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Offre-moi tes fesses

Chapitre unique

Hétéro
Le cadre est l’un de ces hôtels pour cadre moyen en déplacement. Pas déplaisant, mais d’une fadeur étudiée. Une symphonie de beiges, des couleurs un peu plus audacieuses dans les tons foncés seulement aux endroits où les pieds, les coudes, les valises trimbalées iront cogner ou râper. Faire classe à moindres frais, minimiser les traces inévitables que laisse l’humain. En américain, on dirait "to sanitize". Volonté dérisoire d’une planète sans germe.
Arrivé un peu à l’avance, j’ai eu le temps de déposer mes accessoires. Je t’ai envoyé le numéro de la chambre, tu sais où me rejoindre.
J’ai des idées un peu louches pour aujourd’hui et j’ai donc été prévoyant. Une alèse en plastique robuste couvre le lit. Voilà une mise en scène un peu cheap qui ne manquera pas de déclencher un léger haussement de sourcil de ta part. Tu n’en feras bien sûr pas la remarque : tu es trop polie pour ça, mais surtout, tu sais d’instinct qu’il ne faut pas interrompre le flux du jeu. Je suis complètement ravi, ému et tourneboulé à l’idée de te revoir. Je sais que ces émotions contradictoires vont s’évaporer au moment où tu passeras le seuil. Belle, fine, posée, limite hautaine, mais volcanique, intuitive et tendre. Après, le feu me prendra, viendra l’envie de t’avoir toute à moi, d‘extraire la moindre parcelle de toi pour l’absorber.
J’essaie de rentrer dans mon rôle de monsieur Sévère. Aujourd’hui, mes désirs font désordre. Mon envie est tout simplement de te plier, de te soumettre, de tirer mon plaisir de toi, de laisser une zébrure humide et incendiée dans ton ventre. Bref, nous allons jouer, mais l’un de nous fera le jouet.
Je n’aime guère le côté grand guignol de mes préparatifs, l’alignement des jouets et autres qui font penser à la préparation d’une séance de torture. Heureusement, les fabricants ont un penchant net pour les couleurs acidulées, avec des roses, des bleus layette et des fuchsias. Cela fait tout de suite moins sérieux, pour un apprenti tortionnaire, moins inquiétant pour toi, ma future victime.
Tu toques trois coups légers à la porte. Et tu es là. Robe couleur rouille, un bel orange brûlé, ajustée sur ce jet fluide qu’est ton corps. Parfaite. Ton œil brille, liquide, ce regard qui perçoit tout, qui trahit une sagesse ancienne.
Baiser profond, ma main glisse dans les cheveux courts de ta nuque. Je te susurre le programme : tu es à moi, tu es ma soumise. Pas de mot de sécurité. Si quelque chose te déplaît, tu pourras me le dire. Ou pire, me décocher un de ces regards avec une once de désapprobation, un regard qui cloue. Il n’est pas dit que j’arrête alors mes agissements. Je veux jouir de toi égoïstement. Tu prendras ton plaisir au vol, si tu y parviens. Nous explorons des contrées aux lisières, il y a un moment où il faut savoir poursuivre le geste, quitte à faire fausse route. Comme en art : on prend un parti et on pousse le truc jusqu’à sa conclusion.
J’ôte tes bas, ta culotte et ton soutien-gorge, sans grands égards. Deux boutons défaits, j’expose tes seins en me demandant s’ils dardent déjà ou pas. Je t’ordonne alors de t’agenouiller et de me sucer. Pas de me prendre dans ta bouche. Pas de me faire l’offrande de tes lèvres. De me sucer, comme une fille séduite à la va-vite. Regarde-moi dans les yeux. Parfait. Tu as choisi un rouge à lèvres couleur camion de pompier, il contraste tellement avec la retenue de ton maquillage que je devine une provoc bien venue. Lèvres brillantes et fines qui coulissent le long de mon membre, il y a des gars qui ont toutes les chances. Je résiste à l’envie de presser ta nuque vers mon ventre pour te forcer à avaler davantage de mon pieu. C’est tentant, mais ta bouche est étroite et la sensation est grisante et nous avons déjà bien établi la tonalité de notre rencontre.
