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Offre acceptée - Trio inattendu

Chapitre 1

Divers
Bonjour à tous, après avoir pris beaucoup de plaisirs à lire de nombreux récits ici, je me devais de rendre la pareille, en espérant éveiller en vous quelques envies au travers de ces lignes.
À cette époque, pas si éloignée puisque je devais avoir 24 ans, j’en ai aujourd’hui 30, je travaillais encore à Paris dans l’immobilier. Je travaillais sur de nombreux dossiers, dont l’appartement de Michael (je change le prénom), un quarantenaire qui travaillait dans la mode et dont j’avais assez vite remarqué qu’il était gay par son attitude et parce qu’il ne se cachait pas du tout de l’être. J’ai toujours eu tendance à attirer les homos, difficile de dire pourquoi, mais en tout cas, cela m’a toujours flatté et fait sourire, bien que n’ayant aucune attirance sexuelle pour un homme. Après tout, personne ne m’avait jamais provoqué ou ne s’était montré insistant, seulement quelques insinuations et quelques sourires, ce qui n’était pas désagréable.
Donc ce jour-là, après avoir obtenu une offre au prix souhaité par Michael, je l’appelais pour lui annoncer la bonne nouvelle et lui dis qu’il faudrait que l’on se voit pour qu’il contresigne cette offre afin de poursuivre la vente. Ravi, il me donna rendez-vous chez lui le lendemain en fin de journée. À 18h30 le lendemain, je pris donc le métro pour rejoindre son appartement. Arrivé chez lui, il me reçut avec le sourire et accompagné d’une charmante demoiselle qu’il me présenta comme sa meilleure amie. Nous avons discuté un petit peu, puis je lui ai fait signer le précieux document. Il voulait fêter ça, et me proposa une coupe de champagne. Le genre de proposition qu’il ne faut pas refuser, et sachant que c’était mon dernier rendez-vous, j’acceptai avec grand plaisir. Nous avons donc trinqué à trois, avec ’Clem’ et Michael. Une coupe, puis deux, et trois, je passais un très bon moment, et je crois qu’eux aussi.
L’alcool aidant, les conversations se débridaient, et tandis que Michael jouait à me faire du rentre-dedans en louant mes qualités professionnelles et ma belle gueule de jeune agent immobilier, j’appuyais mon regard de plus en plus sur Clem, une superbe brune de 33 ans, d’environ 1m65, qui portait une robe légère, échancrée, avec un décolleté élégant qui laissait légèrement déborder deux seins qui semblaient divins.
Les deux n’arrêtaient pas de faire des allusions : ’Ah si je pouvais, je t’assure que je saurai comment te remercier pour ce si bon travail !’, ’Il n’est pas gay, s’il doit terminer la soirée dans un lit, il y a plus de chance que ce soit le tien que le mien’, et ça n’arrêtait pas. J’étais un peu gêné, mais le moment était agréable et c’était tellement naturel et léger que j’y prenais même goût. Surtout que plus nous descendions de verre de champagne, plus mon regard glissait sur les superbes courbes de Clem. Je lui dis que sa robe était superbe, elle apprécia le commentaire, et à ce moment, Michael précisa que c’est lui qui lui avait offert, et dérivant sur la mode, son domaine de prédilection, il se mit en tête de lui faire essayer 3 autres robes sur lesquelles il travaillait actuellement. Clem était emballé par l’idée, et moi tout autant d’assister à ce petit défilé improvisé.
Elle me précisa d’ailleurs qu’elle avait été mannequin il y a une dizaine d’années et qu’elle adorait essayer les nouvelles tenues de Micha. Micha lui donna donc 3 robes, et alors que je pensais qu’elle allait partir s’isoler, elle enleva la sienne naturellement et se retrouva en dessous. Un superbe ensemble en dentelle, vert, qui me fit frissonner d’envie...
