Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 23 J'aime
  • 5 Commentaires

Oedipia

Chapitre 8

Inceste
CHAPITRE 7

Une semaine s’était écoulée, et les choses n’avaient guère évolué à « Oedipia ». Les journées s’écoulaient paisiblement, la plupart du temps sur la plage privée de la résidence, émaillées de parties de baise plus ou moins fréquentes, pour les couples qui s’étaient déjà lancés dans l’expérience, tout du moins. Benoît essayait de s’habituer aux sensations que lui procurait le vagin de sa mère pour mieux contenir ses éjaculations encore trop rapides, mais ce n’était pas facile, à tel point que Rachel avait parfois l’impression de lui servir de simple déversoir à sperme. Pourtant, même si elle n’atteignait que rarement l’orgasme, elle se satisfaisait de cette situation. D’abord, elle vivait une situation inédite pour elle. Benoît la regardait, l’admirait, remarquait chaque détail de ses tenues et, au fur et à mesure qu’il prenait de l’assurance, il les commentait toutes. Quand elle pensait à l’indifférence dont faisait preuve depuis des années son mari, au regard des fortunes qu’elle avait vainement dépensées pour lui arracher un compliment, cela lui donnait du baume au cœur. En outre, elle n’avait pas manqué de remarquer le visage crispé de son fils et les efforts manifestes qu’il faisait pour se retenir de jouir lorsqu’il la pénétrait - avec certes un succès tout relatif - mais elle lui en était reconnaissante Et puis après tout, il n’était que fraîchement dépucelé, et Rome ne s’était pas faite en un jour.
Après l’incroyable récit que lui avait fait sa mère, Alexandre n’avait désormais plus aucun scrupule à la baiser comme la dernière des chiennes, comme l’avait fait son grand-père avant lui, et comme le faisait maintenant son frère aîné. Il ne fut pas long avant de goûter aussi à son cul. Karine, très fière de la rapidité avec laquelle elle était parvenue à ses fins, ne se posait plus aucune question. Elle avait presque envie de rentrer. Sa présence ici, somme toute, ne se justifiait plus guère, et surtout une deuxième queue, disponible pour un trio des plus pervers, l’attendait à la maison. Elle s’en léchait les babines par avance. Mais enfin, le voyage était payé, le climat pas désagréable du tout, et elle ne voulait pas non plus vendre trop tôt la peau de l’ours. Elle devait d’abord s’assurer qu’Alexandre la suivrait dans tous ses délires.
Quant à Marie-Ange, son humeur du jour évoluait en proportion de la dose de sperme dont son fils daignait la gratifier. Parfois radieuse, parfois morne, sa mine fournissait à tous les locataires d’ « Oedipia » une indication exacte de son activité sexuelle de la veille au soir. Ce côté imprévisible la rendait un peu pénible à vivre, et tous espéraient que Cyril consentirait, le soir venu, à lui offrir la ration de foutre nécessaire à son bon moral, à commencer par Marie-Ange, naturellement.
Pour Farah et Nojan, c’était toujours le statu quo. En fait, la seule exception notable dans l’évolution des relations entre mères et fils se fit du côté d’Audrey et de Dorian. Quelques jours auparavant, Audrey s’était enfin décidée à solliciter auprès de Gwen les conseils dont elle avait tant besoin. Elle avait profité de la croiser dans la villa, tandis que les autres étaient à la plage.
