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Offert au vestiaire

Chapitre 1

Cadeau de victoire

Trash
Aujourd’hui, Madame a voulu me traîner à un match de foot. Je m’efforce de faire bonne figure, je n’ai pas intérêt à me plaindre, mais je ne suis guère enthousiaste. Je ne suis vraiment pas portée sur la culture footballistique. Mais elle semble particulièrement excitée par ce match, ce qui suffit à mon plaisir.
Nous arrivons alors que la rencontre a déjà débuté depuis quelques minutes. Ma chère Maîtresse n’aurait pas supporté d’attendre et de faire la queue. De très bonnes places nous ont de toute façon été réservées dans la meilleure tribune. Madame a apparemment des relations dans le monde sportif.
Sur le terrain, les joueurs me paraissent plutôt jeunes, autour de la vingtaine, et, pour ce que j’en sais, doivent être au mieux semi-pro. Les "blancs" affrontent les "verts", chacune des équipes étant plutôt bigarrées, blacks, rebeux, blancs, et même un ou deux Asiates jouant tous ensemble. Un bel exemple de cohésion multi-culturelle. C’est là l’une des seules qualités que je reconnais à ce sport.
L’ambiance, tout en restant bon enfant, monte assez vite, et Madame n’est pas en reste. Les actions des blancs la transportent, et elle laisse éclater sa joie lors du premier but. Ce qui ne manque pas de me surprendre. Elle semble cependant bien connaître les joueurs, encourageant chacun d’eux par son prénom. Je suis perplexe...
Quelques minutes après, les verts réussissent à égaliser sur un contre fulgurant, et la mine de ma Maîtresse s’en ressent. Je ne pensais pas qu’elle pourrait être aussi affectée par un match de foot, surtout semi-pro. Elle est décidément pleine de surprise.
La mi-temps sonne, et Madame m’envoie chercher deux bières. Elle joue décidément le jeu jusqu’au bout. La marche jusqu’à la buvette est assez inconfortable. Madame m’a mis un plug avant que nous sortions. Il est de taille moyenne, mais me tient bien ouvert et, après autant de temps, devient un peu gênant. En me l’introduisant dans mon cul serré et non préparé, elle m’a susurré à l’oreille :
— Je veux que tu restes tout le temps ouvert et accessible ma petite salope. On ne sait jamais ce qui peut arriver...
Au-delà de la gêne, ce qui est le plus embarrassant, c’est le regard des gens. J’ai l’impression que le regard des gens est braqué sur mon petit cul moulé dans mon jean serré, et que tous remarquent ma démarche et devine que j’ai l’anus écartelé, prêt à se faire mettre.Je suis de retour avec les boissons, juste quand les joueurs reviennent sur le terrain. En prenant son verre, ma Maîtresse me dit :
— Tu devrais t’intéresser un peu plus au jeu et encourager mon équipe. Crois-moi, tu as tout intérêt à ce qu’ils gagnent...
Je ne comprends pas très bien ce qu’elle veut dire par là. J’imagine qu’en cas de défaite de ses chouchous, elle sera de mauvaise humeur, et j’en ferai les frais.Pour cette seconde mi-temps, je cale donc mes réactions sur les siennes et m’efforce de montrer le même enthousiasme. Et je finis en effet par me prendre au jeu. Allant même jusqu’à crier et applaudir de bon cœur lorsque, à deux reprises, les blancs marquent à nouveau. Lorsque le coup de sifflet final fige le score sur 3-1 après une claire domination des blancs, Madame se tourne vers moi avec un grand sourire :
— Formidable ! N’est-ce pas mon petit ?! Nous allons bien nous amuser. Viens !
J’imagine que l’équipe va célébrer cette victoire dignement et que Madame et moi-même serons de la fête. Je n’ai jamais participé à ce genre de célébration, mais ma foi, je devrais réussir à faire bonne figure.
Nous descendons les marches et Madame, à ma surprise, m’entraîne vers la zone réservée aux équipes. Nous passons sans encombre et, au passage, elle salue et embrasse un certain nombre de personnes, apparemment des membres du staff de l’équipe. Puis, nous arrivons aux vestiaires, et elle entre sans une hésitation. A l’intérieur, l’ambiance est joyeuse, c’est accolade, congratulations et autres marques de contentement viriles entre bons amis. Tout cela dans une atmosphère moite et sentant la sueur de l’effort sportif.Bien sûr, notre entrée est remarquée, et tous acclament la venue de Madame. Elle est connue et indubitablement appréciée. On applaudit, on l’embrasse. Puis elle demande le silence :
