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Offerte avec mon approbation

Chapitre 3

Passage à l'act

Avec plusieurs hommes
Nous restâmes complètement hébétés, Aziz et moi. Il me dit :
— Eh ben, c’est réussi !— Ben qu’est-ce qu’il lui a pris ?— J’sais pas, mais c’est foutu ! Putain, ça avait commencé à me chauffer là...— Attends, j’ai pas dit mon dernier mot.
Et ce faisant, j’enlevai ma nuisette.
— Qu’est-ce que tu fous ?— Je vais chez lui. Comme cela, il ne pourra pas fuir.— Mais... Tu es dingue !
Je ne laissai pas le temps à Aziz de réagir. J’ouvris la porte et traversai le palier. Il n’y a que deux appartements par étage et nous sommes au premier. Au rez-de-chaussée, ce sont des petits vieux, aucun risque qu’ils se déplacent. Au deuxième, un appart est vide et l’autre est habité par une vieille fille. Pas de risque.Je sonnai. Il entrebâilla la porte et, me voyant nue devant lui, il porta sa main dans ses cheveux en disant :
— Putain, mais c’est pas vrai, je rêve... Ils sont dingues !
Ce fut assez pur que j’aie le temps de forcer le passage et Aziz referma la porte derrière moi.
— Allez, fais pas ton timide. Prends-moi !— Non, mais il n’y a pas moyen... Barrez-vous. J’ai un pote qui doit venir...— On aura peut-être fini avant si tu te décides...— Et ton pote peut participer ! ajouta Aziz.
Cependant, il avait reculé jusqu’au fond de la pièce. Il était le dos au mur dans tous les sens du terme. Je me collai à lui.
— Mets ta main à ma chatte. S’il te plaît !— Oh non non non non non... Mais qu’est-ce qui m’arrive... Foutez le camp ! Laissez-moi !
Je portai la main à son jean. Une belle bosse bien dure s’épanouissait en dessous.
— Allez, fais pas ta chochotte... Tu bandes comme un âne... Et tu m’as l’air plutôt bien monté... Aziz mon chéri, va y avoir de la concurrence...— Cool, deux bonnes queues pour toi mon amour...
Mais il continuait à se débattre et à résister alors que je commençai à forcer sa braguette.
— Mais allez, détends-toi, c’est quoi ton problème ? T’es coincé du cul ?— Non... Non... Mais, j’lai, jl’ai jamais fait.— Jamais fait quoi ?— Ben... T’es lourde... J’suis puceau !
A cette révélation, Aziz s’écria :
— Génial. Ca ne pouvait pas mieux tomber pour perdre ton pucelage. Asma est une experte. Laisse-toi guider, on va t’apprendre, t’initier...
Alors il se fit plus coopérant. Je n’eus aucun mal à baisser son futal, et à aller chercher la bite dans le slip. J’en sortis d’abord l’extrémité puis plongeai ma main jusqu’aux roustons. Je m’enfonçai dans une toison abondante, douce et souple.La chaleur de la journée y avait laissé une certaine moiteur. Son sexe embaumait juste ce qu’il faut. J’aime la queue qui sente la queue, comme dit la chanson :"un nœud, ça doit sentir un nœud". Il ne faut pas, évidemment, que ça pue. Là, il était parfait. Je le fis remarquer en approchant mes narines au plus près de cette merveille :
— Hmmmm, il sent bon l’homme !
Je fis rouler les couilles dans mes doigts que je passai entre les deux jambes. C’était presque humide. Je sortis mes doigts et les léchai :
— Tu me plais décidément beaucoup, garçon !
Puis je déballai entièrement le paquet, laissant la bite sortir comme un ressort.
— T’as vu, il est vraiment pourvu comme un poney !— Oui ma chérie, bouffe la jolie queue.
Et je me mis à lui faire une magnifique fellation. Je pris bien l’engin, suçai le gros gland bien découpé, passai ma langue et ma bouche sur toute la hampe et enfournai enfin le tout. Pendant ce temps, il avait commencé de lui-même à enlever son T-shirt pendant qu’Aziz l’aidait à retirer complètement son slip et son pantalon.Enfin, je me relevai et l’embrassai à pleine bouche, puis, tout en écartant mes jambes, je lui appuyai sur la tête pour qu’il se baisse. Aziz avait viré son propre survêt pour mettre son zob à l’air, et se mit à agiter son poignet.Walid trouva évidemment ce qu’il avait à faire et se mit goulûment à me bouffer la chatte :
— Et moins vite mon garçon, prends ton temps. Ecarte avec les doigts... Voilà, maintenant titille lentement avec la langueeeee... Bien... Hmmmm... Essaie de suçoter le clito... Aspire-le... Ouiii... Comme ça, tu apprends vite... Maintenant, descends ta langue et introduis-la dans le trou... C’est bon... Tu es douéééé... Allez, je te laisse faire maintenant.
Et je me laissai brouter le minou un instant avec délectation.
— Si tu veux que je te bouffe les couilles, il va falloir les raser !
Ce n’était pas une suggestion. Aziz le comprit et il ne mit qu’une minute à trouver rasoir et mousse. J’allongeai mon nouveau joujou, lui passai une serviette sous le cul. Je me mis en 69 pour qu’il continue à me lubrifier la raie avec sa langue et je fis le nécessaire pour débarrasser les burnes de leurs étouffantes moumoute, mais je pris soin de laisser intacts le pubis et les poils des cuisses qui m’excitent beaucoup.Pendant ce temps, il s’était un peu affranchi et, désormais, il foutait ses doigts dans la chatte, ou me caressait les seins quand il me mangeait à nouveau le cul.
— Allez, maintenant, monte-moi !
Et je me mis en levrette.
— Attends, je te montre ! Et Aziz me pénétra pour lui enseigner (s’il en était besoin).— A toi, ouais, comme ça... Non pas trop vite... Oui, c’est bien comme ça !
Et Aziz prit du recul pour nous contempler.
— Putain ma chérie, c’est bon. Il te grimpe bien. Tu es superbe. T’es contente ?— Ouais, elle est bonne sa queue, et il me tient bien là. C’est chaud !— Tu aimes que je te regarde en me branlant ?— J’aimerais mieux ta pine dans la bouche, gros porc !— Attends, attends, pas trop vite. Ça va venir... J’ai une idée, je reviens...— Tu vas où ?— Attends tu vas voir... Walid, continue, mais surtout, prends ton temps. Jouis pas tout de suite !
Walid lui répondit que, pour le moment, il gérait.
— Non, mais je voudrais pas que tu éjacules tout de suite, je veux être là.— Je suis peut-être puceau, mais il m’arrive de me branler de temps en temps devant des films de cul tout de même... Et en général, je tiens longtemps... C’est pas pour me vanter.— Oui, mais là, ce n’est pas pareil !— C’est clair, ça excite plus... Mais je m’régale, puisque j’y suis, j’en profite.— Tu aimes ?— Putain, c’est trop bon.— Cool... Tu m’attends mec, OK ? Je reviens.— T’inquiète.
Et Aziz disparut.
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