-« Puis-je m’entretenir avec vous un instant, s’il vous plaît ?— Bien évidemment, Audrey ! Et vous n’avez nullement besoin d’être aussi formelle avec moi, je suis là pour ça…— C’est gentil de votre part… comment dire ? Je… j’ai fait à mon fils une promesse que je ne suis pas sûre de pouvoir tenir, voilà !— Quel genre de promesse ?— Je… je lui ai promis que je ferais de lui un esclave dévoué à mon service…— Ah… je vois… c’est lui qui vous l’a demandé ?— Oui…— Eh bien ? Quel est votre problème ?— Je n’ai jamais fait ça ! Je veux dire, je ne me suis jamais comportée en dominatrice avec aucun homme ! Je suis si perdue…— Allons, allons ! Prenons les choses depuis le début, si vous le voulez bien… commencez donc par m’en dire un peu plus sur vous deux et les raisons pour lesquelles il vous a fait une telle demande…— Je ne sais pas par où débuter… que voulez-vous que je vous dise ? J’ai eu mon fils très jeune. Le père était mon petit copain de terminale. Un accident. Pourtant, c’était pas faute d’avoir utilisé un préservatif… Les années SIDA, vous vous souvenez ? On nous avait tellement rebattu les oreilles avec ça… bref, il y a eu un raté et je suis tombée enceinte. J’étais amoureuse, et je n’ai jamais voulu dire à mes parents qui était le père, même quand il m’a plaquée après que je lui eus expliqué ma situation. J’espérais qu’il revienne et ne voulais pas foutre toutes mes chances en l’air en lui faisant du tord. Ca ne s’est jamais produit, et il n’a d’ailleurs même pas reconnu l’enfant…
Mes parents ont respecté mon silence. En revanche, étant encore mineure, j’avais besoin de leur autorisation pour me faire avorter, et c’est là que ça a coincé. Pour eux, il s’agissait là d’un meurtre, et il leur était tout-à-fait inenvisageable de s’en rendre complice de quelque manière que ce soit. Pour autant, ils étaient riches et m’assurèrent que mon enfant et moi ne manquerions jamais de rien. J’ai donc passé mes épreuves du bac avec d’épouvantables nausées, ce qui ne m’a pas empêchée de l’obtenir, mais au lieu de faire ma rentrée à l’université avec mes copines, mes parents m’ont payé un appart et m’ont ouvert un compte en banque qu’ils approvisionnaient, et approvisionnent toujours généreusement…
J’ai accouché en janvier, et à partir de là, ma vie a été presque entièrement consacrée à mon fils pendant que mes copines, qui passaient parfois me voir, me racontaient les détails de leur vie insouciante. J’ai eu un peu de mal à l’accepter au début, mais Dorian était un petit garçon adorable, et j’en ai fait mon deuil. Il ne faisait jamais un caprice et était toujours disposé à me faire plaisir. D’ailleurs, vivant sans présence masculine, il avait pris en grandissant des petites habitudes de mari attentionné...— Lesquelles, par exemple ?— Je ne sais pas, moi… ça fait des années qu’il m’apporte mon petit-déjeuner au lit le dimanche matin, il me brosse les cheveux… Et il est toujours disposé à me rendre service, il insiste pour faire le ménage et les lessives alors que je ne travaille pas, tout ça, quoi…— Et votre vie sexuelle, dans tout ça ?— Ben justement ! Même si je n’ai jamais vécu avec un homme, en dehors de mon fils, j’ai toujours eu tout le temps que je voulais pour rencontrer des hommes en journée, surtout depuis qu’il est en classe, et d’autant plus maintenant que je suis quasiment libérée de toutes les corvées ménagères…— Il le sait, ce à quoi vous occupez vos journées ?— Depuis quelques temps, oui… enfin, il s’en doute… un jour, il est rentré des cours beaucoup plus tôt que prévu…— Et ça n’a rien changé à son comportement ?— Non… au contraire… Il en fait encore plus, même ! Il dit que c’est normal, qu’il est heureux pour moi, et qu’il espère que j’en profite bien. Il voulait aussi que je lui raconte… — Vous l’avez fait ?— Oui, un petit peu… il s’est montré tellement curieux ! — Que lui en avez-vous dit ?— Que je préférais les partenaires black… celui qu’il avait croisé l’était… c’est pour ce que vous savez… enfin, on a moins de chance de se tromper, quoi… mais je ne suis pas rentrée dans les détails !— Mais il aurait bien voulu les connaître, n’est-ce pas ?