Micha me vit bouche bée devant le corps dénudé de Clem, ce qui le fit beaucoup rire ’Profites-en, Clem a l’habitude de se changer devant tout le monde, dans ce milieu, c’est commun, et puis elle est un peu exhib aussi’, ’Oui j’aime bien ça, puis il faut dire que je travaille dur pour avoir de belles lignes, alors pourquoi les cacher ?’. Bien sûr, j’acquiesçais, et j’appréciais le spectacle.
La deuxième robe avait un corset, et pour celle-ci, Clem devait enlever son soutien-gorge, afin que les bretelles ne viennent pas gâcher l’effet souhaité. Toujours sans gêne, elle laissa apparaître deux seins magnifiques, deux globes bien ronds, d’une taille parfaite avec deux jolis mamelons rosés. Ne voulant pas passer pour un mateur, je lui demandai si elle n’était pas trop serrée dans sa robe. ’Autant que toi’, me répondit-elle avec un léger rictus. Elle n’avait pas tort, entre le champagne et cette démonstration de désir, je commençais à être très excité...
Alors que j’étais pris dans mes fantasmés, Micha tourna autour de moi et me dit qu’il avait un pantalon qui pourrait me plaire. Puisque nous étions dans une séance d’essayage et que j’appréciais les beaux tissus, j’acceptai d’essayer ce qu’il me proposerait. Il revint donc avec un joli pantalon, en flanelle, dans des tons gris avec quelques rayures fines et discrètes. J’enlevai celui que je portais, laissant apparaître une bosse sous mon boxer sur lequel Clem et Micha ne manquèrent pas de plonger leur regard. Assez rapidement, j’enfilai ce pantalon. Il était d’une qualité bien supérieure à ceux que je mettais, mes mouvements étaient plus libres, le tissu était léger, c’était un réel plaisir. Je fis donc ces quelques éloges à son créateur, et il s’approcha avec des aiguilles pour noter des ajustements "S’il te plaît, je vais le retoucher pour qu’il t’aille parfaitement. Ce sera pour te remercier de ton travail. Et si la vente va au bout, tu auras la veste qui va avec !".
J’étais ravi et le laissai alors oeuvrer pour noter les retouches qu’il aurait à faire.
Bien que l’ambiance ressemblait désormais plus à celle dans une boutique de mode que dans un salon cosy, la tension restait palpable. Micha était au niveau de ma taille, il passait sa main sur mes hanches, sur mes cuisses, écartant le tissu, le remontant, le descendant, pour insérer quelques aiguilles, et ces gestes m’électrisaient. Il faut dire que tandis que je subissais ces gestes qui ressemblaient à des caresses, j’avais la vision de Clem qui enfilait sa troisième robe, quasiment transparente et qui tournait sur elle même pour dévoiler des fesses bombées et très inspirantes...
En descendant de mes hanches à mes chevilles, Micha passa sa main sur la fermeture éclair. Cette caresse prononcée entra indirectement avec mon sexe gonflé, ce qui le fit sourire et fit réagir la divine mannequin "Eh bien, on ne se gêne pas". Je m’étais pris au jeu et j’avais répondu que contre un joli pantalon, ça ne me dérangeait pas de laisser Micha faire son travail.
Elle s’approcha alors de moi et me dit "Puisqu’il est occupé avec toi, aide-moi à enlever cette robe". Elle se retourna, et je pus admirer de plus près ses magnifiques formes. Je posai une main sur son épaule, proche de sa nuque, et de mon autre main descendit lentement la fermeture éclair. En descendant, je m’efforçais de caresser tendrement son dos, jusqu’à sa chute de rein. Une fois la fermeture baissée, elle fit glisser la robe et se retrouva en dessous. J’étais totalement ivre de désir devant cette si belle créature. Soudain, elle se retourna, me dit merci et déposa un baiser sur mes lèvres.