Tu dois alors remonter ta robe sur tes fesses et te pencher vers l’avant. L’ordre est d’écarter tes fesses. Le plus possible. Je te guide et t’ordonne d’ouvrir ton sexe et de me présenter la rondelle cachée de ton anus. Tu t’exécutes, impassible. Le désir est-il déjà présent ? Trouves-tu cela convenu ? Ou est-ce que le jeu commence à te plaire ?
Déshabille-toi, ma chérie, sans mon aide. Je mate cela d’un œil appréciateur. Je sais que tu as jaugé d’un œil rapide les accessoires qui vont servir à cette séance. L’alèse pose le plus question. Quoi, un jeu avec nos fluides corporels ? Vraiment ? Un point de déstabilisation pour moi.
Tu es allongée sur le lit, l’alèse couine piteusement. Je suis torse nu, ai ôté mes chaussures et chaussettes, mais suis toujours avec mon jean rugueux. Je m’installe à califourchon au-dessus de toi et vers une première rasade de monoï sur tes épaules, ton dos, tes cheveux. Tu es inondée, ta peau luit et la pièce se met à empester le tiaré et l’huile solaire premier prix. Fantasme de supermarché, je ne boude certainement pas ce plaisir réservé aux connaisseurs. Je fais glisser l’excédent d’huile brune sur tes flancs. Tes jambes et ton cul sont vite soumis au même traitement. J’insiste sur l’entrejambe, qui a droit à une rasade supplémentaire. Les lèvres de ton sexe dégoulinent, ce qui me fait immensément bander. Je te le dis. Les lèvres de ton sexe sont bistre, joliment dessinées, tu sais que j’adore enfouir ma tête entre tes cuisses pour les visiter et découvrir l’intérieur, couleur corail. Cependant, esclave tu es aujourd’hui. Pas de langue experte pour toi.
Je te retourne, côté pile. Ton regard est un peu plus flou maintenant, peut-être que la mise en scène est plus appuyée, peut-être es-tu cette fois-ci plus inquiète quant à mes intentions. Même motif, même punition ; monoï partout, sauf bien sûr sur le visage, ton maquillage discret méritant d’être préservé. Et en évitant soigneusement la pointe des seins.
Tétons adorables, à la teinte vieux rose, que je m’empresse de flatter et de mordiller avec un peu plus férocement. Là encore, leur couleur rose tendre adorable n’appelle cette caresse pour mon bon plaisir, ma propre satisfaction. Un kleenex pour les sécher. D’une trousse de soie noire, je sors mon premier accessoire : des pinces à seins reliées par une chaînette nickelée. Ces pinces sont munies d’un revêtement caoutchouté noir à leur extrémité. On devine à la fois l’idée de créer un inconfort, mais certainement pas de faire mordre le métal cru sur la chair tendre.

Je les place aux endroits idoines en me délectant des sensations que j’imagine : une douleur très supportable, mais insistante, comme un effluve électrique agaçant qui ne lâche pas prise. J’aime regarder ton visage toujours serein, confiant. Tu gardes toute ta superbe, sur toi, cet accessoire fait presque figure d’accessoire de mode bien amené. Tu comprendras quand tu te redresseras que la chaînette est là pour imprimer un poids et un tiraillement quand elle sera suspendue à tes seins jolis. En fait, ton regard est déjà un peu embrumé, moins clair. C’est bien, tu es partie pour un tour de manège.
Quelques caresses rapides pour éprouver tes courbes, mains qui glissent le long de tes flancs.
Il nous faut passer aux choses plus sérieuses. Retournée sur ton ventre, je te demande d’écarter les jambes. Tu bénéficies d’un petit baiser léger sur chaque fesse et d’une main qui s’attarde dans le sillon.