— Mes chers petits, bravo !!! Quel match ! Vous m’avez fait plaisir et je suis fière de vous. Je ne vais pas m’étendre sur un long discours, l’heure est aux célébrations. Je vous avais promis une récompense si vous emportiez ce match : la voici !
Et ma Maîtresse se tourne vers moi en me montrant de la main. Je me pétrifie, rougit instantanément et commence à suer. Que veut-elle dire par là ? Tous me regardent fixement alors que mes yeux, eux, se fixent sur mes pieds.
— C’est ma petite salope personnelle, servile et obéissante. Une vraie chienne en chaleur videuse de couilles que je vous offre en juste récompense. Elle est là pour vous satisfaire, tous, vous pouvez la baiser, la défoncer, vous faire sucer, juter dans son cul, sur sa gueule, dans sa bouche. Faites-en ce que vous voulez, c’est une petite pute à votre service jusqu’à ce que vous vous soyez tous vidés.
Je me liquéfie littéralement sur place alors que je vois des sourires avides, et même carnassiers apparaître sur les visages des joueurs. Certains se mettent même à crier des "merci" et des "hourras" enthousiastes.Puis une voix grave, d’un grand black, résonne :
— On veut voir la marchandise !
Madame se tourne vers moi.
— Allez, tu as entendu ma chienne, déshabille-toi.
Je n’arrive pas à bouger, je suis terrifiée. Je vais être livrée en gang-bang à une équipe de foot au complet. Même les remplaçants, dans leur jogging banc et bleu, me regardent avec convoitise. Je suis mortifiée, je me sens plus bas que terre, réduite à l’état de vulgaire pute donnée en pâture aux mâles. Madame s’approche et me gifle.
— Dépêche-toi, tu ne vas pas m’embarrasser devant mes amis !
J’obtempère docilement. Je lui ai promis obéissance, et il n’y a rien que je ne ferais pas pour la satisfaire. Elle me domine totalement, son emprise sur moi est complète, sur mon corps comme sur mon âme, définitivement pervertie et avilie. Je suis sa chose.Je me déshabille sous les sifflets et les remarques salaces de tous ces jeunes qui ont au moins dix ans de moins que moi. Une fois entièrement nue, ma Maîtresse me passe mon collier d’esclave, symbole de ma condition, et y accroche la laisse.
— À quatre pattes petite chienne.
Je m’exécute, et elle m’entraîne au milieu des vestiaires, au milieu de l’équipe à qui elle va me livrer.
— Regardez Messieurs, la belle marchandise que je vous amène là.
De ses mains, elle m’ouvre la bouche.
— Une bonne bouche de suceuse gourmande à la langue agile.
Elle tire sur la laisse pour faire me redresser, sort deux pinces de son sac et emprisonne d’un coup sec dans leurs mâchoires mes tétons.
— Des seins sensibles à torturer à loisir pour la faire mouiller du cul.
Elle m’appuie sur la tête pour me faire remettre à quatre pattes et m’enjambe. De sa poigne ferme, elle m’attrape les fesses et les écarte.
— Et regardez-moi ce trou à bites qui aime être rempli. Je vous l’ai préparé pour qu’il vous accueille facilement. Il n’y a plus qu’à le baiser.
Et elle se met à jouer avec le plug, le tournant dans mon cul contracté par l’angoisse, le tirant pour le sortir – m’arrachant des grimaces de douleur tant je suis serrée par la peur – puis le replongeant en moi. Elle fait durer le plaisir sous les encouragements du groupe. Les remarques salaces fusent, insultantes, mortifiantes : "Non, mais regardez-moi cette salope ! / Quelle petite chienne ! / En v’là un bon trou à bites. / Je vais lui défoncer sa p’tite chatte à cette radasse ! / Vas-y ouvre lui bien l’cul avant que je le déchire avec mon gros chibre. etc."Puis elle se décide à retirer d’un coup le plug de mon cul et montre bien à tous mon trou ouvert et béant.
— Le voilà déjà prêt, vous n’avez plus qu’à y fourrer vos queues les gars. Je vous laisse la petite salope, occupez-vous en bien !
Et ma Maîtresse m’abandonne à eux, s’écartant pour profiter du spectacle, assise sur un banc.
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