La nuit est passée doucement, encore pensive de ce qui venait de se passer. Mon frère, mon père, j’étais devenue la pute de la famille. Ce qui m’inquiétait le plus, c’est que ça me plaisait bien. J’ai encore cours demain, et Nicolas veut venir me chercher en voiture. Je lui ai dit oui. Il arrive aux abords de 8h, je monte, et on se dirige vers la fac. Ça va ? Me dit-il. Ça va et toi ? Toujours, me répondit-il en souriant. Sur le trajet, il est très agité. Il se touche beaucoup le short, pour le remettre en place. C’est là que j’aperçois une bosse dans son pantalon. Je crois qu’il était en train de bander... Qu’est-ce qu’il y a ? Lui dis-je. Rien, rien. Le short me gratte. Arrête toi sur le bord de la route, il y a un parking là-bas. J’avais une idée folle derrière la tête. Il ne comprenait pas trop. Il se gare, et je le regarde dans les yeux. Il ne dit rien. J’hésite quelques secondes, puis je me lance. Je suis complètement en chaleur. Je détache ma ceinture, me rapproche de lui, tire son short, pour atteindre son engin. Je le prends dans ma main, et commence à le masturber. Il s’accroche au volant d’une main, et me touche le dos de l’autre. Il ne sait plus trop comment se mettre. Je crache sur son pénis, et commence à le mettre dans ma bouche. Je lèche le bout de son pénis dans un premier temps, puis l’enfonce jusqu’au fond de ma gorge. Il éjacule d’un coup. Il a l’air soulagé mais aussi déçu. Ça me peine un peu. Bon, il est pas trop tard, si tu veux on sort et tu me prends derrière la voiture. Il n’y avait personne sur le parking. Il hoche la tête avec énergie, son pénis remonte d’un coup sec. Je sors de la voiture, referme la portière, et m’accoude sur la fenêtre, que j’avais baissé préalablement. J’enlève mon pantalon, mon t-shirt, et mon soutien-gorge. Défoule toi, lui dis-je. Il se met à toucher mes fesses, mes seins, mon dos. Il approche son pénis de mon vagin, et le frotte doucement. Il finit par entrer, ses mains en train de masser mes seins. Il commence à me baiser, en accélérant rapidement le rythme. Il pousse avec sa main ma tête dans la voiture, et me défonce par derrière. Il s’arrête régulièrement, sans doute pour s’empêcher de jouir. Il gémit bien plus que moi en marmonnant mon prénom sans cesse. Il enlève sa main de ma nuque, prends mes deux bras, et les pose sur le bas de mon dos. D’une main il tient mes deux poignets, et de l’autre il gifle ma fesse droite avec entrain, tout en me pénétrant. Je me faisais défoncer sur un parking.Je regardais l’heure, il commençait à être tard. Nico, on va être en retard, finit vite.
Il sort de mon vagin, et commence à se masturber. Il éjacule sur mon dos et mes fesses. J’en ai de partout. J’ai une serviette dans le coffre, me dit-il. Je sors de la fenêtre, et essaie d’enlever le maximum de sperme qu’il y a sur mes fesses. Ça t’a plu ? Lui ai-je demandé. Franchement c’était incroyable, me répondit-il avec un sourire débordant. Tu as des fesses incroyables, désolé pour les gifles. Ne t’inquiète pas, c’était sympa, lui répondis-je avec un clin d’il. J’étais heureuse malgré tout, il était vraiment gentil. Finalement je commence à bien l’apprécier. Je m’étais donnée à lui, c’était un peu un acte de gentillesse, mais je ne savais pas trop pourquoi. Bref c’était fait, on se dirige vers la fac maintenant. Je me sens apaisée, et heureuse. Le cours se passe super bien, le temps passe vite. À midi je vais manger à la cafétéria, Estelle me rejoint. Alors ? Du neuf ? Non non rien de plus ! Répondis-je. Je n’avais pas envie d’en parler, ni de mon père, ni de Nicolas. Ça faisait beaucoup. Dommage ! J’ai hâte de participer moi aussi. T’es vraiment une salope, lui dis-je en riant. Elle riait.On mange, et on repart pour les cours de l’après-midi. Je n’ai pas revu Nicolas.Sur le chemin on croise Arthur, le beau gosse de la fac. Il appelle Estelle. Estelle ! Mon chargeur ! Il est vraiment beau, musclé, tout pour lui. Il me fait un peu craquer, comme toutes les filles. Ça va Chloé ? Ça va et toi ? Nickel, je récupère juste ce qu’on m’a volé, dit-il en ricanant. Il est en couple avec Magalie, une fille bien arrogante, qui se la pète un peu. Je ne l’apprécie pas du tout. Tu sais qui il se tape ? me lance Estelle. Jade, je te jure. C’est pas vrai ? Incroyable. C’était bien drôle. Jade c’est un peu le même style que Magalie, en moins arrogante quand même. Mais c’est une très belle fille. Il trompe Magalie ? Ouais, me dit-elle en explosant de rire. Bien fait pour elle.