Le premier jouet sera un classique du genre : un plug de bonne taille, à l’arrondi d’ogive de fusée, qui te nargue depuis le début, posé à quelques centimètres de ton visage sur l’alèse. Je le fais glisser dans cet océan de monoï qui t’enduit. L’alèse était un détail lourdingue, mais vraiment indispensable, de petites flaques ambrées se forment dans les plis. Il permet aussi de te faire glisser sans aucun effort, dans un bruit (wiiish !) bien huilé. Je t’ordonne d’écarter tes fesses avec les mains. Des doigts grossiers, un, puis deux, puis davantage, viennent s’insinuer, forcer un passage dans ton ventre. La caresse est volontairement raide, ma chérie. Aimes-tu être maltraitée de la sorte ? J’écarte sadiquement les doigts dans ton sexe, qui est tonique et resserré. Quelques mots orduriers là-dessus, pour parfaire l’ambiance ? Je guette tes réactions, avide à l’idée d’un lâcher-prise qui viendra peut-être.
Pour le moment, rudoyer cette femme hiératique et posée que tu es suffit à mon bonheur. Outre que cela fait gonfler ma queue dans des proportions intéressantes.
— Ma belle salope, ma très jolie bourgeoise, écarte bien les jambes. J’aime te fouailler. Pousse ton cul vers l’arrière, sens ma caresse rugueuse, ouvre ton minou pour moi. J’aime sentir ta chatte investie, brutalisée. Dis-moi que tu aimes quand je te défonce. Dis-le. Demande-moi de t’écarteler.
Brave fille, tu t’exécutes, même si le câlin est âpre. J’essaie de faire entrer plus de quatre doigts dans ta chatte, mais abandonne le projet de faire entrer ma main dans ton sexe ; tu es bien trop étroite.
Après cette invasion, le premier plug trouve facilement à se loger en toi. Il est gros, surtout à son extrémité, mais enduit d’huile, il se glisse assez facilement en toi. Tu émets enfin un petit soupir, à mi-chemin entre la volupté et le grognement revêche. Comme moi, te demandes-tu si cette insertion aisée est due au monoï ou s’il y a aussi une bonne quantité de mouille ? Bonne question : je fourre deux doigts nappés de ton jus intime dans ta bouche pour que tu puisses te faire une idée. Et je goûte moi aussi à ce liquide visqueux. Il y a là-dedans une petite note salée qui ne doit, à mon avis, pas grand-chose à l’ambre solaire. Tahiti, c’est fini. T’ai-je déjà dit que j’adore le goût de ta mouille ? Ou bien l’as-tu deviné au temps que je passe avec un contentement ravi à la jointure de tes cuisses ? Je pense que tu sais. Je donnerais cher pour imaginer les sensations que produisent cet engin en toi, l’écartement des chairs, la sensation de plénitude.
Il est temps de faire franchement monter les enchères, ma garce adorée. Parmi les accessoires, je choisis un second plug. Un cône effilé, d’un beau vert qui évoque forcément un sapin de Noël. On imagine que la conceptrice (pourquoi les designers en plugs anaux seraient-ils forcément des messieurs ?) a pensé, “en vrai, ça fait nature et découverte, mais je m’en fous, la forêt, c’est total déchire, je vais pas encore faire un truc noir brillant avec des bandes rouges GTI”. Ce plug forestier est bien évidemment destiné à ton charmant trou du cul que j’adore.
Je sais ta réticence, tu connais mon envie. Je t’emmène vers de nouveaux rivages plus sauvages.
Un aparté : pourquoi cette fascination pour ce petit orifice ? Pourquoi vouloir t’investir dans ce sentier à la navigation délicate ?
D’abord, il y a tes fesses. Elles sont tendues, juste bombées comme il faut. Elles sont irrésistibles. Elles sont le haut des colonnes de tes jambes. Trop jolies pour ne jouer qu’un rôle de décoration.
Il y a ensuite cette idée d’interdit, de transgression. Tu es irrémédiablement classieuse. Ton froncement de tes sourcils peut paralyser un collègue de travail. L’idée de m’enfoncer dans tes fesses, toi soumise, offerte, sans contrôle aucun, c’est un trip mental. Faire tomber la façade et voir l’animal. Tu me l’as répété mille fois, tant que nous en avons tous les deux envie, nous pouvons tout faire, tout tenter. Cependant, je jurerais que ton anus est inviolé. En bon mâle de base, c’est une tentation irréfrénable.
