Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 90 J'aime
  • 0 Commentaire

L'oiseau rare

Chapitre 3

Première sodomie de ma femme.

Orgie / Partouze
L’Oiseau rare.
3

Les jets sont dantesques et se succèdent à un rythme effréné. Soudain, l’image devient floue. Un sperme épais recouvre mon smartphone. Je dois l’essuyer pour filmer des traînées blanchâtres de plus d’un mètre qui zèbrent le corps d’Yvette. Elle en a partout ! Des seins aux cheveux. Putain ! Il devrait travailler pour la banque du sperme !!!

Suite
Je suis tellement au comble de l’excitation que je demande à Yvette de se tourner et je la prends vite fait en levrette. Je nage dans sa chatte, tellement il l’a alésée. Je suis si chaud qu’en à peine quelques coups de reins je me vide dans sa foufoune.
Martine, en bonne tata, va réconforter son neveu. Consciencieusement, elle s’occupe de la lance de Claude et quand une minute plus tard, elle libère l’objet de ses attentions, il a retrouvé sa forme olympique. En rigolant, elle s’adresse à Yvette :
— Que penses-tu de mon « oiseau rare » ? Tu me le laisses ou tu veux encore fourbir sa queue dans ta chatte ?— Mais, mais, il est déjà d’attaque ? — Tu sais Yvette, je l’ai vu à l’œuvre, il s’est déjà occupé de moi et de mes jumelles et je peux te dire qu’aucune n’a été en manque. C’est un sexe sur pattes, mon neveu !— Tu veux dire qu’il t’a baisée ainsi que tes filles ?— Oui, et pas qu’un peu. Georges, rends-toi utile et viens sucer sa bite pour qu’il ne perde pas la forme pendant que ta femme et moi, on va lui gober les couilles ! (Lire : Le Mâle pas encore dominant… Initiation entre cousin et cousines.)
Je n’aurais pas cru cela de Martine. Sa proposition est indécente, mais trop tentante. Je m’approche de ce jeune étalon, tombe à genoux devant lui comme un curé devant la croix et gobe ce phallus exceptionnel. C’est divin et blasphématoire, mais je ne donnerais pas ma place pour une au paradis.
Les deux salopes se sont assises en biais contre ses cuisses et prennent en bouche chacune de ses quetsches. J’écarte mon smartphone pour immortaliser le tableau.
Malgré nos trois bouches, il résiste comme un vieux briscard à notre traitement avant de nous demander d’arrêter, car il est au bord de l’explosion. A regret, nous abandonnons sa queue.
Yvette le supplie de la prendre encore une fois, mais il donne ses conditions :
— Je suis d’accord, mais je fais ce que je veux, tu n’auras pas le droit de refuser.— Oui ! Tout ce que tu veux ! lui répond-elle sans même prendre le temps de réfléchir aux conséquences.

