Je m’appelle Vincent, j’ai trente-trois ans et j’habite à Rennes avec ma femme Justine qui a trente et un ans. Nous nous sommes rencontré à la fac et ça a été le coup de foudre immédiat. Nous sommes rapidement sortis ensemble et nous venons de fêter nos sept ans de mariage (et plus de dix ans en couple) il y a quelques mois. La plupart de nos amis nous disent que nous sommes l’exemple typique du couple solide et harmonieux. Nous avons une relation très fusionnelle malgré les années qui passent et partageons les mêmes centres d’intérêts : la musique, le cinéma et la fête. Justine m’a toujours beaucoup plu physiquement. C’est une grande femme un peu ronde avec un corps harmonieux, avec de longs cheveux châtains très bouclés, des yeux rieurs, un bon gros cul et une poitrine très généreuse qui ne laisse aucun homme indifférent. C’est de plus une femme très sociable et extravertie qui n’hésite pas à faire ressortir ses atouts (son 95D et son cul) à l’aide de décolletés plongeants et de pantalons moulants quand le besoin s’en fait sentir. C’est également une bonne vivante, toujours la première à faire la fête et la dernière à terminer, ce qui se marie très bien à ma personnalité de fêtard invétéré. Sur le plan sexuel aussi nous sommes très complices. Justine est aussi ouverte et imaginative que moi, ce qui nous a toujours préservé de la monotonie qui détruit bien des couples. Nous achetons des sextoys, de la lingerie sexy et nous faisons même parfois des jeux de rôles pour diversifier un peu notre quotidien sexuel. Nous sommes toujours honnêtes l’un envers l’autre et ne nous cachons rien de nos fantasmes. Elle sait que je suis un petit pervers et ne s’en est jamais offusquée, y voyant plutôt l’occasion de satisfaire ses gros besoins sexuels. Il y a un seul point de discordance dans cette entente sexuelle merveilleuse : Justine a toujours refusé de se faire baiser par un autre homme en ma présence. J’avoue que c’est un peu mon fantasme ultime et je pense qu’il faut beaucoup aimer sa femme pour l’offrir à un autre. Quoiqu’il en soit, malgré de nombreuses discussions à ce sujet tout au long de notre mariage, j’ai toujours essuyé des refus catégoriques de sa part. Elle a peur que cela brise quelque chose dans notre couple. Il faut aussi que je vous présente celui qui a fait basculer mon univers : Simon, le jeune frère de Justine. C’est un éternel célibataire de vingt-neuf ans qui enchaine les fêtes et les petites copines. Il tient un petit commerce de spiritueux à Rennes, ce qui lui permet de souvent trainer en notre compagnie. Justine et lui ont toujours été très proche et il a donc finit par devenir un de mes meilleurs amis, en plus d’être mon beau-frère. Il faut bien dire que leur complicité extrême a tendance à déconcerter pas mal de monde, moi le premier. En particulier, j’ai toujours eu l’impression que Simon regarde Justine un peu plus intensément que ne le devrait un frère. Néanmoins, je n’aurais jamais imaginé qu’il s’immiscerait un jour dans ma vie sexuelle… Un soir, nous sommes tranquillement en train de regarder un épisode de Game of Thrones au cours duquel Théon Greyjoy glisse sa main dans le pantalon de celle qu’il découvre quelques instants plus tard être sa sœur. Totalement excité par la perversité de cette situation je m’en ouvre à ma femme : — Putain, je n’ai jamais eu de sœur mais je trouve ça très excitant comme situation.— C’est plus fréquent que tu imagines. Pas mal de frères et sœurs découvrent la sexualité en jouant à touche pipi ensemble…— C’est vrai ? Toi et Simon, vous avez déjà fait des trucs du genre ?— Et bien… C’est vrai qu’une fois, lors des vacances d’été quand on était plus jeune, on dormait dans la même chambre et on a fini par se toucher mutuellement… — C’est fou ! Pourquoi tu m’en avais jamais parlé ?— J’en sais rien. L’occasion ne s’est jamais présentée. Et puis, c’est pas le genre d’évènement dont on a forcément envie de discuter avec son mec.— Vous l’avez refait souvent ?— Non, c’est arrivé qu’une fois. On avait un peu honte et on n’en a jamais reparlé.— Mais, comment c’était ? Tu as pris ton pied ? — Tu es bien curieux d’un coup. Ça t’excite de m’imaginer faire des choses avec mon frère ? Pour toute réponse, je baisse mon pantalon révélant ma verge qui a pris des proportions énormes suite à notre discussion. Pas rancunière, Justine me fait une pipe mémorable tandis que la scène qu’elle vient de me décrire défile devant mes yeux. Je ne mets pas longtemps à remplir sa jolie bouche de sperme qu’elle va aussitôt recracher dans le lavabo. Nous reprenons ensuite le visionnage de la série mais i l’un ni l’autre ne suis grand-chose de la fin de l’épisode.