Ce qui me fait également bander comme on voit ça qu’au zoo, c’est l’ambivalence du truc. Un minou lubrifié est fait pour accueillir une queue. Tu m’as souvent décrit la sensation d’avoir une boule brûlante qui se forme dans ton ventre quand tu es excitée, qui n’attend que de saisir et d’avaler une queue bien dressée. Il y a un appel, c’est la suite attendue au désir. Avec la sodomie, il y a la peur (tabou, douleur, caca) bien réelle, voire la Bible et les saints qui voient cela d’un sale œil. La transgression. Les mots portent un sens lourd. Enculer. Mettre dans le cul. Pour moi, l’envie de te pénétrer au plus profond, l’idée d’un cadeau unique, d’imaginer ma queue plantée loin, loin en toi. Pour toi, cette sensation trouble de présenter tes fesses comme une bonne salope, d’être à la merci et en même temps de passer un cap en confiance.
Je digresse, et suis encore en train d’expliquer le pourquoi et le comment de mon désir, son articulation avec l’immense tendresse que j’ai pour toi, alors que la question, c’est bien de planter ma bite entre tes fesses sublimes.

Revenons à notre petit sapin. Il m’a fallu du temps pour choisir cet accessoire. Pas très long, moins qu’une bite standard, sa pointe est de la taille d’un petit doigt et ne fait guère peur, mais son diamètre progresse de façon linéaire vers une largeur vraiment conséquente. Son revêtement extérieur est souple au toucher. Je te passe sous silence les séances de mesure approximatives du diamètre de mon gland, au bureau, avec une recherche d’un mètre de couturière pour un motif inavouable. La paire d’heures passées sur internet pour évaluer, dans une foule de fusées, de totems et de sapins divers, le diamètre de ces jouets à leur point le plus large. La façon dont ils te pénétreront avec délicatesse. M’assurer que le plug sera une préparation adéquate au simili viol que je projette. Comme quoi, pour un moment de sexe trash débridé et ma queue perforant impitoyablement tes entrailles, la préparation n’est rien moins qu’une question technique.
Chaque millimètre sera conquis, il faudra user de douceur et suivre les pulsations de ton corps. Je te présente mon beau sapin, lisse sur toute sa longueur, aux courbes continues. Il ne semble pas bien méchant au premier abord. Il promet une entrée en matière aisée, mais c’est un engin qui tout de même de quoi t’inquiéter. Tu gardes ton maintien hiératique et ne dis mot. Très bien. Game on ! Nous avons déjà joué avec un petit accessoire du même acabit, mais c’était un tout petit plug, à peine de la taille d’un doigt. Juste un élément annonciateur de ma passion pour ton cul.
Je fais glisser le sapin quelques secondes dans la vallée charmante de ton sillon fessier, histoire d’en assurer la lubrification. Il est vite trempé, monoï et mouille. J’applique alors sans hésitation l’extrémité contre ton anus.
— Le temps est venu de m’offrir ton petit trou, ma pute céleste. Tes fesses sont une œuvre d’art, mais moi, je suis un pillard. Je veux ma queue qui remonte dans tes entrailles, je te veux ouverte, pourfendue, investie. Je veux que tu ouvres pour moi le sentier défendu.” Une question me brûle les lèvres : est-ce que je serais le premier à pénétrer tes fesses ? Mais c’est une question d’épicier avide. Te violer par-derrière, peut-être, mais poser ce genre de question n’est pas du tout gentleman et je sais que tu serais choquée si j’osais. On a ses principes.

L’extrémité fine se glisse sans difficulté dans ta corolle. Mes mains courent sur ton dos, une d’elles s’affaire à masser les cheveux courts de ta nuque. Voir ce petit orifice s’ouvrir pour moi me ravit. Je sens ton bassin qui a un tressaillement, je suis passablement déchiré entre l’envie d’arrêter, de ne jamais risquer de te faire mal ou de te contraindre, et ce feu dévorant qui me prend le bas-ventre et me hurle “encule-la à fond maintenant”.
