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Offerte à mon photographe et son Patron

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Cette histoire, c’est Brigitte (nom d’emprunt, comme tous les autres) qui me l’a contée et elle est vraie. C’est au début des années 2000 que je l’a rencontrais. J’étais en panne avec mon camion quand elle a volé à mon secours. Pour faire amende honorable, je lui offris un repas une fois mon camion réparé. Après le repas, c’est dans ma cabine que nous avons baisé comme des malades. Après, on s’est revu, parfois avec ses deux dominants, parfois en tête à tête. De fil en aiguille, elle m’a raconté son histoire. Et, de fil en aiguille, je suis devenu son dominant lors de nos rencontre, parfois, juste le temps d’une nuit et avec l’accord de ses deux Maîtres. C’est le début de sa vie de soumise que je vous raconte et je n’invente rien.
L’annonce disait : « Photographe cherche modèles n’ayant pas froid aux yeux, âge et physique sans importance, bonne rémunération selon capacité. Faire offre avec photo au journal sous chiffre. »
L’annonce me semblait correcte et puis, pourquoi ne pas mettre un peu de beurre dans mes épinards. J’ai donc écris et ajouter une photo de moi en pied. Postée, j’allais oublier cette annonce quelques jours après. Ma vie comme caissière n’était pas ce qu’il de plus folichon, y a mieux, nettement mieux. Mais bon, c’est à côté de chez moi et j’ai droit à 10% sur mes achats. En gros, mis à part que je vis seule, je n’ai pas trop à me plaindre. Je me présente, Brigitte, début de la trentaine, une réputation de bonne copine et une vie sentimentale qui ressemble à la vallée de la mort. En outre, je fais 1,72m pour quelque chose comme 75 kilos. Je suis tout sauf un mannequin de mode.
Ce n’est qu’un bon mois plus tard que je reçois ce courrier, la réponse à l’annonce. Ce photographe me demande de passer à son studio un samedi en fin de journée. Vu la date et l’heure, cela tombe plutôt bien, j’ai congé et c’est dans deux semaines. Donc, j’ai tout le temps pour mettre mon corps et ses rondeurs en valeur. J’en profite pour une épilation générale de mon corps. Ça fait un bon bout de temps que minette n’a pas vu la lame d’un rasoir. Mes jambes, si, mais on peut mieux faire. C’est comme ça quand on vit seule, on se laisse aller. Donc, je profite de cette semaine avant mon rendez-vous pour en faire un peu chaque jour. L’épilation complète étant réservée pour le samedi matin.
En arrivant devant le studio, je m’attendais à voir une longue queue de midinette de tout bord. Be non, je suis toute seule. J’entre, je trouve monsieur André en train de nettoyer le sol de son studio.
— « Bonjour, je suis Brigitte. »
— « Oui, je vous attendais. Enchanté, moi c’est André Lalumière. Prenez place, je vous prie.»
Il me fit assoir, on bavarda de son travail, de son studio, celui d’un artiste peintre décédés. On en venait enfin dans le vif du sujet. Pour ne pas à avoir à me donner mille explications, il me montra son travail du moins, celui qu’il fait en dehors des heures officielles. Si les premières images étaient somme toutes banales, on en voit plein les magazines de mode et autre. Les suivantes commençaient à piquer ma curiosité jusqu’à cette photo. Une photo d’une femme de mon calibre, ni maigre, ni grosse, attachée et suspendue à une sorte de croix. Je prends la photo dans mes mains ou plutôt je la lui arrache des mains. La photo me plait, elle m’attire, me parle, m’envoute, rien à redire. Alors il m’explique que ce sont des photos pour des magazines fétichistes. Devant mon ignorance, il m’explique alors. Me raconte l’histoire de cette femme sur les images. C’est une histoire d’amour qui commence à me faire rêver, couple lambda dans la vie. Mais derrière cette vie bien rangée, à l’abri des regards, Madame est la soumise de Monsieur, une soumission de tous les instants. Si l’histoire me faite rêver, elle m’effraie aussi, la peur de la douleur gratuite, de servir exutoire en somme. On en vient à parler tarif. C’est vrai que c’est un peu pour ça que je suis venue. Là encore, devant mon ignorance, il m’explique qu’une simple séance de domination soumission peut me rapporter jusqu’à 2000.- pour une demi-journée, WOW ! Si on pousse plus loin, une séance SM légère, c’est presque le double et pour du SM hard, c’est carrément Byzance, sauf que c’est toute une journée avec plus de deux mois de salaire en prime. Question, suis-je prête à subir, même légère, une séance SM ?
