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Chapitre 1

Découverte û

Avec plusieurs hommes
Aziz me délaissait depuis quelque temps. Il n’était plus aussi assidu au lit que lors de nos premières années ensemble, qui remontaient à dix ans. La première fois où je l’ai vu, il était directeur d’un hôtel qui possède un centre thermal, où je faisais un stage d’été pour mes études de physiothérapie. Cela avait été un coup de foudre. Il faut dire que c’est un géant de presque deux mètres, fort et blond aux yeux bleus. J’étais tombée raide dingue dès le premier jour où nos yeux se sont croisés. J’avais une petite chambre d’employés. Un soir :
— Toc... Toc... Toc !!!
En ouvrant la porte, je retrouve devant moi cette personne qui occupe mes pensées matin, midi, et soir. En fait, il m’avait suivie, mais avait hésité longtemps avant de venir toquer à ma porte....Il n’avait pas eu le temps de dire salut... Que je l’avais fait entrer et aussitôt, comme j’étais déjà en peignoir, je l’avais ouvert.
— Ah ouais, direct ? avait-il dit.— Je sais, ce n’est pas romantique, mais j’ai juste envie de toi. Tu es trop à mon goût !
Il avait ouvert sa braguette. Il ne portait pas de slip. Son sexe était très gros. J’eus tout le temps d’en mesurer l’harmonie plus tard (17 centimètres et 5 centimètres de circonférence). Il bandait, formant un angle de 90° avec le pubis (très poilu), et remontait très légèrement à la fin de la hampe vers le gland énorme, tout rond, sans trop de relief.
J’avais aussitôt sucré de salive ce gros nœud puis il m’avait couchée sur le lit, et sans préliminaire, m’avait enfilée. Il m’avait sautée en missionnaire. Au moment de jouir, il s’était retiré et allongé sur le dos. Je m’étais vite mise au-dessus de son visage pour qu’il me bouffe la raie le temps que je l’achève à la main.
Il éjacula comme un taureau. Ce fut une fontaine à sperme. Le geyser monta très haut, m’éclaboussant les seins, retombant en une pluie abondante sur les cuisses, les poils, la pine. Nous n’eûmes rien d’autre à dire. Nous fûmes amants dès le premier jour. Mon stage fini, il me rejoignit dans la banlieue tunisoise où nous élûmes domicile immédiatement après notre mariage. Pendant les premières années, la baise fut au menu de tous les jours et même plusieurs fois par jour. Le soir, c’était de longues séances chaudes où il se montrait très endurant ; parfois, le matin, quand j’étais nue dans la salle de bain, il me prenait par-derrière pendant que je me tenais au lavabo, et me niquait rapidement. Je m’aidais alors de mes doigts sur le clito pour venir en même temps que lui. Cela durait cinq minutes, et le soir, il me reprenait plus lentement et dans toutes les positons. Quand j’avais mes règles, il me prenait dans le cul.
Bref, nous avions une vie sexuelle très épanouie. Mais depuis quelques mois, il était beaucoup moins demandeur. Je lui avais demandé s’il y avait une autre femme. Il m’avait répondu:
— Non Asma, rassure-toi, c’est juste un peu de fatigue !".
Mais cette fatigue durait beaucoup trop à mon goût. Je soupçonnai une maîtresse, une double vie, que sais-je encore... Ce fut un samedi soir que tout se décanta. D’habitude, nous sortions, au ciné, chez des amis, au resto... Mais ce soir-là j’avais vraiment envie de me faire prendre. Il ne m’avait quasiment pas baisée de la semaine et j’accusais un manque. J’avais donc prétexté le mauvais temps (il pleuvait des cordes) et une tonne de linge à repasser pour rester à l’appart.
Après le dîner, je m’étais déshabillée et avais enfilé ma nuisette la plus transparente et la plus courte, sans aucun sous-vêtement pour exciter mon mari. Puis je m’étais installée dans notre petit salon, et je m’étais mis au travail. Aziz s’était assis en face de moi, sur le canapé, et il avait ouvert l’ordi pour regarder ses mails et que sais-je d’autre. Pour le moment, le subterfuge ne marchait pas. Autrefois, rien que de me voir si peu vêtue, il se serait jeté sur moi et m’aurait niquée longuement...
Tout à coup, on sonna à la porte.
— Tu attends quelqu’un ?— Non ? Et toi ?— Non... Tu vas voir mon chéri ?— J’y vais.
