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Je m'offre à mon grand frère

Chapitre 6

Fin

Inceste
— Alors sœurette ça t’a plu ? Demande mon frère avec son pénis encore tout dur.
Je n’ose pas avouer que j’ai adoré.
— Mouais, ça va. Mais j’ai bien vu ce que j’ai vu ? Tu as enculé un mec ??
Il rigole.
— Ouais je me régale, c’est un cul quoi. Tu es choquée ?— Bah un peu ! — On s’encule tous. On se vide et on se fait du bien. Tu bouffes jamais la chatte de tes copines ?— Euh non...
Même si Estelle me l’avait déjà proposé, j’avais refusé.
— Tant pis pour toi.
Je me rhabille, Yoann également.
— Pas un mot aux parents, ils me tueront s’ils apprennent que je t’embarque dans tout ça. — T’inquiètes enculé.
Je suis fière de ma blague.
— Gnagna très drôle. N’empêche que ça vaut aussi pour toi. Il te la bien mise profond.
— Tssss.— On rafolle tous de ton cul.
Et ouais, la salle ça aide. Mes fesses sont bien volumineuses et fermes, sans être trop grosse. Des fesses de sportives. Les gars ne peuvent pas y résister. Je ne suis pas du genre à me vanter de mes atouts, mais j’avoue être fière de mes efforts pour en arriver à ce résultat.
— Ce soir je dois m’attendre à ta visite ?— A ton avis, me répond-il avec un clin d’œil.
Ça n’a pas loupé, on baisa comme des petits lapins toute la nuit.
Quelques jours ont passé. J’ai de nouveau baisé avec mon frère et mon père. C’est devenu comme une routine. Mais une mauvaise nouvelle surgit toujours. De retour à la fac, les regards sont très portés sur ma personne. Des regards moqueurs, curieux ou encore dégoûtés. Je ne comprends pas tout de suite pourquoi. C’est Estelle qui arrive vers moi pour m’expliquer.
— Chloé ! La vidéo a fuité. — Hein ?
Estelle me tend son téléphone. On nous voit toutes les deux en plein acte avec les garçons, qui eux ont le visage flouté. Celui qui a filmé a posté ça quelque part. Je suis abasourdi, je ne sais pas comment réagir à ça. Dans le couloir, un garçon m’accoste et me demande :
— Tu prends combien pour sucer ?
Je ne réponds pas et poursuit ma route. C’est un enfer. Arrivé dans l’amphithéâtre, je me pose et me cache derrière mon ordinateur. Je sens les regards portés sur moi. A la fin de la journée, je me précipite vers la sortie pour vite rentrer chez moi. Je ne sais pas par quel moyen c’est possible, mais la vidéo n’a pas fuité qu’à la fac. C’est ma mère qui me gifle dès que je passe le pas de la porte. Je file dans ma chambre pour pleurer un bon coup. Mon frère toque et entre.
— Ça va sœurette ? — C’est quoi cette question ? — Tu sais c’est pas très grave.— Comment ça ce n’est pas grave ? Je passe pour quoi maintenant ?!
Il s’approche de moi et m’embrasse. Il me caresse les cheveux et s’allonge sur moi. Sans un mot il ôte mon t-shirt puis le sien. Il pelote mes seins tout en m’embrassant. Il baisse mon jean et ma culotte jusqu’au genou, sort son pénis et me pénètre directement. Ses quelques coups de bassin me font fondre de plaisir. Ma mère est en bas, je le sais, mais je n’ai plus rien à perdre. Je pousse des cris de jouissance à chaque fois que son pénis touche le fond de mon vagin.
— Chloé doucement ! Y a maman en bas.— On s’en fout continue.
Sous mes cris et la peur de voir ma mère nous surprendre, Yoann éjacule dans la foulée.
— Merci, lui dis-je. Je n’ai jamais été aussi bien qu’avec toi.
Il m’embrasse sur le front. Au moment de se relever ma mère ouvre la porte et voit son fils cul-nul sur sa sœur.
— Mais vous faites quoi ?!
Mon frère se retourne, toujours en érection. Tous ses doutes sont levés désormais. Ma mère est stupéfaite. Elle ferme la porte et repart, complètement abasourdie. Yoann ne sait quoi dire. Il me regarde, hausse les épaules puis se rhabille et sort lui aussi. Je reste allongée sur mon lit, encore remplie de sperme. Encore dans mes pensées, je reçois un message. Aussitôt je prends mon téléphone. C’est Nicolas qui demande de mes nouvelles. Il a dû lui aussi voir la vidéo. Il finit par m’appeler.
— Allo ?— Oui ça va ? — Ça va, tout le monde parle de toi à la fac.— Oui je sais...— Qu’est ce qui t’a pris ?— Je ne sais pas...— C’était qui ces garçons ? — Écoute je n’ai pas trop envie d’en parler.— OK... Je pensais qu’il y avait quelque chose entre nous.— Je suis désolée.— Repose toi bien.
Il raccroche.La soirée fut longue mais je m’endors vers 22 heures.