Après ce baiser, elle resta dans la même position, et après avoir plongé mes yeux dans les siens et en avoir ressenti toute l’intensité et le désir qui en émanaient, c’est moi qui approchai mon visage du sien pour venir chatouiller sa langue de la mienne. J’avais totalement oublié qu’à mes pieds, Micha ajustait mon pantalon lorsque nous coupant dans nos folles embrassades, il me dit que c’était bon et qu’il allait récupérer le pantalon pour retouche.
A ce moment, je me retrouvai donc dans le salon d’un client, en boxer, face à une femme superbe que je venais d’embrasser, en soutien-gorge et en string. C’était assez extraordinaire, mais le naturel de mes deux compagnons de soirée enlevait toute potentielle gêne à cette situation. Et cela monta d’un niveau lorsqu’en partant vers une autre pièce, Micha dit "Faites comme si je n’étais pas là, mais je reviendrai" en nous faisant un clin d’œil.
Alors, pris par notre envie commune, sans attendre que Micha ait totalement quitté la pièce, on tomba littéralement dans les bras de l’autre en basculant sur le canapé du salon. Mes mains glissaient sur le corps de Clem, venant saisir son épaule, descendant sur ses hanches, entre ses cuisses, tandis que mes lèvres venaient caresser sa nuque offerte. Nous ondulions ensemble, frottant nos corps l’un contre l’autre, mes lèvres dérivant sur ses seins nus. Je les léchais, les mordillais, les suçais tendrement, alliant sensualité et bestialité, rythmé par les soupirs délicieux de Clem. Elle menait la même danse, et ses mains parcouraient mon corps, me faisant frissonner. Je passais ma main sur son string, d’où une intense chaleur se dégageait, provoquant de nouveaux soupirs, puis soudainement, je glissai deux doigts en elle, ce qui la fit se tendre d’un seul coup. A ce moment, Micha revint dans la pièce, "Eh bien, je vois qu’on se fait plaisir !".
La situation était complètement lunaire, mais encore une fois, leurs attitudes rendaient tout cela complètement normal et naturel. Cela dit, son retour me bloqua un peu, et je me relevais pour me servir une nouvelle coupe. Clem en fit de même, non sans laisser une main traîner sur mon boxer. Nous bûmes chacun notre coupe, en continuant de discuter, moi leur expliquant que c’était la première fois que j’étais aussi libéré dans une situation à trois, au contraire d’eux qui avaient l’habitude d’avoir des relations avec d’autres personnes en étant tous les deux ensemble. Ca ne m’étonnait pas, car il semblait moins surpris que moi par la situation.
Après avoir terminé sa coupe, Clem se leva, se mit devant moi et me demanda de continuer ce que j’avais arrêté. Je lançai alors un regard à Micha qui sourit pour approuver la demande. Je posai alors une main sur ses fesses pour l’attirer vers moi, son pubis à hauteur de ma bouche, et je commençai à embrasser ses cuisses, puis remontai lentement vers son entrecuisse. D’une main, j’écartai son string, et ma langue vint effleurer ses lèvres. Quelques baisers, quelques coups de langue agiles, tandis qu’elle appréciait la caresse en penchant sa tête en arrière, puis mes doigts revinrent à l’entrée de son vagin, très humide, et lentement cette fois, j’insérais d’abord mon index. Ma langue chercha son clito et commença à tournoyer autour, ma main allait et venait lentement en elle, et mon excitation redoublait d’intensité.
A ce moment, Micha vint s’assoir à côté de moi, pour apprécier le spectacle, et laissa traîner une main sur mon boxer, en désignant le symptôme de mon excitation. Pris dans cette atmosphère de plaisir, je le laissai faire, et fut surpris lorsqu’il glissa sa main dessous pour libérer mon sexe tendu. J’arrêtai mes caresses, comme pris d’un retour à la réalité, et à ce moment, Clem intervient, me regarda et me dit "Laisse le faire, ensuite je m’occuperai de toi, mais pour le moment, continue et profite, il sait y faire". Elle était si divine que je ne pouvais rien lui refuser, alors je me laissai aller et acceptai cette main qui me caressait et faisait monter en moi une nouvelle excitation. Alors que je repris ce cunni, Micha approcha sa bouche de ma queue et commença à l’embrasser. Je sentais qu’il savait y faire, car chacun de ses mouvements de langue, de main, me faisait tressaillir.