— Oui… — Je vois… et ensuite ?— Ensuite, il m’a aussi proposé de me savonner le corps quand j’étais dans le bain. J’ai refusé catégoriquement. Mais il a insisté. Il revenait constamment à la charge. Quand finalement il m’a supplié de lui montrer au moins mon sexe, je n’ai pas eu le cœur de refuser. Il semblait si heureux lorsqu’il l’a vu… C’est là qu’il m’a avoué que son plus grand bonheur serait de me servir, jusqu’à devenir mon domestique, mon jouet, mon esclave…. Il me l’a répété sur tous les tons par la suite, si bien que l’idée a fait son chemin et a fini par m’apparaître séduisante. D’abord ça m’excitait, et puis, quelque part, il me le devait bien, non ? J’avais quand même sacrifié ma jeunesse à son éducation… Un jour une amie m’a parlé de vous, j’ai décidé de sauter le pas. Voilà où j’en suis… le problème, c’est que je ne sais vraiment pas comment répondre à ses désirs…— Eh bien, le plus simplement du monde, ma chère : en écoutant les vôtres…— Que voulez-vous dire ?— Ecoutez : je n’ai pas non plus une grande expérience en la matière, n’ayant pas moi-même pratiqué. Mais votre cas n’est pas unique. J’ai déjà aidé, il y a 3 ans de cela, une maman à soumettre son fils. Oh ! Je ne suis pas sûr qu’il était aussi consentant que le vôtre, mais j’en ai retenu quelque chose d’essentiel : les fils soumis sont avant tout amoureux de la chatte de leur mère, qui est leur unique raison de vivre. C’est quelque chose qu’ils sentent confusément en eux, avant même de l’avoir vue. Votre devoir, si vous voulez son bonheur, est que vous favorisiez et mainteniez cette passion pour elle…— Ok ! Mais comment faire, concrètement ?— Rien de bien compliqué ! Le principe est simple : le soumis fonctionne à la récompense et celle-ci, ou plutôt son absence, engendre la frustration, qui elle-même renforce… comment dire… l’attachement de l’esclave à sa maîtresse, et son désir de mieux la servir. Et cette récompense, elle passe nécessairement par votre chatte… Il vous l’a déjà fait un peu comprendre, n’est-ce pas ?— Oui, en effet…— Pour le reste, faîtes-vous plaisir, suivez vos instincts ! Faîtes-vous servir comme bon vous semble ! Dîtes-vous bien que lui non plus n’a probablement pas d’idées préconçues. Son seul souhait est de vous obéir et de vous faire plaisir du mieux qu’il le peut et, le cas échéant d’en être récompensé comme il le souhaite…— Par un contact avec… avec mon sexe ?— Voilà !— Comme un rapport sexuel, par exemple ?— Ca, c’est le top ! Mais n’importe quel autre fera tout aussi bien l’affaire… La cliente dont je vous parlais ne cessait de se vanter que son fils était un lécheur de chatte hors-pair…— Je vois… c’est… intéressant… bon ! Très bien ! Je vais réfléchir à tout ça…— Je sais que tout ceci peut vous sembler bizarre, mais il y va du bonheur de votre fils. C’est parfois dur d’être une bonne mère, comme vous le savez sans doute, mais vous verrez que vous y trouverez aussi sûrement des compensations… Tenez-moi au courant, d’accord ?— Vous pouvez compter sur moi ! »
Audrey remercia longuement son interlocutrice avant de prendre congé. Il fallait donc qu’elle se comporte avec son fils comme elle en avait envie. Vaste programme ! De quoi avait-elle envie, d’abord ? Présentement, ayant renoncé à sa vie sexuelle depuis plus d’une semaine pour effectuer ce voyage, ce à quoi elle n’était pas habituée, c’est surtout de la bonne grosse bite de l’un de ses amants, qui étaient essentiellement sélectionnés sur ce critère, qu’elle désirait. Il ne fallait pas y compter avec son fils. Son sexe, lorsqu’elle l’avait branlé, lui avait paru si ridiculement petit par rapport à ce que sa rigoureuse sélection lui permettait de manipuler d’habitude…
En revanche, la directrice avait raison, il existait d’autres méthodes pour se faire plaisir, et effectivement, la perspective d’un broute-minou en règle lui sembla de nature à apaiser la chaleur insidieuse qui régnait dans son entrecuisse. Elle y réfléchit le restant de la journée, plus pour se donner bonne conscience qu’autre chose : elle avait déjà pris sa décision dès la fin de sa discussion avec la perverse conseillère.