Vu que je suis là et que je mouille déjà et, enfin pour ne pas être venue pour rien, je donne mon accord pour une courte séance D/s. le tout, sans ne plus prendre, ne serait-ce qu’une fraction de seconde, le temps de la réflexion.
Derrière le paravent, je retire ma robe, mes dessous et enfile un joli corset qui met mes mamelles lourdes bien en évidence. J’ajoute un collier à mon cou et ces beaux bracelets de cuir rouge comme mon corset. Jusque-là, tout baigne. C’est de sortir de derrière ce paravent qui me pose un gros souci. Je vais m’exposer nue devant un parfait inconnu. Il m’annonce qu’il est prêt. Je respire un bon coup et je sors de ma cachette. Et vlan, premier flash en pleine poire. Il m’a cueilli au vol et à froid, l’enfoiré. Il me demande de m’assoir sur un tabouret et de pencher ma tête en arrière. C’est parti, le jeu commence bel et bien. Je ne peux plus reculer. Photo après photo, position après position, je commence à prendre mon pied. Ce con, avec ses instructions, me fait mouiller comme une fontaine. Je crois même que le bonhomme le remarque, il me fait écarter mes guiboles toujours davantage. Cela dur une bonne petite heure. Le finale, c’est d’être à genou, un gros gode bien épais entre mes cuisses, clap finale. Sur le moment, j’ai eu une sale envie de me planter ce gode dans mes entrailles et de m’éclater la chatte avec.
Après une pause bienvenue, on se boit une bonne tisane en bavardant de tout et de rien. Je remarque vite que mes formes ne sont pas pour lui déplaire. Il me propose de pousser le jeu en direction d’une séance SM lights, comme de couler de la cire, de la vraie, pas de la paraffine sur mon corps. J’avoue que l’idée m’excite plutôt. Il me fait coucher sur un long banc de bois, me demande de mettre mes bras sous le banc comme si mes mains étaient attachées. Il fait quelques réglages, puis, près de moi, sur mes seins et mon pubis, il coule de la cire en tenant très haut sa bougie. Dans sa main gauche, il appuie sur la télécommande et les flashs crépitent de partout. La cire a, sur moi, un effet bœuf et plus il approche cette bougie de mon corps plus cette cire m’amène aux portes du bonheur. Soudain, je suis prise de spasme. Il veut arrêter. Je le retiens, guidant la bougie juste au-dessus de mes tétons. Peu après, j’explose comme cela ne m’étais jamais arrivé de jouir aussi fort. Il arrête, souffle la bougie. Il s’éloigne de moi, revient avec une serviette de bain, me recouvre. Il s’inquiète pour moi. Je lui souris, il me relève. Je l’embrasse sur ses joues rouges de confusion.
— « La vache, c’est complètement fou. J’ai eu une peur bleue que cela me brule davantage et puis non. J’n’ai jamais joui comme ça, jamais, tu m’entends ? »
— « Je vois ça. Vous êtes la première à qui cela arrive en dehors de ce couple SM. »

— « Eh bien, il faut un début à tout. »
Je ne sais pas si l’effet de m’imaginer attachée à ce banc ou quoi, mais la vache, j’ai joui comma jamais auparavant. Je n’en reviens pas que cela me soit arrivé à moi, l’éternelle célibataire. Il me regard, aussi hébété que moi. Sur son ordinateur, il me montre toutes les images, de la première à la dernière, je me vois prendre mon pied et c’est ça qui est génial. Il me plait bien de preneur d’image. Il a beau être maigrichon, sec à moudre, mais il me plait. Surtout cette grosse bosse derrière sa braguette. Alors, je joue le tout pour le tout et putain ce que j’en ai envie là.
— Ne bouge pas mon bonhomme, je vais te détendre. Je te dois bien ça.