*************
Quelques mois ont passés désormais. Et ma vie a quelque peu changé. J’ai désormais complètement accepté mes pulsions sexuelles. Je sais qu’elles m’empêcheront d’être quelqu’un dans la vie, que je serai l’esclave de moi-même, mais peu importe, c’est sans doute mon destin. Déjà à la fac je me fais sauter dans les toilettes. Je suis devenue de moins en moins sélective, il suffit qu’un garçon me demande poliment, qu’il soit beau ou non, et je l’emmène dans les toilettes pour qu’il me prenne par les fesses tranquillement. Je peux tourner à trois voire quatre garçons par jour, même si ça reste assez rare. Il est même arrivé que des profs soient intéressés par une petite pause détente dans les toilettes. Pour l’anecdote un de mes profs actuels, qui me laisse s’occuper de sa queue à la pause, est marié et à sa fille dans le même amphi que moi ! C’est compliqué avec sa femme sexuellement (je connais presque tout de sa vie) et je suis sa seule paire de fesses du moment.
Sa fille, qui est une amie, ne se doute absolument pas de ce que je fais à son père. Et pire, son père la voit comme sa princesse, il est très strict sur les garçons. A chaque fois que je m’occupe de lui, ou qu’il s’occupe de moi, il me fait part de son interdiction d’entraîner sa fille dans tout ça. S’il savait ce que mon frère lui met à chaque fois qu’elle vient à la maison... Avec sa bande de potes, Estelle, elle et moi, on se fait de ces partouzes qu’il ne pourrait même pas imaginer à quel point sa fille est une petite salope. Il ne sait même pas que l’on se fréquente avec sa fille, pourtant je l’aime bien c’est une amie, mais on évite absolument de le montrer à son père. C’est qu’elle ne veut pas arrêter les soirées baise la coquine.
Côté famille, c’est encore pire. Quelques jours après que ma mère ait surpris Yoann en train de s’occuper de moi, je l’ai prise en flagrant délit en train de lui tailler une pipe dans sa chambre. J’étais stupéfaite. Toute notre famille avait dérapé. 2 jours plus tard il la sautait dans la salle de bain. Assise sur le lavabo, elle regardait son fils droit dans les yeux, se prenant des coups de bite monstrueux dans le vagin. Personnellement, c’est avec mon père que je continue beaucoup à baiser. Adepte de la sodomie, tous les soirs il vient se vider dans mon cul. Parfois je suis allongée sur le lit, sans rien me demander il vient, retire mon short, m’encule et repart. J’adore quand il fait ça. Je continue de tchater sur mon téléphone avec une amie ou un copain, et lui fait tout le boulot. Avec mon frère on le fait moins qu’avant. Il a une copine désormais et il m’explique qu’il préfère se garder pour elle. Mais bon, il ne sait pas que je l’ai vu en plein acte avec maman.
D’ailleurs je n’ai jamais parlé de tout ça avec elle. Elle sait sans aucun doute, mais on fait comme si de rien n’était. Je pense qu’elle a un peu honte, mais elle ne dit rien car elle adore aussi. Telle mère telle fille !
Nicolas est mon copain officiel. Il n’est pas au courant de tout ça, hormis la vidéo, et je préfère ne rien lui dire. Je lui ai expliqué que c’était une fois pour tester, et que je ne le referai plus. Je sais que tout ça finira par cesser, et il faudra que je me pose avec un garçon. C’est loin d’être éthique, mais bon il me plait. Et aujourd’hui j’adore me faire baiser par différents mecs. Parfois je me demande comment ai-je pu en arriver là. Moi qui étais si prude et si gênée par tout ce qui tourne autour du sexe, aujourd’hui c’est toute ma vie qui tourne autour de ça. J’étais tellement timide lors de ma première fois, je dirais même ridicule, et dire qu’aujourd’hui je prends part à toutes les folies sexuelles possible. Mais c’est vachement bon. Je repense souvent à cet après-midi où mon frère m’avait baisé pour la première fois. C’est le premier garçon qui avait possédé mes fesses de la sorte.
Je me souviens encore de ses mains posées sur mon cul et des claques qu’il mettait avec engouement. Cette sensation de braver l’interdit pour la première fois, entre peur et plaisir décuplé, laisser à ses pulsions toute la liberté de se propager sans limite. Ce jour-là j’ai compris que ma vie ne serait plus jamais la même, et qu’elle ne serait plus la même que celle des autres. J’avais retrouvé mes pulsions animales, que la société force à barricader. Je me suis demandé pourquoi, car finalement j’y prends du plaisir. Mais il est vrai qu’une société que de Chloé n’aurait grand intérêt. C’est dans la rareté que les choses prennent leur sens. Et je suis contente d’en faire partie.
Beaucoup de paroles mais mon père va rentrer de sa journée de travail, et je pense qu’il aura envie de décompresser. Je vais lui faire une bonne fellation puis il me prendra par les fesses. Le programme habituel quoi !
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