Le soir venu, au moment où Dorian s’apprêtait à retirer sa tête après l’avoir embrassée sur son intimité, il sentit la main de sa mère se poser sur sa tête pour la retenir où elle était.
-« Embrasse-moi encore… » entendit-il clairement.
Il n’hésita pas et déposa un deuxième baiser sur la vulve maternelle.
-« Tu veux me faire un bisou avec la langue ?— Je… je peux ?— Puisque je te le propose… »
Son rêve était en train de se réaliser et, encore une fois, il ne tergiversa pas. Sa langue se fraya un chemin dans la forêt de poils, jusqu’à rencontrer les lèvres intimes qu’elle écarta à son passage. Une saveur légèrement salée se répandit dans la bouche. Il adora ! Il fit plusieurs allers-retours le long de la fente, puis craignant d’abuser, s’arrêta.
-« Pourquoi tu t’arrêtes ? Continue chéri, lèche-moi la chatte… »
Son cœur se mit à battre la chamade. Ca y est ! Il allait pouvoir le faire ! Il en avait tellement rêvé ! Il allait falloir qu’il se montre à la hauteur… Dans son excitation néanmoins, et fort de l’autorisation de sa mère, il perdit toute retenue. Il avait ouvert grand la bouche et suçait goulûment sa chatte dans ses moindres recoins, aspirant les lèvres, léchant le clitoris quelques instants avant de s’insinuer à l’orée du vagin pour recueillir le jus qui commençait à en sortir, et revenir au clitoris. C’était plaisant, mais anarchique, et Audrey décida d’y mettre un peu d’ordre :
-« Doucement, mon cœur, doucement… on n’est pas pressés, tu sais ? On a toute la nuit… voilà, fais doucement… remonte un peu… tu sens ce truc un peu dur ? Oui, là… c’est mon clitoris… Tu le sens ? Je veux que tu le prennes entre tes lèvres et que tu l’aspires… un peu plus fort… comme ça, c’est bien… hummmm ! Ouiii ! Tu es très doué mon chéri, continue… tète-moi bien le clito ! »
C’était infiniment agréable, et Audrey se tut pour mieux savourer. Les hommes qu’elle fréquentait étaient généralement du genre machos et ne se livraient que rarement à ce genre d’exercice. Et quand ils le faisaient, on sentait que c’était plus par politesse qu’autre chose ; ils ne s’attardaient jamais. Avec son fils, c’était une expérience inédite. Il lui dévorait littéralement la moule avec passion, en fouillant de sa douce langue chaque renfoncement de ses muqueuses, ne cherchant même pas à respirer, presque en transe, impatient d’en avaler tous les sucs. En outre, Audrey pouvait enfin se faire lécher de la façon dont elle le désirait. Dorian suivait scrupuleusement ses consignes, se réduisant de lui-même à la fonction d’un sex-toy vivant. Un immense champ de perspectives s’ouvrit d’un coup pour Audrey.
Pendant 5 bonnes minutes, son fils lui téta le clitoris sans faillir, en grognant de bonheur, faisant monter lentement l’orgasme au creux de son ventre. Lorsqu’il arriva, puissant, violent, dévastateur, elle sentit distinctement son vagin expulser un jet de mouille qui alla s’écraser sur le menton de son lécheur, qui ne broncha pas. Un peu sonnée, Audrey mis quelques instants à recouvrer ses esprits. Dorian était sorti vainqueur de la lutte contre les mouvements désordonnés qui avaient agité sa mère pendant sa jouissance, et toujours à son poste, il continuait docilement à lui sucer le clitoris, ainsi qu’elle le lui avait ordonné. Elle était aux anges.