A partir de ce jour, le vers est dans le fruit. Moi qui ai toujours rêvé de partager Justine avec un autre homme, je trouve une dimension encore plus érotique au fait de le faire avec mec complètement interdit, comme son propre frère. C’est simple, je ne pense plus qu’à ça ! Un soir, n’y tenant plus, je saute le pas. Alors que nous venons de nous chauffer et qu’elle est à genou ma bite à la main, je demande brusquement à Justine de fermer les yeux et de me sucer en imaginant qu’il s’agit de la bite de son frère. Visiblement surprise par ma demande, elle y réfléchit silencieusement quelques secondes, puis finit par s’exécuter pour mon plus grand bonheur. Elle commence à me sucer les yeux fermés, d’abord timidement, puis de plus en plus intensément et pour finir avec une voracité que je ne lui connais pas. C’est bien simple, elle ne m’a jamais sucé avec autant de délectation que ce soir, m’emmenant à l’orgasme en moins de cinq minutes. Et, chose étrange, elle qui n’aime pas avaler habituellement, elle le fait cette fois sans hésitation. Je comprends alors que n’est pas moi qu’elle a laissé gicler dans sa bouche, mais son frère. Les yeux encore fermés, elle me demande de lécher sa chatte au plus vite. Je m’exécute avec plaisir, promenant ma langue experte sur son joli minou que je découvre complètement inondé. J’ai bien conscience que ce n’est pas à moi qu’elle pense lorsqu’un orgasme violent la terrasse quelques minutes plus tard, et cela m’excite au plus au point. C’est une révélation pour moi. Ce fantasme qui m’habite depuis des semaines de voir Justine coucher avec son propre frère est en fait partagé par ma femme. De manière inconsciente bien sûr, mais le fait qu’elle accepte aussi facilement de se prêter à mes petits jeux et qu’elle y prenne autant de plaisir ne laisse aucun doute à ce sujet. Deux jours plus tard, je décide de pousser le délire un peu plus loin au cours d’une de nos séances de sexe pour voir si Justine entre dans mon jeu. Je suis en érection sur le canapé et je lui demande de venir s’asseoir sur ma queue dressée. Alors qu’elle s’exécute, je lui demande d’imaginer que c’est Simon qui est en train de la baiser. A ma grande surprise, elle ne plaint pas de ma demande perverse et, tout en fermant les yeux, commence un mouvement de piston sur pendant que j’embrasse ses seins. Je sens que sa chatte mouille plus que d’habitude et que quelque chose de fort se passe en elle. Il ne lui faut vraiment pas longtemps pour atteindre l’orgasme. Elle me griffe le dos jusqu’au sang et inonde mes couilles de sa mouille tout en se mettant hurler : — Ohhh ouuuiii ! Simon, Simon !!! Une fois son orgasme terminé, elle ouvre les yeux et semble différente. Comme si le plaisir intense qu’elle a pris dans cette pratique taboue lui avait ouvert les yeux. Elle semble déstabilisée mais aussi plus consciente que jamais de ses propres désirs. Je l’embrasse tendrement pour la féliciter de son courage et de son audace. Dans les trois mois qui suivent, je fais régulièrement l’amour à Justine en jouant le rôle de son frère. Ce n’est pas systématique bien sûr, mais cela devient très régulier. Elle ne me réclame jamais cette pratique mais accepte avec enthousiasme chaque fois que je lui propose et je ne peux m’empêcher de remarquer qu’elle prend plus de plaisir pendant nos séances de jeu de rôle que durant nos baises classiques. Plus nous allons loin dans le tabou plus je bande fort et plus elle joui. Néanmoins, même si ces me comblent sexuellement sur le moment, je sens que j’ai besoin de franchir un nouveau stade dans le tabou pour être pleinement satisfait. Après quelques semaines de réflexion, j’évoque frontalement le sujet avec Justine. Je lui dit que je trouverais très excitant qu’elle provoque un peu Simon la prochaine fois qu’il nous rendra visite afin de voir sa réaction. Je lui demande ce qu’elle en pense et elle rougit en regardant ses chaussures. Elle reste ensuite pensive un long moment et je me