Il est 17h, c’est fini. Je rentre à la maison. Nicolas m’envoie un message, il m’attend devant chez moi pour me parler. J’arrive, je lui dis de rentrer. Non non c’est juste deux minutes, j’ai un truc à te demander. Par rapport à ce qu’il s’est passé ce matin. Je fronce un peu les sourcils. Il poursuit. Je voulais savoir si on pouvait, euh.. Sortir ensemble. Se mettre en couple quoi. Je me mis un peu à stresser. Ce n’était pas que je voulais pas, mais un couple c’est difficile à gérer, et je n’en ai pas de bons souvenirs. Nico, c’est pas par rapport à toi, mais je ne pense pas être prête. J’en ai pas un bon souvenir, et c’est beaucoup de sacrifices un couple tu comprends. Ça ne t’a pas plu ce matin ? Si si ! C’était top. Si ça te plaît on peut continuer, mais une relation complète je pense pas être prête. Je lui propose carrément d’être son plan cul, je ne me reconnais plus. Moi qui ai horreur des filles comme ça. Ah d’accord ! Bon bah on fait comme ça il tu veux. Je m’approche de lui, et l’embrasse sur la bouche. Allez je vais rentrer, bonne soirée. Bonne soirée Chloé ! Tout ça me fait bien réfléchir, je crois que je tombe amoureuse finalement. Mais au vu de la situation, c’est préférable de ne rien commencer de sérieux.Je rentre dans la maison, et vais dans ma chambre. Quelques minutes plus tard, la porte toque. Entre. C’était mon père. Il rentre, et s’assoit sur mon lit. Chloé, j’ai quelque chose à te demander. Oui ? Je sais que je t’ai promis un truc... Quoi tu l’as dit à maman ?! Mais non... C’est juste que j’ai envie de m’occuper de toi. Mais je suis ta fille ! Tu es la sur de Yoann aussi non ? Il marque un point sur ce coup. Je sais bien mais... On ne fait plus rien avec ta mère, je veux continuer à avoir des relations sexuelles. Tu es belle, jeune, ravissante. J’ai adoré te pénétrer hier. Tu as aimé ? Euh... Oui... Mais c’est mal ce qu’on fait ? Personne ne le sait donc c’est comme si ça n’existait pas. Mais tu veux le faire tous les jours ? Non ma grande, je ne veux pas m’immiscer autant dans ta vie sexuelle, juste de temps en temps. Tous les week-ends par exemple. C’est tentant quand même. Je ne sais pas ce qui m’arrive. C’est cet interdit qui doit me mettre dans tous ces états. Si c’est pas tous les jours c’est d’accord. Il me sourit à pleine dent et s’approche de moi. Je t’aime ma fille. Il me prend dans ses bras et me fait un bisou sur le front. N’en parle pas à ton frère ! Et fait en sorte qu’on ne le fasse pas en même temps. Il sort de la chambre.Quelques baises avec mon père... Jamais je n’aurais imaginé. Il vient demander des services à sa petite pute de fille. J’avoue adorer jouer ce rôle. Je baisse mon pantalon et ma culotte puis commence à me masturber. J’ai hâte que mon père s’occupe de mes petites fesses.
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