-« C’est très bien, mon chéri ! Tu m’as vraiment bien faite jouir ! Mais tu as vu ? Maman a tout inondé sa petite chatte à cause de toi… il faut aller éponger maintenant !— Oui, maman, j’y vais… »
Même sans ordre de sa mère, Dorian y serait allé de toute manière. La brève éruption de cyprine de sa mère n’était pas passée inaperçue, et il mourrait d’envie d’y goûter. Il fit descendre sa bouche de quelques centimètres le long de la fente ouverte et commença aussitôt à laper le liquide un peu gras qui maculait l’entrée du vagin.
-« Il est bon, mon jus de chatte, hein ? Tu aimes ? Oui… continue, petit gourmand… avale tout… hummm ! Ouiii !! Il en reste encore à l’intérieur, tu sais… enfonce ta langue dans mon trou… voilààà… tu vois ? Maman a encore plein de jus pour toi, mon chéri… remue ta langue… oui, comme ça… lèche-bien tout… »
Audrey était sur la voie dans un autre orgasme, quand soudain une idée lui vint.
-« Tu as vérifié que ça n’avait pas coulé plus bas ? »
C’est vrai ! Il n’y avait pas pensé ! Avec un peu de regrets tout de même, il retira sa langue du vagin de sa mère, et sans se poser plus de questions, la dirigea vers son anus. Audrey fut sidérée de la rapidité avec laquelle il avait obéi. Cela avait été si simple. On ne le lui avait jamais fait ça, et jamais elle n’aurait osé le demander à l’un de ses partenaires. Pourtant il lui avait suffit d’une demande implicite à son fils pour que celui-ci se régale de son cul, dardant déjà la pointe de sa langue pour en forcer l’entrée. Elle releva les jambes et écarta les fesses pour lui en faciliter le passage et commença à se branler aussitôt. « Quel pied ! » pensa-t-elle, « Et dire que je n’ai même pas eu à insister ! Je sens que je vais adorer ce voyage ! »
Elle n’eut pas le loisir d’y songer plus longtemps. Les caresses qu’elle se prodiguait sur son clitoris, alliées à la langue de son fils à demi enfoncée dans son sphincter, lui amenèrent un autre orgasme aussi intense que le premier. Juste avant de jouir, elle attrapa la tête de son fils :
-« Ouuuh ! Comme tu me bouffes bien la chatte ! Oh ! Mon dieu ! Ca… ça y est… ça vient ! Tu vas me faire jouir ! Je vais… je vais encore tout… tout te décharger à la gueule! Ouvre bien la bouche, Dorian ! Bois tout ! Aaaah… »
Ce n’était pas réellement un jet, mais effectivement la cyprine se mit à couler abondamment du vagin jusque dans la bouche de Dorian. Il resta sans bouger encore longtemps après que les spasmes qui secouèrent le ventre de sa mère se furent arrêtés, la langue rivée à l’ouverture de l’orifice. Elle finit par le repousser et le regarda. Son visage, luisant de sa mouille, était extatique. Audrey n’en revenait pas de voir de quelle façon il lui avait mangé la moule et le cul. Jamais on ne s’était comporté avec autant de servilité à son égard, et si Dorian semblait en retirer une certaine fierté, elle au contraire, au-delà du plaisir qu’il lui avait procuré, en conçut du mépris pour lui.
-« Ca t’a plu, maman ? » interrogea finalement Dorian, les yeux pétillants.-« C’était pas mal… Maintenant va te laver la figure, et allons nous coucher… »
Il fut un peu surpris de la manière dont sa mère lui répondit, elle qui était d’habitude si douce avec lui, mais tout à son bonheur, il s’exécuta sur le champ. Lorsqu’il revint de la salle de bain, sa mère s’était déjà endormie, repue de plaisir. Dorian l’était tout autant. Lui aussi avait joui. Sans se toucher. Au moment où sa langue avait finalement forcé l’entrée du cul de sa mère…
Diffuse en direct !
Regarder son live