C’est bizarre la soumission. Je ne comprends pas bien ce phénomène. Donnez-moi un ordre, donnez-moi à une queue et je grimpe aux rideaux. Mais enlevez un élément et je reste froid.Le gars m’indiffère. Je ne m’intéresse pas à son corps, juste à sa queue et à sa voix. Je n’ose même pas penser à la situation dans laquelle je me retrouve. Je suis là, dans un endroit que je ne connais pas, entouré de personnes inconnues et que je distingue à peine.A genoux, sur un sol dur et dont les cailloux me percent la peau, je suis nu. Il fait un peu froid, ma queue pourrait passer dans « avis de recherche » tellement ratatinée sous le froid et le stress.Mais mon cerveau pétille de plaisir.Ah j’oubliais, petite précision qui a son importance, ma tête est encerclée par deux mains et un gars est en train de se branler dans ma bouche, assez brutalement.Et j’aime cela. J’entends Hervé à côté. — Approchez donc, regardez ma chienne, elle a soif, elle en veut plus. On croirait un bonimenteur. Il doit prendre son pied à voir mon côté sombre alors qu’il connaît bien le côté « normal ».C’est un passif lui aussi. Je ne peux le voir, emprisonné par mon partenaire, mais je sais qu’il va goûter toutes les queues possibles avant qu’elles n’arrivent vers moi. Mon esprit s’est égaré un moment et mes dents ont mordu le gars par inadvertance. — Connasse, fais attention, tu vas chier si tu refais cela, dit mon partenaire. La queue coulisse dans ma bouche. J’aime son contact, sa douceur. Mais ce n’est pas la source de mon plaisir. Je jouis de sentir que ma bouche n’est qu’un réceptacle, qu’un trou destiné au plaisir exclusif de ce gars. Je jouis d’être utilisé, de n’avoir aucun pouvoir de décision. Et enfin, je jouis de sentir les regards lubriques de tous les spectateurs. J’imagine leur queue raide, qu’ils caressent en s’excitant devant ma soumission. — Ah je jouis, vas-y avale tout petite bouche à pipe. Mon partenaire me tient fermement, il se contracte, son sexe grossit dans ma bouche et s’enfonce au fond de ma gorge. Soudain, des giclées de sperme jaillissent, chaudes, salées, puissantes. Je dois avaler au fur et à mesure, du mieux possible pour ne pas m’étrangler. Il me relâche, je me penche et tousse, car le sperme est un peu passé par le nez.
— C’est bon les gars, vous pouvez y aller sans souci, elle est bonne la salope de ce soir, dit le gars en se rhabillant. Une petite voix en moi est un peu dégoûtée, je ne suis qu’un trou de passage, un instrument de plaisir. Mais cela m’excite, j’ai encore envie, j’ai envie de plus. — Alors, bon début pour toi petite chienne ? Me demande Hervé. Je me vois secouer la tête affirmativement avec force. Je me relève et vais faire ma pute, nue. Je me dandine vers les mecs dans l’intention de les faire bouillir. Ils sont là, autour de moi, la queue sortie des falzars.Je passe devant chacun, effleurant de la main la queue offerte, me tournant en mimant une sodomie, me baissant pour donner un coup de langue.Oups, j’ai trop joué, je crois. Un costaud m’attrape par-derrière, par les hanches, me soulève et me jette quasiment sur le capot d’une voiture. — Alors comme cela tu nous allumes salope, dit-il. Je sens une grande claque atterrir sur mes fesses. Puis une seconde.— Ecarte les jambes trou à bite, donne ton petit cul, vite. Une troisième claque retentit. Cela devient une fessée et à chaque coup, mes fesses se dressent de plus en plus, pour obéir ou bien pour mieux recevoir la suivante, je ne sais pas. Un molard se pose sur mon anneau et je sens déjà le gland pointer. J’ai confiance en Hervé, je sais qu’il a vérifié la présence d’une capote. Quel dommage quand même, j’aurais bien aimé sentir le sperme couler en moi. Mais ce n’est pas raisonnable. Je ne suis pas lubrifié ni préparé. Ma chatte est toute serrée. Il pousse peu à peu, avance et recule. Et lorsqu’il ressort, c’est mon cul qui recule pour le rattraper. — Regardez-moi cette salope comme elle a chaud au cul ! s’exclame le gars. OK je pilonne. Heureusement que la capote est lubrifiée. Le sexe s’enfonce en moi, dilatant mes chairs. Je tente alors de me retirer, car la douleur arrive. — Non, non, pas de ça, tu restes là poufiasse. Le gars m’attrape les bras, les tire vers l’arrière et s’en sert pour mieux s’enfoncer. Alors que j’ouvre la bouche en grand pour respirer et me détendre, un autre s’assoit sur le capot, me saisit la tête et l’enfonce entre ses jambes, me forçant à le pomper, non à lui servir de trou à bite.Je suis une poupée gonflable. Je suis tenu par la tête, et par les bras. Je ne peux rien faire que subir. Une queue prend son plaisir dans mon rectum, une autre dans ma bouche. Je perçois des flashs et entends des commentaires des spectateurs autour : — Quelle salope, quel trou, elle ramasse, vas-y défonce-la cette pute......... Mon sexe est maintenant comme un fer chaud. Il a envie de cracher de plaisir, physique et mental.Des gouttes sortent déjà, sans que je me touche.Les bourses de mon enculeur claquent, comme sa main de temps en temps. Mon cul s’est habitué au calibre et essaie de s’agiter pour s’enfoncer plus profondément. Pourtant, il est déjà à fond. Me tenir les bras lui permet de me défoncer au plus profond de ses possibilités. J’en veux une plus grande ? Une plus grosse ? Je suis vraiment une grosse cochonne.Mais voilà qu’il accélère. Sa fin est proche.Heureusement, car j’ai du mal à assurer aussi la fellation et d’ailleurs la queue de devant s’énerve un peu, s’impatiente. Il sort de mon ventre, me lâche les bras et d’un coup, je sens des jets de liquide sur mon cul, dans mon dos. Devant moi le gars a pris sa bite et l’astique pour la faire cracher sur mon visage.Les jets se répandent dans mes cheveux, sur mes joues, mon front.Je regarde le gars dans les yeux, sors la langue et lèche les coulées qui passent à portée. — Quelle salooooooope, quel coup ! J’entends des applaudissements. C’est Hervé qui se rapproche de moi et me félicite de ma prestation.— Maintenant Messieurs, comme ma petite chienne a soif et comme certains d’entre vous ont toujours envie de jouir, je vous propose de l’entourer et de vous branler devant elle, en utilisant vos mains, les siennes, sa bouche pour lui offrir une douche de sperme.
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