Je chuchote à ton oreille : “détends-toi, ma garce jolie. Pousse lentement, je veux que tu prennes toute la longueur de ce faux chibre en toi. Sens tes chairs qui l’acceptent. Tout à l’heure, tu auras ma queue plantée au même endroit”.
Les minutes s’égrènent, poussée constante, petits gémissements plaintifs, plus de caresses, avant que l’objet du délit parvienne à son point le plus large, vers sa base. À force de caresses très lentes sur ton clito et de baisers réellement tendres sur ton cou, toute sa longueur parvient à se loger en toi. Le faux sexe glisse dans ton cul, sa base plus étroite bien ancrée en toi. Je regrette que la base du plug, en forme de T, me cache les œuvres vives, je ne peux pas voir ta corolle forcée. J’essaie de deviner si tu as mal ou pas. Je parierais que non, que la sensation est mêlée et que tu trouves un plaisir étrange à être investie de la sorte. Ma compagne de jeu, tu es maintenant prise côté pile et côté face. Ton regard est de plus en plus liquide. Putain, que ton abandon est beau à voir ! C’est en fait ça, le vrai attrait de la sodomie : voir l’autre accepter de basculer.
Sur mon établi, je choisis maintenant mon troisième jouet. Un puissant vibromasseur à la tête arrondie. Le design de cet objet japonais tient autant du domaine industriel que du médical. Ou peut-être un appareil de cuisine aux fonctions obscures, un mixer exotique ? Je me déshabille, ne pas bouder le plaisir du peau à peau. Je me colle à toi en cuillère. Tu sens mes bras qui t’enserrent, doux et protecteurs. Ma queue est raide et tu perçois ses contours gênants contre tes fesses. Le démarrage du vibro transmet une onde électrique de volupté quasi insupportable. Ton clitoris devient le centre de ton corps, il diffuse ses vibrations partout. Prise, enserrée, stimulée au-delà du supportable, tu jouis en quelques secondes, avec un cri inarticulé qui me ravit. Je repousse l’engin. Allongés, imbriqués l’un dans l’autre, tu t’endors sans façon, adrénaline retombée, repue dans un bain d’endorphines.

Ton corps est entièrement détendu, ton abandon est magnifique, je me repais de cet instant magique.
Je ne sais pas combien de temps nous naviguons dans cette mer de volupté calme. Il fait très chaud dans cette chambre, nous baignons dans une odeur de monoï évocatrice de vacances de pacotille.
Je bande toujours très fort, ma queue est presque douloureuse, sa base semble se prolonger loin dans le périnée comme une racine lourde. Elle frotte contre les embases des plugs logés en toi.
Je t’ordonne de te placer sur le ventre et de me révéler à nouveau tes fesses. Tu t’exécutes sans protester. Il va falloir procéder avec doigté. Je saisis le talon du plug et le tire doucement. La base est plus étroite, je pense qu’elle ne te fait plus mal depuis longtemps, mais l’objet peine tout de même à ressortir. Le moment est crucial, surtout ne pas aller trop vire. Caresses sur ton dos. Baisers sur ta nuque. Quelques mouvements de rotation finissent par détendre l’anneau serré. La partie la plus large du jouet peut coulisser dans tes fesses. C’est prometteur. Je donnerais cher pour savoir quels sentiments contradictoires passent par ta tête. Je peux même me payer le luxe de faire aller et venir l’engin dans ton délicat fourreau. Aimes-tu sentir un jouet planté dans le cul, ma très belle et hautaine chérie ?
Je pense que tu es enfin prête. Prête à me donner tes fesses, si jolies, gentiment bombées. Ces fesses aristocratiques que j’imagine inviolées. Ces fesses qui sont un fantasme absolu.
Je bande comme jamais, mon outil est méconnaissable, on ne dirait plus une colonne de chair, mais un truc fait de bois ou de métal.
Je recueille avec délicatesse un peu de ta mouille mêlée d’huile, m’en enduis le sexe.
— Ma douce, tu vas me faire l’offrande de ton cul. Je vais entrer en toi comme dans une ville prise. Tu seras écartelée, et je jouirais au fond de tes entrailles. Je boirais tes cris”.