À moitié nue, à genou qui plus est, j’ouvre son froc et m’empare de qui me semble une queue bien faite et la lui pompe, la lui suce, la lui lèche. Je ne contrôle plus rien de mon corps, même ma tête est dans le coup. La vache, je n’avais jamais sauté sur un mâle de cette manière. Quand il m’envoie son jus dans ma gorge, je jouis encore. Décidément, ce mec a tout pour me plaire. Enfin, si je lui plais avec mes 75 kilos. Quand je me redresse, il ne me pose qu’une question, à savoir si je veux poser pour lui en tenue fétichiste et SM. Là, sans même prendre la moindre petite seconde pour hésiter, je lui dis oui et il me plaque sa bouche sur la mienne. Il a beau être sec comme un asticot, mais il embrasse bien ce salaud. Quand il me couche sur le banc et qu’il s’enfonce en moi, je sais qu’on est sur la même planète, tous le deux. En plus de savoir faire des photos, d’embrasser comme un dieu, il baise mieux qu’un dieu. Là, il pourra se targuer de m’avoir dépoussiéré la chatte et en profondeur et même le crier sur les toits. Je me demande s’il est partant pour me nettoyer mon cul avec sa biroute bien épaisse. La vache, ce qu’il ramone bien, il me met sur orbite en quelque minute. Complètement perdue dans mon délire jouissif, je l’implore de me faire mal. Ce con me fesse et il fesse dur. C’est encore pire que ce que je pensais, j’aime ça. Toutes les fessées que me donnait mon père sont à mettre au rebus. Lui, là, ce maigre, il fesse aussi comme un dieu et mon corps s’embrase, se consume de cette brulure, de cette chaleur qui s’étend à tout mon corps, jusqu’à l’extrémité de mes poils, de mes cheveux. Quand il jouit encore en moi, c’est un véritable feu d’artifice, le 1er aout en Suisse, le 14 juillet en France, le 4 juillet aux States tout ça réuni.
Quand il tombe sur moi, sa tête dans mes seins, je le pouponne, le dorlote, je veux plus me séparer de lui. Il peut me demander de poser quand il veut, me faire prendre toutes les positions, m’attacher et me fouetter, j’en veux encore. Je l’attire sur mon visage, le couvre de baiser. Le calme revient peu à peu. Il se relève, me tend la main, me redresse. Encore toute éparpillée, je le regarde prendre du fric dans sa caisse.
— « Pour toi, c’est 6000.- d’entrée. Je devrais te donner toute ma caisse. Jamais un modèle ne m’avait prendre mon pied de la sorte. »
— « Mon biquet, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu me veux ou pas ? »
— « Et comment ! »
— « Ok, je veux bien de ton fric pour autant qu’il ne vienne pas de ta poche, on est bien d’accord ? »— « Ben non, sinon je bouffe plus moi. »— « Alors on est d’accord. Tu me dis quand, où et comment et je viens. Parce que là, dans ma pogne, j’ai plus que deux mois de salaires, tu pige. Et si en plus on s’envoie en l’air, toi et moi. Tu fais de moi la gironde la plus heureuse du monde. »
— « Toi, gironde, comme tu y vas, non, t’es juste si imparfaitement parfaite. T’es à croquer pour tout te dire. »
— « Et toi le plus mignon des maigrichon. Sans oublier que tu baise comme un dieu. La prochaine, défonce mon cul, il est à toi comme le reste. »
— « Tu fais quoi demain ? »
— « Rien, enfin si, j’ai bien envie d’une petite virée. Heu, on est bien samedi, là ? »
— « Pas tout à fait, on est dimanche et il est cinq heures du mat’ »
Il m’a couché sur son bureau, le mignon était en rut et moi en chaleur. Il m’a enculé à sec, j’ai crié, j’ai eu mal, mais ça n’a pas duré. Après, c’était que du bonheur de le sentir bien profondément en moi. Je le suppliais de me baiser à la dur, à la cosaque comme disait ma grand-mère. Et il me bourre et me fesse encore de sa ceinture de cuir. Putain ce que c’est bon de se faire démolir de la sorte. Punaise, si j’avais ça su plutôt dans ma vie. Bien plus tard, c’est sur la terrasse d’un troquet qu’on se croque quelque croissant.
— « Tu vois cette tour ? »
— « Ouais ! »
— « Après on y va, un copain y a un donjon, une salle de supplice. C’est lui, enfin, si tu es d’accord, qui te fera connaitre d’autres plaisirs que la ceinture sur ton beau cul. »
— « C’est comme un dominant ? »
— « C’est ça. Mais bon, tu ne seras pas sa soumise ou son esclave. C’est juste pour des photos. Je sens qu’avec toi, on va s’en mettre plein les fouilles. »
— « Si tu le dis. » Mais ton asticot, là, il me fait un peu peur.
— « Attends, je l’appelle. »
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