On s’est tous affalés, fatigués par cette bonne séance de baise, autour de la piscine. Je suis heureux que mon fantasme soit enfin réalisé. Je viens de filmer une bite énorme forcer la bouche et la chatte d’Yvette. Un pur régal pour moi et aussi pour elle, vu qu’elle en redemande. Un préservatif et c’est reparti !
Claude la fait mettre en levrette, vide pratiquement un flacon d’huile sur son cul qu’il étale copieusement et la prend à la hussarde, elle ne rechigne même pas. Comme je rebande, je présente ma teub à la bouche de ma femme. Yvette s’active à sucer mon zob après avoir dit à Claude d’accélérer le rythme, il ne s’en prive pas. J’ai peur qu’il ne la fende en deux. La fellation de mon épouse est saccadée, ses grosses doudounes ballottent sous les coups de boutoir du faune. Je sens la jouissance monter dans ma teub. Purée ! Pas déjà ! Je vide mes couilles au fond de sa gorge, manquant de l’étouffer, réalisant en me retirant, qu’elle ne pense même pas à recracher mon foutre, tellement prise par ce qu’il lui fait subir.
— Je vais t’enculer !— Nooonnn !— SI !
Claude présente sa verge un peu plus haut, et force juste pour lui faire comprendre ce qui va arriver. Yvette, paralysée par la présence de la queue toute frémissante contre ses fesses, doit sentir l’énormité du gland sur sa rondelle. Il se retire et présente un doigt à l’entrée de son anus. Son majeur s’introduit doucement. Elle est si chaude que je l’encourage en murmurant à son oreille :
— C’est le grand jour ma puce, une « grosse » première !
La main de Martine s’active sur la belle queue de son neveu pendant qu’il introduit deux, puis trois doigts dans le fion de ma femme, elle ralentit le mouvement et finit par s’arrêter sans cependant desserrer son étreinte quand il revient à la charge, dirigeant le gland trigonocéphale sur l’anneau fripé d’Yvette. L’huile coule à flots sur le pieu.
— Détends-toi et laisse-toi faire, tu vas voir qu’elle va entrer toute seule. La rassure Martine.
Malgré ces paroles rassurantes, Yvette ose à peine bouger. Il pousse doucement pour faire entrer son gland, sa tante comme la mouche du coche l’encourage d’une tape sur les fesses.
Ca y est ! Le gland est passé, Yvette serre les dents pour ne pas hurler, ressentant son anus se dilater sous l’épaisseur de folie de ce défonce-cul. Elle serre les poings et les mâchoires.
J’ai la sensation qu’il ne pourra jamais entrer entièrement dans son cul. Son visage est crispé, car l’épaisseur peu commune de ce mandrin doit lui faire mal, mais elle ne bouge pas.
Elle se détend en sentant qu’il entre beaucoup plus facilement depuis que le gland démesuré est passé.
La bite s’enfonce bien à fond, il commence par de lents et longs va-et-vient en attendant que la douleur ressentie par Yvette s’estompe. Elle gémit maintenant de plaisir, il a compris qu’il peut donner libre cours à cet enculage.
Quelques instants plus tard, la douleur cède enfin la place au plaisir.C’est alors qu’il prend une position qui me fait réagir, mais les gros yeux d’Yvette me clouent sur place.
Il s’est mis un peu de côté, force mon épouse à poser sa tête et sa poitrine au sol et pose un pied entre ses omoplates pour qu’elle ne puisse plus bouger. Il accélère la sodomie, la pilonnant avec force. Il a le contrôle total de son cul qui s’est habitué à ce gros mandrin, il bourre son cul avec une certaine violence et à mon grand étonnement, elle a l’air d’apprécier, je l’encourage :
— On dirait que ton cul est aussi accueillant que ta chatte mon amour, quand je te disais que tu manquais quelque chose...
Les mouvements de bassin de Claude cessent subitement. Il semble épuisé par sa folle chevauchée; Yvette aussi. La transpiration fait luire les corps.
Les mains de Claude se crispent sur les hanches de ma femme pour quelques derniers coups de pine et dans un grognement il lui remplit le cul de longs jets de sperme, heureusement stoppés par le préservatif. Il se laisse enfin tomber, entraînant Yvette, la queue toujours dans ses entrailles, attendant un moment que sa bite se dégonfle.
A demi inconsciente, Yvette lui retire le préservatif et nettoie consciencieusement sa verge poisseuse de la semence abondante, léchant chaque goutte de ce foutre très odorant. Mais ce qui nous a mis sur le cul – enfin, façon de parler – c’est ce que claironne Claude :
— Laissez-moi récupérer une petite heure et je m’y remets !
Et le pire, c’est qu’il l’a fait !
Je peux vous dire que la conversation sur le chemin du retour ne tournait que sur ses performances.
Nous avons fait d’autres rencontres pour des trios avec d’autres hommes par la suite, mais nous n’avons jamais rencontré de partenaire aussi bien membré que Claude (et aussi résistant).
Il faut dire que son phallus faisait le double du mien en longueur et une fois et demi en épaisseur !
En attendant avec impatience qu’il revienne en vacances chez sa tante et passe nous rendre visite, nous regardons, nostalgiques, lovés l’un contre l’autre, les photos et la vidéo de ce jour mémorable pour nos prouver que ce n’était pas un rêve.
Et les commentaires fusent sur ce mioche qui pourrait être notre fils, mais doté d’un sexe hors normes. Le plaisir ressenti par Yvette a été si immense qu’elle ne veut plus se contenter d’Ersatz et ne veut plus d’autre partenaire. A part moi, bien sûr !

Fin
Diffuse en direct !
Regarder son live