À quatre pattes, fesses dressées, bras allongés devant toi, luisante, tu es un monument d’impudeur incandescente. Je fais glisser ma queue le long des lèvres de ton sexe. Et je perds finalement patience. J’empoigne mon sexe et le présente à l’orée. Cet anneau palpitant est un peu ouvert, on aperçoit les muqueuses roses à l’intérieur.
— Me veux-tu ? Dans ton cul, ma chérie ? Dis-le, prononce les mots.
Pas de réponse. Offrir ton cul, oui, extraire un commentaire cochon, c’est non. Je pousse très lentement et l’extrémité de mon gland se fraye un passage. Le glissement est liquide, la première moitié de mon gland se loge en toi. En toi ! Je bande comme un cinglé, ma queue s’est transformée en un dard rigide. Je perçois les tressaillements de ta rondelle, les infimes contractions de tes muscles. Je m’immobilise et cherche à capter tes sensations. Mes mains volent à la surface de ton dos. Je dois faire un immense effort pour ne pas pousser, te violer d’un seul coup. Le gland finit par passer le cap de ton anneau. Les portes sont tombées. Je suis en toi. Je suis ébloui.
Ma queue progresse lentement dans un fourreau adorable, serré et brûlant. Quelles sont les sensations ? J’imagine ma queue qui remonte en toi. J’essaie de deviner jusqu’où elle remonte en toi. Vagin toujours empli, tu dois sentir tout le bas de ton corps possédé.
Impossible de t’arracher un mot, toi en vestale consentante, mais pas participante.
Enfin, tu te mets alors à osciller d’avant en arrière pour venir t’empaler sur cette tige.
— Tu me sens, ma chatte ? Sens-tu mon mandrin qui remonte en toi ?
Il faudra que tu me racontes ces sensations inédites, ce trop-plein, cette violence tendre faite à ton corps, ce truc qui remonte en toi. Tu es entièrement emplie, chatte et cul.
Je peux maintenant coulisser facilement en toi. Je poursuis ma poussée, mon pubis vient se plaquer à tes fesses. Ma queue est maintenant fichée au plus profond de toi, il ne manque pas un millimètre. J’entame un lent va-et-vient, et flatte tes fesses, caresse ton clito avec deux doigts. Tu es devenue tout amollie, tu acceptes d’être labourée ainsi. Tu geins de façon continue, je ne parviens pas à savoir si la sensation est plaisir, douleur ou un peu des deux. Te posséder ainsi me rend fou.
Enfin, tu ouvres les vannes et lâches complètement prise. Tu rehausses tes fesses et les jettes à la rencontre de mon sexe. Tu es magnifique, bras étendus devant toi, en signe de soumission feinte.
— J’aime t’enculer, ma chérie. Sens mon dard au fond de toi. Tu veux plus fort ?— Oui. Encule-moi. Prends-moi. Défonce-moi. Lâche-toi.
J’écarte les deux globes de tes fesses pour voir mon sexe coulisser en toi, je me demande par quel miracle j’ai réussi à investir ce corridor étroit et délicieux. Je peux maintenant sortir mon dard complètement et le replonger au fond de toi. Tu arques ton échine, croupe dressée, entièrement offerte. Tiens, j’avais oublié les pinces à tétons. La chaînette est à portée de main, j’en profite pour tirer dessus et t’imposer un surplus de sensation. Je vacille dans l’ivresse, fou de luxure et d’envie de te trouer, de te défoncer, de zébrer définitivement tes entrailles, mais aussi pris dans un bain de tendresse. Et de monoï premier prix.
Tu hurles maintenant, grognements inarticulés, quelques "oui". La jouissance me prend par surprise et me cisaille, je suis anéanti par une vague immense. De très loin, je sens une jouissance du fond des âges qui monte. Mon sperme jaillit. J’espère que tu le sens aussi dégouliner au fond de toi. Tu pousses un cri inarticulé et tes fesses viennent se coller contre moi dans un dernier sursaut.
Je te garde jalousement serrée dans mes bras, queue toujours plantée au fond de tes fesses, et nous glissons ensemble dans un abîme lourd de volupté.
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