a mis à exécution son projet de me faire avaler son urine, bref, j’étais son jouet docile et toujours consentant. Le soir, quand il rentrait du travail, je devais l’attendre à quatre pattes sur le canapé, le cul tourné vers la porte et vêtue de ma tenue réglementaire sans laquelle il ne me baisait plus (ce qui faisait que je dormais aussi avec mes bas…). Me jouir dans la chatte était la première chose qu’il faisait en rentrant. Après, j’avais interdiction de me nettoyer, parce que ça l’existait que j’aie son sperme entre mes cuisses en permanence. Je devais aussi quémander pour lui sucer la bite en me mettant à genoux et en haletant comme une chienne, comme ça… »
Joignant le geste à la parole, Karine prit la pose quelques instants. Cela faisait un bon moment que l’histoire excitait Alexandre. La scène que lui offrait sa mère acheva de rendre de nouveau son sexe dur. Mais il avait encore soif d’autres confidences.
-« Et il ne t’enculait jamais ?— Si, bien sûr ! Mais il a attendu un peu pour ça. La première fois, je m’en souviens très bien, c’était en revenant de l’enterrement de ta grand-mère. Avant d’y aller, il m’avait fait part de son projet de m’enfiler par le petit trou, une fois que nous serions rentrés. Ca faisait un bon moment que j’attendais qu’il me prenne aussi mon pucelage anal, et j’étais tellement impatiente que je n’ai pas mis de culotte pour qu’il puisse me la mettre dès que nous aurions franchi le pas de la porte. Du coup, la mouille m’a coulé le long des cuisses durant toute la cérémonie. Heureusement que mes bas étaient là pour éponger… on m’aurait suivi à la trace sinon ! » pouffa Karine, avant de reprendre :
-« Quoi qu’il en soit, je suis tombée enceinte bien avant ça ! Je crois d’ailleurs que le jour de l’enterrement, j’avais déjà un peu de ventre… Bref… Quand je m’en suis aperçue, j’ai d’abord été un peu stressée, et j’ai mis quelques jours avant d’en parler à mon père. J’ai eu tort : il était fou d’excitation, au point qu’il était un peu fâché que je lui aie fait perdre ces 3 ou 4 jours de baise et de pipes tout en sachant que sa fille était enceinte de lui. Mais j’ai su me faire pardonner, comme tu imagines…— Non… qu’est-ce que t’as fait ?— Je lui ai proposé de faire de moi sa pissotière exclusive durant toute ma grossesse…— Mais… euh… c’était pas un peu dangereux pour le bébé, ça ?— Pfff ! On ne comptait pas le garder, nigaud, va ! Par contre, papy m’a tout de suite annoncé que je me ferais avorter aux Pays-Bas, où le délai légal est de 24 semaines, afin qu’il puisse en profiter un maximum. Ca a été un festival ! Plus mon ventre grossissait, plus il se montrait vicieux avec moi. A partir du 5ème mois, il m’a dit qu’il ne fallait pas que je m’empâte et qu’il allait me mettre au régime. Donc du samedi matin après les cours jusqu’au lundi matin, en plus de sa pisse, il ne me donnait à manger que du foutre. Comme bien sûr il ne pouvait pas me nourrir à lui tout seul, il m’a organisé à la maison mes premiers gang-bang. Les types recrutés pouvaient m’utiliser par tous les trous, la seule condition était qu’ils devaient se finir dans ma bouche. Papy en a fait des vidéos, il te les montrera si tu veux… — J’aimerais bien, oui…— Comme ça tu me verras quand j’avais ton âge ! On fréquentait aussi les saunas, où je faisais des pipes à la chaîne, les clubs libertins, les cinés porno… Mon gros ventre avait un succès fou auprès des mecs, tu peux pas savoir ! Ils voulaient tous me gicler dedans ! Certains ont même proposé de l’argent à mon père pour ça. Mais comme il le leur répétait sans cesse, leur mission n’était que de me nourrir de leur sperme. De fait, je dois dire qu’ils prenaient un soin particulier à tout me faire avaler. En fin de soirée, mon père s’accordait toujours le privilège de me gicler dans la chatte ou le cul, le plus souvent en public, en prétextant que j’étais trop gourmande, et que j’avais déjà suffisamment avalé de foutre comme ça. Bon, c’est vrai que j’en ingurgitais pas mal, mais je ne te cache pas que j’accueillais quand même le petit déjeuner du lundi matin avec bonheur…
Ca ne m’a pas empêché de prendre un pied dément au cours de cette période, si bien que lorsque j’ai dû me rendre à Amsterdam pour me faire avorter, j’avais l’impression de vivre la fin d’une époque, quelque chose d’un peu triste, quoi… Durant le vol du retour, mon père feuilletait la brochure rédigée en plusieurs langues qui m’avait été remise à la clinique lorsqu’il il tomba sur un paragraphe qui prévenait qu’à cause de la dilatation de l’utérus que j’avais subie, la fertilité était renforcée et qu’il convenait de prendre beaucoup de précautions en cas de nouveau rapport sexuel. Quand il m’a montré ça, j’ai tout de suite su où il voulait en venir et j’en ai mouillé ma culotte de plaisir. Il m’a baisée le soir même, ainsi que tous les jours suivants. 15 jours plus tard, le test de grossesse que je faisais tous les matins indiqua, enfin, que j’étais de nouveau enceinte, et nous avons repris notre vie de débauche pendant 6 mois… enfin presque 7… vu qu’il avait rencontré le toubib qui m’avait avortée, et moyennant un petit dessous de table, mon père a pu profiter de mon ventre rond 3 semaines de plus ! Enfin voilà… à mes 18 ans, j’étais devenue le parfait vide-couilles sur pattes qu’il avait voulu que je sois… accessoirement, j’avais aussi obtenu mon bac…— Et après ?— Et après, ben c’est déjà pas mal, non ? On aura le temps d’en reparler une autre fois, si tu veux… surtout que je vois que mon histoire a eu son petit effet…— Ouais, ça m’a foutu une trique d’enfer, maman ! Suce-moi…— Eh ! Doucement, jeune homme ! C’est pas parce que vous savez maintenant quel genre de pute est votre mère que ça vous donne tous les droits ! Et moi alors ? Je vous rappelle que j’y ai pas encore eu droit ! »
Sans autre forme de procès, Karine troussa sa jupe et l’enjamba en riant. Tous ces souvenirs l’avaient chauffée à blanc elle aussi, et sa chatte criait famine. Quand le pieu de son fils la pénétra, elle se crispa sous l’orgasme qui la submergea.
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