rends compte que cette fois-ci, j’ai sûrement poussé le bouchon un peu trop loin. Faire du jeu de rôle avec son copain c’est une chose, chauffer son propre frère pour de vrai c’en est une autre. Elle me répond finalement qu’elle va y réfléchir et j’en conclus mentalement qu’elle n’est pas emballée par l’idée. La force du tabou est trop forte mais elle n’ose pas me dire non frontalement de peur de me décevoir. Finalement, lorsque Simon nous rend visite la semaine suivante, je ne m’attends à rien d’autre qu’une bonne soirée en présence de mon beau-frère. Si bien que je suis assez surpris de voir Justine débarquer dans une robe noire très courte et très moulante qui met vraiment en valeur sa féminité. D’habitude, elle opte plutôt pour des tenues décontractées à la maison. Je remarque de plus qu’elle est parfumée. J’ai soudain le fol espoir qu’elle ait changé d’avis et qu’elle essaye. Lorsqu’elle amène le plateau de petit four et le pose sur la table basse en présentant son cul tendu, dont la courte robe ne dois certainement plus masquer du tout sa petite culotte, juste devant les yeux de Simon, j’ai la réponse définitive à mon interrogation. Elle me lance un regard complice et chargé de luxure et j’aperçois en même temps le regard de son frère totalement hypnotisé par son arrière train de déesse. Je crois que je ne l’ai jamais autant aimé qu’à ce moment-là. Nos séances de jeu de rôle l’ont totalement débloqué et elle laisse libre cour à ses pulsions les plus sauvages. Je suis, cela va sans dire, totalement excité. Remettant mon sexe tendu dans une position plus confortable dans mon pantalon, je pose une question à Simon qui mate sans vergogne le décolleté de ma femme alors qu’elle lui sert un verre de vin : — On a pris du Chablis, j’espère que tu aimes ?— hein ? … pardon ?— Je dis, j’espère que tu aimes le Chablis. Le petit salopard n’écoute absolument rien de ce que je lui dis. Il est bien trop occupé à reluquer sa sœur sous toutes les coutures. Cette soirée merveilleuse me confirme tout ce que j’espérais secrètement lorsque ma femme m’a avoué sa séance de touche-pipi avec son frère. Simon la désire secrètement, ça crève les yeux. Elle-même est très excitée par la situation, au point d’accepter de rentrer dans mes jeux tabous. Je sens que cette situation est explosive et pourrait très facilement m’amener à réaliser le fantasme qui m’obsède depuis des mois, pourvu que je pousse dans la bonne direction. La soirée se passe divinement. Justine joue les allumeuses à merveille, ne ratant aucune occasion de présenter son cul où son décolleté généreux aux yeux avides de son frère qui n’en rate pas une miette. Prenant son rôle très au sérieux, elle se fait très tactile avec lui et l’effleure de son corps voluptueux à chaque occasion. Je dois dire qu’elle m’impressionne et fait preuve d’une imagination sans limite pour trouver un millier de poses exposant sa petite culotte au regard de Simon. L’effet qu’elle lui provoque ne fait aucun doute. Il est rouge de désir et il devient vite évident que la grosse bosse déformant le devant de son jean n’est en aucun cas son téléphone.... Il finit par nous quitter un peu avant minuit et bien que nous n’échangions aucun mot à ce sujet, il est clair pour nous deux que la mission est une réussite. Nous sommes tous les deux chauffés à blanc par le tabou de cette situation et nous finissons la soirée en faisant l’amour pendant des heures. Justine joui à de nombreuses reprises et je prends un pied monstre en me vidant dans sa chatte au petit jour. A partir de ce jour, je suis persuadé que mon beau-frère va forcément coucher avec sa sœur, ma femme. C’est inéluctable. Simon en a envie, Justine en a envie et moi aussi j’en ai très envie. Il ne reste donc plus qu’a fournir la petite étincelle pour embraser cette situation chargée d’effluves érotiques hautement inflammables, et j’ai déjà une petite idée sur comment m’y prendre.
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