Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 67 J'aime
  • 5 Commentaires

offert

Chapitre 1

Gay
Me voici aborder le milieu de ma vie. Et des fantasmes me trottent dans la tête. Je me présente, Tom, 45 ans, 1m78 pour 80 kilos. Plutôt sportif. Anciennement châtain, je vire au gris. Je ne suis pas homo, je n’aime pas embrasser, caresser un homme. Mais je suis attiré par les queues. J’ai franchi le pas il y a 3 ans. J’ai osé sur Internet m’adresser à un mec qui voulait un passif. J’ai adoré le sucer, mais la sodomie ne m’a pas fait décoller. Il manquait quelque chose.
J’ai trouvé Hervé, un passif, mais dépravé, dont le péché mignon est de dépraver de bons pères de famille. Il a accepté de m’initier. La première rencontre fut très stressante pour moi. Mais quand il a posé sa langue sur mon anus, j’ai décollé. Et quand il a commencé à m’insulter, à me fesser, là j’ai presque joui.J’avais trouvé mon piment. Etre dominé. Etre l’objet de plaisir d’hommes qui me traiteraient de tous les noms.
Hervé m’a appelé tout à l’heure à l’improviste à 9h du soir. Il m’annonce qu’il vient me chercher en voiture et que je dois me libérer vite fait. Tout refus entraînerait la fin de notre relation, tout retard serait puni. Le bon père de famille que je suis doit trouver le prétexte adéquat. Pas évident du tout.
— Chérie, j’ai mon pote Hervé qui a un coup de déprime, il veut discuter dans un bar et passe me prendre, ai-je trouvé comme mobile. Si ma femme savait que son homme, dont elle aime le côté directif, va être un objet sexuel ce soir...

Je m’habille d’une tenue légère facile à enlever, t-shirt et bas de jogging. Pas de slip, enfin un dans la poche pour le retour. Voilà Hervé. Je monte à côté de lui, on discute tranquillement de banalités 5mn. Puis :
— A poil, m’ordonne-t-il.
Je suis mort de peur. Déjà, je ne sais pas où l’on va. J’imagine qu’il va m’offrir à un homme, puisque lui est passif aussi.J’obéis, car je suis là pour cela. Nu dans la voiture, n’importe qui pourrait me voir. Enfin non, le soleil se couche, il y a peu de monde et la portière cache mon sexe.Hervé tripote ma queue qui n’en mène pas large et refuse pour le moment de se dresser. :((Mais mon plaisir cérébral est en ascension rapide. Surtout qu’il me chauffe à mort avec ses phrases. Il sait jouer avec mon cerveau et me faire décoller.
— Alors salope, t’es prête à sucer des bites ? Petite chienne, tu vas te mettre à quatre pattes et offrir ta chatte à toutes les queues qui auront envie de se vider. Des grossses, des longues, des petites, toutes.
— Et je mettrai ma queue dans ta bouche moi aussi, pendant qu’une bite te défoncera, pour me faire sucer aux mouvements de ton cul.
Cela l’excite lui aussi, tout comme sa queue dont je vois la tête émerger de son short.
— Hum, mais tu as déjà faim ma truie, dit-il en interceptant mon regard. Il sort son membre et me demande de le sucer. Je m’empresse d’obéir. Pourquoi est-ce que j’aime autant cela ? Grande question que je ne me pose pas. Je la suce, comme un affamé, essayant de la faire entrer jusqu’aux couilles. Je bave dessus, tête le bout et passe ma langue partout.
Mais la voiture ralentit, s’arrête. Je veux me relever, mais il m’en empêche.
— T’arrête pas de sucer ma salope, dit-il.
J’ai peur, on doit être à un feu rouge, il y a peut-être quelqu’un qui nous voit. Quelle horreur ! Mais je sens mon sexe chauffer, se gorger de sang et gonfler à cette idée. J’ai envie que l’on me voie. J’aime cela.Mon maître me connaît bien, moi et mes plaisirs pervers.
— Oui petite chienne, il y a un cycliste à la portière qui te voit me sucer. Il semble aimer ce spectacle. On est attendu, dommage pour lui. Applique-toi bien.
Cette confirmation me procure un plaisir sans nom, exhibé, humilié, dégradé, dominé.
La voiture repart. Je sais que mon maître ne veut pas jouir là dans ma bouche. Je ne l’aspire pas à fond pour ne pas être puni.
— Allez petite chienne, redresse-toi, on est arrivé.
La voiture prend une sortie et arrive à un parking où sont stationnés pas mal d’autres véhicules.J’ai peur. Mes dents claquent et le froid m’envahit. Et en même temps, j’ai une boule de plaisir dans les couilles. Je sens que je vais avoir des bites, des ordres et du sperme, le trio magique qui me fait tant jouir.Il n’y a de magasins ou restaurant autour. Tous ces gens sont là pour le sexe.
— Vas-y, sors esclave et mets-toi devant les phares que l’on te voit bien. Je vais te donner à ces affamés. Montre-leur tes appâts.
Je sors, ferme la porte. Le bruit, tel un appel, déclenche le mouvement de personnes qui s’approchent.
— Messieurs et mesdames s’il y en a, voici ma petite chienne. Elle est à votre disposition pour satisfaire vos désirs et besoins, dans le respect et avec les protections d’usage.
Oui, je n’aime pas jouer à la roulette avec ma vie. Mon maître est là aussi pour veiller à ma sécurité et au port de la capote. Je ne veux pas être fécondé.
— Elle aime la queue, le sperme et même les fessées. Tourne-toi salope, montre leur ta chatte.
J’obéis avec joie. Je me penche sur le capot de la voiture, dresse mon cul bien haut et écarte les globes. Je m’offre à eux, caresse ma chatte, y fais entrer un doigt et je mime une sodomie. Je suis en feu, je veux de la queue, je veux être possédé.
Je ne vois pas les visages, je ne les regarde pas. Seules ces bites m’attirent.Des queues apparaissent rapidement. Laquelle choisir ? Je n’ai pas le temps de me poser la question qu’un homme me prend par le bras, me force à terre à genoux.
— Allez salope, tu as entendu ton maître ? Suce-moi vite et bien profond que je te remplisse de mon sperme.
Je ne me le fais pas dire deux fois. Ma bouche s’avance, comme hypnotisée par ce membre. Il est magnifique, bien décalotté. La tête est dressée, déjà baveuse d’excitation. Ma langue sort et goûte de la pointe le liquide qui s’échappe puis descend le long du sillon.
— Non non connasse, suce-moi bien ! L’homme me prend la tête et enfonce sa queue dans ma bouche.
C’est parti.
Diffuse en direct !
Regarder son live