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Olivier s'abandonne

Chapitre 2

Mon voyage à me faire aimer...

Gay
— Quel âge as-tu ? — 18 ans.— Tu es sûr ? Tu fais beaucoup moins ? J’aime les bons garçons comme toi, mais je ne suis pas pédophile. Tu veux bien me montrer ta carte d’identité ? — Oui bien sûr. Je ne peux pas prendre ce car et voyager seul si je ne suis pas majeur ! Et vous, comment vous appelez-vous ?
Il vérifie ma date de naissance et me rend ma carte avec un sourire magnifique, visiblement très satisfait.
— Marc. J’ai 50 ans et suis célibataire. Je suis très heureux de faire ta connaissance cher Olivier. Les très beaux garçons comme toi sont assez rares...
Je suis brun. 1m65, 40kilos. Oui je suis joli garçon c’est vrai. Je prends beaucoup soin de mon corps. Je m’aime aujourd’hui. J’ai souffert par le passé de mon physique si gênant quand on naît « garçon »... Tellement fin, chétif, troublant... Mais j’ai appris à m’aimer tel que je suis.
— Merci. Vous êtes un très bel homme. Moi aussi je suis content de vous rencontrer. J’ai l’impression que vous me connaissez par cœur...
En disant ça, je sens mon corps se rallumer. Il voit mon regard se voiler, se penche sur mon visage et m’embrasse à nouveau. Comme ses baisers sont bons... Sa langue fouille chaque recoin de ma bouche et lèche, suce, aspire ma langue délicieusement. J’avale encore et encore sa salive qui semble couler jusque dans mon cul... Il le devine, plante ses yeux dans le mien et demande :
— Comment peux-tu avoir un cul si gourmand, accueillant et sensible à ton âge ? Depuis quand te fais-tu défoncer pour être si ouvert ?
Ses mots me donnent le vertige, j’adore sa question, je mouille davantage, rien qu’à penser à ma réponse :
— Depuis toujours. J’en ai besoin. Je me touche par derrière depuis tout jeune. — Tu as un trou à aimer follement. J’ai envie de t’aimer follement mon cher Olivier.
Il passe sa main droite sous mon T-shirt, saisit mon téton et le pince puis le tord de droite à gauche avec une savante brutalité sensuelle qui en dit long sur son expérience amoureuse avec les garçons comme moi.
— Tu as une très belle poitrine, j’adore tes mamelons, ils me donnent des idées pas possibles, tu sais... J’aime qu’ils soient si réactifs, si sensibles. Ils te donnent beaucoup de plaisir n’est-ce pas ?
Dit-il en appuyant de plus en plus fort...

Oh oui je sais, du moins je devine et je ressens ces idées jusque dans mes reins, au plus profond de mon cul... C’est si bon ses doigts qui me triturent, me torturent mon bouton.Je sens ma prostate qui palpite, réclame les mêmes traitements...
— On va attendre qu’il fasse nuit et je vais te baiser. Si tu me le demandes bien sûr. J’ai très envie de te découvrir à l’intérieur avec ma bitte. Je veux remonter dans ton intestin. Te pénétrer jusque dans ton boyau mon petit Olivier chéri.
Je défaille, me sens couler, mouiller de partout... ma bouche qui se remplit de salive, des aisselles, de mon trou et même de ma nouille d’où s’échappe le désir de ma prostate en « érection »... Je n’ai jamais d’érection avec mon pénis, par contre ma prostate se gonfle et réclame des pénétrations larges et profondes. Ma glande aime se faire brutaliser et me le rend bien en me donnant des orgasmes fantastiques. La combinaison de mon anus, mon rectum et ma prostate m’ont transformé, c’est vrai, en véritable salope à enculer encore et encore. Me faire défoncer le cul et me le travailler avec tout ce que j’ai pu trouver à me fourrer dedans a aussi développé la sensibilité de mon intestin.
Me faire masser jusque-là, pousser ma fascination pour mon cul à me faire défoncer de plus en plus profondément, ouvrir encore davantage l’entrée de mon trou à l’aide d’objet de plus en plus large... Qui sait pourquoi c’est si bon de se faire ramoner le boyau ? Chaque millimètre que constituent mon anus, mon rectum et mon intestin me le réclame depuis que j’ai l’âge de raison...
— Tu as une peau très douce. Tu es parfaitement et définitivement épilé. C’est un travail de professionnel ! Qui prend soin de ton si joli petit corps Olivier ? — Ma tante. — Ta Tante ? — Oui. La sœur ainée de ma mère. Elle est esthéticienne. Quand mes parents ont deviné ce que j’allais devenir, une fiotte selon eux, ils m’ont rejeté et je suis parti vivre chez ma tante. Elle ne s’est jamais mariée. Mes parents la traitaient de sale gouine et pour cause... Elle m’a élevé et encouragé à m’aimer tel que je suis. — Oh, mais c’est un conte de fées, très excitant ! Elle t’a aussi appris à te toucher, elle te faisait l’amour, je suppose ? Raconte-moi s’il te plaît. Si tu en as envie. Sache que je ne veux te forcer à rien faire que tu n’aurais pas envie Olivier. Mon plaisir c’est de te voir t’abandonner à ta sensualité, te voir te perdre dans ta volupté...
Et me soufflant ces mots doux, il glisse sa main sur mon sexe de garçon, glissant le long de ma fine cuisse et presse mes ridicules petits testicules contre mon pénis, ramassant l’ensemble en boule dans sa main. Il presse mes attributs de plus en plus fort, maintient la pression jusqu’à me faire gémir d’un plaisir délicieux : ouvrir mes jambes pour lui permettre d’approfondir sa caresse et me laisser tomber dans mon fantasme le plus puissant, la castration. Faire disparaître ce semblant de masculinité. Je rêve de subir avec tout mon consentement l’ablation de mes inutiles testicules, ne garder que mon tout petit pénis pour faire pipi et surtout voir s’écouler ma jouissance prostatique quand je me fais défoncer, exploser les fesses.
Il le sait, il me connaît si bien que ça me chavire. Le vertige est incroyable, car nous le partageons tous les deux.Plus il sert plus mon trou s’ouvre, réclame sa présence. Je voudrais qu’il m’empale là, devant tout le monde. Qu’il m’envahisse l’intérieur avec sa main, son bras, jusqu’au coude...
— Oui Marc, serrez plus fort s’il vous plaît... Ecrasez mon sexe avec votre main... Explosez mes petites couilles en les giflant, à coups de poing, j’ose lui réclamer, des larmes de souffrance heureuses coulant sur mes joues...
La tendresse de son regard approbateur couplé à la brutalité du jeu de sa main termine de me faire perdre la tête...Enfin, j’ose avancer une main tremblante vers son entrejambe qu’il écarte aussitôt pour faciliter ma caresse. Je saisis alors une bite palpitante, énorme, une merveille. J’ai l’impression que je n’en ferais pas le tour avec ma menotte. Et surtout, je n’en finis pas de découvrir sa longueur, c’est inimaginable une telle bite. Mon cœur bat la chamade, rien qu’à imaginer comment ce soir il va m’enculer, me défoncer mon cul. Exerçant une ultime pression sur mes génitales, la souffrance me transperce, me décolle du sol. Mes petons cambrés sur la pointe des orteils me maintiennent « sur terre » et je jouis d’un orgasme prodigieux grâce au plaisir honteux de la sentir broyer mon délicat sexe de garçon. Mon méat bave un liquide que ma prostate expulse pour la joie de savourer la torture fantastique qu’il m’offre.
Il me chuchote à l’oreille :— Qui es-tu mon si beau salaud pour me plaire autant ?
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