J’activai ma langue, sentant le clito de ma partenaire gonfler sous mes assauts, ajoutant un doigt à l’entrée de son trou qui n’avait aucune difficulté à s’ouvrir. Elle gémissait de plus belle, et tout d’un coup, lorsque je mis deux doigts dans son vagin et un dans son cul, elle se tendit et jouit en déversant un flot de mouille qui trempa mon menton.
Je continuais lentement, le temps qu’elle descende de ce nuage qu’elle avait atteint, continuant d’apprécier la prodigieuse caresse de Micha. Puis, elle se mit à genoux et vint le rejoindre. "Laisse-moi goûter Micha", dit-elle avant d’approcher ses lèvres de mon gland luisant. Il lui laissa la place quelques secondes, puis ensuite, ils alternèrent, laissant ma queue entrer dans leur bouche successivement, ce qui me faisait gémir de plus belle.
Après quelques va-et-vient, et alors que je leur dis que j’allais venir, Clem arrêta et me dit qu’elle voulait que je jouisse en elle. Elle se mit alors en levrette, les jambes bien écartées, et m’offrit une superbe vue sur sa chute de reins et ses sublimes fesses. Je me mis à genoux derrière elle et la pénétrai après avoir caressé sa chatte avec le bout de ma verge. Elle était si humide que je glissais très facilement en elle, et je sus à ce moment que je ne tiendrai pas longtemps. Elle se retourna et me proposa d’essayer de sucer Micha pendant que je la prenais. J’étais assez gêné, mais il prit les devants en me présentant son sexe devant la bouche. Pendant quelques secondes, je ne fis rien, laissant sa queue au bord de mes lèvres, puis alors que Clem ondulait de plus en plus vite sur ma queue, je commençai à l’embrasser.
C’était la première fois que je goûtais à une queue, et il faut dire qu’avoir la mienne dans un vagin brûlant en même temps était un exhausteur de plaisir qui me permettait d’apprécier cette nouvelle pratique que j’avais subie, mais jamais prodiguée. Micha passa une main dans mes cheveux et enfonça un peu plus son sexe dans ma bouche, pour me donner le rythme, et je commençais à le sucer avec application. Sucer cette queue décuplait mon excitation, et je sentais la mienne gonfler et se tendre de plus en plus dans les entrailles de la déesse dont le bassin venait claquer le mien. Micha accéléra la cadence, me dit que je m’y prenais très bien, et qu’il avait très envie de cela depuis qu’il m’avait rencontré à l’agence. Pour seule réponse ,je m’appliquais de plus en plus pour lui procurer autant de plaisir que ce qu’il m’avait donné avec Clem quelques minutes auparavant.
Sentant que j’allais jouir d’une seconde à l’autre, je pris la main de Clem pour la poser sur sa chatte afin qu’elle se caresse, et que l’on jouisse en même temps. A ce moment, je sentis Michael s’arrêter dans ma bouche, il bloqua ma tête afin que sa queue reste dans ma bouche et déversa plusieurs giclées de sperme. Cette sensation m’électrisa et je vins quasiment en même temps au fond de la chatte de Clem. Je ne voulais pas avaler, alors je laissais couler ce sperme de ma bouche, qui venait couler sur les fesses de Clem qui mit aussi très peu de temps à avoir un orgasme tandis que j’étais toujours en elle, la tête dans les étoiles.
Nous sommes restés nus le temps de fumer une cigarette, puis la soirée a continué calmement, et a laissé en moi un souvenir impérissable.
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