Aziz se leva, sortit du salon et ouvrit la porte. J’entendis la conversation. C’était Walid, notre jeune voisin étudiant qui louait le petit studio d’en face et avec qui nous avions un peu sympathisé.
— Salut Aziz, j’te dérange pas ?— Non.— Tu peux me rendre un service ? J’ai une fuite sous mon évier. Tu aurais du matos à me prêter.— Pas de souci. Je vais chercher ma boîte à outils et je suis à toi... Chérie ? Tu as entendu ? Je vais chez Walid !— OK.
Au bout de quelques minutes, comme j’en avais marre d’attendre, je choisis d’aller sur l’ordi pour mettre de la musique. Sa fenêtre de Facebook était affichée sur l’écran et je dus la réduire pour accéder à mon application. C’est alors que je remarquai qu’une autre fenêtre était ouverte. Il y était écrit : "gang bang creampie".
J’ouvris. Je tombai sur une page d’un célèbre site porno où un film battait son plein. Le petit salaud ! Il consultait son profil tout en regardant un film de cul (dont il avait coupé le son.
Perso, je n’étais pas très fan du porno et cela ne me faisait rien qu’Aziz en regarde... Mais j’étais quand même un peu surprise, car je ne m’en doutais pas. Ce qui me chagrinait, c’était de voir qu’il préférait mater du X plutôt que de les réaliser avec moi dans notre chambre.
La fille sur l’image était en train de se faire prendre en missionnaire. De pus, elle avait une bite dans chaque main et une dans la bouche. Ses gros seins étaient couverts de sperme et elle en avait aussi sur le visage et les poils de la chatte.
Au bout de quelques secondes, le mec qu’elle suçait se vida les couilles sur elle. Bref, je retournais le regard... J’avais compris le principe de ces films. Je choisis d’explorer le site. En haut de la page à gauche, il y avait l’avatar de mon mari. C’était juste une photo de moi (sans le visage) nue, allongée, les jambes bien écartées et les nichons nappés de son jus. Je me souvins qu’il y avait quelques mois, après une chaude séance, il avait pris son téléphone et m’avait photographiée par surprise. Je lui avais demandé de les effacer... Je vois qu’il n’a pas tenu parole. Je regardais ses playlists : "Gang bang, sharing my wife, femmes enceintes..."Comme le dépannage de plomberie durait chez Walid, je me mis à lire les commentaires qu’il avait postés sur les films de cul où des femmes se faisaient déboîter par les amis de leurs maris :
— J’aimerais bien offrir ma femme comme cela.
Les commentaires étaient les mêmes avec les gang bangs :
— Ça me fait bander grave... j’aimerais que ma femme se fasse prendre par des potes ou des inconnus...
Bref, chaque scène était assortie par ce type d’expressions où j’étais mise en avant. Il avait aussi noué des dialogues avec d’autres internautes. L’un lui demandait :
— Tu veux pas venir baiser ma femme avec d’autres potes ?
Ce à quoi il avait répondu :
— Non, ça ne m’intéresse pas. Ce que je voudrais, ce n’est pas baiser une autre femme, c’est que ma femme soit baisée par d’autres.
Le mec répondait :
— Suis open pour venir baiser ta femme.— Ça va pas être possible.— Pourquoi ?— Je ne lui en ai jamais parlé.— Elle est coincée ?— Non, mais j’ai jamais osé.— Et c’est un bon coup ?— Ah, vachement, une super affaire au lit. Les mecs regretteraient pas, je t‘assure.— Elle est vraiment bonne ?— A fond !— Putain, dommage... Si un jour tu arrives à la lancer, dis-moi, je viens...
Il y avait plein d’autres commentaires où il y avouait ce fantasme de me voir prise par d’autres hommes. Il disait que c’était devenu une telle obsession de me regarder jouir et faire jouir un autre homme que cela avait affecté sa libido. Par contre, il avait toujours refusé toutes les propositions pour aller sauter des chaudasses. Il disait qu’il me resterait fidèle, car il m’aimait à la folie, mais qu’il souhaitait juste avoir ce type d’échanges à plusieurs, soit en matant, soit en participant. J’en étais là, rassurée tout de même sur le fait qu’il n’y avait pas une autre meuf, quand il revint.
— Tiens, tu regardes tes mails aussi ?— Non, je regarde tes commentaires sur ton site de cul.
Il se tut. Il avait l’air très gêné.
À suivre...
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